En rentrant chez moi, ce jour là après l’école, j’étais assez anxieux. Comment être tranquille après ce qui s’était passé la veille ? Ma mère m’avait demandé de l’attacher avec des menottes aux barreaux de l’escalier de notre pavillon de banlieue. Là, j’avais dû suivre ses ordres : la déshabiller puis la pénétrer sur place, lui faire l’amour pendant qu’elle était attachée. C’était la première fois que je faisais ça, et ça avait été absolument délicieux. Mais aussi incroyablement perturbant. Comment réagir lorsque vous découvrez que votre mère, que vous aimez, que vous admirez, se révèle être une parfaite salope, qui veut de la queue, aime les jeux SM, et qui pour couronner le tout éprouve du plaisir à faire ça avec son propre fils ?
Et si tout cela n’avait été qu’un mauvais rêve ? Nous sommes une famille bien sage et rangée, et même si ma mère est divorcée, elle reste une femme respectable. Il était très choquant qu’une chose aussi folle se soit passée. Et pourtant…
Lorsque je pénétrais dans la cuisine elle était là, devant l’évier, faisait la vaisselle. Elle m’accueillit avec sa bonne humeur habituelle et un grand sourire.
— Ha tu là ? Ça va bien mon chéri ? Ta journée s’est bien passée.
A nouveau c’était la ménagère de 50 ans, un peu ringarde, avec sa robe à fleur, qui était face à moi. Elle n’était ni belle ni moche, les cheveux sagement noués en arrière, peu maquillée, la maman classique et sage que j’avais toujours connu. Mais cette apparente normalité ne dura pas longtemps.
— Assieds toi mon chéri, j’ai quelque chose pour toi.
Ma mère sorti de la pièce, se dirigea vers sa chambre et revint quelques minutes après. En la voyant, je faillis tomber de ma chaise. Elle avait dénoué ses cheveux et s’était changée. Elle était magnifique. Elle avait mis un ensemble en cuir très sexy, un accoutrement qui pour le coup était celui de la parfaite coquine adepte de pratiques SM : un bustier noir sexy, en cuir, très décolleté, noué par derrière avec des lacets, des longues bottes à cuir à talon haut. En bas pour seul vêtement elle portait une simple petite culotte qui rentrait dans les plis de sa chatte.
— Est ce que ça te plaît, Ludo, quand je m’habille comme ça ?
Je devais avouer que je la trouvais diablement excitante ! Découvrir que sa mère est une vraie cochonne à tendance perverse, c’est quelque chose d’assez jouissif pour un jeune homme de 18 à peine… J’avais quand même quelques remords. Je ne comprenais pas pourquoi ma mère voulait m’impliquer dans ce genre de relation perverse.
— Maman, pourquoi tu fais ça ?
— J’aime te faire plaisir, Ludo. Tu ne me trouves pas belle ?
— Si très belle, mais…
— Allez, tais toi et prends plutôt le carton qui se trouve par terre. Mets le sur la table.
Il s’agissait du fameux carton que j’avais découvert par hasard, rempli d’objets SM dont ma mère se servait vraisemblablement avec ses amants de passage. Visiblement elle avait apprécié s’en servir avec moi la veille et voulait retenter l’expérience.
— Bien, regarde dans le carton s’il y a quelque chose qui te plaît.
Puisque c’est elle qui me le demandait je sortais les objets un à un. Des menottes, des godes, sangles diverses… Je bloquais sur une longue sangle au bout de laquelle pendait un collier en cuir au bout avec un petit cadenas qui devait servir à fermer le collier. Je me demandais quel en était l’usage.
— C’est une laisse, me dit ma mère, devançant ma question.
— Une laisse ? Pourquoi faire ?
— Ne sois pas idiot. Réfléchis !
Elle attrapa le collier, l’attacha à son cou.
— Tu as envie de ça ? Tu vas me tenir en laisse, comme si j’étais une bonne chienne, bien docile.
