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Anne offerte aux paysans par son mari et le Promoteur – Chapitre 4




Voir mes derniers engagements envers ce salaud de Georges, ses exigences…

Voilà pourquoi je ne pourrai me maintenir sage dans cette étape originale et je serai souple mais aussi empressée à des initiatives personnelles !

Rappel :

« Oui Georges ! Je chéris de plus en plus d’être votre garce, je me réalise, je m’accomplis, je pénètre mieux ce vice, ce fumet de débauche que j’éprouve grâce à VOUS et mon cher mari votre complice.

Exhibez-moi. Prêtez-moi. Offrez-moi ! Donnez-moi ! Plus, si c’est votre caprice, votre délectation, votre contentement, je suis follement, aveuglément, À VOUS !! »

« GIL et ses compères vont bouillir d’impatience et de convoitise !! »

« Ce marché est à quatre et cinq millions d’euros. Ils sont bien trop contractés, sur les nerfs ».

« Ils souhaitent se détendre avant la décision. C’est à qui aura la meilleure part de TOI ! »

« Depuis l’autre jour. Tu as tellement bouleversé, surpris leurs libidos, ils sont accros de ton corps, de tes soins et d’une caresse précise.

Tu verras ils vont te la réclamer, moi j’ai dit oui en ton nom ! Donc c’est acquis ! »

« À toi de te placer entre eux et leurs copains, ma petite garce !! Ne pas choisir. Je t’expliquerai. Je jubile d’avance ».

Comme à mon habitude, je me prépare à fond, parfumée avec « Femme de ROCHAS », on me respire à plus d’un mètre, propre de partout, y compris les endroits les plus secrets, en détail, enduits par avance…

J’ai trouvé une crème très fluide, incolore, inodore, sans goût, pour apaiser ce fondement si sensible, faciliter gaiement les pénétrations.

Je sais que les visites et balades de mon petit cul vont être précises, complètes, sans retenue ni précaution, j’y suis prête.

Pour la tenue, comme je sais que je serai certainement nue très vite, inutile de finasser. Un string ultra-mini, pas de soutif libérant mes seins nus, pas de bas, ma robe en jean s’ouvre entièrement devant, très près du corps, seuls trois boutons sont attachés au milieu.

Le tout découvre largement ma poitrine et mes jambes jusqu’en haut des cuisses, accentue l’érotisme, l’invitation franche à tout arracher ! Libérer.

Les talons aiguilles, peu pratiques, haussent ma cambrure de reins, à l’excès.

Je pars seule en direction de la ferme à l’est de Paris.

Non sans avoir la chaude consigne de mon mari : être docile et obéissante aux

« amis » paysans. À leur complète disposition.

En bon candauliste qu’il est…

Je suis conduite par le nouveau chauffeur de Georges le promoteur, un métisse noir « colossal » de presque deux m de haut, un athlète d’environ 45 ans, c’est une masse de chair musclée, le visage balafré de cicatrices, assez sauvage, impressionnant.

J’imagine aisément comment il doit être doté au niveau sexe…

Je me prends à rêver…….

C’est lui qui rompt le silence lors du voyage.

six

« Vous êtes belle, Madame Anne, vous savez que mes amis des trois chantiers vous regrettent, ils ne parlent que de vous, ils vous attendent chaque week-end… les bourses pleines »

« À ce point ? Djibril ? »

« Oui Madame vous avez été tellement bonne à chaque fois ! Vous les avez tellement fait jouir, tellement câlinés, sucés, bus leurs spermes, léchés partout, quel bonheur.

Je n’étais pas présent mais les récits sont unanimes, vous êtes leur reine, une super gourmande vicieuse mais une reine »

« Bien Djibril, tu es franc, j’apprécie, je vais te faire un beau cadeau ! Quand tu reviens me chercher dimanche soir, tu me gardes, tu me présentes à trois de tes plus proches copains.

Je te veux arrogant de m’offrir et bien en profiter.

Tu les choisis avec soin, comme toi, forts, musclés, surtout ceux si ne parlent pas français !! Tu feras de moi TOUT ce que tu veux, me donner, me diriger !

Devant eux, tu es mon Maître absolu, je t’obéirai sans rien refuser, jamais.

