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Une poudre extatique – Chapitre 1




?a fonctionne à tout coup, je te le jure@E@ Ne rigole pas. C’est un ingrédient tiré d’une recette plusieurs fois millénaire découverte dans une grotte aux Indes… Un aphro unique@E@

Dans une boutique miteuse et sombre, Bouba me tendit la petite fiole verte opaque contenant une poudre mystérieuse qui, selon lui, rendrait toute femelle à la merci de ses plus bas instincts, et qui l’entraînerait , sans qu’elle ne puisse rien y faire, à ressentir des chaleurs subites, à entrer dans une trance profonde, à se dévêtir maladroitement en se touchant pour calmer temporairement ses désirs et à se coller frénétiquement sur le premier venu pour guider ses mains, sa bouche ou son sexe vers ses parties intimes qui subiraient à ce moment des démangeaisons que seules des caresses intenses réussiraient à soulager. Après, le sujet sombrerait dans un court sommeil réparateur.

Ces presque en ces termes que Bouba m’expliqua la séquence d’événements qui suivraient l’ingestion d’un soupçon de son produit, que la femme soit consentante ou non. Moi qui ne baise qu’à tous les trois ou quatre ans et dans des circonstances hasardeuses, c’est ce qu’il me fallait. La vie ne m’a jamais gâté côté sexe. Une éducation austère dénuée de toute émancipation personnelle, un physique ordinaire, une personnalité effacée, bref, mon destin ne m’accordait rien de bien excitant pour la drague. De ce côté, je suis pratiquement encore puceau. Jusqu’à présent, quelques aventures qui ne valent pas la peine d’être racontées car elles en feraient rire plus d’un.

Je ressentais cependant un envi plus prononcé ces derniers temps pour la baise, histoire de ne pas louper ce que la vie peut offrir. Des occasions, j’en ai déjà refusé plusieurs par manque de confiance et j’étais maintenant résolu à reprendre le temps perdu, ce qui explique ma visite chez ce vieux chamane indien qu’un copain m’a recommandé..

    *

    La dernière aventure qui m’est tombée du ciel, poursuivit Bouba, c’était avec une femme dont j’ai dû vérifier l’âge, craignant qu’elle ne soit pas encore majeure. T’imagines, moi, le vieux Bouba, frisant la soixantaine avec une jeunotte qui me sautait dessus@E@ Et quelle déesse@E@ Une blonde au yeux bleus avec une peau de satin. Je m’y serais frotté jusqu’à ma mort. Avec la poudre, elle était devenue insatiable@E@ À la fin, elle était exténuée comme moi, mais elle en redemandait encore. Je n’ai jamais connu de meilleurs moments. Maintenant, je peux mourir.

    * Bon, bon. Il en mettait, le Bouba, mais il me regardait comme s’il enviait déjà ce qui allait m’arriver.

    *

    * Et c’est combien, ta mixture@I@

    * Tu ne le croiras pas. C’est bien parce que c’est ta première fois. Deux cent dollars US seulement…

    * Quoi@I@@I@ Pour ça@I@ On dirait que tu as trouvé ta bouteille dans les rebus. C’est tout sale. Et qu’est-ce qu.il y a là-dedans@I@

    * Hé@E@ Il faut que tu comprennes que je veux pas qu’on retrouve ma trace. Je ne connais pas ma clientèle si bien que ça, je dois me protéger. Mais l’intérieur du contenant est très propre, je ne joue pas avec ça. La recette est suivie à la lettre. Et puis, il y a des ingrédients qui sont difficiles à trouver de nos jours. ?coute, ça va changer ta vie. Et puis je te rembourse tout si ça ne marche pas. D’accord@I@

    * Ouais… Peut-être… Alors 150$@I@

    * ?a, je peux pas. C’est déjà une aubaine. Je te le dis, je te rembourse si ça va pas.

Dans ces conditions, je n’avais pas grand chose à perdre.

    *

    Mais dis-moi. Il n’y a rien de dangereux dans ta poudre, au moins@I@

    *

    Sois sans crainte. Je ne te dévoilera pas la recette, bien entendu, mais je peux te dire qu’il y a de la poudre de cantharide, des écailles d’oeufs, plusieurs herbes cueillies à certaines périodes précises, des champignons sauvages séchés et bien d’autres choses dont certaines sont très rares. Mais tout ce qui a de plus comestible. ?a fait deux ans que j’en vends et je n’ai jamais eu de problème.

