Cela fait un moment maintenant que je surfe régulièrement sur des forums qui parlent dinceste et je me suis dit quil serait bien que japporte moi-même mon témoignage.
Je nai pas lhabitude décrire de long texte alors pardonnez mon style pauvre et les quelques fautes de grammaires possibles.
Aussi, ce que je vais vous raconter est lhistoire de ma vie et jessayerai de la décrire le plus fidèlement possible, alors ne vous attendez pas à un récit rempli de sexe digne dun film porno: je nai pas un pénis de 20 cm, je nai jamais éjaculé des litres de sperme, ma mère nest physiquement pas comme une actrice porno, etc.
Alors, je comprends que mon histoire puisse ne pas en intéresser certains qui chercheraient plus à assouvir leur envie sexuelle. Pour les autres, ceux qui sont curieux de savoir comment un amour entre une mère et son fils peut se transformer en un amour passionné, jespère que mon texte vous plaira. Pour des raisons danonymat, je préfère changer les noms des personnes et des lieux, vous comprendrez pourquoi par la suite.
Mon père était quelquun de violent. Il lui arrivait de frapper ma mère lors de disputes qui dégénéraient. Au début de leur relation, ma mère était éperdument amoureuse de lui et elle lui a toujours pardonné son comportement, même si parfois elle se posait des questions quant à lavenir de son couple. Lorsque je suis venu au monde, elle na plus jamais pensé à quitter mon père. Elle ne pouvait pas, pensait-elle. Le connaissant, il ne laiderait pas à me nourrir, il nous rayerait de sa vie. Mon père gagnait assez bien sa vie pour couvrir tous les besoins de ma mère et moi. Alors, elle est restée. Pour oublier le fardeau quétait son mari, elle sest occupée de moi comme une mère poule.
Jétais son ange, son paradis sur Terre, comme elle disait. Quand elle soccupait de moi, plus rien dautre ne comptait. Malgré mon jeune âge, jai vite compris ce qui se passait dans la maison. Jai encore des images de maman qui vient me voir, frottant les larmes quelle a aux yeux, tout en me souriant.
Une fois, lors dune de leurs disputes, jai pu entendre mon père crier à létage du bas. Je suis alors descendu et je lai trouvé en train de plaquer ma mère contre le mur, prêt à la taper. Cela ma mis hors de moi et je lui ai ordonné de la lâcher en criant. Il la lâché et sest tourné vers moi en me demandant ce que jallais faire dans le cas contraire. Jai eu à mon tour le droit à des insultes: « Tu te prends pour un homme? Tu te crois fort? Mais regarde toi mon vieux Tu es pathétique! Aucune fille ne voudra dune loque comme toi! ». Énervé, jai essayé de le frapper, mais jétais jeune et mon père était quelquun de très robuste, alors il ma facilement maîtrisé et ma donné de grosses baffes dans la figure. Il sest arrêté quand il a vu que je saignais du nez et est sorti de la maison, faire un tour, comme à son habitude après une dispute. Ma mère pleurait, moi pas. Javais juste la haine.
Comme mon nez saignait, nous sommes allés dans la salle de bain et ma mère ma soigné.
— Merci dêtre venu maider tout à lheure
Voyant que je ne disais rien, elle dit:
— Nécoute pas, ton idiot de père, il ne pense pas ce quil dit.
Étant en plein crise dadolescence, les paroles de mon père mavait blessé et mavait un peu enlevé de confiance en moi. Ma mère lavait bien compris et elle ajouta:
— Tu es un jeune homme charmant. Tu nauras aucun mal à te trouver une fille. Je serais très heureuse dêtre avec un garçon comme toi, tu es gentil, tu es drôle et très beau Enfin, venant dune mère, cela ne doit pas signifier grand-chose pour toi. Mais là, cest la femme qui te parle.
Je souriais mais je fus quand même gêné par les propos que tenais ma mère.
Elle mavait pris la tête entre ses mains et me regardaient dans les yeux. Je noublierai jamais ces paroles. Mais sur le coup, je nen fis rien. Elle ma alors embrassé sur la joue puis le front et je suis parti dans ma chambre.