"Je voudrais qu’ils me dévorent toute crue !" « Ça te plaît ? Tu veux ? »

« Oh que oui Madame !!! Vous êtes à moi, je bande déjà, je passe les coups de fil dès ce soir mais… euh… j’ai quatre potes et amis intimes ! Pas trois…"

"Petit malin sale profiteur ! OUI allez ! OUI ! Va pour cinq avec toi".

Arrivée devant l’énorme portail de bois avec ses caméras de surveillance, appels de phares, la porte s’ouvre…

La voiture m’avance jusqu’au milieu de la cour carrée protégée de hauts murs.

Gil vient à ma rencontre, fait signe STOP.

Djibril m’ouvre la portière, en sortant je glisse ma main discrètement et flatte doucement sa braguette, en signe de complicité.

Une bite énorme est là, tendue, prometteuse.

Gil :

"Bonjour ma petite salope ! Vite ! Fais voir comme tu es ? »

Je sors de la voiture.

Debout jambes bien écartées, campée droite sur mes talons hauts, toute poitrine dehors, je le toise du regard »

Grave erreur !!! J’ai oublié l’égo considérable de ces hommes rustres et primaires.

« Non mais tu te prends pour qui ? Mets-toi à poil tout de suite ! Ici ! Effrontée ! »

« Baisse les yeux, A POIL, TOUTE NUE, vite ! »

Je n’ose l’affronter. Je me déshabille sur place. Au milieu de la cour.

Les trois boutons de la robe sautent, mes seins jaillissent, je retire mes chaussures, fais chuter la robe dans un mouvement d’offrande, Gil arrache mon string !

Sans ménagement.

Claque mes fesses ! Violent.

Je suis complètement nue, déjà……

Le sel sexuel de la situation, c’est qu’une bonne vingtaine d’ouvriers agricoles est là, aux fenêtres. Il y a aussi ceux des écuries.

Ils sont logés sur place.

Je distingue très bien les regards friands, excités, de ces hommes, maghrébins, noirs, blancs, turcs, asiatiques, j’aperçois leurs désirs des bites qui sont arborées.

« Marche doucement salope, montre-leur ! Tourne-toi ! J’ai envie de leur faire plaisir».

Il me tient la nuque pour me guider.

Je défile devant les fenêtres, virevolte, montre mon cul, tends la poitrine que j’offre à deux mains, caresse ma chatte et envoie des baisers de la même main, sur la demande ferme de Gil.

Des cris fusent « viens me sucer ! » « T’aimes la bite ? Viens baiser… »

Gil est ravi… mais ce n’est pas cela son projet.

Nous entrons dans la grande salle à manger. Luc le frère se lève, vient me tripoter partout. Il me pétrit, m’examine comme une proie domptée, à pleines mains, à sa merci.

Il tâte, pioche, investit…

« Ah Gil mon frère, bienveillante, désinvolte, libérée, cette Anne, quelle beauté insolente, on va passer un week-end d’enfer !!! »

« Merci â Georges »

Il se tourne vers les trois hommes assis à table, six verres pleins, quatre bouteilles de vin vides, les regards hagards, stupéfaits.

« Voilà Anne B. l’assistante du promoteur qui achète nos terrains.

Elle connaît par cur le dossier, la méthode. Elle vient nous rejoindre en grande amie, pour nous distraire du casse-tête, nous détendre, proposer sa solution, amener ses idées, arrondir les angles.

J’ai dû lui rappeler, un peu sèchement dès l’entrée, sa mission de distraction, délassement, c’est pourquoi elle est toute nue !!! Au grand plaisir de nos ouvriers. Elle est bien plus à l’aise pour réussir, mes camarades !! RIRES !!

Nous, ON A NOTRE IDÉE LÀ-DESSUS » Plus conviviale, récréative, vous voyez, Luc et moi on la connaît un peu, elle sait se « se découvrir »…

« C’est une exceptionnelle et somptueuse salope, véritable amatrice, elle adore la bite, elle accepte tout.

Gil et moi on a été pompés, léchés, vidés.

On l’a baisée, par la chatte, le cul, elle redemandait toujours.

Elle est infatigable, insatiable, perpétuellement en demande…

Alors on a pensé à vous, les gars pour en profiter.

On va la partager comme pour les récoltes ! Et vos terres.

Les mecs sont médusés, je leur souris, radieuse :

« Oui c’est vrai ! Je vais vous gâter et vous faire jouir comme personne, J’ADORE ça ».