— Maman, tu es complètement givrée. Je n’ai pas l’intention d’entrer dans ce jeu.
— Moi, givrée ? Et toi, tu es quoi ? Ose dire que tu n’as pas aimé me baiser, hier !
— Maman, c’est toi qui a voulu faire ça ! C’était ton idée.
— Mais tu étais bien d’accord ! C’est toi, petit cochon qui as mis ta queue dans ma chatte, non ? Et je l’ai bien sentie, elle était bien dure ! A mon avis ça fait même des années que tu as envie de me la mettre !
Que pouvais je dire ? Bien sûr que j’avais envie d’elle, depuis longtemps. Depuis l’époque de mes premières masturbations, je me disais que ma queue serait bien mieux à l’intérieur d’un bon vagin de femme, et notamment celui de ma mère. Je m’étais d’ailleurs masturbé un bon nombre de fois dans ses petites culottes qui traînaient dans la corbeille de linge sale, imaginant sa fantastique chatte. Ma mère s’en était sans doute bien aperçue. Alors aujourd’hui comment ne pas céder à son chantage ? Comme la veille je décidais de suivre ses directives. J’attrapais la laisse, l’accrochais autour de son cou, puis fermais le petit cadenas.
— Bien, dit ma mère, maintenant amène moi dans le jardin.
— Dans le jardin ? Pourquoi faire ?
— Léo, arrête de discuter s’il te plaît.
Médusé, incapable de plus protester, je la traînais dehors. Ma mère me suivi docilement. Une fois dans le jardin elle m’ordonna d’aller au milieu de la pelouse. Là elle baissa sa culotte, la retira entièrement, et s’accroupit devant moi.
— Retourne toi Léo. Je vais faire pipi.
— Comme ça, ici ? À côté de moi ? Mais maman, c’est pas possible.
— Bien sûr que si c’est possible. Je ne peux pas attendre, j’ai trop envie. Si tu te tournes pas je le fais devant toi.
A peine avais je le dos tourné que j’entendis un jet de liquide couler au sol. Ma mère était bien en train d’uriner à côté de moi, sans la moindre gêne. Le seul fait de l’entendre suffit à m’exciter. J’imaginais sans peine son jet jaillir de son minou. Elle se redressa ensuite.
— Bien. Ca va mieux. Attache moi à cet arbre maintenant.
Elle me montra dans le coin du jardin un petit chêne que nous avions planté récemment.
— Maman ? Pourquoi ?
— S’il te plaît. Fais ce que je dis, attache moi.
Ne sachant que répondre j’ai à nouveau fait selon ses instructions. J’ai passé la laisse autour de l’arbre et je l’ai attachée avec un autre cadenas pour la bloquer. Ma mère assise au sol, dans l’herbe, attendait paisiblement.
— Maman, et maintenant ? On fait quoi ?
— Hé bien tu n’as pas compris ? Je suis ta chienne, soumise. Fais de moi ce que tu veux.
Je restais sidéré, incapable d’ouvrir la bouche devant cette scène stupéfiante. Ma mère assise nue devant moi insistait pour se faire traiter comme un animal.
— Maman, tu vas trop loin, là. Je ne veux pas…
— Tu n’as pas envie de me baiser comme une chienne ?
— Je ne sais pas. Si, j’ai envie, mais pas comme ça…
— Hé bien moi j’ai envie comme ça !
Sans attendre que je ne proteste plus elle se retourna et me présenta son cul.
— Prends moi en levrette. Les chiennes se font baiser dans cette position.
Fasciné par la superbe vue sur son gros beau derrière je n’osais plus rien dire.
— Allez, sors ta queue. Tu vas la frotter contre mes fesses, ça t’excitera.
Si après tout c’est ce qu’elle voulait, je n’allais pas être plus royaliste que le roi. Je baissais mon pantalon et l’enlevais entièrement. Ma queue était déjà assez dure. Elle grossit encore lorsqu’elle fut au contact des fesses de ma mère. Je la frottais sur son cul et mon érection devint assez vite conséquente. Je regardais ma queue et je la trouvais vraiment grosse. En toute modestie, je savais avoir un engin de bonne taille, tout à fait apte à satisfaire l’appétit de ma cochonne de maman.
