Mon sommeil est peuplé de rêves érotiques. Je me vois baisant frénétiquement Julia et Astrid dans toutes les positions du Kamasoutra. Je les vois à mes pieds, léchant mon vit alternativement. Je les vois se faire mettre par des meutes affamées de clochards qui les avilissent. Je vois ; non cette fois, je suis éveillé ; Astrid au-dessus de moi qui frotte mon sexe entre ses deux seins magnifiques. Elle me regarde amoureusement et me dit :

Bonjour mon chéri. Tu aimes ce que je te fais ?

Comment ne pourrais-je pas apprécier surtout après tout ce que je t’ai fait subir hier soir ? Tu ne m’en veux pas ?

Non, j’ai aimé ce que j’ai subi pour toi et je suis prête à recommencer si tu me le demandes. Je suis moulue. Ma chatte et mon cul sont en feu. Tu te rends compte que je me suis fait doublement pénétrer dans l’anus par deux braquemarts énormes, mon sexe n’a pas été épargné non plus. Heureusement que tu m’avais entraînée ! Il y a même eu une tentative de triple vaginale, mais ils ont échoué. Ils n’ont pas trouvé la bonne position. J’ai aussi mal à la mâchoire avec toutes ces bites que j’ai avalées et ma gorge est en feu. Alors il ne me reste plus que mes seins qui ont juste été mâchouillés pour te faire plaisir. D’ailleurs, je vois que ça te plaît, car tu bandes encore ! Tu es inépuisable. Je ne pouvais pas espérer mieux comme amant. Tu es arrivé juste au bon moment.

Pendant qu’elle me parle, elle continue à branler mon mandrin entre ses mamelles. C’est juste doux et jouissif. Je me laisse faire et je la regarde travailler. Mon gland apparaît, réapparaît au gré de ses mouvements. C’est magique ! J’ai besoin d’en savoir plus sur ce qui l’attire en moi et je lui pose la question :

Qu’est-ce qui a fait que tu es devenue amoureuse de moi ?

J’ai flashé le premier jour de notre arrivée. Je regardais par la fenêtre au moment où tu sortais. Il se dégageait de toi un charisme certain. J’ai tout de suite eu envie de te connaître. Je me suis même masturbée immédiatement pour me soulager de la tension qui était montée en moi au moment où je t’ai vu. C’est alors que j’ai imaginé le stratagème de la soirée où je comptais bien te séduire. Ça a dépassé toutes mes espérances. J’ai joué la provocation et j’ai vu que je te plaisais.

Oui, je me souviens que tu as voulu que je plonge ma main dans ton décolleté pour « apprécier la marchandise » et tu m’as donné rendez-vous dans les toilettes de l’étage. Je bandais dur et je n’ai pas été déçu par la pipe que tu m’as tout de suite administrée et ensuite par ta chatte très réceptive. Tu étais trempée et tu n’as pas mis longtemps à jouir. On a d’ailleurs fini ensemble tellement je te désirais.

Moi aussi j’avais envie de toi et j’ai toujours envie de toi…

A ces mots, et alors que je ne m’y attendais pas vu son état de fatigue, Astrid vient s’empaler sur mon vit ; une grimace apparaît sur son visage due certainement à l’irritation de son vagin. Elle me chevauche sauvagement, pousse des cris. Je l’attire à moi pour lui suçoter ses tétons. Elle hurle de bonheur. Je reprends les commandes en lui prenant les fesses pour la soulever et la faire retomber encore plus fort afin de lui défoncer sa chatte baveuse. Elle feule. J’accélère le rythme. Elle halète. Elle pleure de bonheur jusqu’au moment final où, en pleine harmonie sexuelle, j’éjacule, la menant elle aussi à l’orgasme.

Elle s’écroule sur moi et s’endort. Décidément, Astrid est une bombe sexuelle. A cet instant précis, je ne peux m’empêcher de penser à sa fille Julia qui a manifestement le même tempérament. Je ne sais pas encore comment je vais gérer cet afflux d’énergie de leur part. Je pensais, à tort, qu’après un gang-bang, Astrid serait épuisée. Eh bien, il n’en est rien ! Elle vient de me le montrer.

Quant à Julia, elle rentre dans quelques jours quasiment en même temps que son père. Je pense, sans me tromper, qu’elle voudra avoir son compte de plaisir.

