Il est 19h45, j’ai passé ma journée à penser à ce soir. A me demander si je devais aller chez mon voisin ou bien mettre fin à tout ça. Si à chaque fois ma raison me disait de ne pas y aller, ma libido disait le contraire. J’avais mis un shorty en coton, pas très sexy mais il a dû absorber mon excitation à chaque fois que je pensais à Romain, mon voisin.
J’ai rendez-vous chez lui dans 15 min… Et je suis prête. Je me suis douchée, rasé mon minou, maquillée, habillée sexy mais classe. Etant vendeuse en lingerie j’ai facilement accès à des belles choses. J’ai mis un soutien-gorge blanc en dentelle très fine, il soutient juste mes gros seins, et un string assorti, très fin, qui cache peu de choses. Au-dessus une jupe cintrée mi-cuisses et un chemisier blanc assez transparent. Le tout avec mes talons aiguilles. Une vraie femme fatale, je n’ai pas l’habitude de ce genre de tenues, moi qui étais une jeune femme sage. Je me trouve très belle et sexy mais je me dis aussi que je suis folle d’aller comme ça chez mon voisin, pour devenir sa soumise.
Je sors de chez moi, ferme ma porte et sonne chez lui…
— Entre Jennyfer.
Je franchis la porte et entre dans le salon en refermant derrière moi. Romain est debout, il m’attend. Il est en pantalon de costume et chemise, bien coiffé, il est très plaisant et j’apprécie le fait qu’il ait lui aussi fait un effort pour me recevoir.
— Tu es très belle comme ça, j’aime ta tenue.
— Merci, je te retourne le compliment.
Il s’approche de moi, même s’il est à peine plus grand que moi à cause de mes talons, il m’impressionne, il me fait reculer contre le mur, et m’embrasse en tenant mon visage dans ses mains. Son simple charisme me soumet, il m’embrasse presque tendrement mais je me laisse aller, je suis déjà à lui… Tout en m’embrassant, ses mains descendent vers ma poitrine, il la presse au travers du chemisier, il la serre, puis trouve un de mes tétons qu’il pince progressivement. Je gémis puis grimace quand il pince fort, j’ai mal vraiment, mais au même moment je sens que mon sexe est très humide.
Romain s’éloigne de moi avec un sourire taquin. Il sait l’effet qu’il me fait et le contrôle qu’il a sur moi en à peine deux soirs.
— Tu veux quelque chose à boire ? Assieds-toi sur le canapé, prenons le temps de faire connaissance avant que je commence ta prise en main.
— Oui un verre de vin s’il te plaît.
Nous prenons l’apéro puis un bon repas dans une ambiance détendue, Romain est très agréable, nous faisons connaissance amicalement, même s’il s’amuse à avoir les mains baladeuses parfois. Cela ne me déplaît pas. Le repas se termine, Romain se lève, me regarde, son regard change…
— Maintenant, je vais m’installer dans le canapé, toi tu te mets nue, sans rien cacher. Tu ne dois plus avoir de pudeur pour moi.
J’obéis, même si intérieurement je suis pudique, je me sens à l’aise avec lui et surtout je me sens soumise. Je me mets nue en jouant un peu pour l’exciter, je me surprends moi-même à être aussi coquine. Une fois nue il est obligé de voir mon minou déjà largement humide et mes tétons dressés.
— Je vois que malgré ta timidité tu aimes cette situation. A partir de maintenant tu deviens ma soumise. Compris ?
— Oui Monsieur.
— Bien.
Romain se lève et vient poser ses mains sur mon corps, sur mes seins qu’il aime visiblement presser, pincer et même gifler un peu.
Je grimace, je gémis, soupire, je découvre des sensations nouvelles, un mélange de caresses et de douleur progressive qui sont en train d’inonder ma chatte. Et il ne met pas longtemps à comprendre que ce traitement me plaît. Il embrasse tout le haut de mon corps, me parcourt de ses mains, de sa bouche… Je coule littéralement.
