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LES CONFESSIONS DE CÉLINE – Chapitre 3




CHAPITRE 3 – RÉVÉLATION

Les grands-parents étaient de retour! Nous avons détalé aussi vite que possible tandis que les pneus des bicyclettes crissaient sur le sol, manquant de nous faire repérer. Julie ss’esclaffa une fois la barrière franchie. A mon tour, je riais de bon cur, particulièrement heureuse. Au final, nous avons rigolé durant tout le trajet, séchant nos larmes avec le revers de la main quand la maison fut enfin visible.

  – Cétait vraiment incroyable, fit Julie en me serrant dans ses bras. Viens à la maison un de ces quatre.

  – Promis.

Elle madressa un sourire et enfourcha sa bécane pour rentrer chez elle. Quand à moi, je restais sur le seuil de la porte à rêvasser, la regardant séloigner avec une légère pointe de tristesse. Au bout du compte, je rentrais à lintérieur, montant directement à létage pour faire un brin de toilette.

Le jour suivant, je décidais de braver le mauvais temps pour me rendre chez Julie. Je grimpais sur mon vélo, pédalant sous la pluie battante. Cinq minutes plus tard, jarrivais à destination.

Je frappais à la porte mais personne ne se présenta. En fin de compte, je finis par rentrer car la pluie redoubla dintensité. Quel temps pourri! Jétais trempée de la tête aux pieds, ne manquant pas déclabousser le carrelage au cours de mes déplacements.

  – Julie? Quelquun?

Pas de réponse.

Je décidais de mener ma petite enquête, me débarrassant de mon manteau avant de gravir les escaliers pour atteindre létage du dessus. Je stoppais nette ma progression lorsque jentendis des gémissements provenants de la chambre de Julie. Oups! Le moment semblait mal choisi pour débarquer à limproviste. Je commençais à méloigner mais les grognements de ma copine et ceux de son acolyte retinrent mon attention.

  – Humm, ne tarrête surtout pas. Jaime sentir ta langue sur ma chatte!

A présent, je me tenais dans lembrasure de la porte, ne perdant pas une miette du spectacle qui se déroulait sous mes yeux. A vrai dire, il ny avait rien de mal à jeter un coup dil, nest-ce pas? Pour ma part, je trouvais la situation foutrement excitante.

Julie était allongée sur le lit, les jambes largement ouvertes tandis que son copain se dandinait sous un drap. Elle agrippa son partenaire afin de le pousser davantage à lintérieur de ses cuisses, produisant des gémissements particulièrement forts. Waouh! Le type paraissait plutôt doué et jaurais donné nimporte quoi pour être à la place de mon amie. Qui cela pouvait-il bien être? Je restais là à épier, bien trop désireuse de connaître lidentité du mystérieux inconnu.

  – Ahhhh, tu aimes ça! sécria Julie après avoir écarté le morceau de tissu.

Oh, putain! Je retenais un cri de surprise en apercevant la gueule du chien fouiller lintimité de ma camarade. Tout dabord, je fus prise dun fort sentiment de dégoût avant de me rappeler que je faisais exactement la même chose avec Caramel. Enfin, jétais loin de me douter que Julie se faisait également sauter par son chien. Curieusement, cette révélation me réconforta car cela signifiait que nous étions toutes les deux très similaires. Chuuuut. Je ne voulais pas les déranger

  – Fais plaisir à ta maîtresse.

Le chien (un beauceron de grande taille) continuait de lécher le minou de mon amie à grand renfort de coups de langue, la besognant sans vergogne. Décidément, il avait lendurance et la méticulosité dun automate ayant pour unique vocation de donner du plaisir. Julie devait probablement partager mon opinion car je la voyais se trémousser comme une dingue, soupirant à tout va et incitant son compagnon à quatre pattes à plus dentrain.

De mon côté, je glissais mes deux mains dans mon pantalon, vacillant légèrement lorsque mes doigts entrèrent en contact avec ma chatte dégoulinante de cyprine. La scène qui se déroulait sous mes yeux me rendait folle dexcitation.

Durant cet intervalle, Julie avait rampé sous le ventre de lanimal pour goûter à son sexe. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à taquiner le membre écarlate avec le bout de sa langue, le recouvrant de sa salive. Au bout dun moment, elle changea de position et se tourna vers moi. Nos regards se sont longuement croisés. Elle madressa un sourire tandis que le chien lui grimpait dessus pour se vider les couilles dans ses entrailles, lui infligeant des coups de boutoir dune rare violence.