— Viens je vais te sucer un peu. Lécher et sucer, ça aussi une bonne chienne doit pouvoir le faire…
Elle attrapa ma queue et la mit dans la bouche. Là encore je devais avouer qu’elle me surprenait. Elle était vraiment douée, avec une façon de faire coulisser ma queue dans sa bouche qui était proprement succulente. Mon érection était énorme et mon plaisir divin. Ma mère se remit alors en position levrette.
— Allez, baise moi maintenant ! Baise ta chienne de maman !
Cette situation était folle. Devant sa vulve exposée, je décidais de ne plus retarder l’échéance, d’en profiter. J’avançais ma queue, l’orientais vers l’entrée de son sexe… et je poussais. Mon pénis glissa avec une facilité désarmante au fond du vagin qui m’était offert. J’entamais une série de va et vient absolument divins. Ma mère commença à gémir de plaisir. C’était la deuxième fois en deux jours que je la baisais, et je devais avouer que je commençais à y prendre goût . Un long moment je la défonçais de coups de bite bien sentis, avec toute mon énergie et ma force. A chaque coup de rein ma mère partait en avant, déséquilibrée par ma puissance. Mais elle aimait le traitement. Ses gémissements s’intensifièrent. De temps en temps je ralentissais le rythme, pour nous permettre à tous les deux de souffler, puis j’accélérais de plus belle. Ainsi de suite pendant un long moment. Le plaisir commença doucement à nous envahir. Son vagin dégoulinait de cyprine et ça me rendait fou. Je la baisais encore p’us fort, avec l’énergie d’un enragé. Au bout d’un moment d’assauts énergiques, délicieux, je me retirais pour admirer son énorme cul et sa chatte dilatée. Ma mère était superbe, merveilleusement chienne.
Je dénouais alors son bustier qu’elle avait toujours sur elle. Toujours à genoux derrière elle, je passais les mains sur ses beaux gros seins, les attrapais à pleines mains. Qu’elles étaient belles ces mamelles ! Je jouais avec un moment puis revenais vers son cul. J’écartais ses grosses fesses pour encore profiter du beau spectacle de sa fente, de sa vulve d’où coulait la cyprine. Je glissais un doigt entre ses cuisses et récoltait le précieux jus sur mes doigts. Je le goûtais. Il était sucré et salé en même temps, c’était délicieux.
— Tu es vraiment une cochonne, maman !
— Non, je suis une chienne. TA chienne !
Hyper excité, je me mis à la baiser encore plus fort. Puis je sortais et tentais une exploration de son cul. Elle avait un petit trou absolument charmant. Mon doigt pénétra son anus, d’abord discrètement puis plus franchement.
— Bonne idée, ça Léo, encule moi. Les chiens aiment bien ça, en général.
Ça tombait bien, moi aussi. Je mouillais copieusement l’anus de ma mère avec de la salive, positionnais ma queue à l’entrée et je poussais. Mon gland pénétra sans encombre. Je poussais encore et j’étais entièrement à l’intérieur. Ma mère, très coopérative, était détendue. C’était superbe.
Je la baissais doucement comme ça un moment. Puis je ressortais et revenais vers son vagin. Ma mère exultait de plaisir.
— Ha c’est bon Léo ! Ha, tu vas me faire jouir !
— Merde, maman, moi aussi je vais jouir !
J’envoyais encore quelques somptueux coups de queue qui firent basculer ma mère en avant, puis… un flash d’une extraordinaire puissance, la tête qui explose, le plaisir qui jaillit…Enfin je jouissais. Quelle incroyable sensation de se lâcher au fond de sa mère ! Mon sperme s’écoula dans le vagin de ma génitrice, l’envoyant elle aussi au paradis. Quelques minutes après, je me retirais d’elle, le sexe trempé, le sperme dégoulinant de sa chatte. Je me relevais pour attraper mes vêtements. J’allais détacher ma mère lorsqu’elle m’interrompit.
