Cela fait quelques jours maintenant que Rachel a rejoint Sandrine et Julien. Sandrine ne lui a pas vraiment laissé le choix. Le fameux soir où Rachel s’était fait surprendre à mater Julien, elle avait fini par avoir un orgasme uniquement regardant ses deux amis prendre leur pied. Sandrine lui avait alors dit de venir habiter avec eux. Elle lui a promis de lui faire vivre des expériences aussi fortes. Encore dans les vapes, Rachel avait accepté sans se poser plus de questions. Elle venait de vivre le plus puissant orgasme de sa vie.

Dès lors elle a posé ses valises chez eux. Ce n’était pas très grand. Ses hôtes l’ont installé dans leur chambre. Ce n’était pas pour déplaire à Rachel. Par contre, Sandrine est toujours restée aussi autoritaire. Elle lui a imposé une règle : une ceinture de chasteté. Celle-ci, bien que confortable, empêchait tout accès à sa chatte. Sandrine et Julien avaient tous deux une clef pour l’ouvrir. Elle ne se sentait pas à l’aise au début. Mais elle a finalement pris ses marques.

C’est après que les choses ont dérivé…

Une nuit alors que Rachel commençait à s’endormir. Elle entendit un gémissement venant du lit de Sandrine et Julien. Elle mit un certain temps à comprendre. Julien était sous les draps en train de faire une petite gâterie à sa copine… Et elle avait l’air d’apprécier ! Au fur et à mesure, elle distinguait de mieux en mieux les silhouettes. L’idée que le couple couche encore une fois à côté d’elle l’excita immédiatement. Sandrine se lâchait de plus en plus, signe que son orgasme était proche. Mais avant l’orgasme Julien s’arrêta et sortit des draps.

— Pas tout de suite ma chérie…

Et il l’embrassa avec fougue, tout en s’installant entre ses jambes. Rachel comprit qu’il l’avait pénétrée au gémissement que Sandrine poussa. C’est alors qu’il a commencé à la besogner. Rachel mouillait maintenant abondamment. Elle se souvenait de ce sexe, du corps de Julien. Elle imaginait la sensation qu’elle aurait à accueillir cette queue au plus profond d’elle. Sandrine quant à elle savourait. Elle semblait avoir totalement oublié que son amie était dans la chambre.

Après quelques minutes, Julien changea de position pour la prendre en levrette. Les cris de Sandrine, le lit qui grince, le battement contre les fesses de Sandrine et le son de sa mouille : tous les sons excitaient Rachel au plus haut point. Elle avait l’impression de dégouliner sur son matelas. Elle se tortillait sur elle-même. Elle n’avait jamais pratiqué cette position, mais ça lui paraissait si excitant ! Elle sent le plaisir monter en elle, mais il faut qu’elle se touche. Ça devient une obsession. Elle ne perd tout de même rien du spectacle qui se déroule à moins d’un mètre d’elle.

Justement Julien semble déplacer sa main droite alors qu’il tenait Sandrine par les hanches, il a l’air de la poser sur ses fesses.

— Ah oui ! Mon cul !

Rachel comprend qu’il lui a en fait introduit un doigt dans le cul. Elle imagine les détails de la scène. Sandrine qui prend son pied la tête dans les coussins, Julien qui l’empale par les deux trous et elle, à côté, qui ne peut rien faire d’autre que de suivre l’action. Elle serre et écarte ses jambes frénétiquement pour avoir un maximum de sensation. Rachel se met à hurler. Elle vient de jouir. Julien en profite pour la mettre sur le dos, sortir sa bite et se branler jusqu’à se répandre sur le ventre de sa copine.

Quelle baise ! C’est très loin de tout ce que Rachel avait connu jusqu’à présent. Elle n’avait jamais fait d’autre position que le missionnaire et une fois que son copain du moment s’était répandu dans un préservatif la fête était finie. Encore excitée, elle essayait de trouver le sommeil.

