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Le patron soumis par son employé rebeu – Chapitre 1




Une petite présentation : je suis un homme marié, la quarantaine passé et je gère une petite société de sécurité.

Il y a quelques mois jai pris un contrat de surveillance dun chantier, seul problème, il fallait commencer la surveillance le soir même.

Mes salariés étant déjà affectés sur dautres contrats et ceux qui était de repos nétaient pas disponibles ! La galère commençait, où trouver un agent de sécurité en urgence ?

Au bout de plusieurs appels, un de mes salariés dit connaitre un voisin qui connait un copain qui connait bref le dernier connaissant un agent de sécurité éventuellement disponible. Nayant pas le choix, je demande à ce que cette personne me contacte rapidement pour définir les modalités dembauche.

30 mn plus tard, je reçois lappel de ce fameux agent de sécurité, on ne peut pas dire quil soit très délicat au téléphone (on peut comprendre pourquoi il est disponible), je lui fixe donc rendez-vous au bureau pour lheure suivante.

Il arrive avec près de 20 mn de retard, il sen excuse même pas et sassoit face à mon bureau sans même attendre que je ly autorise. Je ne suis pas trop surpris compte tenu de lentretien téléphonique que nous avions eu, coté présentation, sa tenue va avec le reste, basket, jogging et une façon de sexprimer qui ne colle pas vraiment avec mes souhaits en terme de recrutement, mais je nai pas vraiment le choix.

Il sappelle Hakim, 20 ans, il doit faire 1,80 m, mais pas très costaud, malgré sa dégaine désastreuse, je me dis quavec un uniforme ça devrait passer et ce nest quun chantier, il ne croisera personne.

Il me tutoie direct, et il met carrément des conditions à son embauche :

— Moi cest au « black », ok, tu me donne XXX euros pour la nuit et je prends le job, tes ok ou pas ?

Je suis pris à la gorge, je ne peux quaccepter et lui indique ladresse du chantier, les horaires

A 20h00, heure de sa prise de service, je ne reçois aucun appel de sa part pour mindiquer quil est sur place. Je le contacte, il décroche :

— Ouhai !

— Vous êtes sur place ? Vous mavez pas appelez pour votre prise de service ?

— Stresse pas, je suis sur le chantier, je ne vais pas tappeler toutes les 5 mn, au faite mon fric tu me le donne quand ?

— Euh (un peu désarçonné par sa façon de me parler, je ne suis pas habitué à ça avec mes salariés), je ne sais pas, passez au bureau dans la semaine.

— Tu me prends pour un bouffon ou quoi, je le veux cette nuit ou je dégage !

— Bon, mais je bosse jusquà minuit, je passerai après, ça vous va ?

— Ouhai.

Et il raccroche.

Heureusement quil ne travaille quune nuit pour moi, celui-là, cest une vrai catastrophe.

A 21h30, la mission sur laquelle jétais prend fin pour cause de vent trop fort pour les chapiteaux de la manifestation. Ce qui marrange, je suis crevé ce soir.

Je décide donc daller payer ce Hakim maintenant.

Après un détour à un distributeur, jarrive sur le chantier à 22h00, je stationne à proximité et me dirige vers le bâtiment. Jaccède facilement au rez de chaussée (cest un immeuble de quatre étages), pas dHakim, 1ère étage toujours personne ! Je ne mattendais pas à une surveillance parfaite avec lui, mais là ça devient catastrophique, fini la diplomatie, jai besoin de lui, mais il y a des limites.

Puis jentends du bruit venant des étages supérieur, plutôt des cries très étouffés. Je monte les étages en direction des voix, parce que cest bien des voix que jentends, et surtout des éclats de voix féminin, je commence à comprendre, il se tape sa copine sur son lieu de travail, quel connard.

