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Ah! les clientes… surtout les difficiles… – Chapitre 1




UNE VOIE INT?RIEURE

     ?tant chef restaurateur dans un coin tranquille de notre belle grande ville, la soirée de ce froid lundi d?hiver traînait en longueur. Presque sans client et ayant déjà renvoyé chez eux tout le personnel de soutien, j?avais simplement le goût de fermer la place et d?aller voir ailleurs si j?y étais. Un petit couple en était rendu au troisième café et n?avait même pas regardé la facture, déjà posée sur la table depuis plus d?une demi-heure.

    Je traînais ici et là, sans âme, lorsque se présentèrent à la porte deux jeunes femmes qui semblaient frigorifiées La première s?excusa de l?heure tardive et me demanda s?il me restait un petit quelque chose de bon pour apaiser leurs appétits. J?avais le goût de fermer au plus tôt mais une voie intérieure me dit d?avoir pitié de ces deux belles créatures que le destin avait placées sur mon chemin. Je leurs répondis alors que je ferais tout en mon possible pour satisfaire leurs désirs. Les débarrassant de leurs manteaux, j?eus quand même le temps d?observer, du coin de l?oeil, les lignes pures et belles de leurs silhouettes respectives.

    La plus petite avait les cheveux d?un blond roux et les yeux d?un bleu à faire pâlir le ciel. Une bouche fine, petit nez et un joli visage arrondi. Un corps tout délicat, toute petite poitrine mais bien à sa place, blouse blanche laissant entrevoir un soutien-gorge de dentelle. Ce dernier laissait imaginer des mamelons durcis par le froid sibérien qui sévissait à l?extérieur. Ses hanches fines, ses jambes minces et effilées. Ce devait être une femme à prendre avec douceur tellement elle semblait fragile et délicate. Elle rougit un peu en remarquant que mes yeux, l?espace d?un instant, l?avaient délicieusement parcouru de la tête aux pieds et que je semblais vraiment apprécier ce que j?y avais pu admirer.

    Celle qui m?avait adressé la parole était plus grande. Elle avait de longs cheveux couleur de jais, des yeux brillants et une bouche charnue. Elle donnait l?impression d?attendre que quelqu?un y dépose délicatement un baiser ou même, qui sait, de déguster un gland juteux jusqu?à ce qu?il s?y répande de plaisir. Sa poitrine était généreuse, bien enveloppée par un chemisier noir serré, parsemé ici et là de petits trous qui laissaient entrevoir un soutien pigeonnier et la chair rose et tendre de la partie supérieure. Sa jupe était relativement courte et un peu relevée sur les hanches. Elle s?empressa de remettre de l?ordre à sa tenue en rabaissant rapidement sa jupe mais non sans que j?aie eu le temps de voir ses cuisses couvertes d?un bas diaphane, surmonté d?un porte-jarretelles de même couleur que ce qu?on pouvait imaginer de son soutien-gorge.

    Ne regrettant pas d?avoir écouté cette voie inconnue qui m?avait subtilement soufflé de laisser entrer ces deux charmantes dames, je suis allé chercher les menus et la liste des vins. De retour à la table, j?ai initié la conversation par un simple ? Bonsoir mesdemoiselles, je me présente, Alex, votre hôte, chef et serviteur pour cette charmante fin de soirée. ? Avant de me laisser poursuivre, la femme à la belle chevelure noire me tendit la main et se présenta sous le nom d?Annie. Enchanté que je m?entendis répondre sans même ouvrir les lèvres. Elle me présenta ensuite sa copine Valérie. Doublement enchanté d?avoir deux si jolies dames dans mon établissement. Elle me retournèrent, un joli ? merci ? d?une voie tout aussi mielleuse l?une que l?autre.