Ce scénario se répétait finalement régulièrement. Ils s’envoyaient en l’air le soir, en pleine nuit ou au petit matin. Rachel n’en perdait pas une miette. Elle découvrait de nouvelles positions. La fille qui chevauche son homme, l’homme couché sur le côté derrière sa partenaire (en cuillère),… Rachel n’arrivait jamais jusqu’à l’orgasme, mais c’était son seul plaisir. Le seul acte sexuel qu’elle avait. Même si c’était par procuration elle en était arrivée à attendre ces moments. Elle espérait que le couple s’envoie en l’air. C’était son plaisir à elle.

La journée elle n’osait pas en parler. Elle avait peur de briser le fragile équilibre et qu’elle ne puisse plus profiter de ces situations. Elle était devenue la confidente de Sandrine. Cette dernière lui racontait toute sa vie. Y compris sexuelle. Comme si elle n’était pas là chaque nuit, elle lui expliquait quelles positions elle appréciait, le goût du sperme de Julien, le bonheur de le sentir se répandre en elle,… Ça avait la fâcheuse tendance à maintenir excitée Rachel. Il était rare que sa culotte reste indemne de ses récits.

Prétextant le manque de place dans leur appartement et que c’était lui qui gérait le linge, Sandrine devait tous les soirs remettre ses vêtements sales à Julien et le matin il lui en apportait des propres. Elle avait honte de lui donner tous les soirs une culotte mouillée… Et tous les matins, il choisissait ses vêtements. Elle pouvait lui demander de changer un vêtement par un autre, mais n’osait jamais le faire pour ses sous-vêtements. Mais le pire c’était une fois par semaine quand elle rendait son pyjama. Les différentes tâches de mouilles laissaient des auréoles sur son bas de pyjama. Il lui avait semblé plusieurs fois que Julien était parti en reniflant ses vêtements.

Plusieurs fois par semaine, Sandrine délivrait Rachel de sa ceinture de chasteté pour la toilette et pour maintenir son rasage. Sandrine restait avec elle pour papoter (et probablement s’assurer qu’elle ne faute pas). Rachel s’accommodait de tout ça. Elle avait l’impression d’avoir une vie sexuelle bien plus grande que tout ce qu’elle avait connu avant.

Elle finit par tout faire pour aider leur couple. Elle leur préparait des dîners aux chandelles ou donnait des cadeaux pour qu’ils l’offrent à leur moitié. Tout ça dans un seul but : pouvoir étancher sa soif de voyeurisme.

Un dimanche Sandrine est partie voir sa famille seule. Julien et Rachel étaient donc seuls à l’appartement. L’après-midi alors que Rachel rentrait de sa salle de sport, elle entra dans la chambre. Ce qu’elle vit la tétanisa. Julien était sur le grand lit, il se branlait. Mais surtout elle reconnut dans sa main gauche sa culotte de la veille. Julien était en train de se caresser en reniflant sa culotte ! Rachel navait pas du tout été discrète et Julien avait ouvert les yeux et la regardait, mais il ne s’arrêtait pas pour autant. Totalement déstabilisée, Rachel se rapprocha de Julien sans oser l’interrompre. Elle voulait uniquement le voir faire de plus près. C’est alors que Julien accéléra le mouvement. Toujours en fixant Rachel, il cessa de renifler la culotte pour s’en servir pour se masturber. Puis éjacula une bonne quantité de sperme au fond de celle-ci. Rachel prit peur, elle partit précipitamment prendre sa douche. L’entrejambe de son leggins de sport était trempé, mais elle n’avait toujours pas joui…

Ce soir-là ce ne sont pas les gémissements de Sandrine qui ont réveillé Rachel, mais les mouvements dans son lit. Sans qu’elle s’en aperçoive, ils étaient venus faire leurs affaires sur elle. Sandrine la serrait fort dans ses bras pendant qu’elle se faisait prendre en petite cuillère. Elle pouvait sentir les coups de boutoir qu’elle prenait. Pour elle c’était magique. C’est la situation la plus proche d’une partie de jambes en l’air qu’elle avait eue. Elle couinait en même temps que son amie, mais, alors qu’elle se sentait doucement partir, Sandrine l’interpella :

— Non ! Tu ne jouiras pas avant que je te l’autorise.