« Toute nue, je me colle à Gil suspendue à son cou, je l’embrasse à pleine bouche, défais sa chemise, débute un léchage en règle de ses seins. Je glisse avec ma bouche, surtout ma langue, elle descend sur son gros ventre, lèche comme une chatte chaque carré de la peau flasque avec amour, concupiscence, direction sa bite encore molle et ses couilles…

Exposer aux autres ma docilité est essentiel.

"Je suis tellement heureuse d’être enfin ici mes chéris ! J’avais hâte d’être À VOUS DEUX, ENFIN ! Dites-moi ! Je fais !"

« Aussi pour vos amis alors ? Si j’ai compris ? »

"Arrête ton numéro, Anne, Georges a été clair, c’est moi qui te commande " tu es là pour mettre une bonne ambiance dans nos relations, en exclusivité, tu te plies, tu fais jouir »

« Fais-leur voir tout de suite »

« À quatre pattes ! Rampe jusqu’à Jeannot ! »

«Sors-lui la bite et suce-le ! »

En bonne coquine je réalise sa requête, docilement.

Je fais en sorte de bien donner le spectacle attendu offrant croupe et échine cambrée.

Je suis une chatte en chaleur en quête de mâle. Celle qu’ils désirent consommer.

Je gémis en arrivant entre les grosses cuisses de ce Jeannot. Je contemple la braguette avec avidité.

« HUMMMM, HUMMM, miam, Monsieur Jeannot donnez-là moi, vous allez aimer, vous savez je suce tout, je bois tout, je lèche tout, vraiment tout, je la veux !! OUUIII ! Relâchez-vous ! »

L’assistance est suspendue à mes gestes, ma voix, envoûtée par les courbes que je déploie sous leurs regards, par mon visage réjoui et mon appétit grandissant.

Ils sont stimulés, Anne va tout donner, être à eux, encore…

Ils savent l’ardeur folle dont je suis capable !!

Ledit Jeannot a une petite bite, 14 centimètres tendue, au plus, très large, circoncise.

Un amuse-bouche pour moi, je l’avale entière et la broute sans la lâcher une seconde. Comme à mon habitude je la mange en caressant les couilles, glisse mon majeur dans son cul ! La langue lèche à l’intérieur, les lèvres suçotent, aspirent…

"Donne-moi Jeannot. Donne ! " Je le CRIE ! Affamée.

Il y croit ferme.

Fou de désir il tremble, abasourdi de cette sensation, impossible de me résister, son corps se crispe, se tend, dans un désordre total il est pris de soubresauts puissants et explose au fond de ma gorge !

Il ne peut rien dissimuler il est en mon pouvoir ! Il se vide et s’écroule sur son fauteuil. Vaincu.

"Vingt dieux de m… Quelle chienne Gil. C’est meilleur que tout ce que tu as dit !! Je n’ai jamais eu ça ! De ma vie "

"Bordel ! Mais moi aussi je la veux ! Viens ici la suceuse ! Viens me pomper "

C’est le plus gros rustaud 1 m 90, 130 kilos. Lui aussi rasé chauve, une tête de brute.

Je le verrais bien en patron de camp d’esclaves le fouet en main. Il est fin saoul, titube un peu, il me dévore des yeux, un rictus méchant aux lèvres, goinfre.

J’ai presque peur mais je vais le mater, l’amadouer, transformer en petit nounours sous ma langue, mes mains, ma chatte. Le Gilbert !

Je ne veux pas me vanter, vous avez appris à me connaître. Ma force c’est la douceur, je suis humble, respectueuse, toujours en admiration, en vénération de celui que je vais sucer ou qui va me prendre ! Ma gourmandise se voit (du moins je le laisse croire).

De plus, nue de face, beaux seins aux tétons dressés, chatte bien visible les lèvres gonflées, juste mon ticket de métro, la démarche très balancée, bronzée intégral, je suis tout de même baisable et désirable.

Je suis très "charnelle" !

Le gros Gilbert commence à fondre sous mon regard, mon envie de lui.

"Gilbert laissez-moi faire. Je vais vous videz les bourses, boire tout votre jus, je vous promets que vous serez le premier à m’enculer â fond et aucune capote ».