Je monte les étages jusquà la pièce qui lui servait de baisodrome, mais à peine arrivé à la porte, surprise ! Une femme qui avait plus de 20 ans que lui était allongée sur le dos sur des plaques de placo, habillée semble t-il, la jupe relevée et Hakim torse nu, le treillis sur les chevilles, grimpé sur elle ! Il la baisait dune force inouïe, dune telle violence que jétais impressionné, nayant jamais imaginé une telle vigueur dans un acte sexuel.

Du coup, je ne savais plus comment réagir, je mattendais à une jeune fille, sa copine, mais pas à une femme de mon âge ! Dans le doute, je décide de me faire discret, dattendre que cette femme soit partie pour régler mes comptes avec Hakim. Je retourne à ma voiture et attend patiemment quelle quitte le chantier.

Quelques minutes plus tard, la femme sort du chantier accompagné dHakim. Elle se dirige vers une voiture stationnée à proximité, ouvre la voiture, sort son sac et fouille à lintérieur, en ressort des papiers (je narrive pas à distinguer de ma position), et les remets à Hakim qui fait demi-tour et retourne au chantier, puis elle monte dans sa voiture et démarre.

Je ny crois pas ! Elle la payé pour lavoir baisé !!! Il ne doute de rien ce con, il fait ça sur son lieu de travail, là je suis énervé, je descends de voiture et me dirige rapidement vers le chantier. Je rentre dans le local du RDC servant de poste de sécurité, Hakim est de dos, je lui gueule dessus :

— Cest quoi ce bordel ! Cest qui cette femme ! Je vous est vu baiser la haut, je vous paye pas pour vous amuser, cest bon vous dégagez.

Hakim a juste tourné la tête pour mécouter, ça na pas lair de linquiéter plus que ça !!!!

Sa désinvolture me met hors de moi (et je me met à le tutoyer à mon tour) :

— Que tu fasses la pute, je men tape, mais pas ici, je ne te paye pas pour ça

Son regard devient noir, il se retourne pour me faire face. Jen crois pas mes yeux, il a la bite à lair, le blouson ouvert torse nu dessous et sessuie la bite avec son tee-shirt ! Mon tee-shirt, ses vêtements cest moi qui les lui ai fournis.

Il se démonte pas, me regarde droit dans les yeux, arrête de sessuyer la bite et jette le tee-shirt à terre :

— Cest moi la pute ? Si ça se trouve je baise ta meuf, et cest avec ton fric quelle se fait baiser connard

Je lécoute même pas, mon regard fixe sa bite, elle est au repos, mais semble déjà plus grosse que la mienne quand je bande. Je me reprends tout de suite et remonte mon regard vers le sien, mais il a vu que je matais sa bite :

— Elle te plait ma bite, putain tes un Pd, tu va me la nettoyer, salope !

— Ça ne va pas, tu rêves ou quoi !

Hakim qui a pris sa bite en main pour bien me la montrer :

— Ferme ta gueule, regarde le morceau, je lais faite crier cette salope tout à lheure, elles aiment ma bite de rebeu vos femmes, eh ouhai Pd, les français vous ne savez pas les baiser, allez à genoux et nettoie-la.

Normalement, jaurais du réagir, mais je ne sais pas pourquoi, je me suis mis à genoux devant lui, avant même quil termine sa phrase. Dailleurs ma réaction la fait rigoler, il ma tiré la tête en arrière, ma fixé et avec un air de vainqueur ma dit :

— Cest qui la pute, hein ? Sort ta langue, et tu me la nettoie bien, tu tarrêtes pas tant que tu nas pas fini, et tu la suce pas, je ne suis pas Pd moi, allez sors ta langue.

Jai pris sa bite dans la main droite et je me suis appliqué à lui nettoyer sa bite, plus je la léchais, plus elle mexcitait, javais une envie folle de la prendre en bouche. Après quelques minutes, il me reprend la tête, me regarde et dit :

— Oh cest bon là, elle est propre, allez dégage.

Voyant quil fallait arrêter, je nai pu mempêcher de la prendre en bouche avant quelle disparaisse dans son treillis, pourquoi, je ne sais pas, je ne semble plus rien maitriser.

