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Moi, Christine dépravée – Chapitre 3




Le plaisir interdit, cest comme lalcool. Quand on se réveille le lendemain on est écuré par ce que lon a fait la veille. Bref, je suis en pleine déprime, je culpabilise de ce que jai fait la veille, de mêtre comportée comme la plus chienne des chiennes, jai trompé mon mari en y prenant un plaisir terrible, sans aucune retenue, malgré ce que je lui avais promis quelques minutes après lui avoir avoué avoir couché avec Ovidiu. Je lai trompé 8 fois après ma promesse, et pire que ça, jai accepté dêtre la pute dOvidiu.

Cest donc dans cet état de tristesse et de honte que je prépare ma valise pour me rendre à Toulouse retrouver Jacques.

Une fois ma valise prête, une fois que jai pris ma douche, pris mon petit déjeuner sans appétit, je pars de chez moi. Je prends un taxi, direction la gare pour un long trajet de 6 heures.

Lorsque jai réservé, jai pris le soin de choisir un compartiment à 4 places pour ne pas être dérangé par les voyageurs trop bruyant. Dans ce genre de compartiment, les gens sont dun certain âge et donc très calme.

Je trouve les gares sordides et mal fréquentées, aussi, je vais directement sur le quai et monte dans mon wagon bien avant le départ prévu. Je minstalle dans mon compartiment. Mes compagnons de passage ont eu la même idée que moi car les 3 autres places sont déjà occupées. Comme je le pensais, ce sont des personnes âgées déjà plongés dans leur bouquin. Je minstalle, prends moi aussi un livre, décidée à lire pendant tout le trajet.

Le brouhaha des passagers qui sinstallent commence et je me dis que jai eu une idée géniale en réservant cette place. La 1ère classe nest plus ce que cétait. Le principal cest que moi je sois bien.

Je parlais peut être un peu trop vite, car 3 jeunes maghrébins entre dans le compartiment et disent dun ton méchant aux trois autres passagers :

— Hé les vieux cons ! Sortez de là cest nos places !

Les pauvres vieux prennent peur, mais protestent tout de même en menaçant dappeler le contrôleur. Un des voyous dit :

— Dégagez de là ou on vous arrache la tête !

Les vieux nhésitent pas, prennent les bagages et sortent du compartiment !

Je minsurge :

— Bande de voyous ! Vous pouvez pas laissez ces pauvres gens tranquilles après vous vous plaignez quon ne vous aime pas !

— Toi la salope ta gueule sinon on va te baiser pendant tout le voyage et cest pas lautre enculé de contrôleur qui va nous en empêcher !

Devant tant de violence je préfère me taire en me promettant de demander une autre place au contrôleur lorsquil se présentera pour demander les billets. Encore une fois les voyous auront gagnés, mais ma sécurité et ma tranquillité avant tout.

Le train démarre. Jai les yeux plongés dans mon bouquin que je ne lis même pas. Je ne veux plus voir ces 3 cons tout simplement.

Ils rigolent entre eux de manière vulgaire. Ils parlent de leurs histoires de sexe. Ils parlent des filles françaises qui sont toutes des salopes. Ils se racontent comment ils ont « baisé » celle-ci, ou sodomisé celle là, comment elles ont hurlé de plaisir en en redemandant encore, Ils se remémorent cette blonde qui leur a fait une fellation à tous les 3 en même temps. Ils se promettent den faire leur prostituée. Le plus costaud, raconte cette femme dans le métro qui ne portait pas de soutien gorge, le salaud lui a « tripoté » les seins pendant tout le trajet. Il se vante de lavoir faite jouir, en lui pinçant les tétons, il rit du fait que personne ne soit intervenu pour venir en aide à la jeune fille. Il pense que cest dommage quelle porta un string sinon il aurait pu la prendre dans le métro sans que personne ne bouge le petit doigt.

Je me sens mal à laise car je pense illico à Ovidiu qui ma donné un plaisir fou en caressant mes seins dans le métro, et je prends conscience quil aurait pu me pénétrer sans que je ne lui oppose la moindre résistance. Je pense aussi au moment ou il a déchiré mon string au bas de lescalier. Comment savait il dès le départ que je portais un string ? Il a bien vu que je ne portais pas de soutien gorge, comme aujourdhui dailleurs, il aurait très bien pu penser que je ne portais pas de culotte non plus.

