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Où il est question de se faire tirer… le portrait – Chapitre 2




Le jeudi, il fait chaud, très chaud. Je m’habille à minima. Un short et une chemise à manche courte. Le tout blanc bien entendu.

Je sonne chez Ghislaine.

— Voilà, voilà, j’arrive.

Elle m’ouvre… Elle est déjà dans sa blouse.

Mais aujourd’hui, les deux premiers boutons sont détachés.

Il laisse entrevoir le début de sa gorge.

Je sais qu’elle est nue dessous.

Et vu son message de l’autre jour, je suis sûr qu’elle sait que je sais.

— Je ne t’offre pas à boire ?

— Non, comme avant hier 🙂

— Bien, montons tout de suite. Tu es vêtu léger, il ne t’en sera que plus simple de te retrouve en tenue d’Adam.

Arrivés dans son atelier, je passe immédiatement derrière le paravent et me mets comme elle dit en tenue d’Adam, seulement vêtu de ma serviette.

Elle ressort les 3 photos d’hier qu’elle a imprimées, me les donne et me laisse reprendre la pose qu’elle corrige à la marge.

— Très bien, tu vois, j’avais raison en disant que j’avais affaire à un pro sur whatsapp.

— Tu sais détendre l’atmosphère Ghislaine.

— Serviette ? – me dit-elle avec un grand sourire.

— Tiens, voilà – lui dis-je en la lui tendant.

Elle la prend, la dépose sur une table à côté et retourne à son chevalet.

Las, en passant à proximité d’un trépied sur lequel repose deux ou trois douzaines de pinceaux dans des tasses, elle l’accroche et tous tombent par terre.

Elle se met à quatre pattes pour commencer à les ramasser.

De mon côté, reflex, je descends de mon piédestal et prends la même position qu’elle pour l’aider.

La scène, d’assez banale sommes toutes, prend un tournant bien différent.

Je suis en face d’elle, nu, à 4 pattes, mon sexe pendant entre mes jambes et battant mes cuisses à chacun de mes mouvements.

Elle est dans cette même position, la blouse ouverte et je vois, que dis-je, je regarde, très distinctement ses deux seins lourds, aux aréoles très larges qui de même ballotent avec ses mouvements.

Je lis dans son regard, qu’elle, a le regard vissé sur mon appendice masculin.

Nous nous rendons compte tous les deux de cette situation.

— Je, je suis désolé Xavier, c’est très gênant.

— Euh, oui, pardon Ghislaine, très, tu as raison.

Je me relève promptement, vais reprendra la serviette et retourne à ma place.

Elle fait de même.

Les photos sont toujours là et je reprends ma pose, très troublé par ce que je viens de voir. En fait, que cette femme est belle.

Elle est derrière son chevalet.

— Tu… tu enlèves la serviette Xavier ?

— Oui, bien sûr, pardon.

Je m’exécute.

Que n’ai-je pas fait là.

Je suis littéralement au garde à vous.

Sans être particulièrement bien monté, mon service 3 pièces est de belle taille, que ce soit en longueur ou en épaisseur.

Je reste immobile, tétanisé par la situation.

Ghislaine de son côté est coite, obnubilée par la vue que je lui offre.

Il est des moments dans la vie où il faut savoir agir… ou pas.

L’arbre des décisions est simple.

Soit je recouvre mon sexe de la serviette, me lève, retourne derrière le paravent, me rhabille et pars. Cela signera la fin du tableau et la fin de ma très éphémère relation avec Ghislaine.

Soit je trouve une solution pour lui montrer que cette gaule est faite pour elle.

J’ai quelques toutes petites secondes pour me décider.

— Je crois que tu lui fais de l’effet – Dis-je en passant mon regard de ma hampe à son visage.

— C’est vrai – répond-elle sans bouger le moins du monde.

J’attrape mon sexe avec ma main et imprime un très léger va-et-vient

— Mais si tu le souhaites, elle peut encore se développer – dis-je avec un petit sourire.

La balle est dans son camp.

Soit elle se détourne, d’une manière ou d’une autre et me prie de partir.

Soit elle trouve une solution pour me faire comprendre qu’elle est d’accord pour jouer avec moi.

L’arbre de décision est entre ses mains.

— Se développer ? Que veux-tu dire ?

On va donc jouer…

Je serre un peu plus fortement mon membre et imprime à nouveau 2 ou 3 allers retours ce qui a pour effet de décalotter le gland.

— La rendre plus apte à s’adapter à un fourreau humide ?

— Et comment faut-il faire ?

— Elle adore voir son terrain de jeu.

Ghislaine s’approche alors de moi en déboutonnant sa blouse.

Elle la fait glisser de ses épaules et la laisse tomber à terre.

Elle est superbe. Un corps de femme avec des formes là où il faut. Le genre de corps que j’adore.

Je reprends mes va-et-vient lents et amples.

Elle vient à mon contact, s’agenouille et approche sa main de la mienne.

Je lâche mon sexe, prends sa main et la pose sur ma chair brûlante, l’enjoignant à l’empoigner, ce qu’elle fait sans se faire prier.

Je tourne légèrement sur ma chaise pour me trouver face à elle. Je laisse mes bras ballants.

Elle est là, face à moi, commençant à me branler, tout doucement avec de larges mouvements.

Descendant jusqu’à ce que ses doigts touchent mon pubis, décalottant au maximum mon gland, puis remontant jusqu’à le faire disparaitre au fond de mon prépuce…

— Tu aimes ? – me dit-elle en me regardant dans les yeux

— C’est divin Ghislaine, tu fais ça merveilleusement bien… Tu es une artiste 🙂

— Je crois que le plaisir doit se partager non ? J’ai tendance à penser que si je t’en donne beaucoup, tu me le rendras en retour.

