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Une boutique très accueillante – Chapitre 1




Durant le trajet je repense à la proposition de la ramener au sex-shop et à la façon dont elle a accepté. Il faut battre le fer tant quil est chaud et je veux tout organiser avant quelle ne change davis ou me largue. Je pense à tout ce que je veux lui dire et vais lui adresser un mail dès mon arrivée. Jenvoie le message, et lappelle :

— Bonsoir chérie, je ne vais pas te retenir. Juste te dire que je tai écrit. Tu lis mon message, tu réfléchis, et tu attends demain soir pour me répondre.

— Cest si sérieux ?

— Non, pas dinquiétude, tu lis, tu verras.

On discute cinq minutes et on raccroche.

Le lendemain soir jai sa réponse sur mon portable. Jai le cur qui bat la chamade, et suis rapidement soulagé. Elle est géniale. Je lui disais que je voulais passer tout un week-end avec elle et lemmener le samedi après midi au ciné porno. Elle est enchantée de mon idée, et ne rentrera pas chez elle à la fin de la semaine. On ne samusera pas au téléphone le soir, pour quelle puisse bosser, savancer, et avoir tout son temps à me consacrer. Elle est trop mignonne et je lappelle pour la remercier. Je lappellerais cinq minutes, tous les jours pour un petit coucou.

Le vendredi soir je prends la route, et suis chez elle vers 19h. Les retrouvailles sont chaudes et on baise comme des bêtes. On prend une douche, on mange un plat surgelé, et on sinstalle devant la télé. A la fin du film, on se couche pour une deuxième baise plus calme. Tout en faisant lamour je lui dis ce que jaimerai pour le lendemain après midi, au sex-shop. Elle est hyper chaude, et dit oui à tout. On sendort.

Le samedi matin elle a prévu de faire des courses, et profiter de ma voiture pour faire des provisions. Il y a une grande surface près de chez elle. Elle remplit son caddy, prévoit trois repas à deux. Je rajoute deux bouteilles dapéritif, des amuses gueules, et insiste pour payer la note. On y était à louverture, et à 9h15 tout est dans le coffre.

Jai aperçu une boutique de lingerie dans la galerie. Il nous reste pas mal de fric du vieux, et je veux quelle prenne un petit ensemble coquin. Ses dessous sont jolis mais classique, je veux quelque chose de plus sexy. On fait du lèche vitrine, je lui montre ce qui me plait.

Il ny a que les deux vendeuses, et la plus jeune sort, savance vers ma petite, lappelle par son prénom, et la prend dans ses bras. Elle veut rapidement de ses nouvelles et lui propose de laider à choisir. Joëlle pense alors à nous présenter lun à lautre. Elle na aucune honte à mannoncer comme son petit ami, et je découvre Marie, la copine dont elle ma parlé. Je sais alors que cest la seule fille avec qui elle sest envoyée en lair, et suis attendri de les voir encore très complices. Elle est superbe, blonde aux yeux bleus irrésistibles, lâge de ma blonde, un peu plus grande, plus mince, un très joli mannequin. Elle est bien habillée, à la fois discret et sexy, et je nose imaginer ses dessous.

— Tu entres, je vais moccuper de toi.

— Oui mais cest mon ami qui paie.

— Eh bien il vient avec nous.

Cest la commerçante qui vient de parler mais je sens que la bonne copine regrette ces paroles. Elle voulait être seule avec son amie. Je rattrape le coup, lui dit que je préfère rester dehors, quelles seront mieux entre filles, avec un clin dil entendu. Jattrape deux billets de cinquante et les lui tend :

— Je pense que cest suffisant pour quelque chose de sympa.

— Pour ce prix là vous ne serez pas déçu. Vous avez une préférence ?

— Je croyais, mais je préfère vous faire confiance. Evitez le vulgaire, cest tout.

— Pas de crainte, je connais les femmes, et ai déjà une petite idée. Ce sera peut-être un peu long.

Elles entrent, et je mâte de dos, ou plutôt de cul, ces deux belles poupées.