Lun des arabes demande à celui qui vient de raconter ses exploits :

— Et Ahmed ! Comment savais tu quelle portait une culotte ?

— Elle avait la trace du string sous sa jupe ! Comme cette conne là !

Je comprends illico que la conne cest moi.

Je ne réponds pas et fais comme si je navais rien entendu

Il continue :

— Vous avez pas remarqué quelle navait pas de soutien gorge elle non plus ?

Lautre arabe :

— Tu es sûr ?

A ce moment, on arrache le livre de mes mains et le conteur dit :

— Regarde connard ! Tu vois pas les pointes qui sortent à travers sa robe et elle est tellement transparente quon voit le string blanc !

Je me mords les doigts davoir choisi une robe aussi courte et aussi légère. Je me mords les doigts davoir les tétons qui pointent à travers la robe, je me mords les doigts davoir écouté laventure de cet arabe, je me mords les doigts dêtre EXCITÉE.

Larabe me jette mon livre et jessaie de me replonger dedans mais cest impossible, jai besoin dair.

Je me lève et sors du compartiment pour prendre lair. Par bonheur, je croise le contrôleur. Je linterpelle :

— Monsieur ! Il y a 3 voyous dans mon compartiment qui mimportunent! Pouvez-vous me changer de place ?

— Dans quel compartiment êtes vous ?

— Le 15 !

— Bon je fais le tour du train pour voir si je peux vous trouvez quelque chose ?

— Merci beaucoup Monsieur !

Je file aux toilettes pour me calmer. Je passe mon visage sous leau mais je narrive pas à me sortir de la tête laventure de larabe et me mets à la place de la jeune fille qui a jouie sous ses attouchements. Cest dautant plus facile quil mest arrivé la même chose pas plus tard quavant-hier. Et une question tourne dans ma tête : Aurais-je accepté que ce voyou me caresse comme la fait Ovidiu?

Et même pire que ça : Aurais je accepté quil me prenne dans le métro si je navais pas porté de string ?

Je connais malheureusement la réponse : OUI ! il est probable que cela se serait produit.

Ça me fait peur. Jai peur car je suis seule dans me compartiment avec ces 3 voyous qui ont bien vu que mes tétons étaient dressés et qui savent donc que je suis excitée. Jai peur car, si par malheur ils se mettaient à me caresser les seins, je crains que les laisserais faire. Je sais que je jouirai car je suis sûre que ce doit être terriblement jouissif dêtre tripoté par eux. Le pire serait que je ne porte pas de string. Ils le sauraient de suite puisque ma robe est transparente. Je suis certaine que je passerai à la casserole, quil me prendrait par tous mes orifices comme mes roms lont fait hier. Ces roms qui mont tant fait jouir, qui mont tant remplie. Je sors de ma torpeur, car sans men rendre compte, jai glissé ma main dans mon string et je suis en train de caresser mon minou. Je suis tellement excitée par les paroles de larabe et par mes pensées, que mon minou en dégouline de plaisir.

Il faut que je me calme. Mais comment se calmer quand des idées folles tournent dans notre tête.

Je narrête pas de penser aux paroles dAhmed, mais aussi à celles de ses amis. Je repense à cette blonde qui les a sucé tous les 3 en même temps, ils voulaient en faire leur pute. Que feraient ils de moi si ils savaient que jai sucé 5 roms en même temps hier soir ? Certainement feraient-ils de moi leur prostituée comme Ovidiu la fait. Certainement enverraient ils eux aussi des clients chez moi pour me baiser, peut être même me mettraient ils sur le trottoir.

Mon état empire, je mouille à outrance, mimaginant aguichant le chaland sur le trottoir au milieu dautres prostituées. Ça devrait me faire peur, me dégouter, mais bien au contraire ça mexcite au plus haut point. Cest effrayant quand on sait que je suis devenue la pute dOvidiu en juste 1 soirée et que je ne my suis pas opposée une seule seconde. Oui cest sur ! Ahmed ferait certainement de moi une prostituée si jamais je lui cédais et je suis à 2 doigts de céder.

Mon string me gêne, mempêche de me caresser comme je le souhaiterais. Jai envie de fouiller mon minou avec mes doigts en imaginant que ce sont les trois voyous qui me touchent. Je retire mon string, et continue de me caresser tout en le tenant dans lautre main.