Tout à mes pensées, je sens le corps chaud d’Astrid serré tout contre moi. Elle respire paisiblement. Mon sexe débandé est encore en elle, mais ; je ne sais pas si elle fait un rêve érotique ; je sens ses petites lèvres qui le massent légèrement. Le résultat ne se fait pas attendre, ma verge reprend de la vigueur et remplit à nouveau la foufoune de ma partenaire. Ses parois vaginales pulsent régulièrement et accroissent, du fait de cette action, la dureté de mon vit…

Je me laisse faire. C’est bon. Je lui caresse le dos lentement. Elle frissonne. C’est maintenant la raie de ses fesses à qui je fais subir le même traitement puis j’atteins son petit trou que je sens palpiter sous mon index. Je sens qu’il est bien élargi et je n’ai aucun mal à introduire mon doigt. Elle s’éveille lentement et se pelotonne contre moi. Je lui masse l’anus et j’appuie à travers la fine cloison sur mon pénis qui la remplit. Elle pousse un petit cri et me dit que je lui fais mal. J’aurais dû me limer les ongles, je n’insiste pas. Je me désaccouple d’elle et elle me dit :

Pourquoi tu t’en vas ? J’aimais bien.

Je veux te brouter le minou et te faire jouir avec ma langue.

Oh oui, mon chéri, viens me dévorer ma chatounette.

Ni une, ni deux je la bascule sur le dos et la positionne en travers du lit, les pieds par terre. J’écarte ses jambes largement et je me mets à genoux sur le sol entre elles. Ma langue entame alors un ballet endiablé sur sa chatte. Je suçote la chair de ses lèvres évitant dans un premier temps son clitoris. Ma langue entame alors une lente pénétration de sa minette. Je la fais tourner en lui écartant les chairs. Astrid pousse ma tête entre ses cuisses pour me montrer qu’elle aime ce que je lui fais. Dans le même temps, je lui mets un doigt dans le cul. Mon autre main monte jusqu’à sa poitrine. Je compresse fortement chacun de ses seins, puis j’effectue de lentes pressions sur l’un de ses tétons. Je sens monter son plaisir. Elle me presse de venir en elle, qu’elle veut ma bite. Je refuse d’acquiescer à sa demande. Je veux qu’elle jouisse encore. Elle me supplie. J’accélère mes succions et mes pressions. Jusqu’au moment où ; estocade finale ; j’aspire son bouton d’amour.

Son corps s’arque alors brutalement, son bassin se soulève, elle pousse un long cri et son éjaculation féminine ; matérialisée par un long jet de liquide ; m’inonde le visage.

Son orgasme a été violent, incontrôlable. Elle retombe sur le lit, inerte.

Je me relève le sexe arrogant braqué dans sa direction. J’ai le visage trempé de sa mouille de femme fontaine. Elle entrouvre les yeux et me voit dressé devant elle. Elle ne me dit qu’un seul mot : « Viens ! »

Je me penche alors. Elle me lèche le visage et m’attire contre elle. Nos lèvres se rejoignent dans un baiser fougueux. Nos dents s’entrechoquent, nos langues se mélangent. Elle m’enserre fortement dans ses bras. Ma verge est quasiment aspirée par sa foufoune plus qu’accueillante, je ne peux résister à cette attaque, elle a mon intromission et nous jouissons encore une fois à l’unisson.

Nous profitons des derniers jours qui nous restent pour faire plus ample connaissance. Astrid me raconte sa vie.

La rencontre avec son mari quand elle avait vingt ans et lui trente-cinq : quasiment son premier homme ; elle avait été dépucelée par son oncle le jour de ses dix-huit ans un mauvais souvenir.

Elle avait été séduite par sa prestance et surtout par le fric qu’il possédait. C’était pour elle le seul moyen de sortir de sa condition de petite prolétaire. Après un an de vie commune, ils s’étaient mariés. Ils changeaient de lieu d’habitation au gré des mutations de son mari. D’emblée, elle avait cessé de travailler. Elle excellait dans son rôle d’hôtesse pour recevoir les invités professionnels de son mari.

Puis il avait créé sa propre agence de communication. Il était maintenant à la tête d’une affaire qui employait plus de deux cents personnes. La naissance de leur seul et unique enfant, Julia, le jour de ses vingt-sept ans.

