9eme jours:
Aujourd’hui c’était une journée de repos, en fin quand je dis repos, cela veut dire sans marche à pied. Je dormis avec une étrange sensation dans le ventre. Les sensations lorsque les dattes mon quittées furent étranges, comme un manque en moi, je me sentais vide. On pouvait donc prendre du plaisir par cette voie. Peut-être que j’accepterais de me faire prendre par mon petit trou un jour mais ce serait mon mari qui en aurait la primeur, je lui dois bien ça quand même.
La matinée fut consacrée à la récupération. Prendre soins des pieds, notre moteur dans un trek, laver notre tente, les chaussures…
Lors du breakfast, Karim vint me narguer, il savait que j’avais besoin de lui. Ça queue me manquait. Ce matin j’avais du simuler avec mon mari.
En attendant le repas du lunch, le groupe s’éparpilla à droite et à gauche. Alain parti prendre des photos des habitants travaillant dans la plantation d’oignons, me laissant seule au camp. Je voulais tellement Karim que je couru presque sous sa tente cuisine pour le voir.
Alors qu’il était assis en train de travailler, je glissai ma main sous sa djellaba pour en extraire sa queue et rapidement alors qu’il continuait à cuisiner, je gobai sa jolie queue. Il ne me regardait même pas, comme si il m’ignorait encore. Seule la longueur de son sexe me prouvait qu’il aimait mon traitement. Après de longues minutes, je sentis sa queue vibrer annonçant l’arriver au fond de ma gorge de sa douce crème. Mais il repoussa ma tête et dit que je ne méritais pas son plaisir, qu’il voulait autre chose. Je voyais où il voulait en venir mais il était hors de question que je lui cède. Voyant qu’il me délaissait complètement malgré mes tentatives, je commençai à sortir de la tente quand il se leva se plaqua contre mon dos et souleva ma robe. Il commença à me doigter le minou et je senti son sexe énorme m’enfiler. Après deux aller-retour il ressorti et se présenta devant mon illet. Sous la poussée, je senti mon petit trou s’ouvrir autour de son gland. Juste le bout de son gland m’ouvrait mais je me dégageai, lui refusant mon dernier pucelage. Je dirigeai moi-même sa bite dans mon minou mais ce coup si c’est lui qui refusa et me poussa en dehors de la tente. Il me dit de revenir quand je serais prête.
Après le lunch nous devions retourner au village pour visiter la mosquée, une école et les petits artisans du village.
Tout le monde parti au village, mains dans les mains, nous nous dirigeâmes vers la mosquée. Les religions n’étant pas mes tasses de thé, je décidai de rester dehors en attendant le groupe.
Je décidai de visiter le village toute seule pendant ce temps-là. Alors que je rentrai dans la cours d’une maison, Karim me rejoins et commença m’embrasser, enfonçant sa langue au plus profond de ma bouche alors qu’avec ses mains il souleva ma robe jusqu’aux hanches, me laissant cul nue dans cette cours. Pendant qu’il m’embrassait je senti ses doigts visiter ma petite chatte. Il me retourna pour me plaquer contre le mur. Ma tête penche en arrière, il me dévorait la bouche. Un villageois nous surpris dans la cours mais ne s’attarda pas et parti. Mon soulagement fut de courte dure quand je le vis revenir en compagnie d’une dizaine d’homme. Karim comme motive par cela redoubla d’ardeur. Il arrêta de visiter avec ses doigts mon minou pour s’occuper de mon petit trou. Je senti un puis deux doigts entrer en moi. J’étais comme une droguée, ne réagissant même pas alors que les hommes faisaient un cercle autour de nous et me voyait me faire doigter la rondelle. Nous entendîmes dans la rue derrière le mur, le reste du groupe qui avait fini la visite de la mosquée et marchait dans la