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Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise – Chapitre 9




CHAPITRE 18

— Aujourdhui, cours de jardinage !

Caroline, la poitrine serrée dans un chemisier blanc et les jambes habillées dune jupe bleue se tenait droite devant son bureau.

— Nous allons apprendre à biner la motte. Comme je ne peux pas moccuper de vous tous en même temps, je ne prendrai que les quatre garçons. Les filles, je vais vous donner dautres activités. Cerise et Florence, vous apprendrez à vous servir dun tuyau darrosage. Toi, Gwendoline, comme tu nas encore rien compris de la fois dernière, tu prendras Oscar et tu réapprendras ton cours danatomie.

— Bien madame, fîmes tous en chur.

Je naimais pas apprendre ce cours ! La dernière fois, Caroline mavait punie le cul nu ! Je regardai mes jambes et je vis que ma jupe avait disparu. Jétais à moitié nue.

— Alors Gwendoline, avance au tableau et récite ta leçon.

— Mais je suis presque nue !

— Et alors ?

— Bien madame.

Javançai au tableau et commençai ma récitation mais arrivée à la hauteur des hanches, je vis un os rose qui napparaissait dans aucun manuel danatomie. Et je ne connaissais pas le nom de cet os !

— Bien et maintenant, los rose. Je veux son nom !

— Je ne sais pas ! Je ne lai jamais vu !

— Impossible ! Tout le monde le connaît. Florence, donne-moi son nom !

— Sexus vibratus !

— Bien ma petite Florence. Comme récompense, tu te feras lécher par Cerise. Quant à toi, Gwendoline, penche-toi.

— Bien madame.

Je me penchai et Caroline arriva derrière moi !

— Comme tu as mal répondu, ce sera le chemin des écoliers. Recule !

Je reculai et sentis los entrer en moi.

— maintenant, tu vas me réciter tous les os jusquà ce que je te dise darrêter. Mais pour corser la punition, je vais mettre le mode vibration. Tu connaîtras le vrai sens du mot vibratus.

Je commençai à réciter lorsquelle appuya sur un petit bouton. Les mots devinrent un peu hachés. Pendant ma récitation, elle soccupa des deux autres filles.

— Mes belles couchez-vous les jambes écartées. Je vois que tu ne tes pas épilée Cerise !

— Je nai pas eu le temps madame.

— Comme punition, tu devras te raser devant tout le monde dans la cour ! Et toi Florence ? Parfait ! Cest bien lisse. Bon, maintenant passons à lexercice, vous voyez les deux tuyaux ? Dès que je le dirai vous devez prendre le bout qui ressemble comme deux gouttes deau à des phallus et vous vous lintroduirez. Il y a quarante mètres de tuyau et je veux que vos petites mottes les avalent sans problème. Compris.

— Oui madame, firent-elle en chur.

— Dans ce cas allez-y. Bon, les garçons, je vais vous apprendre à biner une belle motte. Mais auparavant, dégager votre poireau que je vérifie sils ont la bonne taille car trop petit cela ne servira à rien.

Elle saccroupit et chacun à leur tour, ils senfoncèrent dans la bouche de Caroline. Leur poireau était monstrueusement long et épais mais elle les avalait sans peine.

— Parfait, quatre poireaux bien grands et gros.

Elle se déshabilla, sassit sur son bureau et écarta les jambes.

— Rodrigue, viens me biner la motte. Et surtout applique-toi. Si je jouis, tu auras deux points de bonus. Et surtout, je ne veux quaucun dentre vous lâchiez votre engrais dans ma motte sinon vous viendrez en retenue ce soir chez moi !

Chacun à leur tour, ils sintroduisirent en elle. Leur poireau à chaque fois augmentait. Ils devenaient presque monstrueux. Quant à moi, le sexus vibratus mapportait une certaine excitation mais pas plus. Cest frustrée que je récitais les os de lanatomie humaine.

Caroline jouit sous les coups de binage de Rodrigue. Elle le gratifia de la cote maximale.

— Ce fut bon mais il vous reste encore à apprendre beaucoup de choses. Le binage est un art qui sacquiert au bout de longues pratiques. Pour votre peine, je veux que vous me preniez tous ensemble.

