Pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents récits (vive le triolisme) ma femme et moi sommes très ouvert et pratiquons l’échange de couple mais nous sommes surtout des adeptes du triolisme HHF non pas parce que c’est elle qui insiste mais plutôt moi qui adore faire des trios HHF. Je ne peux trouver mieux que de prendre une femme avec un autre homme et de la voir prendre son plaisir et jouir jusqu’à en perdre conscience mais je préfère quand c’est ma femme qui profite du bon temps. Madame ne s’en plaint pas et adore le sexe. Elle aime aussi me voir faire l’amour FFH mais j’ai décidément une préférence HHF et le plaisir de ma partenaire est primordial.
Cette histoire débute il y a de cela 16 ans. Mon beau-frère et ma belle-soeur ne pouvant avoir d’enfant ont décidé de se tourner vers l’adoption. Ils ont adopté une petite fille de race noire, une vrai belle petite avec qui je suis tombé rapidement en amour. Ne vous méprenez pas, je l’aimais comme un oncle aime sa nièce et rien de plus. Quant à elle, elle me retournait bien cet amour. Dès qu’elle me voyait arriver elle n’avait d’yeux que pour moi. Son papa disait souvent qu’il disparaissait dès que j’entrais dans la même pièce qu’eux.
Elle a toujours fait partie de notre vie mon épouse et moi et nous l’avons suivi dans toutes les différentes phases de sa vie.
Vers l’âge de 7 ou 8 ans elle a commencé à dire qu’elle voulait se marier avec moi. C’était beau et sans méchanceté autant pour elle que pour moi. Tous trouvaient cela très beau et charmant évidemment. Un peu plus tard lors de son entrée dans l’adolescence vers 12 ou 13 ans elle a continué de dire que je serais son homme plus tard mais elle ne le disait plus en public, seulement quand elle était avec moi. J’ai toujours pensé que sa vision de l’avenir changerait un jour. Pour moi c’était ma petite Julie-Ann adoré, ma nièce et non pas une future conquête.
Pour des raisons de travail trop éloigné mon beau-frère a dû déménager avec toute sa petite famille. Ce fut difficile même si 2 heures de route ce n’est pas la fin du monde, on se verrait tout de même. Travail oblige et pour des raisons souvent hors de mon contrôle, je ne pouvais pas les rencontrer aussi souvent que voulu mais ma femme allait souvent visiter mais lors de mes rares visites, ma nièce était toujours aussi heureuse de me voir et je l’avoue, moi aussi.
Un beau jour, notre téléphone sonne, ma femme répond et surprise c’est Julie-Ann qui demande si nous pouvons l’accueillir pour quelques jours de vacances. Elle aimerait passer quelques jours, voir une semaine dans son ancien patelin pour visiter d’anciens amis.
Ma femme lui dit que nous serons heureux de l’accueillir mais qu’elle devrait se contenter de son oncle préféré pendant 3 ou 4 jours car elle avait un voyage de prévu pour son travail. Ma nièce lui a alors dit que si tonton acceptait de l’accueillir qu’elle serait ravie de passer quelques jours seul avec lui. Ma femme lui a alors dit que tonton serait plus que ravi de l’accueillir et la conduire où elle voulait car tonton était en vacance.
Julie-Ann arrive donc à la date prévue et je dois vous dire que la fillette était devenue une femme mais alors toute une femme de 1,6 ou 1,7 mètre avec une taille de guêpe et des fesses bombées à la brésilienne. Ses seins, je ne pourrais pas vraiment dire mais rien de moins qu’un 95C. Sommes toute, elle était devenue une vraie sculpture de femme. J’ai toujours craqué pour les femmes noires et elle était devenue craquante.