Mais avant même de lavoir sentie en bouche, il me repousse violement en arrière, me retrouvant assis au sol les mains en arrière pour ne pas tomber. Il remet sa bite dans son treillis et me dit :

— Putain tes une vrai lope toi, si tu veux la voir en action, bien dure, amène moi ta meuf et tu verras ce que cest quun mec, sale pute.

Il se met à rigoler, un rire suffisant et moqueur me regardant assis sur le sol face à lui :

— Bon, la récré est terminée, tu as mon fric ?

Il ne perd pas le nord, je commence à reprendre mes esprits, il faut que je prenne lair, je lui réponds :

— Oui, dans la voiture.

— Quest-ce tattends, va chercher mon fric !

Je ne lui réponds pas, et sort dehors en direction de ma voiture. Lair frais me fait du bien, et je commence à prendre peur de ce que je viens de faire. Comment jais pu en arriver là ? Avec un salarié, je suis sensé être le boss, moi un homme marié de plus de 40 ans, quest que jai fait !

Je sais quil ne ma pas forcé, il na jamais bandé, il nest pas Pd, il ne sattendait certainement pas à ce que je le prenne aux mots, cétait des paroles de défense.

Il mest déjà arrivé de sucer des hommes et de me faire prendre aussi, je ne suis pas attiré par les hommes, mais lidée de me sentir traiter comme une salope par un mec me plait beaucoup, cest même devenu un besoin obsessionnel aux cours des années. Mais jamais avec quelquun que je connais et encore moins au boulot, où limage dun homme viril est important de part ma fonction et mon métier, sans parler de ma position dhomme marié.

Mon obligation de discrétion vis-à-vis de mes envies sexuelles avec les hommes (leurs bites surtout) ne me permet pas dassouvir fréquemment mon besoin, est-ce pour ça que jai craqué à la vu de sa bite ! Quoi quil en soit, jai honte et je me demande comment me sortir de cette situation.

Je retourne voir Hakim et lui remet largent promis,

Il met le fric dans sa poche et dit :

— Ça cest pour le boulot, et pour ma bite ?

— Comment ça pour ta bite ?

— Oh, tas aimé me nettoyer la bite, non ? Et ta pu la mater, tu crois que cest gratuit !

— Ok, je vais te payer, mais après ça tu oublies, personne ne doit savoir

Hakim semble avoir compris mon inquiétude et ça semble le surprendre :

— Pourquoi tu tes mit à genoux devant ma bite ? Taime ça la bite ? Vas-y soit franc, tu as fait la salope, alors réponds ! Sa voix nétait pas agressive, mais il semblait vraiment sinterroger sur mon geste, preuve quil ne sy attendait pas, ce nétaient que des paroles de défense.

Moi, toujours aussi inquiet pour son silence vis-à-vis de mon acte :

— Promets moi que tu ne le répéteras à personne, sil te plait ?

— Tinquiète, je ne veux pas passer pour un Pd, mais répond moi, tu tes déjà fait enculer ?

Je sens quil se pose vraiment des questions :

— Oui ça mest arrivé.

— Par des rebeus ?

— Pas spécialement.

— Et ma bite elle te plait, tu tes mis à genoux direct comme une chienne.

— Jai pas réfléchi, je lai vue, elle était grosse, tu étais agressif avec moi, le fait que tu sois rebeu ma excité encore plus, voilà je nai pas pu mempêcher.

Hakim ne sattendais peut-être pas à autant de franchise, ça le fait sourire, il sassoit sur la chaise, me regarde et dit :

— Ok, tu veux que je ferme ma gueule, hein ! Moi je me fais du fric avec vos meufs, mais ça ne suffit pas. Alors je te propose un deal, tu me fais un contrat temps partiel de 10 heures par semaine, en échange, je ferme ma gueule et je te laisse me sucer ma grosse bite ? Si tu refuse je te balance et tout le monde saurat que tes une lope.

Il profite de la situation, mais je ne vois pas comment refuser.