— Mais madame, nous somme quatre et il ny a que trois places.

— Pour qui me prends-tu ? Je le sais ! Pour ta punition, tu iras biner cette chère Gwendoline. Je veux lentendre crier. Rodrigue vient te coucher sur le bureau.

Rodrigue obéit et Caroline accroupie vint sempaler sur lui. Le poireau de Rodrigue entra tout entier dans le chemin des écoliers. Le deuxième se présenta devant elle et sintroduisit dans la voie normale. Le troisième, lui, se plaça devant la bouche de Caroline qui lavala sans peine tout entier.

Le quatrième se mit en face de moi.

— Redresse-toi !

Ce que je fis. Je massis presque sur le sexus vibratus et tout à coup il me souleva par la taille et mempala sur son poireau qui avait encore grossit. Jétais prise par devant et par derrière. Son poireau monstrueux memplissait ma motte. Le plaisir arriva.

Cerise et Florence avait réussi à faire avaler à leur motte les quarante mètres de tuyau. Aussitôt, lallumage automatique de larrosage sactiva et cest dans un jet continu quelles mouillèrent leur motte déjà humide par la rosée.

Cela provoqua la montée de sève des trois étudiants. Le mien binait sans cesse et je sentis que lengrais allait être délivré.

Caroline ne savait où donner de la tête et elle leur dit :

Venez marroser. Jai besoin de votre engrais dans ma bouche.

Ils se retirèrent ensemble de leur motte respective et se mirent en face delle. La bouche grande ouverte elle se présenta devant les trois légumes prêts à faire jaillir leur engrais.

Chacun à leur tour, ils envoyèrent leur engrais dans la bouche de Caroline. Elle avala tout. Heureusement, car elle nous avait prévenu que cet engrais tachait et quil coûtait assez cher pour le gaspiller.

Le mien binait toujours ma motte qui shumidifiait sans cesse. Je sentis quelle allait exploser et je lui en fis la remarque mais il ne sarrêta pas. Une grosse boule envahit ma motte et je criai en même temps que son engrais arrosa ma motte.

Jouvris les yeux.

Le jour se levait doucement. Javais une main presque enfoncée dans mon sexe tout baveux et le ventre complètement endolori.

Le temps de me rappeler où jétais que je regardai ma montre. Il fallait que je parte sinon jallais arriver en retard. Lorage tant attendu avait éclaté aussi bien en moi que dehors. La chaleur accumulée avait fini par céder et avait libéré les eaux salvatrices.

Je me levai, allai me rafraîchir et passai devant la chambre de mon hôte. Cerise et Marie étaient enlacées dormant du sommeil des justes. On lisait sur leur visage que la nuit fut remplie de plaisirs et surtout damour.

Je venais de perdre un probable amour mais je gagnais deux amies.

Je fis un petit mot en les remerciant et je partis prendre le premier tram.

CHAPITRE 19

Jétais en train de manger lorsque je vis Jacques arriver.

— Bonjour, fis-je.

Il grommela quelque chose entre ses dents. Il sassit, se servit une tasse de café et me dit :

— Caroline ne vous a rien dit pour le système dalarme ?

Un peu surprise, je réussis à cacher mon trouble et répondis :

— Elle ma montré larmoire dans laquelle se trouve le système mais rien de plus. Pourquoi ?

— Pour rien ! Pour rien ! Euh Où se trouve la clé pour ouvrir cette armoire ?

— Sur larmoire !

— Ah ! Parfait !

— Il y a un problème ?

— Non mais enfin, rien dimportant.

Je compris quil se doutait que le film de ses ébats avait été pris par les caméras du système de sécurité mais qui lavait copié, il nen savait rien.

— Ce soir, je ne serai pas là !

— Bien !

Emma arriva. Je fus surprise de la voir et encore plus lorsquelle me fit la bise en me disant bonjour.

— Bonjour, fis-je. Comment vas-tu ?

— Super bien ! Et toi ?

— Bien, merci !

Elle sassit à mes côtés. Elle portait une mini jupe écossaise. Ostensiblement, elle la remonta de sorte que je vis quelle ne portait rien en dessous. Je souris en le voyant.