J’ai pris le risque. En sortant de la boutique, j’étais anxieux d’essayer le produit, comme un grand-père qui venait de s’acheter une dose de viagra. Je commençais presque à avoir des papillons dans l’estomac. Mais ce n’est pas moi qui devait prendre la poudre, ce qui posait peut-être un problème technique. Comment allais-je m’y prendre pour en faire avaler@I@ Il fallait surtout agir discrètement car droguer quelqu’un à son insu était passible d’un emprisonnement sérieux.

Je m’étais donné une règle, ne pas forcer les occasions, simplement profiter de celles qui se présenteraient et qui n’étaient pas risquées. Elles n’étaient peut-être pas si rares que ça, il suffisait d’être plus attentif, me disais-je, et de toujours disposer d’une petite dose de poudre à portée de main.

La première occasion eu lieu chez le dentiste deux jours plus tard. À l’accueil, la réceptionniste me demanda d’aller dans la salle d’attente attenante, ce que je fis. Là se tenait assise une femme dans la jeune cinquantaine, selon toute apparence, affairée à la lecture de sa revue en sirotant un café. À mon arrivée, elle me jeta un coup d’oeil furtif et replongea aussitôt dans son article, comme si ma présence ne l’intéressait vraiment pas.

Son habillement me faisait penser qu’elle pouvait être une secrétaire de direction. Cheveux bruns attachés en chignon avec boucles descendant sur les côtés de son visage fin, colliers et boucles d’oreille de perles, lunettes noires fines, chemise de soie légère beige à manches longues et collet boutonné au cou, jupe longue noire et moulante, bas nylon foncés et souliers à talons hauts. Elle paraissait svelte et très jolie. Ses yeux noirs étaient perçants, un peu en amande avec de longs cils sur les paupières. Sa poitrine était généreuse mais bien proportionnée. Une dame distinguée, quoi.

Elle était très attirante malgré un aura austère qu’avait trahi sa réaction en me voyant entrer. Je pris place à côté d’elle, une table supportant une pile de revues nous séparant. J’en pris une machinalement pour tuer le temps. Au bout de cinq minutes, la femme se leva sans me regarder, enleva son manteau, le mit sur son bras et se rendit aux toilettes à l’autre bout de la pièce. Je dois avouer qu’elle avait un déhanchement de mannequin. De longues jambes avec des fesses arrondies qui paraissaient fermes.

Jusque là, je n’avais pas songé à me servir d’elle pour essayer ma poudre. Cette réflexion soudaine me fit l’effet d’un coup de masse dans l’estomac. C’est le destin, me dis-je. Seul dans la pièce avec une beauté mature qui quitte temporairement et qui m’offre son café pour que je la drogue à son insu. Qu’avais-je besoin d’autre@I@ Sans plus réfléchir, je saisis rapidement un petit sachet dans la poche de mon manteau et versa la poudre mystérieuse dans le café. Comme j’agissais nerveusement, j’en échappait un peu à côté du verre.

En soufflant sur la table, la femme ouvrit la porte au même moment. Je feignis alors de fouiller les revues. Elle revint s’asseoir après avoir déposé son manteau sur le bras de son siège. Je remarquai alors son parfum discret qui me faisait penser à un mélange de rose et de patchouli. Décidemment, cette femme était très désirable. Le dentiste finit par ouvrir la porte de son bureau pour appeler la dame, sans doute, lorsqu’une fillette pleurant à chaudes larmes entra brusquement accompagnée de sa mère.

    *

    Docteur, ma fille se meurt de douleur aux gencives depuis ce matin. Il faut vite faire quelque chose, elle n’arrête pas de crier. C’est une dent en bas à droite.

Le dentiste ouvrit la bouche de la fillette et y jeta un coup d’oeil en fronça alors les sourcils.

    *

    D’accord, venez, nous allons voir ça.

Avant de quitter, le dentiste nous demanda de patienter encore un peu compte tenu de la situation. La dame regarda sa montre et parut vexée, mais n’avait pas le choix d’acquiescer. Nous nous retrouvâmes encore seuls dans la pièce. La dame reprit sa revue, puis but une gorgée de son café. Voilà le moment que j’attendais. Il ne me restait qu’à observer. J’avais hâte de voir combien de temps il fallait pour que la poudre fasse son effet, si effet il y avait.