On frappe a la porte des toilettes violemment, puis :

— Vous avez fini ! il ny a pas que vous dans le train !

Je sursaute et illico mon excitation sarrête net. Le con de passager qui a frappé ma fait si peur que jen ai échappé mon string dans la cuvette des toilettes.

Là, je suis vraiment dans la merde. Mon string flotte dans la cuvette immonde et il est bien sûr impossible de le récupérer et quand bien même le ferais-je, il est impensable que je le remette.

Je suis pétrifiée. Pourtant il faut que je sorte des toilettes car lautre abruti recommence à frapper à la porte et menace dappeler le contrôleur. Je nai pas le choix, je me rajuste, tire la chasse et le string disparait. Aléa Jacta Est.

Je sors des toilettes, rouge de honte. Labruti lance un :

— Ah tout de même !

Je ne réponds pas et marche à pas lents dans le couloir du wagon, je ne suis pas pressée daffronter les regards des jeunes arabes. Jai limpression que tout le monde connait mon secret, que tout le monde sait que je ne porte rien sous mes vêtements, dautant que le soleil qui frappe sur les vitres du train rend ma robe encore plus transparente. Jai la sensation que mon corps na plus de secret pour personne. Jai la sensation que tout le monde voit que mon minou est totalement épilé.

Jarrive devant mon compartiment. Ah si seulement le contrôleur avait la bonne idée darriver maintenant pour me donner une autre place. Je prends ma respiration, ouvre la porte. Les 3 arabes sont en pleine conversation à laquelle je ne prête aucune attention, préoccupée que je suis par le fait de rejoindre ma place située au fond du compartiment près de la vitre. Je suis donc obligée de passer devant au milieu deux pour massoir avec ce putain de soleil qui narrête pas de rendre ma robe transparente, jai limpression dêtre nue. Ils arrêtent de parler en mapercevant. Je suis rouge de honte en rejoignant ma place car je sais pertinemment quils suivent mon déplacement du regard. Ils savent, car cest trop évident, que je nai plus mon string et il est clair dans leur tête que si je ne lai plus, cest parce que je lai délibérément enlevée, et que, bien sûr, je lai fait pour eux. Nayant pas dautres choix, je massois et reprend mon livre pour cacher ma honte et ne pas avoir à affronter leur regard.

Ahmed dit 2 ou 3 mots en arabe, et les voyous éclatent de rire. Ça me rappelle hier soir quand les roms explosaient de rire en parlant de moi. Je me souviens quand Codrut a traversé le salon alors que jétais empalée par le cul sur son manche, les autres hommes qui attendaient leur tour ont éclaté de rire en me voyant ainsi et jai eu alors un orgasme extraordinaire. Cétait merveilleusement humiliant, merveilleusement bon.

Ahmed dit à un des voyous en français cette fois :

— Karim ! Raconte à Aziz la salope dans le troquet du XVIème!

Karim :

— Ah ouais ! Ça cétait vraiment une chienne !

Bon je suis un peu rassurée, car il passe à une autre histoire et semble mavoir oublié.

Karim poursuit :