Je buvais mon café lorsque je sentis sa main glisser sur ma cuisse et remonter vers mon petit abricot tout lisse. Je sursautai. Je la regardai et dautorité, elle me prit la main droite et la plaqua contre son sexe déjà tout humide.

Tout de suite, une vague de chaleur menvahit ainsi que deux doigts inquisiteurs dans mon antre. Je fis de même et je la branlai lentement.

Nous étions toutes les deux en face de Jacques qui lisait son journal impassiblement. Nos doigts prirent le même rythme et je faillis lâcher un petit cri lorsquelle appuya son pouce sur mon clitoris. Je limitai.

La peur de se faire surprendre par le père stimulait nos sens. La maison entière devait entendre le bruit assourdissant de mon cur. De temps en temps, un léger clapotis se faisait entendre.

Nous allions jouir lorsque jacques vida sa tasse, se leva et en nous regardant dit :

— Ca va Emma ? Tu es toute rouge.

— Oui ! fit-elle en reprenant son souffle. Jai énormément chaud. Toi non ?

— Cest vrai que le chauffage est un peu trop fort. Bon, je dois y aller.

Il partit sans un au revoir. On attendit que la porte se ferme. On se fit face.

— En quel honneur fis-je toujours deux doigts en elle et massant encore plus son clitoris ?

— Merci pour Steve !

— De quoi ?

— De le déniaiser. Cest chic de ta part.

— Cest venu normalement dis-je en hachant un peu mes mots.

— Je croyais que tu ne voulais que notre fric !

— Au début oui mais jai appris à vous connaître ! Dailleurs, jallais te rendre largent que tu mas donné.

— Garde-le ! Ce sera ton salaire pour initier mon frère à des jeux plus sains que de se branler.

— Tu vas me faire

— Jouir ? Toi aussi !

— Embrasse-moi !

Nos lèvres se joignirent dans le même élan et nos langues se rencontrèrent. Le baiser fut profond, long et terriblement sexuel. Je la voulais tout entière.

La jouissance nous surpris en même temps. Ce fut bref mais intense.

— Merci ! fis-je.

— La prochaine fois, si tu le veux bien, je préfèrerais le faire dans un endroit plus confortable.

— Ce sera avec plaisir.

— Ok ! Steve ne doit pas savoir notre petit arrangement. Déjà quil hésite entre ce garçon et sa nana.

— Laisse-lui le temps ! Il choisira peut-être.

— Ou pas du tout comme moi et toi !

— Moi ?

— Je tai vue avec maman. Je sais que votre petit week-end fut, comment dirais-je, très chaud. Je sais quelle adore le sexe.

Décidément quelle famille. Je déniaisais le fils, gamahuchais avec la fille et la mère. Il ne restait que le père mais celui-là allait payer.

— Je file ! Rodrigue mattend. Au fait, il fait divinement bien lamour, non ?

— Tu le sais ?

— Cest moi qui lui ai dit que tu aimerais. Je ne me suis pas trompée ?

— Non !

Elle membrassa sur la bouche et partit en souriant.

Deux minutes plus tard, Steve arriva le regard béat et la bouche bée.

— Ca va Steve ?

— Oui ! Regarde !

Il me présenta son gsm. Un message était affiché sur lécran.

« Rendez-vous demain soir. Tout le monde sera là ! Bisous »

— Cest Amandine.

— Amandine ?

— Ma copine. Hier, jétais chez elle dans sa chambre en train de réviser.

— Juste réviser ?

— Oui ! Je ne sais plus comment on en est arrivé là mais on a parlé de Thomas. Le mec qui me fait

— Bander ?

— Oui mais pas que cela. Bref, je lui ai tout raconté : mon attirance pour lui, mon manque dexpérience, la totale.

— Comment elle a réagit ?

— Bien ! En fait, elle sen était rendu compte depuis quelques temps car elle me voyait le regarder drôlement. Elle ma alors demandé si je voulais quelle organise une rencontre entre lui et moi. Jai dit oui tout de suite mais javais peur quil ne partage pas mes attentes. Elle a pris son gsm et a téléphoné à sa meilleure amie qui nest que la copine de Thomas. Elles ont parlé de choses et dautres. Puis, sans aucune gêne, elle lui a parlé de moi. Jétais tellement excité que je nai même pas pensé quelle racontait en fait lhistoire de ma sexualité à une autre. Je bandais comme un malade. Ce fut pire lorsque Amandine a glissé une main dans son pantalon et sest caressée en me regardant droit dans les yeux tout en téléphonant.

