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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 16




(Le texte entre parenthèses correspond aux pensées des personnages)

    Homer, et surtout Marge, étaient inquiets du manque d’appétit de Bart.

    Lisa échangeait des regards complices avec Janey, assise à sa droite. La gamine avait eut la main lourde. En versant un verre de lait pour son frère, dans la cuisine, elle avait dissous deux comprimés de Lexomil. Dans le taboulé, il s’avéra que la Noctamide passa totalement inaperçu. Elle avait prévu deux autres comprimés de Stilmox à dissimuler dans sa part de gâteau, mais Bart n’aurait jamais la force d’aller jusquà là.

J’ai trop sommeil, j’vais me coucher ! bougonna-t-il en reculant sa chaise.

    Il se leva difficilement, en titubant, se rattrapa à la table et sortit de la pièce en se traînant. Lisa et Janey faisaient des efforts terribles pour ne pas céder au fou rire. Il y eut un énorme BADABOUM ! dans les escaliers et tout le monde se précipita pour voir ce qui venait d’arriver.

    Le pauvre Bart était tellement assommé de somnifères qu’il venait de s’endormir dans les marches. En voyant ça, les deux copines se mirent à rire aux éclats. Homer ne comprenait pas ce qui se passait et il avait horreur de ne pas participer à l’hilarité générale. Marge alla prendre dans ses bras le corps inerte de son garçon et le monta jusque dans sa chambre.

Elle posa Bart allongé sur son lit, et alla fermer les volets de la fenêtre. Elle vit que celle des fils Flanders, juste en face, était éclairée. Marge commença par sortir un pyjama de l’armoire, puis elle déshabilla son fils, comme elle le faisait quand il était beaucoup plus jeune.

    Bart avait bien changé, ces dernières années. Il avait grandi, était devenu secret, distant, et elle réalisa qu’elle ne l’avait plus vu nu depuis deux ou trois ans. Ses pulsations cardiaques s’accélérèrent quand elle s’attaqua au bouton de son jean. Elle le fit passer par les pieds nus du garçon. Son slip semblait trop petit pour ce qu’il avait à dissimuler et comprimait les organes génitaux. S’attendant à voir apparaître une belle quéquette enfantine, Marge s’aperçut, un peu déçu, qu’il s’agissait d’une illusion d’optique. La bite noueuse et adolescente se libéra de l’étreinte de la petite culotte, se souleva inconsciemment, avant de retomber mollement sur des bourses ridéees et gonflées.

    Marge se souvint d’avoir surpris Milhouse et son fils, côte à côte, dans la salle de bains, et il lui avait paru que le petit binoclard était le mieux gaulé des deux. Elle haussa les épaules et finit de dévêtir le garçon. Il était maintenant entièrement nu, comme le jour de sa naissance. Curieusement, il était presque mignon comme ça, si calme.

    Et Marge eut une idée. Elle risquait de ne pas revoir son garçon tout nu, qui allait devenir adulte et qui ne présentait plus qu’une attirance filiale pour elle. Elle sortit son téléphone mobile de la poche de son tablier de cuisine, ouvrit la fonction appareil-photo et prit plusieurs clichés de Bart : les fesses bien exposées, puis cette bite, en gros plan, les pieds au premier plan, le zizi pendant entre les deux… La maman finit par se calmer et enfila son pyjama à son garçon, qui n’avait pas ouvert les yeux. Elle le borda et déposa ses lèvres sur la moue boudeuse de son fils.

Bonne nuit, mon petit Bart.

    Elle sortit en catimini de la chambre et descendit l’escalier comme si de rien n’était. Quand elle entra dans la salle à manger, les filles avaient cessé de se marrer comme des baleines, mais affichaient un sourire franc. Seule l’attitude d’Homer parut suspecte à Marge. Elle le connaissait suffisamment pour savoir que quand il avait le regard fuyant, comme à cet instant précis, c’est qu’il avait quelque chose à se reprocher. Elle remarqua tout de suite l’assiette de Bart.

Homer, tu as fini la côte de porc de Bart ?

Mais, Marge, se défendit aussitôt le fautif. (Puis cherchant ses mots) On n’allait pas la laisser perdre.

J’aurais pu la lui faire réchauffer demain midi.

D’oh !

    Tellement dégoûté par la désinvolture de sa femme, Homer décida de finir la soirée chez Moe, histoire de se changer les idées. Les filles aidèrent Marge à débarrasser la table et allèrent regarder la télévision dans le salon.

    C’était l’heure de la tétée nocturne de Maggie et Lisa voulait en mettre plein la vue à Janey. Elle prit son courage à deux mains.

Tu sais, Maman, Janey n’a jamais vu une maman donner le sein à sa petite fille… ça te dérange, si elle regarde ?

Enfin, Lisa, je ne vais tout de même pas me mettre seins nus devant ta petite amie…

Allez, sois chic, je lui ai promis.