    Je poursuivis mon introduction en leur demandant si elles désiraient un apéritif, le temps de faire leur choix? Annie me répondit que, revenant d?une soirée donnée en l?honneur de l?anniversaire de son amie, ici présente, qui n?était en vérité que le lendemain, elles en étaient probablement à leur cinquième apéro et qu?elles désiraient plutôt se garder de la place pour une bonne bouteille de vin. Je répondit, regardant la jubilaire d?un regard admirateur, que se devait certainement être son vingt-cinquième tout au plus, supposant très bien qu?elle soit sur le point de franchir le cap de la trentaine et qu?elle n?avait pas du tout le goût de se le faire dire par un inconnu, pas plus que de rentrer chez elle avant les petites heures du matin, question de savourer la dernière nuit de sa vingtaine. Mon compliment la fît rougir et elle baissa les yeux en ajoutant qu?elle était ravie du compliment, que c?était très gentil de ma part. Le regard qu?elle lança à son amie me fît comprendre qu?elle ne semblait pas habituée à de si joli compliment et que son conjoint était probablement très peu attentif à sa beauté, à moins qu?il n?y ait actuellement personne avec qui cette délicate petite femme ne partageait ses nuits.

    Sur l?entrefait, le petit couple, ayant terminé de se dévorer des yeux et décidé de passer à l?étape suivante, revint à la vie. Le jeune homme introduisit sa carte dans le dépliant de la facture et sans même en regarder le total, me fit signe de la main. Attitude sans équivoque sur son intention de profiter de l?état second de sa compagne et d?aller partager quelques plaisirs de la vie avant qu?elle ne change d?idée. J?ai pris rapidement le tout et me suis dirigé vers la caisse pour fermer la transaction et ainsi les voir quitter les lieux le plus vite possible. Pourboire inscrit, coupon signé, facture rendue, je tendis galamment son manteau à la jeune femme pour l?enfiler. Je lui remis de façon à la placer dans une position où, je pourrais plus facilement jeter un oeil à sa poitrine. Ses mamelons étaient bien tendus, dans l?attente de caresses plus élaborées et peut-être même d?une longue nuit, pleine de tendresse et d?amour. Elle me fit alors un clin d?oeil et me fît comprendre qu?elle avait apprécié cette soirée et qu?elle ne s?attendait à rien de moins que d?aller terminer cette soirée dans les draps chauds de son lit. Elle semblait certaines que ses draps, après cette nuit, garderaient l?odeur des plaisirs partagés jusqu?au petit matin.

    Il ne me restait plus que ces deux jolies dames à servir pour finir cette soirée et, à bien y penser, rentrer chez moi pour m?écraser sur le divan en attendant que le soleil ne se lève sur une autre journée.

    Sans plus attendre, m?adressant à celle à qui c?était l?anniversaire, je lui demandai ce qui lui ferait plaisirs à savourer afin de bien terminer cette belle soirée d?anniversaire?

    Oh! Quelque chose de simple… vous avez? Il est tard et je ne voudrais pas abuser de votre hospitalité. Vous êtes déjà très gentil de nous avoir reçues en cette heure tardive.

    Alors, peut-être qu?une entrée de fruits de mer pour bien commencer ce petit goûté et qu?ensuite on pourrait voir si vous désirez poursuivre avec quelque chose de plus élaboré ou en rester là?

    Très bonne idée, me répondirent-elles en choeur … Desquelles de ces merveilles disposez-vous ce soir?

    J?ai un peu de pieuvre et son encre, du calamar, quelques palourdes, des huîtres bien fraîches, bien sûr, un petit spécial pour votre anniversaire. J?ai trouvé quelques ? flions ? au marché ce matin. Le tout vous va?

    Très bonne idée me répondit la petite blonde, celle qui s?appelait Valérie… Mais c?est quoi un ? flion ??

    Un flion? C?est un petit coquillage d?environ 2,5cm sur 0,5cm, blanc nacré, de forme oblongue. C?est un coquillage très fin, de plus en plus difficile à trouver malheureusement et qui se mange autant cru qu?en sauce délicate. Vous allez voir… c?est le nec plus ultra, vous ne regretterez pas…

    Pieuvre et son encre? On m?a déjà dit que c?était aphrodisiaque… est-ce vrai?