— Ok mais tu tiens parole.

Je ne sais pas ce quHakim a compris à ma réponse, je crois quil a compris « tu tiens parole » pour le fait de se laisser sucer et non pour nen parler à personne, ce que je voulais dire par cette phrase. Et là, il baisse son treillis, sort sa bite (toujours molle), reste assis et me dit :

— On est daccord mon pote, allez suce.

Mmmm, jen avais trop envie, et autant en profiter tout de suite, il était assis, sa grosse bite en main, son blouson toujours ouvert sur son torse nu (et contrairement à ce que jimaginais, il était musclé sec). Je mapproche, me mets à genoux, mais là il me repousse et me dit :

— Pas avec ton uniforme, jai limpression de me faire sucer par un pote, jy arriverai pas, fout toi à poil.

— A poil ?

— Putain, tu la veux ou pas, ma bite ? Alors à oilpé, salope !

Son regard était de nouveau noir, se faire sucer par un mec ne semblait pas lui plaire. Ne voulant pas le voir revenir sur sa proposition et en parler à tout le monde, je me déshabille rapidement. Entièrement à poil, je me remets à genoux. Je commence à prendre sa bite, et je la suce.

— Tu bandes, Pd, haha, t’as vu ta bite, même molle la mienne est plus grosse, je comprends vos femmes !

Il me tire par les cheveux

— Cest bon Pd, taime ça la grosse bite de rebeu, hein salope ?

— Oui, cest bon.

Hakim se met à rigoler sans retenu, ne me lâche pas la tête, me regarde de nouveau, me claque la gueule et me dit :

— Cest qui le boss, Pd ?

— Cest toi, Hakim.

Hakim est satisfait de ma réponse :

— Eh ouhai, les temps changent salope, cest les céfrans qui obéisse aux rebeus, hein ma pute !

— Oui, cest vrai, vous êtes de vrais mecs vous les rebeus.

Hakim :

— Cest ça grosse chienne, ten es une vraie, toi !

Il me remet la gueule sur sa bite, elle a durci, elle me parait énorme et très épaisse, je suis presque étouffé. Ca le fait marrer :

— 23 cm dans ta gueule de pute, je vais te la niker ta sa gueule de céfran !

Il se lève sans lâcher sa pression sur ma tête et commence à me défoncer la bouche, sa bite est grosse, jen peu plus, jen pleure, tellement il me défonce violement, il se défoule sur moi sans aucun ménagement. Il stoppe sa cadence, sa bite au fond de ma gorge, je lentends crier :

— Sale Pd !

Et il se décharge dans ma gorge, je sens son jus. Il se retire en éjaculant et men met partout sur le visage. Il me regarde, fier de lui, il rigole en mobservant plein de son jus, les larmes aux yeux :

— AHAHAH cest bon, hein, grosse pute !

Il prend mon tee-shirt posé sur la table et sessuie sa bite avec tout en me regardant avec arrogance, Puis me jette mon tee-shirt à la figure et me dit :

— Essuie ta gueule salope !

Ce que je fais, lui se rhabille correctement, sapproche de moi, je suis toujours à genoux :

— Alors, rappelle moi qui cest le boss ?

— Cest toi.

Et là il me décroche une nouvelle claque qui me met au sol et me dit :

— Tas pas intérêt à loublier connard, allez, tu tes fait plaisir avec ma grosse queue, alors je me casse, tu finiras le service, hein ?

— Oui je vais prendre ta place

— Ouhai cest ça, tu menverras le contrat et je vais te faire comprendre qui sont les vrais mâles, ahahah ça risque pas dêtre les céfrans, et surtout pas toi, sale merde, à la prochaine, tu vas déguster.

Je vois Hakim disparaitre, je me retrouve allongé sur le sol, son jus encore en bouche, jaime être traité comme une salope, mais là, jai dégusté. Mais jai adoré être une lope à rebeu, jai limpression davoir comblé un manque et dêtre à ma place. Quel mec, et quelle bite il a.

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