On accélère le temps et nous voilà plusieurs années plus tard, un soir dhiver, il était tard, je dormais déjà, ma mère est venue dans ma chambre. Quand je lai vu, je lui ai ouvert mes draps parce que nous avions pris lhabitude quaprès une de leur dispute, elle vienne me retrouver la nuit, quand mon père dormait profondément. On se blottissait lun contre lautre (cela navait rien de sexuel), et elle me racontait les horribles choses quil lui avait dites et moi, jessayais tant bien que mal de la rassurer. Je ne lavais pas encore compris, mais le fait quelle préférait passer une partie de la nuit avec moi plutôt quavec son mari était bien le signe dune rupture sentimentale.
Et donc, ce soir là, elle est venue comme à son habitude se blottir aux creux de mes bras. Elle frotta ses larmes pendant que je passais mon bras autour delle pour lenlacer. Cette fois, mon père lui avait dit quelle était moche, quelle pouvait le quitter mais elle ne trouverait plus jamais dautres hommes et dautres choses stupides dans le même genre.
Je lui ai dit que cétait évidemment faux:
— Dis pas de bêtises, tu es encore jeune, nimporte quel homme tomberait dingue de toi!
— Non, répondit-elle en pleurant, regarde-moi avec mes cernes et mes kilos en trop
Ma mère devait faire entre 65 et 70kg à lépoque et elle était sublime, vous comprenez maintenant à quel point elle pouvait être brisée psychologiquement par cet homme.
— Mais quels kilos en trop?! Mexclamai je (mais pas trop fort pour que mon père ne se réveille pas, il était dans la chambre à côté). Tu es radieuse. Tu nas jamais été aussi belle, maman. Tu es la plus belle femme que je connaisse!
— Tu dis ça parce que tu nas pas encore rencontré la fille de tes rêves. Dit-elle en souriant.
Me rappelant ce quelle mavait dit 3 ans plus tôt, je lui dis:
— Non, je suis sérieux. Cest lhomme qui parle là. Je ne suis pas sûr de trouver aussi jolie et merveilleuse que toi.
Elle sourit et me dit de venir lembrasser. Et à ce moment là, jai fait une chose complètement idiote: tout en lui déposant un long baiser sur la joue, jai commencé à lui caresser la cuisse en me dirigeant toujours un peu plus vers lintérieur. Elle a tout de suite compris où jai voulu en venir et sest levée brusquement:
— Mais quest-ce que tu fais?!
— JeJe croyais que Je ne sais pas ce qui ma pris, excuse-moi, maman
Je me suis tout de suite senti honteux de mon acte. Dans sa voix, il y avait de la surprise, de la gêne mais aucune colère.
— Non, cest de ma faute! Je naurais pas dû venir aussi souvent dans ton lit. A ton âge, on a les hormones qui chauffent Je naurais pas dû Ce Ce nétait pas une bonne idée, je ne viendrais plus désormais, excuse-moi
Elle sest alors éclipsée de ma chambre. Je men voulais davoir fait ça. Cette nuit-là, je me suis posé des tas de questions: Mais pourquoi jai fait ça? Est-ce quelle croit que jai voulu profiter delle lorsquelle était vulnérable? Comment notre relation va être maintenant? De quel il va-t-elle me voir? Comme un obsédé qui veut coucher avec sa mère? Quel con! Quel con! Quel con!
Le lendemain matin, après mêtre réveillé, je suis resté une bonne heure dans ma chambre à ne rien faire. Javais trop peur de descendre. Je savais quelle nallait rien dire à mon père, ni à personne. Mais je ne savais pas quallait être sa réaction.
Mais à ma grande surprise, ma mère maccueillit pour le petit déjeuner avec le sourire. Elle fit comme sil ne sétait rien passé. Je décidais de faire de même. De prétendre avoir oublié la nuit dernière.