    À ce qu?on dit que je lui répondis. Mais on dit aussi que l?effet peut être différent d?une personne à l?autre.

    Elle me répondit alors que ma proposition les intéressait puis elle ajouta du même souffle : Faites-en donc un peu plus et disposez aussi une troisième place à notre table. Nous sommes vos seules clientes alors vous ne pouvez pas me refuser, la veille de mon anniversaire, de venir partager tout cela avec nous. Ma mère me disait que le jour de son anniversaire, on a tous les droits. Disons que je prends quelques heures d?avance.

    L?invitation ne permettait aucune discussion ni refus. Alors je répondis que je revenais dans la minute mais à la condition que le vin serait mon cadeau d?anniversaire. J?ai eu alors droit aux deux plus beaux sourires qu?il ne m?avait jamais été permis de voir depuis bien longtemps.

    Ces femmes étaient vraiment séduisantes et d?un raffinement sans égal. On aurait dit qu?une brise soufflait de leurs lèvres et que leurs regards étaient de miel. Rien que d?y penser, j?en avais des frissons jusqu?au bas du ventre et il me fallut orienter mon attention sur le plat à préparer car je sentais déjà monter en moi des picotements au niveau des testicules, précédent sans aucun doute l?approche d?une érection.

    Quelques minutes plus tard et j?étais de retour à la table. J?ai trouvé le mariage parfait au plat que je vous apporterai dans une dizaine de minutes. Meursault 1996, un petit bijou de vin blanc, très savoureux à dominante beurre et crème, quelque chose à la hauteur de l?événement, dis-je simplement, tout en dévorant des yeux celle dont s?était l?anniversaire. Elle avait profité des quelques minutes de mon absence pour défaire un bouton au haut de sa blouse, me révélant un peu plus sa poitrine dont les mamelons semblaient vouloir percer le corsage. À la fêtée à goûter au bonheur, dis-je, tout en versant un peu de ce divin nectar dans sa coupe.

    Mais c?est tout simplement sublime! Annie, goûtes-moi ça, dit-elle à sa copine les yeux exorbités par le bonheur qui parcourait toute sa bouche et sa poitrine. Elle savourait le tout avec extase et semblait parcouru de longs frissons sur tout le corps. La voyant ainsi, mon imagination alla jusqu?à sentir son sexe qui commençait à mouiller tellement elle semblait apprécier ce vin.

    Annie, elle aussi explosa. Je n?ai jamais goûté quelque chose de plus tendre, de plus savoureux. C?est vraiment incroyable tous les parfums et les saveurs qui se dégagent de ce vin. Vous avez fait un choix vraiment super, me dit-elle, tout en se parcourant les lèvres du bout de la langue afin de rien perdre, ni du goût ni des vapeurs qui se dégageaient de divin nectar. Les mouvements de cette langue étaient si suggestifs que je l?aurais prise entre mes lèvres afin de la goûter en silence. Elle était très sensuelle, à se demander si elle ne voulait pas faire compétition aux avances de sa belle amie dont, dit-on, s?était l?anniversaire.

    Reprenant mes esprits, j?enchaîna avec un simple, Je reviens avec les fruits de mer dans quelques minutes, ne bougez surtout pas. Et un peu plus vite si je le pouvais bien sûr. Ne vous en faites pas, je n?aurais pu quitter cette table sans un regard au plus profond du corsage de Valérie. Cette dernière semblait avoir anticipé mes intentions car elle rapprocha ses bras de chaque côté de ses seins afin d?ouvrir son corsage un peu plus et ainsi faire plonger mon regard plus profondément dans le décolleté de sa blouse.