Vingt-cinq ans d’une vie faite de voyages, de changements de résidence sans connaître les difficiles fins de mois de sa jeunesse. Tout pour être heureuse, mais… elle ne l’était pas !

Son mari ; piètre amant ; ne la touchait pratiquement plus. Quand ils faisaient l’amour, c’était toujours des étreintes rapides. Pratiquement pas de préliminaires, « il l’enfilait » ; les propres termes d’Astrid ; et éjaculait. Il ne s’était jamais préoccupé du plaisir que pouvait prendre sa femme et, elle, elle simulait son propre orgasme.

Depuis la naissance de Julia ; leur fille qu’elle adore ; elle s’était fait poser un stérilet. Mais elle n’en profitait pas. Pas d’amants, toujours fidèle, jusqu’à ma rencontre avec moi qui, d’après elle, venait de changer sa vie. En disant ça, elle me regarde tendrement. Elle ajoute :

Oui, je suis tombée amoureuse de toi. Mais c’est un amour impossible. Nous avons dix ans de différence et matériellement, je ne crois pas que tu puisses m’assurer le même train de vie que celui dont je peux profiter aujourd’hui avec la situation de mon mari. Le mieux est de continuer à nous voir en cachette ; je n’ai que la rue à traverser ; tant que tu voudras de moi. Les voyages de mon mari sont propices à cette clandestinité. Tu m’as fait connaître la débauche, mais c’est à chaque fois vers toi que je reviens. Ce n’est pas qu’une affaire de sexe. Tu m’as fait faire l’amour avec des hommes aux sexes énormes, voire monstrueux pendant le gang-bang, mais c’est avec toi que j’ai les orgasmes les plus forts. Je t’aime Hervé.

Quelle déclaration d’amour de la part d’Astrid, mais notre relation va devenir compliquée ! Demain, son mari et sa fille rentrent. Elle ne sait pas que je baise Julia.

Le plus gros dilemme pour moi c’est que je les aime TOUTES LES DEUX ! Si on me demandait de choisir, je serais incapable de le faire. Elles sont belles toutes les deux ; Julia est la copie de sa mère en plus jeune. Ce sont des amantes extraordinaires et soumises. Je ne pouvais espérer mieux après le départ et le divorce d’avec ma première femme.

Que se passera-t-il si Astrid découvre que je couche avec Julia ? Je risque de la perdre et ce n’est pas ce que je veux. Julia, elle, sait que je baise sa mère. Je ne risque rien de son côté. Au contraire, en voyant les vidéos prises chez moi, elle va sûrement vouloir surenchérir…

Inutile de vous dire que notre dernière nuit fut agitée. Nous n’avons pratiquement pas dormi. Pendant que je reprenais des forces entre deux éjaculations, j’ai fait jouir plusieurs fois Astrid avec un gode cheval vibrant énorme de 35 centimètres par 6,6 centimètres que j’avais acheté sur Amazon. Quand elle l’a vu, elle ne pensait pas qu’il allait pouvoir envahir sa chatte sans dommage. Et pourtant, elle l’a absorbé sans problème. Elle n’a pas arrêté de jouir pendant que je la défonçais avec l’engin. De la voir ainsi hurler son plaisir, ça m’a redonné des forces, et tout en continuant mes mouvements, je l’ai enculée. Je pouvais sentir les vibrations du gode cheval sur ma bite. Fa-bu-leux !

Après avoir déchargé dans son fion, je l’ai laissée avec le sexe factice que j’ai mis sur la vitesse maximum. Ça a duré plus d’une heure où elle a encore enchaîné orgasme sur orgasme. Au bout de ce temps, j’ai eu pitié d’elle. J’ai arrêté l’appareil et je suis venu me finir sur son visage et dans sa bouche. Elle m’a nettoyé et on s’est endormi. Au petit matin, elle n’était plus là. Elle était rentrée chez elle pour mettre de l’ordre dans sa maison et accueillir comme il se doit son mari et sa fille.

J’ai juste reçu un SMS me disant : « Je t’aime, j’ai encore envie de toi. Tu es désormais ma drogue. J’ai hâte qu’on baise encore ! Vivement que mon mari reparte en voyage. A++ »

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