— Laisse moi attachée Léo. Peut être voudras tu encore en profiter plus tard. Je vais rester là, dans le jardin. Tu vas juste m’apporter un peu d’eau dans un bol pour que je puisse boire.
Encore une fois je n’en revenais pas. Je regardais ce drôle de spectacle de ma mère assise au sol, attachée à cet arbre, nue, réduite à l’état animal. J’allais dans la cuisine, je prenais un bol d’eau et je lui apportais. Je le posais devant elle. Elle me sourit alors.
— Ca te plaît, Léo? Ca te plaît d’imaginer que je suis à ta merci. Tu vois ta maman attachée comme une chienne, tu peux faire ce que tu veux et me corriger si je suis méchante. Tu me trouve méchante ?
— Non maman.
— Dommage, tu aurais pu me corriger… Alors laisse moi, je vais me reposer. Tu reviendras plus tard.
Je m’en allais alors et rentrait dans la maison. Complément hagard, stupéfait par ce qui se jouait là, je ne trouvais que la force d’allumer la télé. Je zappais un moment jusqu’à tomber sur un programme qui attira mon attention. Il y avait une femme, visage flouté, qui parlait de sa passion perverse pour le sexe SM. La scène se passait au Cap d’Agde. Le reportage dura une bonne demi heure, explorant tous les aspects de cet endroit un peu fou où toutes les perversités sexuelles étaient permises. Il y avait notamment des femmes mais aussi des hommes qui se faisaient promener en laisse par leur conjoint. Quel drôle de hasard ! Je me demandais si ma mère y était déjà allée…
Fatigué de toutes ces émotions je fermais alors les yeux deux minutes… et me réveillais deux heures plus tard. Il était 22h, il faisait nuit.
— Merde, maman !
Je l’avais oubliée, attachée dans le jardin. Je me précipitais dehors et je le trouvais toujours attachée, à poil, au pied de son arbre. En cette soirée d’été il faisait encore chaud, mais c’est quand même quelque chose qui ne se fait pas, d’oublier sa mère attachée nue à un arbre…
— Maman, désolé, je t’ai oubliée.
— J’ai vu ça, Léo. Mais c’est pas grave. Tu n’as pas encore envie de me baiser un petit coup, par hasard ?
— Maman, encore ?
— Oui. J’ai envie. Sors un peu ta queue pour voir.
Je lui obéi et à nouveau elle mit mon sexe dans sa bouche. Je me remis à bander dur. Sa fellation était tellement bonne que j’eu à nouveau envie de la prendre. Elle se retourna et me présenta son cul. Je m’approchais et la pénétrais alors avec le même plaisir.
Je la baisais avec fougue encore un bon moment. Puis encore une fois je jouissais avec délice.
— C’était bon, Léo ?
— Oui maman.
— Bien détache moi. Tu as école demain.
L’école…Ce monde là me paraissait tellement loin ! Les profs, les copains, tout cela était tellement décalé avec ce que j’avais vécu ce soir ! Je récupérais les clefs des cadenas et lui enlevais la laisse. Elle se dirigea vers la maison.
— Allez, qu’est ce que tu attends ? Tu viens ? Fini la distraction ! Tu as fait tes devoirs au moins ?
— Heu non… J’ai pas eu le temps…
— C’est pas sérieux, ça Léo. C’est pas comme ça que tu auras ton bac !
Pendant que je me faisait engueuler, je regardais ma mère s’éloigner vers la maison, avec ses bottes en cuir et son gros cul nu qui ballottait dans tous les sens…Voilà qui était original…
A peine rentrés dans la maison, je la vis ranger le carton avec la laisse dans un placard, remettre sa robe à fleur, ses vieilles tongs usées, et nouer ses cheveux en arrière. A nouveau elle se re-transformait en maman sage et discrète. Jusqu’au lendemain…