    Marge trouva sa fille d’une effronterie éhontée et, voulant en finir une bonne fois pour toutes, sans avoir à subir les supplications de Lisa toute la soirée, elle fit asseoir les deux copines à côté d’elle, sur le canapé. Maggie, déjà, s’accrochait de ses petites mains au décolletée de sa mère, tant elle avait faim. A peine le globe gorgé de lait en forme de poire fut-il exhibé, que la petite dernière des Simpson happa le mamelon de sa bouche et le suça bruyamment.

    Lisa, qui avait déjà assisté à ce spectacle le regarda distraitement. Janey, par contre, fut impressionnée. La grosseur du sein, sa blancheur et sa forme, et surtout la voracité avec laquelle Maggie s’accrochait à lui. Elle avait du mal à imaginer Lisa avoir fait de même avant sa sur. Et Bart encore avant. Et elle, sur le sein de sa mère… Elle se sentit nauséeuse et n’osa plus regarder. Maggie abandonna enfin le téton et Marge couvrit sa poitrine.

Pauvre Janey ! fit-elle en voyant le visage décomposé de la fille. Elle est toute blanche !

Ça va pas ma vieille ? lui demanda Lisa.

Je savais pas que c’était comme ça… C’est… très impressionnant…

N’y pense plus, ma chérie, dit doucement Marge, en caressant les cheveux bouclés de la gamine. Allez plutôt jouer dans votre chambre.

    Les copines lubriques n’attendaient que ça. Elles décochèrent une bise sur les joues de la maman qui, à présent, berçait doucement Maggie jusqu’à ce qu’elle s’endormît, et grimpèrent l’escalier d’un pas rapide.

Et on ne se couche pas trop tard ! leur recommanda Marge.

    Dès qu’elles furent dans leur chambre, Janey et sa copine s’enlacèrent en souriant et se roulèrent un patin, aussi naturellement que ça.

    Lisa consulta l’heure à son radio réveil

. Il est encore un peu tôt pour aller voir Bart, lui dit-elle sur le ton de la confidence. Et, de toutes façons, il vaut mieux attendre que Maman soit couchée.

Et ton père ? demanda Janey.

Oh, mon père ! Quand il est chez Moe… une fois, il n’est pas rentré de la nuit. On a la soirée pour nous, Janey chérie.

Youppie ! s’écrièrent-elles en chur.

    Les deux gamines se jetèrent sur le lit et s’adonnèrent à une bataille de polochon, en attendant d’aller rendre une petite visite perverse à Bart.

    Homer n’étant toujours pas rentré de chez Moe à la fin du « Saturday Night Live », Marge éteignit la télévision et quitta le salon, l’âme en peine. Elle monta les escaliers en traînant les pieds. Quand elle alla embrasser Maggie dans son lit, Lisa ne manqua pas d’entendre son pas. Elle avait les lèvres de Janey écrasées contre les siennes, la main dans la culotte de pyjama de sa copine, la paume de la main couvrant sa motte comme un cache-sexe. Les deux copines étaient enlacées, allongées l’une contre l’autre, à tenter de battre leur propre record de baiser sur la bouche.

    Janey fut la première à se dégager de l’étreinte amoureuse de sa petite amie exclusive. Lisa arrêta le chronomètre de sa montre et lut le résultat à la lueur de la veilleuse. Est-ce que sa mère remarquerait le rai de lumière sous la porte ? Non, car son pas s’éloigna dans le couloir, en direction de la chambre conjugale.

41 secondes 6, chuchota la fillette à l’oreille de Janey.

Je suis fatiguée, geignit-elle. Quand est-ce qu’on va voir ton frère.

Bientôt, lui promit-elle en l’embrassant. Ma mère prend toujours un (autre baiser) somnifère pour (nouveau baiser) dormir. Ça ne sera pas long.

    Mais ce soir-là, Marge posa son verre d’eau dans lequel elle diluait son médicament sur sa table de nuit, sans y toucher. Elle se déshabilla entièrement dans le noir, s’allongea sur le couvre-lit et chercha sa toison pubienne entre ses cuisses. Elle excita le clitoris pour l’extirper de son fourreau et elle l’agaça jusqu’à le sentir saillant entre ses doigts. Elle se mordit les lèvres et éprouva en feulant comme une chatte.

    L’image de Bart endormi lui revint. Elle chercha son mobile à tâtons, ouvrit la galerie de photos et passa en revue les clichés de ses enfants.

    Maggie accrochée à ses seins, Lisa à la piscine, sur la plage, Bart en costume, en train de martyriser Milhouse en lui remontant le slip, faisant un câlin avec Maggie,… ah.. entièrement nu sur son lit.

    L’image excita aussitôt Marge. Sentant le rouge lui monter aux joues, elle resta fixée devant cette photo et s’enfonça un doigt dans le vagin. Elle fit quelques aller et retours rapides, pour en finir au plus vite, en imaginant le gros zizi de son grand garçon à la place de son index. La circonférence devait être similaire, mais certainement pas la longueur. Qu’est-ce que Marge aimerait le voir en érection, rien qu’une fois.

    Et celui de Milhouse, qui promettait déjà.

