(Chapitre unique).
C’est la fin du printemps et le soleil de la mi-juin commence à bien chauffer En milieu de semaine, j’ai une journée de libre car j’ai accumulé des heures de récupération
Le matin, je décide de m’offrir une petite escapade naturiste je connais un coin calme au bord de la Semois (rivière belge) où je pourrai bronzer en intégral et où il m’est arrivé à plusieurs reprises de faire partie d’un groupe de randonneurs, adeptes comme moi de la nature et du « vivre nu ».
Les chemins balisés de la forêt préviennent les marcheurs éventuels : ils risquent de rencontrer des naturistes au détour d’un sentier En semaine, peu de gens ont le temps de se promener et de profiter de la nature je serai donc tranquille.
Après une petite demi-heure de marche depuis le parking où je laisse ma voiture, entièrement nu, sauf le sac qui contient mes vêtements, une grande serviette et un casse-croûte, j’arrive sur le promontoire qui domine la rivière à cet endroit. Personne en vue je vais être tranquille pour me livrer aux rayons du soleil et quand j’arriverai au Cap d’Agde pour 15 jours de vacances estivales, je serai déjà un peu bronzé.
A un peu plus de 40 ans, je suis un inconditionnel du naturisme que j’ai découvert en Allemagne où les clubs sont nombreux et où des piscines couvertes sont ouvertes certains soirs aux adeptes du « TOUT NU » !
Je vous passe les détails des précautions d’usage lors d’une première exposition et je me laisse chauffer par le soleil qui est déjà ardent en cette fin de printemps. Je suis bien j’écoute les bruits de la nature et de la rivière qui coule à quelques mètres en contrebas sur les rochers
Avant de casser la croûte, je descends jusqu’à la rivière pour profiter de quelque trou d’eau assez vaste et assez profond pour y faire quelques brasses. L’eau est fraîche et me fait du bien
Quand je regagne mon promontoire, j’ai la surprise d’y trouver une jeune femme entièrement nue qui expose son dos aux rayons du soleil. Elle tourne la tête vers moi et dit :
— Je vois que ce lieu est très prisé Je pensais être seule mais ta présence ne me gêne pas !
— OK il y a assez de place pour deux et même plus sur ce rocher !
Comme d’emblée elle m’a tutoyé, j’en fais autant en entamant la conversation pour faire connaissance. Elle habite la ville voisine et profite de ce que ses enfants sont au collège pour venir faire provision de soleil.
Donc elle a des enfants et doit être mariée !
Je n’insiste pas trop pour la regarder mais je dois avouer que pour une femme qui doit friser la quarantaine, elle est plus qu’appétissante Les cheveux mi-longs sont décolorés, presque blancs et tombent en cascade sur ses épaules Le visage rieur aux yeux gris entourés de rides d’expression est agréable à contempler. Elle a la peau laiteuse d’une blonde et sa poitrine est plutôt petite mais les seins sont pointus comme des demi-citrons Les hanches sont un peu rondes et le pubis glabre.
Je trouve cette jolie quadra bien jolie et ne manque pas de lui en faire le compliment !
— Oh quel dragueur ! J’ai bien vu comment tu me regardais !
— N’a-t-on pas le droit de regarder ce qui est joli.
— Si mais j’en ai autant à ton service ! T’es pas mal non plus !
La conversation se poursuit ainsi sur un ton badin et je ne cesse de regarder Paty Cette femme est vraiment à mon goût et mon sexe commence à raidir d’autant qu’allongée sur le dos, les cuisses légèrement écartées, elle passe sa main droite sur sa fente intime comme pour l’ouvrir au soleil qui darde ses rayons
En riant je lance une boutade :
— Tu sembles en manque ?
— Un peu ça fait plus de deux mois que je n’ai pas baisé !
— Et ton homme ? Il te laisse jeûner ainsi ?
— Il y a bien longtemps que je l’ai largué ! Je l’ai surpris en train de baiser avec un mec ça m’a dégoûté et je l’ai viré
— Ah donc t’es restée avec tes deux mômes !
— Oui et avec quelques gadgets coquins qui ne me suffisent pas ! Je ne peux pas faire venir un amant à la maison ni découcher car mes ados se poseraient des questions Pour eux, leur père est parti parce que nous ne nous entendions plus Ils ne savent rien !