— Ta copine nest pas un peu salope sur les bords ?

— Je crois que oui mais le plus hard cest que cétait son amie qui lui disait de le faire. Amandine a mis le haut-parleur et jai entendu sa copine raconter ce quelle était en train de se faire et surtout ce quelle lui ferait la prochaine fois.

— Elles sont gouines ?

— Non, elles aiment les deux sexes. Elles jouirent presque en même temps et je dois dire que jai presque juté dans mon boxer. La copine lui a promis de faire son possible pour notre rencontre. Ensuite, après avoir raccroché, Amandine est venue vers moi, a défait ma braguette et a glissé sa main dans mon boxer. Javais le cur qui allait exploser.

— Rien que cela, fis-je la mine boudeuse.

— Tais-toi ! Laisse-moi raconter. Je me suis retrouvé très vite le pantalon sur les chevilles et Amandine qui me branlait lentement. Cétait incroyable ! Cest la première fois quune autre main que la mienne tenait ma bite. Malheureusement, jai joui très vite. Amandine en avait plein les doigts.

— Et elle a réagi comment ?

— Elle ma sourit et a commencé à lécher sa main en me fixant. Puis elle ma dit :

« Tiens ! Goûte ! Si tu aimes les mecs il faudrait mieux que tu aimes avaler. Moi, jadore. Et je dois te féliciter car tu as résisté longtemps avant de juter. Jai connu dautres mecs qui aurait juté dans leur froc rien quen me voyant me branler. »

— Jai attrapé sa main et un à un jai sucé ses doigts lentement.

— Et ?

— Et cest vachement bon ! Toi, tu avales aussi ?

Je faillis étrangler de travers.

— Mais cela ne te regarde pas !

— Pardon ! dit-il gêné.

— Et ensuite ?

— Elle a essuyé sa main et ma dit :

« Si tu couches un jour avec Thomas, je veux que le jour daprès tu viennes tout me raconter et je te donnerai un cadeau. »

« Lequel ? »

« Je coucherai avec toi ! Ainsi tu verras la différence ! »

« Daccord »

— Ben mon vieux, dire quil y a un jour ou deux tu manquais dexpérience.

— Il y a juste une chose qui me chiffonne.

— Laquelle ?

— Comment on fait une fellation ?

— Ben avec la bouche ! Mais ne compte pas sur moi pour te lapprendre. Je veux bien taider mais pas cela.

— Oh ! Dommage !

— Demande à ta copine, je crois quelle a déjà un peu dexpérience.

— Je ne la vois que demain soir !

— Tu verras, tu sauras le moment venu.

Il déjeuna la mine un peu déconfite et partit aux cours. En fait, javais une petite idée derrière la tête mais je ne voulais pas quil le sache.

Un orage violent éclata durant la journée et la venue des jardiniers fut annulée.

— Flûte ! Pensais-je. Jaurais bien aimé quils soccupent de moi comme ils ont fait avec Caroline.

Laprès-midi fut calme. Je fis un cd avec dautres images montrant Jacques avec sa pouffiasse de maîtresse. Cétait pitoyable. A un moment donné, il imitait le cochon ou plutôt je devrais dire le porc !

Jen avais presque la nausée. Le bouquet fut lorsquelle se mit nue sur le lit et dit :

« Appelle-moi Caroline ! Jespère que tu vas la foutre à la porte car jaimerais bien habiter ici ! La maison tappartient, non ? »

« Oui mais »

« Ecoute-moi bien sale porc, si dans un mois elle est encore là, je demanderai à des amis de soccuper delle. Tu sais ce que cest quune tournante ? »

« Non ? »

« Dans un endroit bien crade, une bonne femme se faire mettre par de nombreuses bites, bien entendu sans son consentement et sans ménagement. Ils ne la laissent que lorsquelle leur dit le mot magique. »

« Quel mot ? »

« Encore ! A partir de ce moment, elle ne les intéresse plus. Mais entretemps, elle sera leur sac à foutre et je peux te dire quelle débordera de partout ! »