« Si Gil et Luc sont d’accord bien sûr "

(je sais que ce langage cru plaît beaucoup. Georges l’a dit. Il excite)

Gilbert est de plus en plus congestionné il se déshabille très vite. Pressé.

Nu, le ventre pointé vers moi, les cuisses comme des jambons, poilu de partout, la bite est dressée 18 au moins, très épaisse et (oh que j’aime) non circoncise !!

Rappelez-vous ma façon de la décalotter uniquement avec lèvres la langue, sans les mains.

Gil et Luc : " Mais nous on s’en fout !! Qu’il prenne ton petit cul de pétasse le premier. Tu es là pour nous lécher le cul…

À nous deux.

Georges s’est engagé ! Et, ma grande, tu lécheras à fond, en profondeur, longtemps, aussi longtemps qu’on veuille ! "

"Mais OUIII mes amours ! Oui je sais, j’ai vraiment envie de bien astiquer vos trous de balle, lécher vos culs de cochons vicieux, vous laver les fesses, vous ne pourrez plus jamais m’oublier !"

« Pour l’instant je suce Gilbert. OK ? Et toi Jean Claude prépare ta queue mon chéri. Viens ici plus près de moi, caresse ma chatte, fouille-moi ! Ne te prive pas, tous les doigts, chéris à Anne.

À genoux devant Gilbert je gobe l’engin, pompe, reviens aspirer les couilles, arrose le tout d’une salive abondante.

Encore une fois je sais obtenir l’explosion, quasiment quand je veux.

Mes deux mains sont crispées sur son fessier que je griffe et laboure.

Je "sens " qu’il aime ça. Je continue, buvant sa queue.

J’embrasse le haut des cuisses, lèche l’aine de chaque côté, enfouis mon visage entre les deux, puis retourne manger "MA" bite.

Un peu plus tard il libérera six à sept saccades copieuses en hurlant de joie.

« SALOPE DE PUTE ! DE CHIENNE ! Bordel COMME C’EST BON ! Mais je n’y crois pas.

Elle te tire tout le jus. C’est qui cette fille ? Je la veux "

(pas très nouveau ce souhait-là).

Durant tout ce temps comme je me suis mise en levrette, cul bien ouvert, j’ai dégagé l’accès à ma chatte trempée.

Jean Claude me pilonne avec une très grosse bite large qui me remplit au fond.

Il est puissant, ne prend aucune précaution, se déchaîne, ivre d’une folie de domination, je suis son "vide couilles" perso »

Il grogne, jure, exulte, m’insulte,

"Amène ton cul salope, serre fort, bouge, oui prend mon chibre, enfonce là au fond. Encore, pute vas-y. Fais-moi jouir ! Bon Dieu que sa chatte est bonne Luc ! Douce et moelleuse, glissante, trempée, je la veux aussi.

Et… Enivré de ses propres mots, que j’encourage, il se déverse, se libère en longs jets. Sa bite saute et rebondit en moi, il reste accroché à mes hanches.

Il profite à plein de l’instant.

Les deux jouissances de mes hommes sont simultanées.

Je suis heureuse. Fière. Repue, apaisée.

Gil et Luc encore très habillés proposent un peu de calme. Un verre de plus ? Il va être temps de parler des terrains. Peut-être.

"Anne va te rafraîchir et reviens. Reste à poil ! T’es trop belle ! »

"Montre ta chatte petite, écarte. Tourne-toi, ton cul, oui, ouvre les fesses. Vas-y à quatre pattes encore, j’aime ça, pareil au retour. Embrasse mes pieds.

Oui lèche oui c’est bien… en attendant mieux"

En signe de soumission totale, je suçote et lèche tous ses doigts de pieds comme des bonbons.

Je les regarde tous un par un, ces hommes, droit dans les yeux "Tu vois bien, tu peux tout avoir…!". Je me courbe pour licher encore. Cul OFFERT, tendu grand ouvert.

Cette fois le tour du frère, Luc.

Je n’ai pas encore entrepris ce dont ils rêvent… ce léchage intime décrit plus haut. Je fais durer… Ce que j’ai compris depuis un bon moment c’est que "CHAQUE HOMME DOIT CROIRE ÊTRE MON MAÎTRE" et là je gagne à chaque fois ! Il y a une suite ce n’est pas fini. Ils vont être comblés. J’ai promis le week-end débute… je veux me surpasser pour eux.

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