— On est allé avec Ahmed dans un troquet de bourges dans le XVI pour foutre un peu la trouille à ces enculés pleins de fric. Quand on est entré, tu les aurais vus baisser la tête pour ne pas croiser nos regards. On rigolait comme des tordus. On sest foutu au bar et on samusait à mater tous ces cons avec des regards de tueurs. Au fond du bar, Ahmed repère une pétasse blonde, hyper bien gaulée. Elle était assise sur une banquette et son mec en face delle. On commence à la mater, on lui fait des clins dil chaque fois quelle croise nos regards. Elle a du dire à son mec ce quon faisait car il sest retourné pour nous regarder. Ce con dAhmed lui a fait un doigt et je te dis pas comment le mec à flipper et a tourné la tête pour plus nous voir. Ahmed à traverser la salle avec sa bière et sest assis sur la banquette juste à côté de la meuf, moi je lai suivi et je me suis assis de lautre côté de la pétasse. Je te dis pas la panique. Le mec savait plus ou se mettre. Sa meuf la regardé avec un air méchant et lui a reprocher de ne pas intervenir. Le mec a baissé la tête comme un pédé de bourge quil est. Ahmed à dit a la meuf que son mec a pas de couilles et quelle ferait mieux de le larguer. Et lautre fiotte qui disait rien et avait la tête baissée. Je te dis pas comment la meuf était vénère. Ahmed continuait de draguer la blonde et a passer son bras autour de son épaule. Elle a essayée de se débattre mais Ahmed la tenait fort. Ahmed lui a touché un nibard. La meuf sest mise a gueuler mais personne ne bougeait. Elle se débattait mais Ahmed a réussi a passer sa main sous son chemisier. En se débattant les boutons de son chemisier ont pété et elle sest retrouvé les nibards à lair. Cette pute navait pas de soutien gorge. Ahmed lui tripotait carrément le nibard et moi jai mis ma main sur sa cuisse. Elle avait une mini jupe. Jai mis ma main sur sa chatte, dommage elle avait un string. Je me suis mis à lui toucher la chatte a travers son string. La pute mouillait. Elle sest levée brusquement. Ahmed la retenu. Elle lui a dit méchamment « je vais aux toilettes, jai le droit ? ». Ahmed a dit quil était ok mais quil gardait son sac pour être sur quelle revienne. La meuf à dit « ok » et elle est partie aux chiottes en tenant son chemisier fermé. On est resté avec le mec. On le traitait de tout et ce connard ne bougeait pas, il chialait. On était mort de rire avec Ahmed. La meuf est revenue et sest assise entre nous.

Ahmed a défait tous les autres boutons du chemisier de la meuf et moi jai remis ma main entre ses cuisses. Tu sais quoi Aziz ? La salope avait enlevé son string. Elle avait la chatte complètement à lair. Je lai dit à Ahmed qui est venu constater de lui-même. Il lui a enfoncé trois doigt dans la chatte et il a dit tout fort « putain mais elle mouille cette salope ».

Une qui manque défaillir, cest Miss Christine. Je suis rouge de honte derrière mon bouquin. Jai honte parce que je nai rien sous ma robe, jai honte parce que jai fait comme cette fille : je suis allé aux toilettes pour retirer mon string. Sils le savent, ce dont je ne doute pas, ils doivent me considérer comme une pute, aussi pute que la blonde. Oui, je suis comme la blonde, je suis comme la blonde car moi aussi je mouille terriblement à la différence que cest sans que personne ne me touche, je suis donc pire quelle. Ce qui mexcite le plus cest que la fille se soit donnée à eux, a pris un pied fantastique, devant son mec qui avait peur dintervenir. Quaurais fait Jacques à sa place ?

Karim :

— On lui fouillait la chatte tous les 2 et elle mouillait de plus en plus et on lui tripotait les nibards. Et tu sais ce quelle a fait cette pute, elle sest retournée vers Ahmed et lui a roulé une pelle, et elle sest retournée vers moi et elle men a roulé une à moi. Putain tu laurais entendu gémir cette salope ! Après on la amené dans les chiottes avec son mec pour quil regarde. La pute nous a pompé a nous faire péter les couilles. Après on la tringlé lun après lautre devant sa fiotte qui chialait. La salope gueulait pour quon la baise plus fort. Après on lui a déchargé sur sa belle gueule de pute.

Aziz :

— Putain quel bol vous avez eu ! Dommage quelle soit pas dans le train ! Je lui en foutrais plein le cul pendant tout le voyage ! Ah bordel ! Jai une de ces envies de baiser maintenant ! Je bande comme un taureau. Moi les salopes pareilles je les rate pas.

Ahmed renchérit :

— Tas raison ! Ce serait de la bombe en plus on est peinard dans le compartiment ! Y-a que lautre enculé de contrôleur qui peut nous gonfler !

Jai des frissons dans tout le corps. Des frissons de peur et de plaisir, je mouille à outrance et jai envie folle de jouir. Jai envie de repartir aux toilettes pour me faire jouir avec mes doigts. Leur histoire ma fait un effet terrible. Ce qui ma excité le plus cest que la fille se soit donnée à eux devant son mec, elle a pris un pied phénoménal devant lui. Il a du ressentir une humiliation terrible et cest terriblement excitant. Quaurais fait Jacques à sa place ? Serait-il intervenu, ou maurait-il regardé jouir sous leurs assauts ? Le plaisir aurait-il plus fort ? Oui. Malheureusement oui, jen suis quasiment certaine, je me serais donné à eux corps et âmes, et jaurais jouie comme une dingue devant le regard désespéré de mon mari.