Elle nest alors plus jamais venue dans ma chambre la nuit. Je men voulais encore plus, puisque maintenant je ne pouvais plus la réconforter après un moment difficile. Parfois, javais envie daller la voir, de lui dire que jétais là pour elle.
Mais quelques mois après, il y eut un soir où nous en avions tous les deux pris pour notre grade. Cette fois là, mon père était revenu à la maison saoul. Et les insultes et méchancetés pleuvaient.
Jétais au lit, alors quil nétait que 21 heures. Je pouvais les entendre crier en bas. Puis jai entendu mon père claquer la porte et démarrer sa voiture pour partir en trombe. Dix minutes après, ma mère toquait à la porte. Elle venait voir comment jallais.
— Je peux entrer?
— Oui Dis je dun ton assez bas et sans motivation.
Elle sest alors approché et a soulevé elle même la couverture pour venir contre moi. Mais cette fois face à moi. Elle ma caressé le visage, je la regardais dans les yeux. Puis, je dois vous avouer que jai pleuré. Je ne supportais plus cette situation. Me voir dans cet état fit couler les larmes de ma mère. Elle se blottit encore un peu plus contre moi de sorte quelle puisse membrasser les joues et le front. Le fait que ce soit elle qui me réconforte de la sorte a dû lui rappelé des souvenirs lorsque jétais enfants.
— Oh mon bébé Quest-ce quon va faire
— Pourquoi tu ne le quittes pas? Dis je alors en relevant la tête.
— Je Mon salaire ne suffirait pas Je voulais le meilleur pour toi On a besoin de son argent
— Non, on na pas besoin de son argent Ni de son argent, ni de lui! On na pas besoin de lui, répétais je, tant quon est à deux. Jai juste besoin de toi, maman.
Je lui passais une main dans ses cheveux, elle sourit:
— Tes bras et tes caresses mavaient manqués Je me suis sentie si seule ces derniers mois. Je navais plus tes mots pour me réconforter.
Elle aussi passait une main dans mes cheveux, tout en me regardant avec des yeux qui brillent. Elle sest alors approché doucement de moi et ma embrassé sur les lèvres. Mon cur battait la chamade. Et je dois vous avouer que rien que ce baiser me donna une érection. Mais lorsque maman retira ses lèvres des miennes, elle me dit:
— Je ferais mieux dy aller maintenant avant que (elle marqua une pause) que ton père ne revienne.
Je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas quoi dire. Je navais que 17 ans après tout, et puis jétais confus. Après quelle soit partie, de nouvelles questions vinrent remplir ma tête: tout ce désir, cette attirance pour ma mère, est-ce que je suis amoureux de ma propre mère? Est-ce que cest juste passager? Et surtout, est-ce quelle ressent la même chose?
Je ne vous cache pas que cette nuit là, je me suis masturbé en pensant à ma mère pour la première fois. Jai imaginé ce qui aurait pu se passer.
Une fois encore nous navons pas parlé de ce qui sétait passé la nuit précédente, mais ma mère semblait un peu mieux, plus joyeuse. Nous avions tous les deux le sourire quand nous étions dans la même pièce et que lon se regardait. Nous étions plus proches. La situation avec mon père sétait un peu améliorée entre temps. Il gueulait moins souvent. Maman pense encore maintenant que cest parce quil sétait trouvé une maîtresse, mais rien nest venu approuver cette idée.
Au fil que je devenais un homme, mon attirance pour ma mère se fit plus grande. Et nous commencions à avoir une complicité assez grande pour oser certains gestes. Je me rappelle par exemple que lété suivant, mon père était au travail, jétais devant la télé à côté de maman qui mangeait une glace. Mais par ce temps, celle ci a vite fait de fondre, et pour ne pas salir le canapé, ma mère a dû lécher un peu nimporte comment la crème glacée qui coulait. Et de ce fait, elle sen était mis sur le menton. Nous rigolâmes à la difficulté quelle avait eue pour lécher la glace à temps, puis je me suis approché:
— Tu ten es mis partout!
— Hum, dit-elle la bouche pleine, où?
