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Priscilia, cette nympho… – Chapitre 5




« Oh oui vas-y, encore ! Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ooooh putain que c’était bon, vide-toi dans ma bouche. »

J’ouvre les yeux, je suis toujours dehors sur la terrasse allongé sur cette chaise longue. Je me suis endormie devant ce film pornographique. Pourtant si bien, un homme faisant du hard avec deux femmes ! Qu’est-ce qu’elles ont pris par cet homme, qui n’était pas si bien monté que ça pourtant mais qui savait utiliser son sexe. Je n’en peux plus cependant, entre la vision que j’ai eue de mes parents, de ma mère dans cette position que je connais ci bien, la soumise, la soubrette, la salope très clairement qui a envie de sexe et ce film tellement hard, tellement chaud. Moi aussi je veux passer à la casserole, moi aussi je veux sentir un sexe entrer en moi. Je veux écarter les cuisses pour sentir un homme en moi, je veux avaler son foutre et le sentir couler le long de ma gorge.

Ce soir, je vais proposer à mes parents de sortir pour aller boire un coup dans un bar et à ce moment-là je trouverais bien un homme qui voudra me faire l’amour, même au bar ou sur la plage s’il le faut mais il faut qu’il me fasse l’amour, je veux qu’il me baise comme une chienne.

Je reprends petit à petit mes esprits, je coupe le film porno avant que mes parents ne tombent sur mon téléphone. J’enfile mon shorty que j’avais enlevé pour pouvoir bronzer correctement toute l’après-midi mais je le remets surtout pour éviter qu’ils voient les taches qui se sont formées sur le bas de mon maillot de bain, du moins de mon string. Je suis trempée, je suis mouillée. Je vais aller à la douche et commencer à me préparer au vu de l’heure qu’il est déjà ; dix-huit heures.

Je me dirige vers la porte-fenêtre du jardin et je vois mes parents dans la cuisine en train de préparer un apéro mais au vu de la quantité, ce n’est pas un apéro que pour nous trois.

« Nous attentons du monde ? » demandais-je.

« Ah ça y est, tu es réveillée ma chérie. Oui nous avons un couple d’amis qui est dans le coin ce soir et nous les avons invités à venir prendre l’apéro ce soir, ils viennent avec leur fils. Il doit avoir deux, trois années de plus que toi je crois. »

« Ah… cool, ils arrivent à quelle heure du coup ? »

« Ils arrivent dans trois quarts d’heure. Tu peux aller te préparer si tu veux, nous on va finir la préparation. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, je monte me préparer. Des amis qui viennent avec leur fils, c’est un programme qui peut m’arranger si cet homme est mignon je pourrais le faire croquer dans mon fruit dès ce soir et ici même. Il faut que je me prépare pour être une bombe. Je prends une tenue que j’avais mise exprès dans ma valise, une robe rouge avec un décolleté plongeant arrivant jusqu’au nombril laissant apparaître l’intérieur de ma poitrine. Et elle me remonte à mi-cuisse, ce qui donne une vue imprenable sur mes jambes que j’habillerais de talons hauts avec ce soir. Généralement, dans cette tenue, j’ai des résultats. Je ramène toujours un homme qui veut de moi dès le premier regard qu’il pose sur moi, ce soir je veux que ce soit la même chose.

Pour me calmer les idées, je prends toutes mes affaires et me dirige vers la salle de bain. Je commence à me déshabiller quand je pense, j’ai une illumination. J’ai oublié quelque chose dans ma valise. Un objet essentiel à ma survie même si ça ne compense en rien un sexe naturel mais j’ai oublié de prendre mon gode ventouse. Je suis en string, sein nu mais tant pis, de toute façon mes parents sont dans la cuisine. Je décide d’ouvrir la porte et d’aller le chercher. J’ouvre ma valise, ce qui est bien avec cette valise c’est qu’elle a un trou dans le fond que j’ai découvert juste avant de partir et où je peux cacher ce jouet merveilleux. Un gode de dix-sept centimètres de long mais surtout de cinq centimètres de diamètres. De quoi, m’écarter les cuisses et le sentir entrer en moi quand on a que ça sous la dent comme on dit. J’ouvre ma valise, je cherche au fond du trou en y plongeant ma main… mais là rien. Pourtant j’étais sûr de l’avoir mis dedans avant de partir. Je cherche encore et encore, je fouille dans toute ma valise, dans la chambre rien.

