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Ma mère toute à moi – Chapitre 7




Lentement, je me lève, je souffle un maximum, essayant de me relaxer le plus possible. Je dois rester maître de la situation, et essayer de ne pas trop brusquer les choses.

Je ne pense pas qu’elle soit prête à subir mes assauts tout de suite. Et puis, j’ai envie de m’amuser un peu, de prendre mon temps à découvrir ses réactions, d’apprécier ce moment privilégier, ou je vais définitivement prendre un ascendant sur elle.

Personne n’est dupe de la petite comédie qui va se jouer là haut. Ce n’est qu’une étape avant qu’elle ne se donne à moi, rien ne changera à cette finalité. Par contre c’est une étape indispensable dans le jeu auquel nous avons commencé à jouer tout les deux ce soir. Et c’est moi qui ai la main dans ce jeu de poker menteur.

Arrivé en haut de l’escalier, je me dirige vers sa chambre, la découvrant, emmitouflée dans son peignoir, qui ne me laisse rien voir d’elle. Je ne m’attendais pas à autre chose que de la voir jouer son rôle de maman modèle.

-. Bon.Puisque que tu veux que je m’habille pour toi, vas-y choisis ce que tu veux.

Je m’approche du dressing, ou sont alignés, moults tailleurs, jupes, et robes diverses. J’essaye d’imaginer son corps dans ces vêtements. Le choix est vaste, je le lui dis.

— va falloir que tu fasses des essais pour que je puisse faire mon choix.

— . Heu.ici, devant toi. ?

-Tu feras ça derrière le paravent, comme chez le toubib, quand tu te déshabilles.

M’approchant des différents portants, je partis à la recherche des vêtements qu’elle devrait bientôt essayer devant moi, afin de choisir la tenue adéquate.

J’hésitais, entre un de ses tailleurs, hyper chic, mais très décent, et une tenue plus courte, mais plus simple et moins habillée. Je décidais de ne pas choisir. et de lui faire enfiler les deux. Je choisi un ensemble crème, comprenant une jupe droite, qui arrivait au genoux, accompagné d’un petit haut sans manche de la même couleur, le tout surmonté d’une veste très courte qui se terminait juste au niveau des hanches. Je l’avais déjà vu partir au boulot avec, et je l’avais trouvée à croquer.

Mon deuxième choix fût une petite jupe, évasée, en tissu léger, bleue, qui lui arrivait bien au dessus des genoux, accompagnée d’un tee-shirt couleur pèche qui lui moulait parfaitement la poitrine.

Je lui tendis la jupe et le tee-shirt en premier en lui disant nonchalamment :

— Tiens essaye ça pour commencer.

— d’accord, avant je vais mettre des sous-vêtements.

— Non, on verra ça plus tard, ensemble.

-.euh. d’accord .

Elle s’était empourprée en me disant cette dernière phrase et passa derrière le paravent.

Elle enleva son peignoir, qu’elle posa en équilibre, puis enfila la première tenue.

J’attendais impassible à quelques mètres d’elle, la regardant se contorsionner, pour enfiler la petite jupette, admirant par les interstices du paravent, les bouts de son corps que je pouvais deviner ; là un bras, ici une cuisse, où un bout de fesse. Elle apparut vêtue quelques secondes plus tard, un peu hésitante, dansant d’un pied sur l’autre, les mains serrées l’une dans l’autre devant son ventre.

La première chose que je vis, fût sa poitrine, nue sous le tee-shirt. Ses seins se dessinaient parfaitement sous le tissu élastique, et comme elle devait être passablement excitée, ses pointes tendaient le tissu. Ses cuisses fines, et ses mollets galbés étaient bien mis en valeur par la jupe courte. Habillée comme ça, les pieds nus, elle avait l’air d’une ado, où plutôt, d’une jeune étudiante, mais en aucun cas de la mère de famille de 36 ans qu’elle était. Je lui demandais de tourner sur elle-même ce qu’elle fit, dévoilant encore plus ses jambes jusqu’à la naissance de ses jolie petites fesses.

Elle me plaisait énormément comme ça, et je dû prendre sur moi, pour lui faire essayer l’autre tenue.Mais bon c’était le jeu, et il fallait s’amuser jusqu’au bout.