Je fais les cents pas dans la galerie, revient à la boutique et ne les vois plus. La deuxième vendeuse ma vu et sort. Cest une belle femme, 35 ans, pas grosse, limite plantureuse.

— Si cest Joëlle que vous cherchez, elle est en cabine dessayage.

Jattends de longues minutes et enfin Marie apparaît, seule. Elle est épanouie, rayonnante, radieuse :

— On a du mal à se décider entre deux modèles et Patricia, la patronne, voudrez que vous décidiez. Elles vous attendent en cabine.

Je la suis jusque derrière le comptoir où elle me fait passer par une porte privée. Il y a effectivement une cabine avec des glaces, et le rideau ouvert.

Elles sont là les salopes, entièrement nues à se rouler des pelles et se caresser entre les cuisses.

Je pense avoir compris linvitation, enlève le bas et entre dans la vaste cabine le manche en érection. Patricia me jette un coup dil, abandonne Joëlle et saccroupit. Elle me saisit à pleine main :

— Cette queue, elle est trop belle. Il y a longtemps que je nai pas sucé, je peux ?

— Je suppose que cest pour çà que tu mas fait venir.

— Oui, tu as raison.

Elle se jette sur mon sexe et le dévore. Régulièrement elle se retire pour admirer mon pieu, dis à haute voix son plaisir de sucer, et me reprend. Puis elle se relève, se retourne, se penche légèrement et minvite à la baiser en levrette. Je lui fous la main à la chatte pour juger de la possibilité :

— Tu peux me la mettre direct, ta petite salope ma bien ouverte et faite mouiller.

Je lenfile sans plus attendre, sans ménagement.

— Oh oui, cest bon. Bourre moi bien de ta grosse trique, fais moi jouir.

Ma copine nous regarde, se masturbe et elle lui demande ses doigts pour les lécher.

Sa chatte est brûlante, dégoulinante, et fait le délice de ma tige et de son bourgeon :

— Tu aimes la queue salope. Je suppose quaprès la bouche et la chatte tu as envie de te faire ramoner la cheminée.

— Oui, jai le cul en feu, mais entre doucement.

— Et puis quoi. Quand on me cherche on me trouve. Serre les dents et écarte les fesses, ça va passer. Je crache sur mon gland, sur son illet, et menfonce dun coup. Elle étouffe un cri, gémis de douleur et très vite de plaisir :

— Salaud, tu mas cassé le cul, jai cru que tu me déchirais, mais ça valait le coup. Je la sens bien ta matraque, elle me fait du bien. Encule-moi fort comme une chienne.

Sa partenaire se masturbe toujours. Elle la saisit par les hanches et lamène à sa bouche pour sabreuver. Je la lime encore quelques instants et me retire :

— Tourne toi salope, et suce. Sans perdre de temps elle est en position, sapplique à bien me nettoyer avant davaler ma sauce que je lui offre sans retenue.

On se rhabille.

— Quel baiseur, elle ne doit pas sennuyer. Je nose imaginer ton chibre dans son joli petit cul, elle doit grimper aux rideaux.

— Mais toutes les filles ne sont pas aussi salopes que toi. Mademoiselle prend soin de son petit trou, et me le refuse. Mais jai sa bouche et son minou, et ça me suffit.

Elle sadresse à Joëlle :

— Tu devrais essayer ma chérie. Cest un peu douloureux au début, mais après ce nest que du bonheur, la jouissance extrême. Tu ne pourras plus ten passer.

Je suis prêt le premier, et reviens dans la boutique. Marie me demande innocemment si jai choisi ; on a complètement oublié. Elles sont amies, elle ne veut pas lescroquer et a pris le meilleur rapport qualité prix. Jai assez pour les deux ensembles, et je lui laisse la monnaie.

Jattends Joëlle. Elle discute avec Marie, sortent leurs portables pour échanger leurs numéros.

On regagne la voiture, il est onze heures. On est dans les temps pour notre scénario de laprès midi.

A suivre..

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