Je me pose sur le lit quelques instants en réfléchissant ou j’aurais bien pu le mettre ou même le perdre pour le coup mais je ne vois vraiment pas ce que j’en ai fait. Quelques secondes de réflexions après, une idée me vient en tête mais je n’espère pas le retrouver là-bas. Je sors de ma chambre, me dirige vers la chambre de mes parents et je commence à fouiller dedans. Dans la pièce il y a un lit posé directement au sol, une armoire avec miroir et une commode. Je fouille dans la commode rien du tout, je fouille dans le lit pas grand-chose à part des taches sur les draps. J’ouvre l’armoire rien du tout dedans mais en fermant la porte coulissante je vois plusieurs traces. Je vois plusieurs cercles sur la vitre à des hauteurs différentes. Ces traces ressemblent étrangement aux traces que peut laisser mon gode ventouse sur les vitres… Dans ma tête tout se chamboule. Mes parents auraient-ils découvert mon jouet dans ma valise. Je continue de chercher quand une idée me vient. Soulever le matelas. Je le fais, je soulève le matelas et surprise, mon gode est en dessous encore mouillé.

Mes parents se sont amusés avec mon gode pendant que je me suis endormie dans le jardin. J’ai une image qui me vient à l’esprit ou je vois ma mère courbée devant l’armoire avec mon jouet planté dans sa chatte tout en suçant mon père debout devant lui… Je ne devrais pas avoir ces images en tête, ni penser ça de mes parents mais là je n’en peux plus. Ma mère a vraiment de la chance de pouvoir se faire prendre comme ça. Tant pis je vais utiliser aussi mon gode. Il faut que je me fasse du bien. Je sors de la chambre avec mon gode à la main pour le coup. Je rentre dans la salle de bain, je me déshabille à une vitesse incroyable. Je file sous la douche. J’ai de la chance car cette douche, c’est une douche italienne avec trois vitres qui nous entourent donc je peux y mettre mon gode ou je le veux. Je fais couler l’eau, chaude sur mon corps et je colle la ventouse à hauteur où je peux la prendre. Une hauteur ou le gode peut me prendre que ce soit dans n’importe quel trou…

Je veux le sentir m’écarter mes lèvres, le sentir au fond de ma chatte d’abord. Je veux qu’il tape au fond de ma chatte. Je ne m’enfile pas un mais deux doigts directement. Je suis trempée, ça rentre tellement facilement. Tellement directement. C’est tellement bon surtout. Tant pis pour les doigts faut que je sente quelque chose de gros entrer en moi maintenant. Sans attendre plus longtemps, me voilà courbée devant mon gode. Mon bassin s’approchant très vite du sexe en silicone, je pousse un petit coup et le voilà en moi. Je pousse à fond pour le sentir me remplir. Oh mon Dieu que c’est bon, ça faisait trop longtemps que je n’avais pas senti cette sensation au plus profond de moi. Je reste au moins dix minutes à me prendre mon gode en moi, à me mettre des coups de butoir.

Il m’en faut plus, sans attendre et sans me préparer je sors le gode de ma chatte et le dirige vers mon cul. Mon anus aussi veut savourer ce plaisir. Il veut sa part également. Sans une, ni deux je colle mon gode à mon cul et me le rentre au fond directement.

« Ooooooooooooooooooooooh OUI ! C’est bon encore putain !! »

Je n’ai pas pu me retenir, mon esprit a perdu le contrôle, mon plaisir a pris le dessus. Oh mon Dieu, qu’est-ce que j’aime la sodomie vraiment. Mon cul savoure ce moment, ce gode m’écarte mes deux fesses pour avoir la place de rentrer. J’adore c’est tellement bon putain ! Mon bassin bouge tout seul, de plus en plus vite et toujours aussi profond. Je suis trempée, ma chatte coule de cyprine tellement c’est bon. Encore quelques instants et je sens que la femme fontaine qui sommeille en moi va arriver. Je ferme les yeux, je m’imagine avec un homme derrière moi à me prendre une chienne et un qui se présente devant moi pour que je suce, que je lui vide les couilles au fond de ma gorge. Cette image est l’image de trop, j’éclabousse partout, je me vide de ma cyprine à une vitesse incroyable. Je perds l’esprit toujours planté le gode dans mon cul.

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