A 22 heures, je vais dans ma chambre. On frappe à ma porte, c’est Manon, elle n’a pas sommeil et n’a pas envi d’être seule. Comme elle me trouve sympathique, elle a pensé que cela ne me dérangerait pas de passer un petit moment ensemble. Nous nous installons sur le balcon. Après une bonne demi-heure de bavardage, la conversation dévie sur mes rapports avec les femmes. Manon a bien sûr été voir ma fiche. Elle commence sans détour

— Carole, c’est votre femelle

Je souris, la regarde et je réponds

— Pas encore, je lui ai donné une semaine pour réfléchir si elle veut être une de mes femelles.

— Je ne comprends pas que l’on puisse accepter d’être une esclave, vous en avez beaucoup ?

— As-tu l’impression que Carole est malheureuse ? Moi, je n’ai pas cette impression, bien au contraire, même. Pour ce qui est du nombre de femelles, non, je n’en ai pas beaucoup en ce moment, mais cela peut changer.

Manon change de sujet et reviens à des choses plus légères. Je ne sais pas pourquoi elle est là, je suis certain que je l’intrigue. D’ailleurs à un moment elle me le dit qu’elle me trouve agréable et qu’elle ne m’imagine pas avec des esclaves. Je ne la détrompe pas, cela ne sert à rien. Alors que la conversation se prolonge, on frappe à ma porte. Je regarde ma montre, il est minuit, qui peut venir à cette heure-là? Je me lève et vais ouvrir. Manon reste assise dehors.

J’ouvre et découvre Aurélie. Elle est là, devant la porte, nue, main dans le dos, jambes écartées, tête baissée. Je la regarde, plus exactement l’admire, elle est vraiment belle. Je tends ma main, lui prends les cheveux qu’elle a mi-long et la met à genoux.

— Avance jusqu’au balcon à quatre pattes

Je la suis, je vois sa chatte, un filet blanc luit aux commissures des lèvres. Elle est très excitée. Je passe devant, m’assoit. Aurélie s’arrête à mon niveau. Je lui ordonne de lécher mes chaussures, ce qu’elle fait. Manon regarde sans rien dire. Je lui souris

— mon cheptel s’agrandit on dirait

Je donne une grande claque sur la fesse gauche d’Aurélie. Celle-ci ne dit rien et continue à lécher mes chaussures.

— Mets-toi en position d’attente

Aurélie se redresse, se met à genoux. Les fesses touchent aux chevilles, les cuisses sont écartées, les mains sont posées sur les cuisses, paume vers le haut., tête baissée.

— Ton maître t’a bien dressée, tu pourras lui transmettre mes félicitations.

— Je n’ai plus de maître depuis longtemps, monsieur

— Je verrais cela plus tard. Tu vois, Manon, c’est une femelle qui ne rêvait que de cela. Elle s’est arrangé que je vienne pour que je la domine. Elle est excitée, elle aime. Si j’avais amené quelques jouets, des godes, des pinces, etc. Je m’en serais servi avec plaisir

Manon me regarde. Elle n’a rien dit mais n’a pas bougé non plus. Elle est assise, une jambe repliée sous elle. Elle paraît fascinée. C’est Aurélie qui parle.

— Je voulais vous dire, monsieur, que dans ma chambre, j’ai une valise pleine d’objets que vous pouvez utiliser selon votre bon vouloir.

-Ou est-elle ta chambre

— Juste à côté, monsieur, on peut y aller par la porte mitoyenne.

J’avais remarqué cette porte qui permet de passer d’une chambre à l’autre. Javais même vérifié qu’elle était fermée. Je mettais dit que la personne d’à côté devait bien nous entendre quand je fessais Carole. Décidément, Aurélie avait tout prévu. J’allais avec Aurélie dans sa chambre. Elle me suit à quatre pattes, comme une chienne. Elle me montre la valise. Je l’ouvre et déverse le contenu sur le lit. Il y a de tout, toutes ses affaires personnelles mais aussi, des godes, des pinces à vis pour les tétons, des chaines, un martinet, une cravache, une paddle, plusieurs plugs et une ceinture de chasteté avec double gode, des cadenas, des cordes. Elle n’a pas lésiné et a amené l’attirail complet. Je prends la paddle, lui donne quelques coups sur les fesses. Aurélie gémit et remue ses fesses d’une manière sensuelle. Elle aime. Je prends un plug et le gel, enduit le plug, me penche et l’enfonce dans son anus. Je vois la cyprine coulée de ses lèvres vaginales. Je lui ordonne de se lever, prends les pinces à vis, tire sur le téton gauche, il est dur. Je mets la pince et serre. Son téton s’aplatit. Je fais la même chose sur le téton droit. Je lui mets le manche de la cravache entre les dents, la fait remettre à quatre pattes et retourne sur le balcon. Aurélie me suit et se remet en position d’attente. Manon est toujours là, assise. Je pensais qu’elle serait partie. Je la regarde

— Excuse moi de m’être absenté, mais je devais m’occuper de cette femelle.

.

A ce moment, Aurélie se met à pousser de petits gémissements. Je la regarde, je vois ses yeux qui brillent. Je prends la cravache et frappe ses seins. Aurélie continue à gémir, respire plus fort et jouit

Je regarde Manon, elle ne dit rien, elle est fascinée.

— Tu vois, Manon, cette chienne a joui, rien que d’être dominée, cela la fait jouir. Moi, j’aime que mes femelles aient du plaisir.

Tout en parlant, je passe la cravache sur la cuisse de Manon. Manon sourit. Je remets la cravache entre les dents d’Aurélie et discute avec Manon. Manon regarde mon entrejambe, j’ai une belle bosse. Je bande. Je fais signe à Aurélie. Elle a compris, elle s’approche, descend ma braguette, sort ma queue et commence à me sucer. Son cul est tourné vers Manon, celle-ci a une vue imprenable. Elle peut voir le plug enfoncer entre les reins d’Aurélie. Je ferme les yeux, un instant pour savourer cette pipe. Je les ouvre. Manon a la main sur son entrejambe à travers son pantalon. Je la regarde

— Déshabilles toi, tu en crèves d’envie. Je te veux nue, à genoux, en position d’attente. Si cela ne te convient pas, tu t’en vas, maintenant.

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