Mon hygiène

Maîtresse Syl avait instauré la journée ’con/cul’’ : il s’agissait pour moi de m’installer tête en bas, cul en l’air et jambes ouvertes, sur le canapé du salon.

Charles se munissait d’un bol et d’un pain de cire qu’il faisait fondre avec des résistances.

Il faisait cela à l’ancienne, étalait la cire chaude à la spatule et m’épilait la chatte et le trou du cul.

Il finissait à la pince à épiler et quand le résultat le satisfaisait, il prenait une photo qu’il envoyait à Maîtresse. Quand elle était présente, elle venait voir et testait la douceur de mon sillon.

Si elle avait un doute, Charles prenait sa grosse loupe et tous deux regardaient où se cachaient les méchants poils disgracieux. S’en suivait un jeu de pince mi, pince-moi, dont j’étais le terrain d’exploration et de mini-souffrances. Il valait mieux pour moi qu’ils trouvent quelque chose à enlever, car sinon ils continuaient juste pour la distraction que j’offrais en sursautant à chaque coup de pince sur ma peau.

Les plus douloureux étaient ceux sur mon trou du cul, un enfer ! Car Maîtresse y allait doucement. Quand elle en tenait un, elle ne le tirait pas d’un coup sec, comme on doit faire, mais prenait tout son temps et le sortait de ma peau au fur et à mesure.

Il était même arrivé qu’un jour, Josiane qui était passée rendre visite à Maîtresse se mêlât à eux.

Charles m’avait préparée et Maîtresse lui avait alors demandé de ne pas me faire la cire en premier, mais la recherche des poils cachés, ceux qui ne s’enlèvent pas à la cire, ceux qui se cachent dans les replis de la chair.

Ils étaient trois, armés de pinces à épiler ; et moi, le cul en l’air, et les jambes à l’équerre.

Le jeu avait duré trop longtemps pour moi et j’avais fini le sillon en feu. Le pauvre Charles avait été obligé de me faire des compresses et de m’étaler plusieurs couches de crème pour me calmer l’entrejambe. Heureusement qu’il y avait ce jour-là la récompense : pouvoir lécher deux chattes en même temps.

La peinture

Charles me faisait répéter depuis plusieurs jours la chanson : l’Esclave de Serge Lama. Il était muet, mais pas sourd. L’idée de me faire chanter était de Josiane.

Si Maîtresse Syl trouvait que je ne la connaissais pas assez bien, elle me punissait : je devais passer la nuit dans le chenil. Mais, était-ce une punition ? Avait-elle besoin de cette excuse pour me faire dormir en compagnie des chiens ?

Toujours est-il que Charles me menait au chenil par la laisse, et bien sûr, Phébus et Perceval me sautaient dessus devant les yeux attendris de leur maître.

Je me faisais posséder par chacun des chiens. Ils me léchaient une fois qu’ils avaient déchargé dans ma chatte ou dans mon cul. Ils se léchaient ensuite.

Mais chose incroyable, enfin, que je n’avais jamais vue ; les chiens se léchaient la bite mutuellement. Ils faisaient un 69 en quelque sorte. Ne voulant pas rester sur la touche, je me mêlais à eux et suçais leurs bites. Nous devions présenter aux yeux de Charles un amas de chairs entremêlées avec ici et là : un sexe, une langue et des bruits de succion à n’en plus finir.

Bien qu’il fasse une bonne température, nous nous pelotions les uns contre les autres. La peau des lévriers est douce et ils cherchaient, eux aussi, mon contact.

Nous nous endormions tous les trois enchevêtrés entre leurs pattes, mes bras et mes jambes. Ils avaient besoin de tendresse tout comme moi. Je crois bien que nous nous sommes embrassés comme des humains. A un moment donné, nos langues se sont emmêlées et nous avons échangé nos salives. C’était divin.