Cela faisait environ 5 minutes que la gorgée était bue et toujours rien. Je me mis à penser que peut-être ce Bouba n’était qu’un escroc. Non, tout de même, il me rembourserait si ça ne marchait pas. Oui, mais il avait peut-être changé d’adresse après avoir escroqué 4 ou 5 mecs comme moi. ?a y est, j’étais convaincu que je m’étais fait avoir. Sa boutique était sans doute déserte à l’heure qu’il est.

On entendait la fillette pleurer dans la pièce d’à côté avec le dentiste, la mère et la secrétaire tentant de la calmer. On en a encore pour un bout de temps, me dis-je. Je m’apprêtais à changer de revue, lorsque je me rendis compte que la femme à mon côté fixait la sienne, avec des yeux grands ouverts et des respirations accélérées. En fait, elle ne lisait pas.. Elle était comme figée. Pourvu qu’il ne lui arrive rien de grave, me dis-je. Il me semblait que son front perlait quelque peu. Oui, ça ne faisait aucun doute, la poudre agissait.

Avec un regard toujours lointain, la femme se mit à déboutonner son col de chemise et l’agitât comme pour s’aérer la poitrine. Elle se mit à s’humecter les lèvres avec sa langue. Puis, elle eut comme une reprise de conscience. Elle me regarda brièvement se rendant compte qu’elle n’était pas elle-même. Elle se leva brusquement et alla se désaltérer dans les toilettes. Lorsqu’elle revint, elle parut mal à l’aise. Sa respiration était toujours rapide et une goutte de sueur se voyait maintenant sur sa tempe. Elle reprit une revue et se mit à tourner les pages rapidement. Puis, elle arrêta, posa à nouveau son regard au loin les yeux grand ouverts et de sa main droite, défit deux autres boutons de sa chemise. De toute évidence, elle perdait le contrôle et n’était plus maître de ses actes.

Son soutien-gorge léger était maintenant bien en vue. C’est bien ce que je croyais, des seins très bien conservés pour son âge. Elle passa à nouveau sa langue sur ses lèvres, entra sa main à l’intérieur de sa chemise et débuta des mouvements circulaires sur son sein gauche. Elle échappa un faible râlement de satisfaction. À ce moment, mon membre se mit à durcir.

Et si quelqu’un entrait@I@ Je regrettais presque mon geste maintenant. C’était devenu risqué. Je sortis vérifier s’il y avait quelqu’un dans le corridor de l’édifice. Personne.

Je revins à ma place. La femme se frottait maintenant l’entre-jambe de sa main gauche en se dandinait les fesses sur son siège. Puis, elle se tourna vers moi et je vis dans son regard presque un appel à l’aide, comme si elle était consciente de ce qu’il lui arrivait et qu’elle n’y pouvait rien. Mais ses bas instincts reprirent le dessus rapidement et elle se mit à sourire en fronçant les sourcils. Là, je compris qu’elle voulait que je participe à la fête.

Elle enleva ses lunettes et se leva pour me venir me trouver. Devant moi, elle releva sa jupe et vint s’asseoir d’un bond sur mes cuisses, ses deux genoux à mes côtés. Sans hésiter, elle prit ma tête à deux mains et m’embrassa en introduisant sa langue dans ma bouche. J’étais éberlué et mal à l’aise, mais instinctivement je répondis à son initiative avec ma langue. Cela provoqua chez elle une réaction de satisfaction car elle émit d’abord un faible murmure aig?e, puis guida ma main gauche pour l’amener sur sa poitrine. J’entrepris de lui frotter les seins en prenant bien soin de frôler délicatement ses tétons qui raidissaient sur-le-champ. Des murmures de plus en plus audibles s’échappèrent de ma partenaire. Puis, elle se releva la tête et les yeux fermés, sembla profiter pleinement du moment en se pinçant le lèvres..

Je sentais que son désir augmentait toujours plus. Elle se mit à se frotter le bassin sur mes cuisses et se passa une main sur son sein et l’autre sur son sexe avant de m’inviter à prendre la relève. J’amorçai des mouvements lents sur son bas-culotte au niveau de son clitoris. Là, elle se remit à m’embrasser plus sérieusement en tournoyant sa langue sur la mienne et en se dandinant plus fort tout en gémissant. Son sexe était déjà tout humide et prêt à recevoir son dû. Mon membre était, lui, bien tendu. En fait, il y avait longtemps que je ne l’avais pas senti aussi dur.