Aziz est dans tous ses états :

— Putain ! Jen peux plus ! Faut que je baise ! Faut que je me fasse sucer la queue !

Je sens mon livre méchapper des doigts. Aziz est debout devant moi, il laisse tomber mon livre, puis approche de moi, sa belle queue à lair. Je ne bouge pas, je nai même pas un mouvement de recul. Je me contente de regarder cette bite qui approche de mon visage. Cest le silence total. Les 3 jeunes arabes observent et se demandent si je vais ouvrir la bouche. Le gland du gros manche est a 2 cm de mes lèvres. Cest beau une queue darabe, bien raide, sans aucune peau, cest gros, long. Et cest en admirant ce merveilleux manche que jouvre la bouche, approche ma tête, et je gobe le gland dAziz.

Je nai pas eu la moindre hésitation, jen avais trop envie. Les 3 hommes sont ébahis, ils devaient sattendre à de la résistance de ma part, ils sattendaient sans doute à ce que je me précipite hors du compartiment, mais non, je suis encore plus pute que la blonde du bar. Karim le confirme :

— Oh la pute ! Tas vu ça Ahmed ? Tu lui montres ta queue et elle la suce! Tas même pas besoin de la draguer, tas pas besoin de lui parler, tu te contentes de lui montrer ta queue et elle te pompe ! Jamais vu des putasses pareilles !

Je suis au bord de la jouissance. Mon comportement de salope, la queue dAziz que je pompe comme une déchainée en magrippant à ses fesses, et surtout les commentaires de Karim, secouent mon corps de spasmes.

Aziz :

— Oh putain ! Quest ce quelle est bonne cette chienne ! Je vous dis pas comme elle suce, elle est tellement gourmande que jai limpression quelle me bouffe carrément la queue !

Je suis tellement excitée que mon corps boue. Jai chaud, je transpire de partout. Aussi, je lâche les fesses dAziz tout en continuant de faire aller et venir ma bouche sur sa bite, je dégrafe un a un les boutons de ma robe. Lorsque mes seins jaillissent, Karim dit :

— Putain ! Tas vu la taille des nichons ? tas vu comme elle pointe cette pute ?

Je continue de défaire les boutons, puis jécarte les pans de ma robe, extirpe mes bras des manches, tout cela sans cesser une seconde de sucer mon Aziz. Je suis nue ! Je suis nue pour eux ! Et, si ils en doutaient encore, ils sont certains maintenant quils vont me sauter tous les 3.

Toujours en suçant Aziz (qui a une endurance incroyable pour ne pas jouir malgré la pipe féroce que je lui offre) après de multiples contorsions, je parviens à me mettre à 4 pattes sur la banquette. Mes fesses sont offertes à Ahmed et Karim, je veux être leur objet de plaisir, je veux être leur sex-toy et jouir comme une dingue sur leur manches.

Aussitôt, je sens 2 mains écartées mes fesses, puis Karim sexclame :

— Bordel ! Regarde le trou du cul ! Il est énorme ! Cest pas possible cest un taureau qui la enculé cette pute ! Oh le garage à bite que cest celle là ! On va nager là dedans !

Je suis au bord de lexplosion, je pousse des gémissements étouffés par la bite dAziz qui commence à faire des grognements de plaisir.

— Et la chatte ! tes vu la chatte ! Elle mouille tellement quil y a une goutte qui pend du clito !

Un des deux à alors la mauvaise de cueillir cette fameuse goutte, son doigt effleure mon clito et là je pars dans une jouissance terrible, mobligeant à extirper la queue dAziz de ma bouche:

— Ohhhhhh ouiiiiiiiiii ! ouiiiiiiiiiiiiiii ! ohhh je jouiiiiiiiis ! preneeez moi !

Ahmed :

— Merde ! Elle jouit à peine tu la touches ! On est tombé sur le coup du siècle les mecs ! Combien il reste de trajet !

Karim :

— Environ 5h30 !

Ahmed sadressant à moi :

— Tu sais quon va texploser le cul et la chatte pendant 5h30, sac à foutre ?