Les bienvenues et bisous habituels incluant de grosses embrassades qui m’ont permis de sentir la fermeté de sa poitrine contre la mienne car elle me serrait très fort contre elle. Nous sommes passés au salon et avons discuté de tout et de rien jusqu’à ce que mon épouse nous rappelle qu’elle devait se lever tôt pour partir au travail. Julie-Ann a avoué qu’elle était fatiguée et que son voyage l’avait épuisée. Nous sommes donc tous montés dormir.
Le lendemain matin j’ai préparé le petit déjeuner pour mon épouse et elle a rapidement quitté pour le travail quant à moi, je me suis confortablement écrasé dans un fauteuil pour lire un bon récit sur un de mes sites préféré et je me suis surpris à rêver que je prenais ma nièce dans notre salon. Je crois que je me suis endormi car c’est le ’’bon matin tonton’’ de Julie-Ann qui m’a réveillé. Elle était vêtue d’une petite nuisette rouge qui ne cachait pas beaucoup son anatomie. Ses seins pointaient dans le mince tissu et je pouvais voir ses fesses tellement le matériel était mince et ne cachait rien.
— Bonjour ma belle, comment vas-tu ce matin?
— J’ai très bien dormi et je suis dans une forme incroyable.
— Que comptes-tu faire aujourd’hui?
— Comme il fait très chaud, je pensais juste rester ici avec toi et profiter de la piscine si cela ne dérange pas trop tes projets.
— Excellente idée ma belle, j’espérais bien ne pas avoir à sortir avec cette canicule.
Je lui ai donc servi son petit déjeuné et après qu’elle eut terminé je lui ai dit d’aller s’habiller de façon un peu plus convenable parce qu’elle n’était plus la petite fille dans mes souvenirs. Elle m’a souri et est montée. Elle est redescendue rapidement après avoir enfilé son bikini. J’en ai presque perdu la parole quand elle m’est apparue.
Un haut qui ne cachait presque rien de ses seins magnifiques et la culotte qui n’avait qu’un triangle très petit pour en fait ne cacher que le minimum et un string si mince qu’on en perdait toute trace entre ses belles fesses.
Elle fila directement à la piscine mais lentement tout en exhibant bien ses atouts. Il me fut difficile de retenir mon envie de courir vers elle et la plaquer au sol pour la baiser comme une bête.
Je me suis excusé et je suis allé enfiler un maillot très ample car je ne voulais pas qu’elle voie que son tonton avait une érection en la regardant.
Je suis revenu pour la trouver couchée sur un transat laissant le soleil chauffer sa peau d’ébène. Je dois vous avouer que j’étais très perturbé par cette femme. Mon esprit me disait que c’était ma nièce mais ma queue me disait toute autre chose.
J’ai pris place sur un transat à ses côtés et je ne pouvais m’empêcher de contempler son corps de femme. Un corps interdit pour moi.
Elle a entamé la conversation.
Te souviens-tu quand j’étais toute petite et que je disais que tu serais mon mari quand je serais grande?
Oui je me souviens très bien. Nous avons souvent ri lors de cette affirmation.
Tu sais, j’ai trouvé très difficile notre déménagement qui m’empêchait de te voir comme auparavant.
Moi aussi tu sais j’ai trouvé difficile que nous soyons séparés.
Je n’ai pas changé d’idée et je te veux tonton.
Mais à quoi penses-tu ma belle, je suis ton oncle et j’ai déjà une femme, ta tante et il n’est pas question que je la quitte.
Elle se lève et s’approche alors de moi et retire le haut de son bikini.
Alors tu penses quoi de mes seins?
Heuuuu…. ils sont très beaux mais…
Avant que je n’aie le temps de terminer, elle avait retiré le bas du maillot pour me laisser voir sa chatte imberbe et sublime en me demandant:
Mes fesses et mon minou, tu les trouves comment?
Très beau aussi mais…
Ne me dis pas que je ne te fais pas envie car ton érection me dit le contraire.
Tu as raison, tu me fais bander mais je suis ton oncle et tu ne devrais pas agir ainsi mais je suis tout de même un homme avant tout et avoir une érection devant une telle beauté est plus que normal mais ce qui l’est moins c’est d’avoir une érection devant ma propre nièce et causer par ses agissements.