— Je pense oui… Il faudra que tu me guides.

— Bien sûr – répond-elle en continuant sa masturbation.

Elle passe de la position à genoux à la position accroupie.

Sa main droite continue sa caresse sur mon sexe mais sa gauche vient maintenant se placer dans son entrejambe et je comprends qu’elle commence à titiller son petit bouton.

Je la laisse faire. J’adore cette situation. Elle a nos deux plaisirs bien en main.

Quand je sens qu’elle accélère son pompage de mon vit, j’applique ma main sur la sienne.

— Non, pas comme ça, pas ici…

Elle a compris mon message. Elle se redresse me prend par la main et m’accompagne.

Nous sortons de son atelier et nous dirigeons vers la chambre d’amis qu’elle m’avait fait visiter avant-hier.

Le lit est fait. La couche nous attend.

— J’avais préparé ça au cas où – me dit-elle avec un sourire Assieds-toi sur le bord du lit, j’ai envie de te sucer.

J’approche mon visage du sien.

— Moi, j’ai une folle envie de t’embrasser.

Elle obtempère et sa bouche se pose sur la mienne.

Nos bras enlacent nos corps respectifs et nous nous rapprochons.

Sa forte poitrine vient s’écraser sur mon torse et je sens ses tétons poindre tandis qu’elle se frotte contre moi.

Mon sexe vient se poser sur son mont de vénus. Elle remonte sa jambe et la place derrière la mienne pour nous forcer à nous rapprocher encore plus.

Nos langues jouent l’une avec l’autre. Elle prend ma tête à deux mains pour l’écarter un peu et commence à mordiller mes lèvres.

— J’ai envie depuis le dîner. J’ai eu très envie de te sauter dessus avant-hier, mais comme ça, c’est mieux. Ça fait deux jours que je me caresse en pensant à toi. J’ai une envie folle de sentir ton sexe dans mon ventre. Une envie folle de te sentir exploser en moi. Une envie folle de me faire remplir de ta semence.

Au moins, c’est clair. Et cette sortie augmente encore mon envie d’elle.

— Assieds-toi s’il te plaît… Je veux te sucer. J’adore ça. Je vais me caresser en même temps. Je sais que tu veux me donner du plaisir, mais tu y arriveras, ne t’en fais pas. Je peux exploser de nombreuses fois à la suite. Et j’adore me caresser en ayant un sexe dans la bouche. Ça me fait partir rapidement.

Je m’exécute et elle se replace comme dans son atelier, face à moi, accroupie.

Mais ce n’est plus sa main qui vient se poser sur mon dard, mais sa bouche tandis qu’elle recommence à se masturber, toujours de sa main droite.

Sa gauche vient prendre appui sur ma jambe et seule sa bouche s’occupe de moi.

Merveilleuse bouche.

Elle commence par téter mon gland, le lapant de sa langue, appliquant ses lèvres sur le méat, le suçant, l’aspirant.

Elle descend ma hampe et j’entre entièrement dans sa bouche. Son nez vient toucher mon pubis, elle m’avale littéralement.

Je sens sa gorge malaxer mon gland.

Elle remonte rapidement et recommence à me laper, tandis que sa main droite accélère son mouvement.

Elle engloutit la moitié de mon sexe et sort sa langue.

Sa lèvre supérieure est appliquée contre mon dard tandis que sa langue vient masser sa partie inférieure, puis elle reprend ses allers-retours et recommence avec sa langue, trois, quatre fois. À la cinquième, elle me reprend intégralement en recommence sa gorge profonde.

10, 15 secondes pendant lesquelles elle me masse, m’aspire, m’entoure. Que c’est bon.

Elle relâche la pression et mon membre turgescent sort de sa bouche.

Elle l’abandonne lentement.

Elle s’arrête alors que ses lèvres sont à une dizaine de centimètres de mon gland.

De longs filets de salive coulent de sa bouche.

Elle relève la tête vers moi.

Des larmes perlent de ses yeux.

— C’est bon Xavier, c’est bon de te téter, c’est bon dit-elle alors que sa main droite est agitée maintenant d’un mouvement très rapide.

Elle bascule en arrière, s’allonge sur le sol, ouvre grande ses cuisses qu’elle remonte sur sa poitrine en l’écrasant.

Elle se branle maintenant à toute allure.

Ses deux mains jouent avec son entrejambe.

L’une caresse follement son bouton tandis que, de l’autre, elle s’introduit deux, puis trois doigts dans son antre maintenant bouillante.

Sa vulve est luisante de cyprine, son bassin agité de soubresauts de plus en plus rapides.

Je la regarde fasciné par la position indécente dans laquelle elle se trouve.

Les mouvements de son bassin s’intensifient maintenant, mimant l’accouplement, mais elle ne se pénètre que de ses doigts. Quatre sont entrés maintenant.

Au bout de quelques secondes, son corps se tend comme un arc.

Elle étend ses jambes d’un coup, tapant d’ailleurs assez fortement dans une des miennes.

Elle est agitée de soubresauts rapides.

Ses gros seins ballotent dans tous les sens, sa main droite appuie fortement sur son bouton d’amour.

Ça dure… dix, quinze, vingt secondes…

Jusqu’à ce qu’elle se calme, laisse retomber la pression, s’assoit en tailleur et me fasse face.

— Whaou… quel orgasme. Tu es d’une beauté quand tu jouis Ghislaine…

— Merci Xavier.

— Tu es en sueur, tu veux boire quelque chose ?

— Oui, je t’abandonne deux minutes, je descends prendre un verre.

Elle descend telle une petite chatte et je l’entends qui se sert un verre d’eau.

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