    Elle voulait certainement me faire voir presque entièrement ses seins, si mignons et qui devaient être tellement savoureux. Je pus alors en voir les pointes tendues et durcies à travers son soutien-gorge de dentelle. J?avais le goût d?y plonger et de les enrouler de ma langue, de les sucer tout doucement, d?en caresser l?auréole avec le bout de la langue. Avec mes doigts, jouer avec ces mamelons et ces petits seins qui ne semblaient rien demander de mieux.

    Sur le chemin de la cuisine, je descendis les yeux vers mon pantalon et m?aperçut que, à la vue des seins et de la coquinerie de cette femme, mon pantalon se tendait, prêt à faire sauter ma fermeture éclair à chaque pas. J?avais toute une érection et il m?était difficile de le cacher. Quelques petits chuchotements me provenaient de la table. Les deux amies parlaient à voix bases, me reluquant le pantalon et ricanant entre elles. Valérie se leva, passa devant moi, m?effleurant le pantalon du revers de la main et se dirigea vers la salle de bain des dames. Comprenant que ces deux dames avaient, hors de tout doute, remarqué mon état, je ne pus m?empêcher de rougir en regardant vers Annie toujours assise, face à moi, heureusement seul dans mon coin. Tout en préparant ce délice de fruits de mer, je fantasmais à l?idée de savoir Valérie glisser sa main au bas de son ventre afin d?apaiser un peu le feu qui s?était installée dans cette partie de son corps, l?entendre couiner doucement de plaisirs en sentant son doigt tourner sur son clitoris, s?insérer profondément dans sons vagin, de jouer avec la petite boule de chair à texture de noix qui se trouve tout juste au haut de l?entrée principale, de masser doucement ce point si tendre et intime, puis plus vigoureusement jusqu?à ce que la cyprine s?écoule sur les cuisses, preuve qu?elle avait jouie du plus profond de son corps. Cela n?améliora en rien l?état dans lequel j?avais quitté la table. Si j?avais eu des visions en y revenant, là il n?y avait plus de doute. J?avais la queue tellement dure qu?elle semblait vouloir exploser d?une minute à l?autre.

    Ayant pris quelques instants pour me calmer un peu le membre, j?étais de retour à la table, portant fièrement l?assiette à partager. Valérie revint quelques secondes plus tard de la salle de bain. Alors qu?elle reprenait sa place à table, Annie lui demanda, sourire en coin, si ça allait mieux. Elle lui répondit oui et que cela lui avait fait du bien. Avait-elle vraiment joué avec sa minette pendant que j?étais à la cuisine? Il me fallait chasser rapidement cette pensée, sans quoi j?en serais quitte pour me tenir, la queue bien dure sous un slip déjà humide et un pantalon prêt à se rompre d?un instant à l?autre. Ce me serait alors difficile, voir impossible d?aller reprendre mes esprits à la cuisine. Pendant qu?elles échangeaient ces dernières paroles et quelques sourires en coin qu?elles ne dissimulaient plus vraiment, j?ai entreprit de servir ces dames en commençant par notre fêtée bien sûr.

    Après avoir disposé diverses bouchées dans l?assiette de Valérie, m?apprêtant à placer l?assiette devant elle, j?ai soudainement remarqué qu?en allant à la salle de bain, elle avait retiré son soutien-gorge et que ses seins pointaient doublement au contact de tissus vaporeux de sa blouse. On pouvait y voir les détails de ses mamelons qui perçaient presque le tissu. Ce dernier devait agir comme une caresse sur ces tétons qui semblaient prêt à exploser tellement ils étaient gros. Ils devaient avoir au moins deux centimètres de long et avaient l?air encore plus délicieux ainsi presque dénudés. On aurait dit qu?ils appelaient mes lèvres chaudes à les sucer tout doucement puis à les dévorer jusqu?à l?extase. J?ai dû tourner légèrement l?assiette pour que la présentation soit impeccable, marque de commerce de mon petit resto sans prétention. Au même moment, elle s?avança de façon à ce que mes doigts effleurent un de ses seins. À ce contact, elle ferma les yeux comme pour sentir, en privé, cette touche bien accidentelle de ma part mais désiré de la sienne. J?avais les doigts qui me démangeaient et qui voulaient se porter à la caresse de cette poitrine sans plus attendre.