Tu sais tonton, je suis encore vierge et bien que j’ai eu plusieurs occasions de perdre mon pucelage, j’ai toujours refusé car c’est toi qui va me le prendre et personne d’autre.
Sur cette affirmation elle s’est penchée et m’a agrippé le pénis sous mon maillot et a commencé à me masturber lentement. J’étais perdu, comme dans un autre monde, une autre galaxie. Cette beauté, qu’elle soit ma nièce ou non, me faisait de l’effet et je ne pouvais plus la repousser.
J’étais déchiré entre la culpabilité d’un jeu interdit et la sensation de plaisir que me procurait cet interdit. Elle baissa mon maillot pour exposer mon pénis. (Tout se passait comme dans un film en mode ralenti) Elle le prit en bouche sans tarder de peur que je ne change d’idée et ne la repousse. La sensation de ses lèvres voluptueuses sur ma verge me rendait fou. Elle me suçait comme une vraie professionnelle. Elle prit mon gland doucement et roula sa langue tout autour pour ensuite faire entrer ma verge jusqu’au fond de sa gorge. Cette jeune me faisait une gorge profonde. C’était merveilleux et j’avais à ce moment-là perdu toute inhibition. Je lui ai alors lancé;
Tu es une petite salope qui suce comme une professionnelle.
Oui tonton je sais, je t’ai dit que j’avais eu bien des occasions de perdre ma virginité mais que j’avais gardé cela pour toi. Je n’ai pas dit que je n’avais jamais touché une queue de toute ma vie. J’ai tout de même 17 ans, 18 le mois prochain et j’ai pratiqué la pipe sur mes petits copains mais j’ai toujours réservé mes trous pour toi. Tu vas pouvoir prendre ma virginité et me défoncer la rondelle. C’est tout neuf pour toi tonton.
Tes petits copains sont très gâtés car tu suces fort bien ma douce.
Aussi bien que tantine?
Je ne crois pas qu’elle aurait beaucoup à t’apprendre ma chérie.
Elle reprit son travail et me prit en gorge profonde jusqu’à ce que je déverse mon nectar au fond de sa gorge. Elle ne perdit pas une goutte de ma semence et rien ne sortit de sa bouche, elle avala tout sans jamais laisser sortir un son autre que ’’délicieux’’.
Je la regardais tendrement et elle me retournait cette tendresse du regard. Elle commença alors à jouer avec ses lèvres, elle les ouvrait pour laisser voir sont bouton rose. J’adore les femmes noires la vision de leurs lèvres ouverte contrastant avec la couleur de leur peau m’excite beaucoup.
Je me suis levé et je l’ai poussé délicatement sur le transat. Je lui ai ouvert les jambes bien grandes et j’ai plongé tête première vers cet orifice qui m’attendait depuis toutes ces années. Je poussai ma langue immédiatement à l’intérieur pour boire son nectar. Je titillais sont petit bouton rose et elle se tortillait sur le transat. Je n’osais pas mettre fin à mon manège car je voulais la voir et l’entendre jouir pour tonton. Elle ne prit que quelque minute avant de partir dans un orgasme qui n’en finissait plus.
Elle me regarda droit dans les yeux et me dit:
Tonton ça fait trop longtemps que j’attends cet instant, s.v.p. prend moi sans plus tardé.
Comme tu es belle, je vais te prendre doucement et je dois te l’avouer, j’avais un certain désir secret d’un jour vivre cet instant mais comme tu es ma nièce, j’ai toujours repoussé cette envie.
Prends-moi tonton, mets ta queue au plus profond de moi, fais-moi femme s.v.p.
Je me suis lentement inséré au bord de ses lèvres et j’ai poussé doucement pour ne pas lui faire mal. Soudainement j’ai senti son hymen se rompre sous ma poussée et elle a lâché un petit cri de douleur qui s’est rapidement changé en cri d’appréciation.