— C’est peut-être mieux ainsi ! Et tu t’offres un coup de temps à autre ?
— Oui quand l’occasion se présente, je ne la rate pas ! Mais tu bandes de plus en plus Baiser une quadra, ça te fait envie ?
— Une femme d’expérience, c’est bien mieux qu’une jeunette timide !
— Tu as raison
— Si t’as des capotes je suis à toi !
Paty se redresse puis s’approche de moi pour emboucher mon sexe qui est déjà bien raide Après quelques allers-retours dans sa bouche, elle doit juger que je suis « à point » et elle se recouche sur le dos sur sa serviette molletonnée pour me tendre les bras :
— Viens Baise-moi !
Les mots sont désormais inutiles Place aux actes
Les cuisses de Paty sont à peine ouvertes mais je distingue bien sa fente noyée de cyprine Elle aussi est prête ! Je m’approche et je fais aller et venir mon gland entre ses lèvres intimes avant de le présenter à l’entrée de son vagin Dans les yeux de ma future maîtresse, je lis comme un encouragement et je fais entrer mon sexe dans le sien qui s’ouvre et masse l’extrémité de ma verge
Dès que nos pubis sont en contact, je me retire pour pénétrer à nouveau plusieurs fois de suite ce vagin qui engloutit mon sexe puis je commence à copuler lentement puis de plus en plus vite
Je vois le plaisir monter chez ma partenaire et je la laisse jouir une première fois retenant mon plaisir pour une seconde joute Je me désengage et je retourne Paty pour qu’elle se mette en levrette.
— Oh oui J’adore !
— Je m’en doutais Beaucoup de femmes aiment cette position !
Je suis à genoux derrière elle j’écarte ses fesses de mes mains et je me glisse à nouveau dans sa chatte qui est tout engluée de cyprine Lorsque je suis bien ancré en elle, je mets mes mais autour de sa taille et j’entreprends de baiser Paty à longs traits Mais bientôt le plaisir monte à nouveau en nous et quand elle sent les giclées de sperme au fond de la capote, Paty jouit une nouvelle fois dans un grand rugissement :
— Ooooohhh ooouuiiii ! C’est boooon !
Oui ça avait été bon !
Bras et jambes emmêlées, nous nous affalons sur la serviette pour un retour au calme bien mérité
Si j’avais été quelque peu en manque, Paty l’était aussi certainement.
— MERCI Tu m’as envoyée en l’air deux fois !
— Mais c’est à toi que je dois dire MERCI Je n’imaginais pas ce matin que je trouverais une coquine comme toi
Nous nous sommes endormis ainsi et c’est la brûlure du soleil qui nous a réveillés.
Paty m’a fait rouler sur le dos et a commencé une fellation à gorge profonde en disant qu’elle avait encore envie, que nous aurions tort de nous priver J’avais moi aussi envie d’un nouveau coït Décidément cette jolie quadra me plaisait beaucoup et je bandais assez pour la prendre à nouveau !
Mais en fait, c’est elle qui m’a enfourché, glissant mon sexe dans le sien jusqu’à ce que nos pubis soient à nouveau en contact Je voyais ses petits seins se balancer doucement et lorsque j’ai posé mes mains pour faire rouler les tétons, je lui ai demandé :
— Pourquoi sans capote ? Ce n’est pas prudent !
— Oh J’ai simplement envie de te sentir te répandre au fond de ma chatte Je ferai le nécessaire demain
— C’est toi qui vois De toute manière, je suis sain !
— Alors profitons-en !
Paty fait presque tout le travail elle monte et descend sur ma bite qui est logée dans sa chatte Je sens sa chaleur et elle masse le bout de ses muscles internes que c’est bon Je suis tombé sans le chercher sur une baiseuse de première et égoïstement, j’en profite je lui laisse prendre son plaisir avant d’inonder son vagin de quelques belles giclées de foutre
Le temps passe trop vite après un dernier passage dans la rivière, nous plions bagage et regagnons le parking où sont nos voitures
Un dernier baiser, une dernière caresse sur ses fesses Adieu Paty
Ce fut une belle journée !