    Annie s?empressa de nous ramener à la réalité, me demandant si elle pouvait en avoir, elle aussi. Cette phrase sonnait à mes oreilles comme si elle avait voulu demander si elle y avait droit elle aussi. Reprenant mes esprits, je lui fit un sourire, que moi-même je ne me connaissais pas, mi-gêné et mi-provocateur. Elle baissa les yeux afin de réviser sa position et ainsi se placer encore plus près de la table, de façon à ce que je ne puisse, d?aucune façon, déposer son assiette sans entrer directement en contact avec ses seins. J?ai alors vu qu?elle avait pris soin d?en sortir les bouts de son demi-buste et qu?ils semblaient tout aussi prêts à recevoir une caresse égarée que ne l?avaient été, quelques instants plus tôt, ceux de Valérie. Enfin la composition de son assiette terminée, je m?apprêtais à la poser devant elle, mais en prenant bien soin d?y aller lentement car je voulais qu?elle sente bien ma main se jouer d?une si belles poitrines qui ne demandaient rien de moins. Tenant l?assiette du bout des doigts, main retournée vers l?intérieur, je me suis ainsi retrouvé avec un de ses seins bien calés dans la paume de ma main, le serrant doucement afin d?en palper tout le désir qui pouvait s?y trouver. Son mamelon glissa gentiment entre mon pouce et le creux de ma main et j?ai ainsi pu le presser délicatement, le tirer un peu et sentir sa poitrine se presser encore plus au creux de ma main. Annie avait les yeux mi-clos, savourant ce moment délicieux, empreint de tendresse.

    Plongé dans un autre monde, j?entendis Valérie nous dire : Bon! On mange et on continuera après OK? Ce petit jeu m?a ouvert l?appétit et j?ai le goût de manger tout ce qui se trouve dans cette place. Cette fin de soirée s?annonçait, on ne peut plus intéressante que celle anticipée avant l?arrivée de ces deux déesses.

    Je fis alors la suggestion de nous déplacer un peu plus vers l?arrière où se trouvait un petit salon privé et ainsi de nous mettre à abri des regards indiscrets. Ma suggestion ne requit aucune réponse. Nous avions tous trois la même pensée.

    J’ai alors pris les trois assiettes dans mes mains et me suis dirigé vers l?endroit. Valérie m?arrêta en plein milieu de la salle à manger et Annie, qui me suivait, se serra contre moi et me dit à l?oreille de ne pas bouger si je ne voulais pas échapper les assiettes et toutes les bonnes choses qu?elles contenaient. Je la sentis relever son chemisier, m?entourer de ses bras et se coller sur moi. Elle avait les seins chauds et les bouts durcis par l?excitation et le désir de poursuivre un peu plus loin ce petit jeu qui s?était installé entre nous.