Pousse plus fort tonton, pousse plus loin, s.v.p. plus profond, plus rapidement, plus, plus, plus…. HAAAA Je jouis tonton, je jouiiiiiis……
Je n’ai pas cessé de la pilonner pour autant et après quelque minute de travail dans ses entrailles, elle a joui à nouveau et je me suis vidé en elle. Bien que jaie joui lors de la pipe majestueuse qu’elle m’avait prodiguée, je lui ai servi une quantité incroyable de ma semence. Je crois que cela est dû au fait que malgré mes réticences, inconsciemment elle faisait partie de mes fantasmes depuis longtemps.
Je me suis retiré et j’ai pris place sur le transat vide tout près d’elle. Elle m’a pris la main en me regardant tendrement dans les yeux et me dit
Merci tonton mais n’oublie pas qu’il reste encore un endroit qui t’est réservé.
Je sais ma belle mais je n’ai plus 20 ans et j’ai besoin de repos pour reprendre de la vigueur.
Est-ce que je peux te sucer?
Bien sûr ma belle mais avant je vais aller nettoyé le dégât laissé par nos ébats?
Non, non il ne faut pas, pendant tout ce temps à me préserver, j’ai appris à aimer le sperme alors laisse-moi profiter de ce qui se trouve sur ton membre.
Elle se pencha et pris mon membre flasque dans sa bouche et commença son petit manège qui eut pour effet de me redonner une belle érection dans un temps presque record. Je vous le dis cette petite salope maitrise bien la pipe.
Elle m’a prodigué de bons soins jusqu’à ce que je jouisse encore une fois dans sa bouche mais cette fois elle en laissa échapper. Elle ne perdit pas de temps et passa son doigt pour tout reprendre et la mettre dans sa jolie petite bouche.
Elle m’a dit repose toi tonton car ce soir tu vas terminer le travail que tu as si bien commencé. Je me suis endormi sur le transat avec elle tout près de moi.
La soirée s’est bien passée et nous avons regardé de vieilles photos et nous sommes remémorés de vieilles choses du passé alors qu’elle n’était qu’une enfant et disait que je serais son mari plus tard. Nous avons bien rigolé au sujet de tout et de rien. Il est 21:00 heure et mon téléphone sonne, c’est mon épouse qui veut savoir si tout va bien avec Julie-Ann et je lui réponds que tout va comme sur des roulettes. Julie-Ann m’arrache le téléphone des mains et commence à discuter avec sa tante:
Allo, je tenais à te remercier de m’avoir permis de venir passer quelques jours ici, tu me manques beaucoup et j’aimerais que tu sois avec nous. (silence de la part de Julie-Ann)
Non ma tante, tonton est vraiment cool et il répond à toute mes demandes.
Autre silence de la part de Julie-Ann.
Non… il n’est pas aussi vieux jeu que cela. Je dirais même qu’il est très en forme pour un homme de son âge. Il réussit à me suivre dans mes requêtes les plus folles.
Autre silence de la part de Julie-Ann
Oui ma tante, je vais bien prendre soin de lui et j’essaie de ne pas lui provoquer un infarctus en le fatiguant trop.
Encore un silence et…
Bonsoir ma tante j’ai hâte à ton retour, je t’aime.
SILENCE de quelque instant où je la regarde avec incompréhension.
Julie-Ann, tu es une petite salope de parler ainsi à ta tante. Elle serait vraiment en colère si elle venait à savoir ce que nous avons fait et ce que nous allons faire.
Mais Tonton, je sais que toi et elle pratiquez le sexe plutôt ouvert.
Quoi??? Comment peux-tu dire cela?? Nous ne crions pas sur tous les toits que nous somme échangiste ma chérie alors comment?