« Mais cest immonde ! »

« Tes vraiment une couille molle. Je me demande si tu ne devrais pas remplacer la fille. Cela te ferait du bien ! »

« Non, pitié maîtresse ! »

« Alors lèche-moi et fais-moi jouir ! »

Jemballai le cd et y joignit le message suivant :

« Ca filme bien une caméra de sécurité ! Non ? Tu crois que ta bonne et ta femme seraient contentes de te voir ? Et ton patron ? Pour mempêcher de leur envoyer une copie, jaimerais que tu verses sur ce compte, disons deux mille euros, pour commencer ! Bien entendu, avant ce soir minuit ! »

Jajoutai un numéro de compte bancaire que je venais de créer sur internet, fermai lenveloppe et allai la glisser dans la boîte aux lettres de son cabinet de consultation. Grâce à la pluie et surtout à un parapluie, il ne verrait rien sur la caméra filmant lentrée.

Je savais que cétait du chantage et javais un peu honte de moi. Mon retour à la villa fit senvoler les quelques remords. Jacques était là.

— Gwendoline ?

— Oui, fis-je un peu inquiète.

— Vous pouvez mapporter un café sil vous plait ?

— Oui !

Quest-ce quil faisait là ! Avait-il compris que cétait moi la responsable du premier cd ? Un peu fébrile, je lui apportai la tasse. Le spectacle que je vis était des plus affligeants.

Il était nu, se branlant, la bave aux lèvres et le front luisant de sueur. Jen laissai tomber la tasse sur le sol. Aussitôt, il se jeta sur moi, agrippa mon chemisier et larracha.

— Tu fais moins la belle salope ! Tu es là tous les jours nue sous ton chemisier et sans culotte. Tu narrêtes pas de mexciter. Tu le fais exprès, hein salope !

— Mais vous êtes fou !

— Jaime lorsquune femme fait la difficile. Tu vas voir comme tu vas couiner de plaisir. Tu va enfin sentir une bonne bite. Ton cul doit être bien accueillant.

Il me prit par les épaules. Ce fut son erreur car je réussis à dégager mes bras et le repoussai. Je me mis rapidement debout. Il fut aussi prompt que moi mais, obnubilé par mes seins libres de tout entrave, il ne vit pas mon genou droit venir senfoncer dans ses couilles.

Il devint blanc, tomba à genou et sécrasa contre le sol.

— Salope !

— Ecoute-moi bien sale porc, tu me touches encore une fois et ce nest pas tes couilles que jexploserai. Et après ce que je te ferai subir, cest un de tes collègues qui devra te recoudre. Tu saisis ? Cela restera entre nous mais sache quau moindre geste équivoque ou la moindre parole déplacée, je balance tout aux flics ! Capice !

— Connasse !

— Tas rien compris !

Je pris son gsm et allais faire le numéro des flics lorsquil dit :

— Ok ! Tes vraiment la pire

Je ne me retins pas et un deuxième coup de pied atterrit juste entre son trou de balle et ses couilles. Mes chaussures pointues furent un peu abîmées mais lui aussi !

— Ainsi chaque fois que tu tassiéras, tu penseras à moi.

Je partis. Lui, gisant sur le sol, se tenant les couilles meurtries, sanglotait de mal.

Je gagnai ma chambre et la porte verrouillée, je pris une douche bienfaisante et calmante. Je ne me reconnaissais pas. Depuis mon séjour ici, javais pris de lassurance. Je nétais plus loie blanche dautrefois. Il allait payer le sale porc.

Séchée et rhabillée, je gagnai le bureau de Caroline. Lui était parti. Jouvris larmoire avec le système de sécurité et enregistra la scène sur un cd. Javais une preuve au cas où il aurait le malheur de retenter le coup.

Pour me remonter le moral, je pris mon gsm et fis le numéro de mon serveur de restaurant qui mavait donné tant de plaisirs le soir où javais reçu cette place.

Un sms de réponse fusa aussi vite. Il faut dire que le mien ne voulait quune réponse : oui ! Javais écris :

« Jai envie de ton chibre au garde à vous. Rendez-vous ce soir même heure même lieu que la dernière fois ! »

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