Elle retourna dans sa cachette, se dévêtit, et passa l’ensemble crème. Elle ressortie avec son nouveau look, et l’étudiante s’était muée en femme d’affaire classe et féminine, plus de son âge, même si cette fois ci, être pied nu ne mettait pas en valeur ses jambes. Je le lui fis remarquer, suggérant qu’elle chausse des escarpins pour allonger ses fins compas. Elle revint, équipée de chaussure ouverte en cuir noir, haut talon que je ne lui connaissais pas, et tout de suite m’apparut très sexy. La jupe droite moulait son cul de façon parfaite, lui donnant une silhouette callipyge.

Le choix allait être cornélien. mais finalement l’étudiante l’emporta sur la femme d’affaire, et je me décidais pour la première tenue. Je lui suggérais de compléter celle-ci par des ballerines blanches qui renforceraient l’impression juvénile qu’elle avait avec cette tenue.

Elle se remît en peignoir, puis nous passâmes au choix de ses dessous.

J’ouvrais d’autorité le tiroir rempli de ses trésors et commençais à fouiller, étalant sur le lit ses différentes petites culottes, commentant ce que je voyais. La plupart était sage, mais je découvrais aussi des dessous beaucoup plus coquins en dentelle fine, transparente, qui ne devait pas cacher grand-chose de son anatomie, ainsi que différents strings.

— Pour ce soir, tu vas mettre ça …

Dis-je en désignant un string en coton blanc tout simple.

— .Mais demain soir, avec le tailleur, tu mettras celle-ci.

Rajoutais-je désignant la culotte en dentelle très sexe.

-. tu mettras demain le haut qui correspond à la culotte. Pour ce soir pas la peine de mettre de soutif, ça se verrait sous le tee-shirt et ça fera pas beau.

Sans un mot elle retourna derrière le paravent afin de s’habiller. Dès qu’elle eu enfilé son string je l’interpelais.

-Viens me montrer comment il te va

Elle hésita à peine, et sorti de sa cachette, torse nu, vêtue uniquement de ce petit bout de tissu.

J’admirais ses seins adorables, qui pointaient fièrement, les bout turgescents indiquant son émoi, puis mon regard descendit plus bas, admirant au passage son ventre plat, son mignon nombril, pour arriver jusqu’au string. Il lui moulait parfaitement le corps, me permettant de bien distinguer les deux renflements formés par ses grandes lèvres ainsi que la fente, au milieu. Mais je constatais également un détail qui m’avait échappé jusqu’à présent : Son pubis n’était pas totalement rasé mais avait gardé une fine bande de poils d’environ 1cm de large qui renforçait l’indécence de sa chatte. Une chatte de femelle faite pour exciter le male, pas une chatte de mère de famille sage, dont elle donnait l’image au voisinage.

— Tourne-toi.

Elle me dévoila son coté verso, m’offrant son cul ferme superbement mis en valeur par la ficelle blanche qui s’incrustait profondément entre les deux globes. La soirée allait être torride !!!!

Après quelques secondes, où je la matais effrontément, en silence, la mettant mal à l’aise, mais la rendant de plus en plus excitée, je me décidais à la laisser se vêtir selon mes souhaits. Je descendais nous préparer un apéritif, bien tassé, afin de faciliter, alcool aidant, la suite de la soirée que j’espérais inoubliable.

Elle me rejoignit quelques temps plus tard, superbement sexy, et je remarquais qu’elle s’était très légèrement maquillée et qu’elle avait tirés ses cheveux auburn, mi longs, en queue de cheval, rajoutant au coté juvénile de son look.

Je lui tendis un martini sa boisson favorite, qu’elle avait l’habitude de prendre avec mon père, et qui la rendait rapidement, légèrement grisée et détendue, et je me servis moi-même un whisky pour me donner le courage de continuer.

Nous nous asseyiâmes ensemble sur le canapé, trinquâmes sans nous quitter des yeux.

Je me rapproche d’elle, doucement, mon visage attiré comme un aimant par le sien, mes yeux dans les siens. Nos lèvres sont proches, presque à se toucher. Je vais les baiser. Elle me les abandonne..

— .DING-DONG !!!!!…..

(à suivre.)

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