Bien vois-tu, je vous ai déjà entendu discuter toi et mon papa et tu disais à papa que tu aimerais bien sauté maman et que vous étiez échangiste. J’ai d’ailleurs déjà entendu maman gueuler pendant que toi et papa la preniez dans leur chambre lors d’une de vos visites.
Ça alors, je n’aurais jamais cru que tu écoutais aux portes.
J’ai fait beaucoup plus que cela tonton, je vous ai déjà vu toi et ma tante avec un autre homme et tu lui bourrais le cul avec ta grosse queue pendant que ton ami s’occupait de sa chatte et une autre fois avec une autre femme alors ma tante s’appliquait à faire un 69 pendant que tu défonçais la rondelle de la dame.
Tu en as vu un peu trop ma chérie.
Je ne crois pas. Pourquoi crois-tu que j’ai toujours voulu que tu sois mon mari quand je serais grande? J’aimais ce que je voyais, voilà pourquoi. Je trouvais ma tante chanceuse de l’attention que tu lui portais. Comment penses-tu que j’ai réussi à garder ma virginité aussi longtemps tout en faisant l’apprentissage du sexe? J’ai vu ma tante se faire bouffé la chatte par d’autre femme et j’ai pratiqué comme elle le faisait.
Décidément, je ne connais vraiment pas bien ma nièce, quelle petite salope elle est.
Finalement, il est assez tard et nous montons dans la chambre. Une bonne douche où elle se joint à moi. Dans l’espace de quelques instants je me retrouve avec ma queue dans sa bouche, décidément elle en veut. C’est une véritable bête de sexe qui sait faire plaisir.
Je la laisse s’amuser un instant et je la relève et lui dit que je veux conserver une belle érection pour son petit postérieur et que si elle continue il est possible que je ne puisse tenir très longtemps.
Nous nous sommes essuyés et nous voilà maintenant dans la chambre sur le lit ou tellement de choses se sont produites mais jamais avec ma nièce. Je n’aurais d’ailleurs jamais pensé cela possible quelques jours plus tôt.
Je débute en lui faisant un cunni jusqu’à ce qu’elle jouisse et je m’attarde sur sa rosette pour bien lui lubrifier. J’insère doucement un doigt puis deux. Je prépare son petit canal pour la première pénétration de cette jeune et jolie beauté. Elle brasse son postérieur de façon à me laisser savoir qu’elle est maintenant prête à maccueillir. Je me positionne derrière elle et elle ouvre bien ses fesses et doucement je pousse sur sa rosette qui s’ouvre doucement. J’entre dans ses entrailles et je peux voir qu’elle a de la douleur car elle gémit de douleur.
Veux-tu que j’arrête chérie?
Non tonton, je veux que tu termines ton oeuvre. Défonce-moi.
Es-tu certaine ma puce?
Oh oui, je veux sentir tes couilles contre mes fesses, je veux sentir tout ton engin dans mon cul.
J’ai poussé jusqu’au fond et elle a gémi en se retournant pour me regarder droit dans les yeux. Je pouvais voir des larmes coulées sur ses joues. J’ai voulu me retirer mais elle m’a aussitôt retenu par les fesses d’une main en me disant non continu il y a tellement longtemps que j’attendais ce moment ce sont des larmes de bonheur. J’ai finalement eu ce que je désirais depuis que j’ai pris conscience que je voulais que tu sois le premier. Quand j’avais 6,7 ou 8 ans je ne comprenais pas et je te disais que je voulais que tu sois mon mari mais plus vielle, vers 13 ans je savais ce que faisait un homme et une femme derrière une porte fermée et c’est cela dont je rêvais. Continu tonton, défonce-moi le cul et laisse-moi profiter de mon bonheur.
J’ai commencé un lent va et bien et après quelques instants elle s’est mise à pousser très fort contre moi, elle en voulait plus. Elle se tripotait le bouton pendant que je lui défonçais le cul. Sa façon de se faire défoncer laissait croire que ce n’était pas la première fois qu’elle laissait quelqu’un entré par la porte arrière.