    Valérie me barrant le chemin se pencha vers l?avant, se mit à genoux et entrepris de défaire mon pantalon. En moins de temps qu?il ne faille pour le dire, je me retrouvais, les culottes à terre, avec une main qui s?insérait dans mon slip à la recherche de mon pénis déjà juteux de l?excitation des derniers moments. Sans crier gare, elle pris le bout entre ses lèvres, le suçant doucement, puis tout le gland, suçant de plus belle, le mordillant même au passage. Pendant ce temps, Annie m?avait relevé la chemise et je sentais déjà la pointe de ses seins me perforer le dos tellement elles étaient dures et empreintes au désir charnel le plus fou. Valérie, toujours occuper à me sucer et me lécher le membre, qui lui prenait des proportions jamais égalées, commença un mouvement très lent de va et vient, pris de l?autre main mes testicules et se mit à jouer avec comme s?il s?agissait de boules chinoises, les faisant tournoyer dans sa paume, les écrasant doucement à l?occasion. Plus le temps avançait, plus elle suçait avec énergie et plus j?avais de la difficulté à tenir les assiettes. Pendant ce temps, Annie toujours collé à moi, me mordillait l?oreille, me léchait la gorge, me parcourait le torse de ses mains douces et agiles, griffant au passage mes chairs en transe, triturant mes mamelons qui eux aussi étaient durcis de plaisir. Elle me donnait des frissons incroyables. Valérie ne se lassait pas de déguster ma verge. Elle me donnait ainsi un plaisir. Je me sentais les couilles bouillir sous ses caresses. Ma queue avait alors des proportions inhumaines. Plus elle me suçait, plus la queue me grossissait. C?était tellement délicieux d?être ainsi traité que j?en perdais presque la notion du temps.

    Annie me dit alors à l?oreille; Allez mon beau, fais-lui le plus beau cadeau qu?un homme puisse lui faire. Cette belle suceuse a le goût de boire tout ce que tu pourras lui éjaculer dans la bouche. Allez, allez, viens mon grand, laisses-toi aller et dis à cette belle queue de venir très fort, de lui gicler tout ce qu?elle a. C?est sa fête et ma copine veut tout avoir, elle veut tout boire, jusqu?à la dernière goutte. Sur ces derniers mots je ne pus me retenir, me vidant les couilles au fond de sa gorge en plusieurs jets. Lorsqu?elle me senti venir, elle me pressa les couilles afin de ne pas m?en laisser une seule goutte qu?elle n?aurait pas dégustée. J?entendis une voie lui dire: Encore, je veux t?en donner encore, continue, il m?en reste encore un peu… OUI! … AH! Que c?est bon !

    Mes esprits à peine repris, je m?aperçus qu?Annie, me sentant venir, avait sécurisé les assiettes pour ne pas que toute cette bouffe ne se retrouve dans la chevelure de Valérie. Je me sentais les couilles complètement vidées, voir presque asséchées tellement elle en avait si savamment extrait tout le jus. Elle avait sucé tellement fort, tellement bien que j?aie l?impression qu?elle était venue m?en chercher une partie du cerveau et qu?elle avait avalé le tout. Je me sentais flotter dans les nuages.

    Annie me remit alors les assiettes dans les mains et alla embrasser à pleine bouche sa copine afin de me goûter à travers ce mélange de langue. Ce baiser dura plusieurs minutes et toutes deux semblaient savourer la semence soutirer de cet homme qui se tenait toujours devant eux. Puis, se retournant et me voyant toujours, la queue à l?air, encore bandée suite au plaisir reçu, debout en plein milieu de la place, elles éclatèrent de rire. Ne pouvant pas vraiment bouger ayant toujours les assiettes dans les mains et les pantalons sur les chevilles, Annie s?approcha pour me prêter main forte. Arrivé à la hauteur de mon pénis, elle ne put s?empêcher d?y donner un petit coup de langue et lui dire : tu ne perds rien pour attendre mon beau. ?a va être mon tour tout à l?heure, et crois-moi, tu n?es pas près d?oublier tout le plaisir que je vais te donner. Puis elle l?enfourna sans crier gare, l?avala d?un trait jusqu?au fond de sa gorge en me prenant les fesses à pleines mains afin de s?assurer qu?elle n?avait rien laissé à découvert et qu?elle en sentait bien le gland planté profondément entre ses dents.

    Elle remis mon pantalon en place et nous reprirent tous trois le chemin du petit salon. Tout en commençant à déguster ce plat délicieux dont nous n?avions pas vraiment besoin des propriétés aphrodisiaques pour imaginer tout ce que nous ferrions subir aux deux autres dans les minutes qui viendraient, je me dis qu?il était peut-être temps d?aller voir ce qui se cachait dans ces corsages si invitants.

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