La femme se mit à fouiller la fermeture-éclair de mon pantalon. Là, je me dis qu’il fallait trouver un endroit plus discret pour terminer notre projet. Le seul qui me vint à l’esprit était la salle de toilette. J’agrippai la femme par le bassin, traversai la pièce en coup de vent et refermai la porte des toilettes derrière nous. Là, la femme s’affaira immédiatement à enlever mon pantalon. En même temps, je lui soulevai la jupe pour la dégager de son bas culotte et son slip. La sensation de mes mains glissant sur sa peau satinée et chaude rendit mon membre tendu comme du roc.

Il y avait un tabouret à côté du lavabo. Je m’empressai de m’asseoir dessus, entraînant avec moi la femme qui, comprenant la manoeuvre. se dépêcha d’enlever complètement sa chemise et son soutien-gorge en affichant un large sourire. J’en profitai pour me dévêtir totalement. En voyant mon membre dressé à la verticale, elle se baissa et le prit de ses mains d’un geste vif. Elle se mit à le caresser délicatement comme si elle accomplissait un rituel. Elle le regarda comme un trésor qu’elle découvrait après des années de recherches intenses. Elle baissa la tête en ouvrant la bouche et se mit à tournoyer sa langue ensalivée sur mon gland. Ensuite, elle l’engouffra complètement jusqu’au fond de sa gorge et lui donna quelques va-et-vient pour s’assurer que tout était en règle pour le grand assaut.

Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux avec un air de guerrière, ce qui lui conféra une exquise sensualité. Elle se leva lentement en maintenant son regard sur mes yeux et vint s’asseoir sur moi. Elle prit mon pénis de sa main et le guida jusqu’à l’ouverture de son vagin. Avant de s’empaler dessus, elle m’embrassa langoureusement, prit mes mains et les entraîna sur ses seins. Elle prenait totalement le contrôle des manoeuvres. Comme je me mis à caresser sa poitrine, elle s’enfonça très lentement sur mon membre. Son sexe était étroit mais abondamment lubrifié. La lente pénétration me procura une sensation indescriptible de bien-être. Nous étions comme deux adolescents à leurs premières expériences.

Elle se tint un instant la tête relevée, les yeux fermés, la bouche mi-ouverte et poussa un soupir profond, comme si elle venait d’obtenir une victoire. Après quelques secondes, elle mit ses mains sur mes épaules et entreprit une cadence des plus jouissive. Elle releva son bassin lentement pour bien sentir mon membre glisser sur ses parois serrées, puis, dans coup sec, se laissa choir sur mes cuisses. Elle recommença plusieurs fois, mais de plus en plus vite. J’avais l’impression que sa technique avait pour but de siphonner mon sperme le plus rapidement possible. Ayant compris la manoeuvre, je lui empoignai les fesses et accentuai les mouvements, ayant plus l’impression que c’était moi qui la défonçait. Je n’ai pas mis de temps pour décharger un flot de sperme jusqu’au plus profond de son antre. En ressentant se faire bourrer de la sorte, elle se mit à gémir des cris de satisfaction et de victoire témoignant d’un orgasme violent. Ma jouissance fut des plus totales. Je me concentrai sur la sensation que me procurait chacune de mes décharges.

Après la tempête, nous nous retrouvâmes enlacés, mon membre au repos mais toujours enfoncé dans son intimité. La femme paraissait comblée. Elle entreprit de m’embrasser tendrement pendant plusieurs minutes comme pour me remercier. Puis, elle se mit à dodeliner de la tête, comme si elle avait pris des somnifères. Elle déposa sa tête sur mon épaule et s’assoupit.. C’est terminé, me dis-je.

Je me relevai et la stabilisa sur le tabouret en l’appuyant sur le lavabo. Je m’habillai rapidement et m’efforçai ensuite de lui remettre tous ses vêtements. Lorsque j’eus fini, une personne fit son entrée dans la salle d’attente. J’entrouvris la porte pour me rendre compte de la situation et constatai que l’homme qui venait d’entrer franchissait la porte du bureau de la secrétaire. Je n’hésitai pas une seconde et prit mes jambes à mon cou pour sortir de la salle.

Je courus plusieurs coins de rue avant de ralentir. Je l’ai échappé belle car je n’ai jamais entendu parler de cette aventure par la suite. La femme ne m’avait donc pas recherché. J’ai dû faire plus attention les fois subséquentes.

À suivre…

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