— Je vois que mes caresses te plaisent, j’aime tes tétons sensibles, je suis sûr qu’ils seraient beaux avec des pinces dessus.
Cette phrase me fait frémir, mes tétons sont hyper sensibles, je redoute ça. Romain va chercher des pinces à linge en bois. Il prend mes tétons dans sa bouche pour les faire pointer encore plus, puis y pose doucement les pinces…
— AAAHH !
— Ne t’inquiète pas au début ça pince fort mais tu vas vite aimer.
La douleur me surprend, mais ce n’est pas insupportable et avec ses caresses qui continuent vers mon sexe, je me surprends même à m’habituer à cette douleur diffuse dans ma poitrine. Mon maître glisse ses doigts sur mon clito et même dans mon sexe trempé, il me doigte, me caresse le clito, je gémis de plus en plus fort, je tremble, l’orgasme monte vite, je ne suis pas habituée à tout ça. Mon ex me faisait peu de préliminaires…
Mais Romain arrête de me toucher juste avant de me faire atteindre l’orgasme, la frustration et immense, je lui jette un regard accusateur qui le fait rire.
— Tu ne vas pas jouir tout de suite, je veux jouer avec toi te faire réclamer ton orgasme. Mets-toi à genoux et suce-moi comme je t’ai appris hier.
— Oui Monsieur.
Il se déshabille rapidement et me présente son sexe déjà dur. Toujours aussi large. Je commence à le lécher sur toute la longueur, à titiller son gland humide puis je le prends en bouche en essayant d’aller loin mais à peine la moitié entre dans ma bouche. Mais je m’applique, je le suce du mieux possible, je me trouve un peu salope dans cette situation, et il ne se gêne pas pour utiliser ce genre de mots crus pendant que je le suce.
Mais bizarrement cela me plaît et j’ai presque oublié la douleur des pinces sur mes tétons. Je lui fais une longue fellation, parfois il force pour s’enfoncer plus loin, il me baise la bouche, je bave, j’ai des haut-le-cur mais je mouille comme jamais.
— Viens t’allonger sur le canapé que je goutte ta chatte, mais interdit de jouir, compris ?
— Je vais essayer, Monsieur.
Je m’installe et il me fait le meilleur cunni de ma vie, pas compliqué mon ex aimait pas ça^^ Mais là, malgré sa domination, il s’applique, il est attentif à se qui me fait gémir de plaisir, il me lèche le clito, mes lèvres, il entre sa langue dans mon minou qui ne cesse de mouiller, l’orgasme monte en moi… Romain s’arrête me laissant à nouveau frustrer, la chatte trempée… Puis il approche son sexe dur comme du bois, il me pénètre d’une seule traite, même si je suis hyper lubrifiée il m’écarte la chatte et son gland vient taper au fond de moi. Il me prend ainsi brutalement, il me possède, il me baise et c’est terriblement bon. Même si chaque coup de reins me dilate, je crie mon plaisir, je me lâche, l’orgasme monte encore. Mon maître s’en rend compte et il retire d’un coup les pinces de mes tétons… C’en est trop pour mon cerveau, la douleur de mes seins, le sexe de Romain qui me burine le vagin, le sentiment de lui appartenir, je suis secouée, au sens propre, par un orgasme d’une intensité inconnue pour moi.
Je crie, j’ai les yeux dans les nuages, mon vagin éclabousse mon maître, je me retrouve à demi consciente sur son canapé.
Si c’est ça le plaisir d’être sa soumise alors je suis tout à lui !
Romain s’est retiré de mon sexe. Il me laisse redescendre de mon nuage en me caressant doucement. Une fois revenu un peu sur terre, il me donne sa bite large à sucer jusqu’à éjaculer dans ma bouche. Et c’est une sacrée éjac que je dois avaler, une grosse quantité, mais je dois dire qu’il a bon goût. Je me surprends même à le remercier.
Nous finissons la soirée plus calmement, il est doux, bienveillant et je me sens bien.