Et elle lui pinça un téton pour la faire un peu redescendre. Elle se releva ensuite sur ses bras pour continuer en levrette. Les seins de Sandrine ballottaient juste devant Rachel. Elle avait du mal à rester droite sous les coups de reins de Julien. Elle tombait des fois sur son amie. Rachel faisait ce qu’elle pouvait pour ne pas jouir. Elle essaya de penser à autre chose. Tout ce qui pouvait la dégouter. Mais à chaque fois les cris de Sandrine et les coups de butoir qu’elle sentait la ramenaient à l’instant présent. Arriva le moment de la délivrance. Sandrine s’agrippa de nouveau à Rachel. Elle subissait un orgasme dévastateur. Rachel était aux premières loges pour sentir chaque convulsion de son amie. Julien fit le tour et mit sa bite juste au-dessus du visage de l’invitée. Sa queue était luisante de mouille. Sandrine goba ce sexe sans lâcher son amie. Elles étaient joue contre joue. Rachel pouvait sentir la joue de son amie déformée par l’énorme mandrin. Jusqu’à ce que Julien se vide dans la bouche de sa copine.

Sandrine se remit alors à quatre pattes au-dessus de Rachel. Elle lui tenait fermement les bras.

— Tu as une minute pour nous montrer comment tu jouis. Allez maintenant gicle.

Rachel était maintenant bien entraînée. Elle serra ses jambes en donnant des impulsions avec frénésie. Elle se cambre au maximum. Elle repasse dans sa tête tout ce qui vient de se passer. Ses deux amis qui couchent sur elle, la sensation de la joue de Sandrine déformée, Julien qui se branlait sur elle,…

— Il te reste 15 secondes, lui informa Julien.

Elle désespérait. Tout son corps et tout son esprit n’étaient plus tournés que vers une seule chose : jouir.

— 10, 9, 8,…

Elle se souvenait de ce soir où elle avait découvert leur sexualité.

— 5, 4, 3,…

Elle se concentrait sur tous leurs ébats, les cris de Sandrine, les positions torrides,…

— 2, 1, 0 !

Alors que Rachel songeant à Julien se masturbant en la regardant était au bord de l’extase, elle sentit un liquide très froid couler sur sa chatte. Elle mit un instant à comprendre ce qu’il se passait. Sandrine venait de lui verser un verre d’eau glacé pour marquer la fin du compte à rebours. Rachel avait les larmes aux yeux.

— Tu as perdu ! Dis Sandrine avec un magnifique sourire. Nous n’allons pas te laisser dans cet état. On va jouer à un autre petit jeu. Si je jouis avant toi, c’est avec toi que Julien terminera notre baise.

Et Sandrine sans attendre de réponse positionna à califourchon sur Rachel. Elle avait placé ses jambes pour bloquer ses bras et les épaules contre le lit. Julien lui attacha les pieds aux coins du lit, puis Sandrine prit la clef qu’elle avait en pendentif et libéra Rachel de sa ceinture de chasteté. Enfin Julien vint se placer derrière sa compagne pour commencer à la prendre en levrette. Rachel était aux premières loges pour voir son amie se faire élargir par ce pieu. Elle voulait se redresser pour lécher cette bite pendant les va-et-vient, mais elle était bloquée. Sandrine laissait entendre son plaisir. Elle profitait aussi de sa position pour embrasser et lécher l’intérieur des cuisses de son amie, mais jamais directement sa chatte. Ça la mettait dans un état second, elle se débattait comme elle pouvait sans pouvoir rien faire. Elle vit arriver les premiers signes de l’orgasme de Sandrine. Ça y est, elle pourrait enfin coucher avec Julien ! Mais à ce moment-là, Sandrine commença à laper le clitoris de Rachel.

À peine deux coups de langue et Rachel eut un orgasme totalement incontrôlable. Des semaines de frustrations qui tentaient de se libérer en quelques secondes. Elle perdit connaissance, pendant que Sandrine et Julien continuaient leur partie de jambes en l’air.

Rachel se réveilla plus tard dans la nuit. Elle était dans son lit. Il était trempé de la sueur des trois amis. Une odeur de sperme l’entourait. Elle avait de nouveau sa ceinture. Mais par-dessus tout, elle était encore plus frustrée qu’avant.

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