Julie-Ann m’a demandé d’arrêter et de me coucher sur le dos. Je me suis exécuté et elle a pris place sur moi pour me chevaucher. Elle a pris mon pénis d’une main ferme et l’a aligné sur sa rondelle pour ensuite s’assoir laissant ainsi ma queue la pénétrer jusqu’au fond de ses entrailles. Elle commença à sauter comme un cowboy qui fait un rodéo. Je ne pouvais plus me retenir et j’ai giclé tout mon jus dans son superbe cul. Elle s’est mise à jouir et la sensation était magnifique. On aurait dit qu’elle avalait mon membre avec son anus.
Elle s’est relevée pour retirer mon sexe et s’est couchée à mes côtés.
— Tonton, c’était merveilleux. J’avais une certaine crainte mais jamais je n’aurais cru aimer autant me faire labourer le fion de cette façon. Je veux que tu te reposes et que tu me reprennes encore une fois, c’était trop bon, j’adore.
— Chérie, ta façon d’accueillir cette incursion dans ta rosette me laisse croire que tu m’as peut-être menti et que ce n’était pas ta première fois.
— HO non tonton, il ne faut surtout pas que tu doutes, tu étais le premier et j’ai aimé, que dis-je???? J’ai adoré.
— Ma belle, si tu aimes, tu vas rendre tes futurs petits amis heureux car ce n’est pas toutes les femmes qui acceptent de laisser leur homme prendre cette route.
— Tonton, si tu me le demandes, je peux garder cette partie de mon corps seulement pour toi.
— Merci de l’offre ma chérie mais je ne voudrais surtout pas te priver du plaisir.
— D’accord tonton.
— J’aimerais te faire connaitre la double pénétration mais comme je n’avais pas anticipé notre épisode alors je n’ai rien prévu pour toi mais ce n’est qu’un début et je vais essayer de te faire connaitre la double avant que ta tante ne revienne de son voyage.
— Ho oui j’aimerais bien essayer mais pas avec n’importe quel homme. Je veux que tu sois présent et que tu participes aussi à cette nouveauté.
— Tu vas aimer j’en suis certain. Ta tante adore la double.
— Je sais, quand je l’ai vu se faire prendre par toi et votre ami, elle en demandait encore et encore alors je sais qu’elle aime et en plus, elle me l’a déjà dit. (OUPSSS)
— QUOI????? Comment ça elle te l’a déjà dit? Je ne crois pas vous avoir entendu parler de sexe. ???? Explique-moi s.v.p.
— Lors de ses visites et alors tu n’étais pas là, nous avons beaucoup parlé et je lui avais fait part des fois où je l’avais vu avec toi et cet homme et aussi la fois avec la dame et que j’avais peur de ça quand je serai en âge de le faire. Elle m’avait alors dit que c’était bon et qu’elle adorait sentir 2 belles queues en elle et que si c’était bien fait j’adorais moi aussi.
— HÉ bien ça alors, elle ne m’avait jamais fait part de vos conversations.
— Je sais, elle m’a dit qu’elle ne t’en parlerait pas.
— La cachotière…
— Elle t’a caché bien d’autre chose tonton, comme le fait qu’elle savait que je venais ici pour me faire défoncer par toi comme je l’ai toujours désiré.
— Quoi? Que veux-tu dire?
— Son voyage pour le travail n’en était pas vraiment un. Elle a tout manigancé pour que je sois seule avec toi pendant quelques jours. Elle connaissait mes intentions et elle m’a même donné quelques petits conseils pour m’assurer que tu craquerais pour moi. Quand elle m’a parlé au téléphone, c’était pour savoir si tout allait selon le plan.
— HA la salope et toi aussi tu es une vraie petite salope.
— Je sais, je suis une salope qui aime se faire défoncer par son tonton.
— Je n’en revenais tout simplement pas. Quelle petite chienne elle est. Une vraie petite pute… je l’adore.
À suivre (peut-être)