    Elle se prit à s’imaginer en train de photographier tous les garçons du quartier, dans le plus simple appareil. Janey et Alexis, Martin Prince, Nelson Muntz, Todd et Rod Flanders, les jumelles Sherri et Terri… Que diraient les parents si jamais ils l’apprenaient ? Et que penserait-il d’une mère de famille qui se masturbe devant une photo de son fils nu ? Mais tant pis. Bart était trop mignon et trop irrésistible sur ce cliché et on n’avait qu’une seule envie : le faire bander.

    Marge se tordit de plaisir en enfonçant son doigt jusqu’à la garde. Elle s’inonda la main de secrétions vaginales et eut les larmes aux yeux en pensant que personne n’était là pour les recueillir sur ses grandes lèvres et entre ses poils pubiens. La mère des Simpson, rompue de fatigue, sombra dans un sommeil peuplé de Bart et de son affriolante pine.

    A l’autre bout du couloir, sur la pointe de leurs pieds nus, Lisa et Janey sortirent précautionneusement de leur chambre. Elles longèrent le mur, la sur de Bart en tête. En écoutant le silence presque inquiétant de la maison, elle posa la main sur la poignée de la porte de la chambre de son frère, et reprit sa respiration avant de la tourner. Janey ferma les yeux de crainte, comme si elle redoutait d’entendre se déclencher une alarme, mais rien… Pas même un grincement. Seulement la respiration de Lisa qui s’était un peu accélérée.

    Leurs pieds quittèrent le linoléum du couloir pour la moquette douillette de la chambre et elles en ressentirent un certain bien-être. Lisa s’approcha du lit de son frère et se pencha vers lui. Les yeux clos, il avait posé sa tête sur un gros oreiller et dormait sur le dos, la bouche entrouverte. Elle fit signe à Janey d’approcher et toutes deux durent lutter pour ne pas éclater de rire.

Il n’y a aucune raison qu’il se réveille, lui chuchota Lisa. Mais soyons discrètes. Il ne faut pas réveiller Maggie, et mon père peut rentrer à n’importe quel moment…

    Lisa s’interrompit en devinant dans la pénombre le regard un peu craintif et soudain affolé de sa copine.

Ne t’inquiète pas ! continua Lisa sur le même ton. On l’entendra venir de loin. Il montera directement dans sa chambre, et juste le temps pour lui de se déchausser, il ronflera comme un sonneur.

    La petite vanne de la gamine ne fit même pas sourire Janey.

C’est génial, il s’est endormi sur le dos. Ça sera plus facile !

    La voix de Lisa n’avait pas augmenté de volume, mais de débit, et trahissait ainsi son excitation. Elle qui avait sucé son frère deux jours auparavant, lui permettant par la même occasion de la voir nue.

(Chacun son tour, cher frangin !)

T’es prête ? demanda-t-elle à Janey, d’une voix un peu sèche.

    Se tenant debout au pied du lit, la petite brunette acquiesça timidement de la tête.

    Lisa tira précautionneusement la couverture et découvrit son frère, en pyjama. Elle rabattit les draps jusqu’à ses pieds nus. Ainsi, aucune partie de son corps n’était couverte. Janey le trouva alors aussi mignon qu’un petit garçon modèle, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession. Sans réfléchir, et sans pouvoir résister, elle attrapa avec la main les orteils de l’un des pieds du gamin. Il ne bougea pas d’un pouce.

    Lisa commença par déboutonner la veste du pyjama de son frère, et offrit à la vision de sa copine la poitrine et le ventre nus du gamin. Un beau corps, galbé comme il faut avec de minuscules mamelons, à peine marqués et un bidon un tantinet replet, mais qui lui allait bien, percé d’un petit nombril rond et concave. Janey avait suivi ce début de déshabillage sans bouger, ébahie par tant d’audace de la part de Lisa, et l’apparition du corps de son propre frère, qu’elle avait déjà vu à la piscine. Mais dans cette chambre, avec une seule veilleuse pour source lumineuse, son buste avait quelque chose de séduisant.

    Pour s’assurer que Bart dormait profondément, Lisa passa sa main de part et d’autre de son ventre, là où se nichent le creux des reins et où ça chatouille. Le môme ne fit pas un geste. Pas un battement de cil, rien.

Puisque tout va bien, continuons, chuchota Lisa, comme à son intention.

    Mais en fait, elle avait parlé suffisamment haut pour que Janey l’entendît. Cette dernière n’en menait pas large. Elle n’avait jamais été amoureuse de Bart, elle ne fantasmait pas sur lui et elle n’aimait pas sa réputation d’obsédé sexuel. Maintenant, elle ne tenait plus tellement à le voir nu. Qu’est-ce que cela allait lui apporter ?

(Si Lisa a décidé de me montrer la bite de son frère, c’est qu’elle a une idée derrière la tête. Je me demande bien ce que c’est ?)

    Mais Janey n’eut pas le temps de se poser la question bien longtemps. Déjà, les mains de Lisa avaient attrapé la ceinture du pantalon de pyjama de Bart et s’apprêtaient à le baisser sur ses cuisses.

(à suivre…)

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