Avec mon doigt, je frottais la crème quelle avait sur le visage mais ce geste anodin fut pour moi très érotique. La tension sexuelle était montée en flèche. Nous ne rigolions plus, nous ne parlions plus. Nous nous regardions droit dans les yeux. Milles idées jaillirent dans ma tête sur quoi faire ou quoi dire, je pense que cétait la même chose pour ma mère. Je nen choisis quune seule:
— Euh Tu Ravales moi tout ça.
— Tu ne veux pas goûter?
— Tu sais bien que je naime pas la vanille, lui dis je.
— Juste!
Elle a alors approché sa bouche de mon doigt et sest mise délicatement à le sucer. Pas longtemps, juste le temps denlever la glace de mon doigt. Mais cela mavait fait un effet monstre.
Elle ravala et remis une de ces mèches de cheveux en place, en regardant ailleurs, sûrement gênée par la situation. Je me suis alors remis à ma place dans le canapé et nous continuâmes à regarder la télé comme si de rien nétait.
Ce genre de geste arrivait de plus en plus souvent. Nous en étions presque à en venir à touche-pipi puisquune fois ma mère était venue dans ma chambre pour voir ce que je faisais de beau. Elle a alors pris un billet de 100 franc et me dit dun ton espiègle:
— Tiens un billet, il est pour moi je suppose?
— Non, cest à moi, repose le.
— Je lai trouvé, il est à moi.
— Allez, rends moi ça!
— Tu nas quà venir me le reprendre Dit-elle alors avec un large sourire.
Javais compris quelle voulait jouer et je me suis mis alors à lui courir après dans toute la maison. Jusquà que jarrive enfin à lattraper en la bloquant contre un mur. Elle leva le bras mais jétais plus grand quelle, je naurais eu donc aucun mal à lui prendre. Et elle le comprit, alors avec son autre main, elle prit le billet et le plaça dans son décolleté, toujours en rigolant:
— Là, voilà, je suis sûre que tu noseras pas le reprendre!
Sous leffet du jeu et du défi, je neus aucune gêne à plonger ma main dans son décolleté mais lorsque je sentis ma main caresser la peau douce de sa poitrine, je réalisai ce que je faisais. Jeus une érection sur le champ. Je pense que ma mère le remarqua puisquelle sortit légèrement sa langue avec le sourire aux lèvres.
Je fis mine de chercher le billet pendant quelques secondes, même si je lavais déjà entre deux doigts. Ma mère a alors pris mon poignet et a retiré ma main, doucement, sans colère, comme pour me dire « tu as profité, cest tout maintenant ».
— Désolé, lui dis je.
— Pourquoi? Me dit-elle alors. Ce nétait quun jeu. Il ny a rien de mal. Et puis Tu les as déjà touché quand tu étais bébé, finit-elle par dire en parlant de ses seins.
— Oui dis-je un peu confus.
Ce type dexcuse, « il ny a rien de mal de faire ça entre une mère et son fils », comme si cela nimpliquait rien de sexuel, revint souvent dans le futur. Mais je ne men plaignais pas, au contraire. Ma mère avait trouvé une excuse valable à ce que lon soit encore plus proche physiquement, un peu au-delà de ce que devraient être une mère et un fils. En y repensant, je me demande sil y a vraiment une limite. Ce nest que de lamour après tout!
Grâce à cette excuse, à la fin dun après-midi, je venais de finir de prendre une douche. Mes parents allaient bientôt partir chez des amis. Jallais messuyer quand maman est entré précipitamment, elle fut surpris en pensant que je ny étais pas:
— Oh pardon, mon chéri Dis-moi, ça te gêne si je me maquille et me change rapidement? Je suis en retard et ton père attend en bas dans le salon.
— Non, vas-y, tu peux. Mais ne traîne pas, je suis en retard moi aussi.
— Merci, mon ange.