  – Oh, je la sens! elle est vraiment énorme, balbutia Julie, secouée de toute part. PRENDS-MOI, REX! PRENDS-MOI!

Elle criait de plus en plus fort, se comportant comme une vraie chienne. Bientôt, de la bave fusa de sa bouche alors que ses yeux semblaient sortir de leur orbite.

Quant à moi, je nallais pas tarder à jouir. Je me laissais choir au pied du lit tandis que mes doigts continuaient dagacer mon clitoris. Mon corps se raidit complètement, saturé par des ondes de plaisir toujours plus intenses.

Pendant ce temps, Julie se mordait le poing quand le nud comprima son petit nid damour devenu trop étroit. Elle gémissait vraiment forts alors que Rex essayait de se dégager, courant le risque dameuter tout le voisinage. Finalement, le sexe de lanimal délaissa le vagin de sa maîtresse en produisant un horrible bruit de ventouse. Les couvertures furent noyées sous les flots de sperme.

  – Cétait incroyable, murmura Julie en faisant signe de masseoir à ses côtés.

Je montais sur le lit pour rejoindre ma copine exténuée, jetant un coup dil vers Rex occupé à lécher ses parties intimes. Intriguée, je lui demandai:

  – Tu fais ça depuis longtemps?

  – Ça remonte à la séparation de mes parents, il y a un peu plus dun an. Je revoie encore ma mère se faire sauter par le chien elle devait être en manque, jimagine. Bien sûr, jai voulu tenter lexpérience. Je suis vite devenue accroc. Et maintenant, il y a toi. Franchement, je suis contente que tu sois venue sans prévenir… tu connais enfin la vérité.

  – A vrai dire, plus rien ne métonne. Ton comportement de lautre jour cela aurait du me mettre la puce à loreille. En tout cas, jai pris beaucoup de plaisir à te regarder.

  – Je pourrais tinitier. Rex est un amant très agréable, tu sais. Il a énormément dendurance et sait faire jouir une femme comme aucun homme.

  – Tu accepterais? cest fantastique. Et rien que den parler ça mexcite à nouveau.

  – Je vois ça, répondit Julie après avoir posé sa main contre ma chatte toute mouillée. Tu es brûlante!

Je poussais un long soupir de satisfaction, la fixant du regard.

  – Cest toi qui ma mise dans cet état, garce.

  – Oh, choupinette! tu men vois ravie Tu vas voir, je vais bien moccuper de toi.

Elle plongea son visage dans mon cou pour délivrer un doux baiser, remontant la colonne de chair pour coller ses lèvres contre les miennes. Je sentais sa langue virevolter au fond de ma bouche tandis que ses mains saffairaient à enlever les tissus superflus. Par la suite, elle écarta les pans de ma chemise pour saisir ma poitrine, prenant un malin plaisir à taquiner la pointe de me seins alors quils durcissaient encore.

  – Je taime, répondis-je dune voix tremblante. Vraiment.

  – Je sais.

Julie ôta mes derniers vêtements puis me retourna avec une extrême douceur. Je me laissais faire, à la merci de mon amie. Je pouvais sentir sa présence derrière moi. Sa poitrine volumineuse écrasait mon dos tandis que son sexe poisseux inondait mes fesses rebondies. Je cédais à ses caresses, ouvrant la bouche pour laisser échapper un long soupir de bien-être. A ma grande surprise, je sentis deux doigts sinsérer dans mon anus.

  – Aaaaah, tu es merveilleuse.

Elle avait des doigts de fée. Jécarquillais les yeux lorsque sa main fut quasiment enfoncée à lintérieur de mon fondement. Je me trémoussais dans tous les sens, criant ma jouissance à tue-tête.

  – Tu aime ça, pas vrai? ajouta Julie en faisant des va et vient.

  – Oh, oui ! Je ten prie, continue !

Je prenais mon pied comme jamais, éprouvant des sensations de vertige.

Quelques minutes plus tard, Julie était allongée sur le dos. Je me plaçais entre ses cuisses ouvertes, ma langue venant caresser ses lèvres intimes de manière délicate. Elle respira plus fort quand ma bouche aspira son sexe, lui mordillant au passage son clitoris devenu très sensible. Je manquais de tomber du lit au moment où le museau de Rex entra en contact avec ma vulve.

  – Ooooh !

A suivre

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