Moi en continuant de sucer Aziz qui est décidément dune endurance incroyable. Jacques, lui, jouis en 10 secondes, et encore je suis très loin de le sucer aussi fort, aussi bien, que je ne suces Aziz. Jacques aurait explosé en 2 secondes alors quAziz est déjà depuis 10 minutes dans ma bouche et ne jouis toujours pas. Ce qui est terrible, ce mexcite encore plus, cest que jaimerais que Jacques soit là pour me voir sucer cet arabe, pour quil voit le pied que je prends en suçant une grosse bite, quil constate que je préfère les grosses bites alors à son petit a son sexe de moineau. Pour quil voit lendurance de mon Aziz, quil comprenne quil nest vraiment pas à la hauteur.

Un long manche pénètre dans mon anus, il na pas eu besoin de forcer, la bite est entrée toute seule, sans effort tellement mon trou du cul est béant et profond. Il est entré tellement fort que je pars dans une jouissance extrême. Là encore je suis obligée de sortir le sexe dAziz de ma bouche pour hurler :

— Arrgghhh ! Cest booooooooonnn ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiisss !

Ahmed ou Karim, je ne sais pas, me défonce littéralement, ses couilles frappent contre mes fesses tellement il va profond en moi.

Aziz dit :

— Oh putain ! Karim tu vas la transpercer en lenculant comme ça !

Puis à la fin de sa phrase :

— Ooohh la pute ! Je vais larguer la purée !

Jenfonce sa bite au plus profond de ma gorge, et Aziz explose dans ma bouche. De long jets gicle dans ma bouche, javale tout au fur et à mesure, je nen perds pas une goutte.

— Putain la salope à tout avalé ! Ah elle aime la bite celle là !

Puis voyant que continue de le pomper :

— Eh arrête salope ! Tu vas me tuer ! Lâche ma bite bordel !

Comme je narrête pas, il me donne une gifle dune violence inouïe. Sur le coup, mes bras cèdent, et mon buste sécroule sur la banquette. Cest la position idéale pour Karim. Je suis complètement cambrée, complètement ouverte, et son sexe se promène en moi encore plus facilement, avec encore plus de violence et je crie de plus belle.

Puis sans sortir de mon cul, Karim me fait basculer, il sassoit sans sortir de mon cul. Je me retrouve de dos à lui, empalé par le cul, sur sa grosse bite, à califourchon sur ses cuisses. Il mattire vers lui en sagrippant à mes seins, et à petits coups de reins il me sodomise à merveille. Je laccompagne autant que je peux dans ses allées venues en ondulant des reins. La position est inconfortable mais ô combien jouissive. Je colle bien mon à son buste pour me lover contre lui, je passe mes bras autour de son cou, pour être bien offerte. Je pousse des cris de plaisirs continue :

— Hummm ouii ! Oh jaime ta bite ! Ohh encule ta pute mon Amour ! Encule la fort ! Elle soffre à toi !

Mon Minou est complètement ouvert, offert. Ahmed se déshabille en me regardant me faire défoncer lanus.

— Regarde-moi cette pute Aziz ! Regardez la bite de Karim entrer et sortir ! Et sa chatte ? tas vu sa chatte, on dirait une grotte !

Moi je gémis de plus belle, obnubilée par la bite parfaite dAhmed, longue épaisse, terriblement belle :

— Oh ouii ! Viens chéri ! Viens planter ta queue dans ma chatte de pute ! Défoncez moi tous les 2 en même temps !

Aziz :

— Jy crois pas ! Cest vraiment la reine des salopes ! Remplie la Ahmed! Vas y ! Défonce lui la chatte !

Ahmed sapproche, son manche dans sa main, le masturbant lentement. Moi je respire très fort et gémis dimpatience. Lorsque le gland dAhmed se colle à ma vulve, Karim arrête de donner des coups de reins, jarrête à mon tour donduler des reins sur son manche, pour permettre à Ahmed de pénétrer dans mon minou.

Cest dans un long et terrible gémissement que le manche dAhmed pénètre en moi dun seul coup. Il frotte mes parois et mouvre un peu plus, bien que je sois déjà béante.

— Ohhhh ouiiiiiiiiiiii ! Ohhhh cest boooonnnn !