Elle commença à se maquiller mais voyant que je ne bougeais plus, assis sur le bord de la baignoire, attendant quelle parte, elle me dit:
— Tu sais, tu peux continuer de te préparer hein, pour ne pas perdre de temps
— Mais
— Oh dis, si tu savais le nombre de fois où je tai venu tout nu! Et puis, tu crois que tu as ce quil faut pour mimpressionner? Dit-elle en rigolant.
— Je Et si papa monte, je ne crois pas quil serait daccord quon partage la salle de bain
— Il est scotché devant ses courses de motos, et quest-ce quon fait de mal de toute façon??
— Daccord.
Et à ce moment-là, jai relâché la serviette de bain de ma taille, laissant ainsi mon corps nu à la vue de ma mère. Jai recommencé à messuyer pendant que ma mère se mettait du mascara. Je pouvais croiser son regard parfois pendant quelques secondes dans le miroir. Je lai même surprise à mater le bas de mon corps. Puis elle sortit et revint quelques secondes après avec des vêtements. Et là, elle a enlevé son haut et son soutien-gorge noir apparut. Jessayais de ne pas trop regarder, javais peur davoir une érection. Mais, elle a ensuite enlevé ce soutien-gorge, laissant pendant une poignée de seconde ses seins à lair. Elle sest retournée et ma demandé de lui passer la brosse à cheveux. Pour la première fois depuis bien longtemps, javais les seins de ma mère en face de moi. Je ne pus mempêcher de les fixer, elle a probablement dû le remarquer. Sur le moment, je me suis demandé si cétait fait exprès ou si pour elle cela était vraiment anodin. Pourquoi maurait-elle demandé la brosse pendant quelle ait les seins nus et pas après? Et comme tout bon mâle qui se respecte, je ne pus empêcher davoir une érection. Difficile à cacher quand on a juste une serviette!
— Je Je mexcuse
— Ya pas de mal, fit maman, cest normal, tu es un homme, tu vois un corps de femme: cest une réaction naturelle! Cela prouve que tout fonctionne bien chez toi. Rigola-t-elle.
Mais ce magnifique spectacle ne dura pas longtemps. Quand elle fut prête, elle me demanda:
— Comment tu me trouves?
— Tu es vraiment sublime, même si je te préfère sans maquillage. Ces yeux-là sont encore plus beaux au naturel.
— Oh, arrête! Dit-elle, tu vas me faire craquer!
Elle membrassa sur le coin des lèvres et me souhaita une bonne soirée. Je suis resté dans la salle de bain quelques minutes de plus à réfléchir et cest là que jai pris conscience quune mère est avant tout une femme. Et que pour atteindre son cur, il faut la séduire. Cest ce que, je pense, beaucoup damateur dinceste oublie. Ceux qui désirent leur mère, leur sur, leur tante ou peu importe, elles ne vont pas directement tomber dans vos bras parce que vous êtes leur fils, leur frère, etc. Et non, cela ne marche pas comme ça. Si vous voulez leur cur et leur corps, il va falloir le mériter!
Jaurais bien aimé me soulager vu mon état dexcitation, mais jétais moi-même attendu.
Depuis ce jour, maman et moi navions plus vraiment honte à nous montrer lun à lautre. Toujours sous prétexte que lon na fait quun durant 9 mois, que lon a déjà vu le corps nu de lautre il y a longtemps. Après, je ne dis pas que tous les jours, on se voyait nus, non. Avec mon père dans les parages, cétait difficile. Mais quand nous nétions quà deux, nous navions pas peur de nous changer la porte bien ouverte. Ou bien par exemple, ma mère est arrivée dans le salon, seins nus, en tenant le haut de son bikini pour aller bronzer et ma demandé de laider à le ficeler.
Quant à moi, jessayais de conquérir son cur du mieux que je le pouvais. Je nai jamais été très doué avec les filles mais là avec ma mère, jétais motivé, passionné! Je connaissais déjà tout de ses goûts alors je me faisais une joie de lui faire plaisir en lui achetant des petits cadeaux par-ci par-là, je la complimentais sur le fait quelle était très belle, que son âge nétait en rien une barrière, etc.