J’avais pensé passer une nuit douce et paisible après notre orgie ce soir-là, soir devant Charles. Mais rien n’avait rassasié leur appétit et deux fois encore, j’eus le droit de me faire baiser par chacun des cabots. Dès que Phébus c’était mon préféré aussi me sautait, c’était au tour de Perceval, mais jamais le contraire.

Perceval semblait voyeur et participait quant à son frère, il me léchait partout. Alors qu’à l’inverse, jamais Phébus, mis à part me lécher la chatte après avoir déchargé, ne me léchait ailleurs pendant que Perceval me baisait.

Nous avions l’habitude de faire l’amour et chacun trouvait immédiatement la bonne position, que ce soit pour remplir ma chatte ou mon cul. Leurs coups de reins étaient puissants et de plus en plus précis.

Le matin j’étais un peu fatiguée quand Charles vint pour le petit-déjeuner. Je partageais la gamelle des deux lévriers pendant que notre maître profitait de ma position pour inspecter mon vagin et mon trou du cul.

A son air, je compris qu’il savait que la nuit avait été chaude pour moi et pour les chiens.

Je pensais faire ma toilette en même temps qu’eux, mais Charles en avait décidé autrement.

Il m’emmena dans la salle de bains du premier où il pratiqua un lavage méticuleux de toute ma personne.

J’adorerais quand ses doigts fureteurs s’emparaient de mon clitoris excité, quand son pouce dans ma chatte était rejoint par son index dans mon trou du cul. Il se frottait les deux doigts. Seule la mince peau séparant mon intestin de mon vagin les séparait.

Contrairement à mes attentes, il ne prolongea pas l’instant pour me faire jouir.

Je restais sur ma faim. Il me rééquipa de mon collier et de ma laisse, et me fit descendre les escaliers à quatre pattes.

J’aperçus Maîtresse, toute vêtue de cuir noir avec des bottes et une cravache à la main, qui nous attendait en bas. Elle prit le relais de Charles et me mena vers le salon en me tapotant les fesses avec son stick.

Je bénissais les moments où elle faisait montre d’instinct de propriété sur moi.

Arrivée sur le seuil du salon, je fus très surprise d’apercevoir un homme barbu et ventripotent, entre deux âges, qui nous souriait.

Devant lui était installé un chevalet sur lequel reposait un tableau de grande taille.

Maîtresse m’emmena vers lui, et me présenta comme sa chienne préférée, expliquant que j’avais 19 ans, que je faisais plus jeune. Ma corpulence aurait justifié bon nombre de mois en moins.

Elle justifiait la protubérance de mes tétons et l’homme était surpris de me voir « en vrai » et trouvait que je faisais moins jeune que sur les photos. Sans doute, mon sexe très précisément épilé par Charles, glabre et un peu bombé, faisait penser à celui d’une petite fille. J’en déduis donc que Maîtresse lui avait fait parvenir des photos qu’elle avait prises de moi.

Le peintre expliqua qu’il connaissait un homme qui avait le même problème, mais avec son sexe qui était presque toujours en érection : il souffrait de priapisme.

Maîtresse était intéressée par le phénomène et lui demanda de bien vouloir lui fournir ses coordonnées.

Je découvris sur le tableau Maîtresse habillée comme elle l’était là maintenant, et moi-même qui était représentée couchée à ses pieds la langue sortie, léchant une de ses bottes. Un de mes seins reposait sur l’autre botte, la cravache était enfouie entre mes cuisses.

L’homme parlait et nous fit prendre la même pose que sur le tableau. Il lui manquait des détails sur mon anatomie.

J’imaginais que Maîtresse et lui s’étaient rencontrés déjà à plusieurs reprises.

Le peintre me manipula pour que je sois la plus proche possible de la position que j’avais sur le tableau.

Maîtresse lui fit comprendre qu’il ne fallait pas qu’il prenne de gants avec moi, et que j’aimais être malmenée.