Ahmed commence alors a aller et venir. Doucement tout dabord, puis quand Karim recommence à pilonner mon anus, Ahmed accélère la cadence, et va et vient en moi à toute vitesse et avec une violence telle, que jen explose de plaisir.

Je hurle ma jouissance alors que ma chatte se met comme hier à gicler de partout à grands jets. Jéjacule comme une dingue :

— Argghhh ! Ouiiii ! Ouiiii ! Ouiii ! Oh jje jouiiiisssssss ! Je jouiiissss !

Jondule comme une folle contre le buste de Karim. Il joue avec mes seins, les masse, les pétrit, les griffe. Puis il saisit mes tétons et tire dessus comme un dingue, il les allonge comme pour les arracher en les faisant rouler entre ses doigts.

Puis :

— Madame ! Je vous ai trouvé une pla.

Le contrôleur ne peut pas finir sa phrase. Il reste bouche bée devant le spectacle et moi je jouis une nouvelle fois. Je jouis de honte, dhumiliation, parce que le contrôleur auprès de qui je métais plainte du comportement des trois voyous, constate que je suis en train de prendre mon pied grâce à eux. Et il est évident quà ma façon donduler dans tous les sens, de hurler mon plaisir, ce ne peut pas être un viol.

Le contrôleur est tellement ébahi quil ne peut se résoudre à sortir.

Aziz lui dit :

— Eh toi le pèquenot ! tas pas envie de te faire sucer ? il lui reste encore un trou !

Le contrôleur sort de sa torpeur, hésite, mais sapproche tout de même.

Je le regarde arrivé tout en criant mon plaisir en me bougeant de tout mon corps sur les 2 queues qui menfilent. Il grimpe à genoux sur la banquette pour que sa queue soit accessible pour ma bouche. Il dégrafe son pantalon, le baisse en même temps que son slip. Il bande comme fou, sa queue nest pas aussi grosse que mes 3 chéris darabes, mais largement plus que celle de Jacques. Sa queue frétille denvie, jouvre alors la bouche, il approche son sexe, pose son gland sur ma langue. Je lenserre entre mes lèvres, je fais tourner ma langue autour du gland. Mais les secousses provoquées par les pénétrations violentes que je subis mempêchent de le pomper convenablement. Alors jextirpe son sexe de ma bouche et dans un gémissement, je lui dis :

— Baisez moi la bouche !

Le contrôleur qui nen revient pas dit :

— Mais quelle salope !

Puis dun coup de rein, il senfonce jusquau plus profond de ma gorge. Je manque métouffer. Le salaud se met alors à aller et venir dans ma bouche comme un dingue, comme sil voulait me punir de lui avoir fait perdre son temps à chercher une autre place. Il explose dans ma bouche au bout de 3 minutes. Cest loin des 15 minutes dAziz, mais cest, et de loin, beaucoup mieux que les quelques secondes de Jacques. Cest en pensant à cela que je jouis une nouvelle fois violemment.

Décidément, lidée dhumilier Jacques mexcite terriblement et me fait jouir à outrance.

Le contrôleur se rhabille. Ahmed, tout en continuant à me baiser comme un dieu, lui dit :

— Dis-moi ! Tu pourrais pas nous ouvrir la fenêtre, on crève de chaud et le trajet va être long et épuisant.

Le contrôleur est daccord, puisque je sens aussitôt lair frais que mon corps. Cest vrai que ça fait du bien.

Le contrôleur sort. Je repasse mes bras autour du cou de Karim pour être bien offerte et bien profiter de lair frais. Je remue de plus en plus en poussant des cris, en motivant mes hommes, en les suppliant de me prendre plus fort. Je me tortille tellement bien, que tout à coup, dans un même élan, ils explosent dans mon ventre et mon cul. Ça me rend folle et encore une fois mon minou gicle de partout.

— Oooooooooohhhh ! ouiiiiii ! je jouiiiiiis ! Ohhh vous êtes mes dieeuux! Mes amours, mes hommes ! Je vous aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimmee! Je suis à vouus ! Je suis votre puuuuuuute !

Au bout de quelques secondes, Ahmed sort de mon ventre et maide à me relever. Le manche de Karim sort de mon anus. Je mallonge négligemment sur la banquette, nue, les regardant se rhabiller.

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