rue. Il fallait arrêter avant de nous faire surprendre, mais Karim ne voulait pas s’arrêter et ordonna au groupe de bloquer l’entrée de la cours. Ce qu’ils firent sans attendre. Je senti son gland presser mon illet. Je n’eus que le temps de prendre son chibre dans la main et l’arrêter, Karim me demanda de me laisser faire si non il demandait aux gars de laisser libre l’entrée. Il me tenait et c’est moi même qui dirigea sa queue contre mon dernier rempart. Lentement je sentis s’ouvrir mes fesses et son braquemart s’enfoncer en moi. Surement grâce au travail de Karim depuis deux jours, la douleur fut minime et fut surprise quand je senti son pubis contre moi. J’avais la totalité de son sexe dans mes fesses. Pour la première fois je me faisais sodomiser. Karim avait gagné. Alors que le groupe d’hommes bloquant l’entrée commençaient à discutait avec le reste de mon groupe et mon mari, Karim commença à faire des mouvements de plus en plus rapide sur toute la longueur de sa poutre d’ébène. La douleur se transforma en plaisir et je dus me mordre les doigts quand je me senti jouir du cul. Karim accéléra le mouvement. J’étais enculée devant une foule de témoins alors qu’au même moment j’entendais la voix de mon mari qui négociait un prix devant l’entrée de la cours. Je senti Karim enlever mon haut pendant qu’il coulissait dans mes boyaux. Il se retira de moi, me fit mettre à genoux et éjacula toute sa crème sur mes seins. Il se rhabilla, me laissant nue contre le mur et se dirigea vers l’entrée:
-Oh Alain comment vas-tu? Tu acheté un cadeau à ta femme? Décidément tu la gatte ta femme. Tu as raison, faut ça de nos jours pour garder nos femmes.
Et en rigolant Alain répondit à mon amant ou son cocufieur:
-Tu as raison, sinon elles vont voir ailleurs….
Je me rhabillai rapidement, sentant le sperme coller à ma robe sur ma poitrine et me dirigea vers l’entrée de la cours. Je fis semblant d’être surpris de voir mon mari et lui sauta au coup, lui disant que je ne l’avais pas entendu alors que j’étais dans la cours.
Nous continuâmes la visite du village ensemble, s’arrêtant de temps en temps pour visiter une maison ou une école. Alors qu’un léger picotement se faisait sentir sur mon petit trou, je restais dans les bras de mon homme alors que tout le village, après l’épisode d’hier et d’aujourd’hui, savait qu’il était cocu par son cuisinier.
Pour mon cas personnel, il faut dire que malgré mon refus initial, j’ai aimé cette première sodomie et me suis découvert un côté exhibitionnisme que j’ignorais. Je savais que je retournerais le voir. Il pouvait tout faire, à chaque fois je prenais mon pied.
J’étais prête à tout pour lui, je voulais sentir sa queue en moi, voulait être sodomisé encore.
Le soir venu, nous avions invité le village à descendre au camp pour chanter et danser des danses africaines autour d’un énorme feu de camps. Toute la soirée, les hommes et femmes dansaient autours du feu en chantant à l’aide de leurs percussions. Ils nous invitaient hommes et femmes à danser avec eux. C’était un peu comme la fête du village, des groupes se formaient partout, certains dansaient, d’autres jouaient à l’écart.
Alors que mon mari discutait avec un groupe d’homme je voulais retrouver Karim mais fallait occuper mon mari. Je ne savais comment faire. J’avais bien une idée mais c’était un peu salop pour mon mari. Après une longue hésitation et devant l’absence de solution je parti voir Boubakar et lui demanda de s’occuper de mon mari, de détourner son attention pendant 30 minutes. Après tout il savait tout de mon histoire avec Karim. Je su le matin qu’il partit à l’étang pour prendre des photos de la lune avec mon mari.
Je trouvai Karim avec un groupe d’homme et passa derrière lui juste en lui mettant discrètement une main aux fesses. Je ne savais pas où aller, il y avait du monde partout. Karim me suivait à distance puis une fois hors de vue du camp me rattrapa, me pris la main et me dirigea vers le moulin à eau qui servait à moudre le mil. Il avait eu la bonne idée de prendre 2 lampes à huile avec lui. Le moulin est très rudimentaire, c’était juste deux murs en boue sèche autour du torrent. Avec les deux lampes je trouvais ça assez romantique. Il fut très doux pour enlever mon top et descendre ma jupe africaine, me retrouvant nue devant lui. Je n’eus même pas le temps de le sucer, son gourdin était prêt à l’emploi. Il me fit mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette. Que c’était bon de sentir enfin son pieux entres mes lèvres intimes. Ses mains sur mes hanches je le sentais me donner des grands coups de queue. Son corps claquant contre mes fesses résonnait. Je fermais mes yeux pour mieux savourer cet instant magique.
Après un énième orgasme, j’ouvris les yeux pour me rendre contre que les deux murs étaient recouverts d’hommes nous regardant sans rien dire. Je m’en foutais complètement, après tout je ne les reverrais jamais après cette soirée.
Karim se dégagea, me fit mettre face à lui et je senti son sperme jaillir sur ma poitrine, que j’étalai sur mes seins. Karim bandait toujours, faudrait qu’il donne la technique à Alain, à moins que ce soit trop difficile pour mon mari (voir impossible selon moi). Nous agissions comme si nous étions seuls. Je vis Karim s’allonger et je me penchai vers lui pour le sucer. Je voulais le surprendre par mon initiative. Sa queue sentait bon, la saveur de ma mouille.
Je voulais le surprendre jusqu’au bout et pendant que je lui prouvais qu’une blanche savait bien sucer, je me préparais l’anus avec mes doigts. Lorsque je me senti prête je vins sur lui et glissa sa queue dans mon minou et me mis à l’embrasser avec toute ma langue.
Au bout de deux aller-retour pour lubrifier sa queue, je me relevai, le regarda avec un grand sourire et dirigea son sexe vers ma petite porte d’entrée. Je me laissai descendre sur lui et quand je senti le bout de son gland m’ouvrir l’anus il me repoussa gentiment et me demanda de me retourner pour faire dos à lui. Je me retrouvai face à ces voyeurs assis sur les murs. Même si je commençais à aimer l’exhibe, je trouvais cela un peu gênant de les regarder pendant que je dirigeais avec ma main la queue de mon cuisinier vers mon petit trou. Je me mis à fixer un homme sur le mur qui se masturbait sans gêne devant tout le monde et sans pudeur.
Une étrange sensation m’envahis au fur et à mesure que son gland se frayait un passage dans mes boyaux. C’était bon! Lorsque je fus totalement sur lui, il me fit pencher vers lui et lorsque mon dos toucha son torse crépu, je senti ses deux mains me masser mes seins. C’est lui qui imprima le mouvement dans mes fesses. De plus en plus rapide sur toute la longueur de sa poutre alors qu’avec une main il écartait les lèvres de mon minou et me branlait le clito. Le cocktail fut explosif et je me mis à jouir rapidement. Karim fut assez long à jouir mais ça ne me dérangeai point!
Il se vida dans mes boyaux et comme au théâtre tout le monde applaudi.
Nous étions recouvert de farine de mil; nous n’avions pas beaucoup le choix et mains dans la main nous nous glissâmes dans l’eau et pour la première fois Karim fut très doux et me lava devant tout le monde. J’étais fier de ma prestation. J’aimais être nue devant tous ces noires, être dominé. C’était ma drogue.
Nous repartîmes vers le camp suivi de ma nouvelle troupe de fans. Je me dirigeai vers Alain pour me blottir dans ses bras. Le pauvre, il avait des cornes de plus en plus grandes sur la tête. Le reste de la soirée fut tranquille. Vers 2h du mat tout le monde parti se coucher.