Je la remerciai d’un « wouaf» sonore. Ma docilité valait pour oui, à partir du moment où Maîtresse l’ordonnait.

L’homme fut surpris de ma réaction, et maîtresse lui expliqua le mode de communication que j’entretenais avec elle et Charles et d’une manière générale avec tout le monde que je côtoyais ici.

Il se mit à me parler, mais je lui répondais suivant le code.

Au début, c’était un jeu, et encouragé par Maîtresse ; cela devenait de plus en plus osé.

Cette révélation avait pour résultat immédiat de libérer les mains du peintre qui ne se gênait pas pour me faire prendre la position adéquate ni de me tripoter au passage les seins et le vagin.

Le temps me paraissait très long, j’avais des fourmis dans les membres pour tenir la pose et j’avais fait une tentative pour bouger, vite réprimandé par la cravache de Maîtresse qui s’abattit directement sur ma fente, pour le plus grand plaisir du peintre qui ne devait pas avoir l’habitude de la soumission.

Elle voulait l’impressionner et en profitait pour m’enfoncer le carré de cuir du bout de la cravache dans la fente.

Le jeu lui plut et c’est le manche qui bientôt prit place dans mon vagin.

Le mouvement masturbatoire ne tarda pas à venir et je jouis devant le peintre étourdi par tant de plaisir révélé.

La séance dura bien plus qu’une heure ! Au signal du peintre, je m’effondrai sur le sol de tout mon long, mais visiblement, ce n’était pas ce qu’ils avaient prévu.

Charles était allé dans la voiture de l’artiste chercher une caisse et installer d’autres peintures sur la table basse du salon.

Maîtresse buvait un verre de jus d’orange, regardant l’homme aux pinceaux me mettre en position.

Debout sur la table basse, je devais rester les jambes les plus écartées possible, les bras tendus de chaque côté et ne plus bouger. Charles me nettoyait la chatte avec des mouchoirs en papier et s’efforçait de m’introduire un tampon dans la chatte.

Maîtresse expliqua que c’était pour éviter que ma mouille n’efface la peinture.

Elle fut obligée d’aider Charles qui ne semblait pas familier avec cet objet.

Ils étaient tous les deux à fourrager entre mes cuisses et j’adorais l’idée.

Au final, n’y arrivant pas, ils me firent m’allonger sur la table basse, jambes relevées à l’équerre. C’est Maîtresse qui, avec l’aide de Charles qui écartait mes grandes lèvres, mit en place le tampon, sous les yeux intéressés du barbouilleur.

Je le vis prendre un pinceau et de la peinture bleue pour me badigeonner les fesses et le ventre. Il insistait sur ma chatte. Charles l’aidait en écartant mes lèvres et ma raie des fesses.

Il prit ensuite un pinceau plus petit pour faire des détails sur la première couleur qu’il avait appliquée.

En fait, je compris très vite qu’il faisait des poches, une braguette et des passants, pour reproduire un short en jean.

Pour le haut, j’avais eu droit à une peinture rouge qui commençait sous mes seins et finissait par une encolure dans mon cou, recouvrant le haut de mes bras ainsi que la partie haute de mon dos.

Maîtresse alla prendre un miroir et le positionna devant moi.

Je devais attendre que la peinture sèche bien.

De loin, je donnais le change et l’on pouvait penser que j’étais en minishort avec un petit haut rouge moulant ; les pointes de mes seins étaient plutôt saillantes.

Je compris rapidement où maîtresse voulait en venir.

Le peintre prenait un verre avec Maîtresse que Charles lui avait apporté.

Il fit quelques raccords une fois la peinture sèche.

Je pouvais enfin ramener mes jambes et baisser mes bras.

Une fois l’homme parti, nous déjeunâmes, mais je dus prendre grand soin de ma tenue en peinture et rester avec les jambes relativement écartées pour que ma transpiration n’altère pas mon déguisement.

Je pensais surtout que la peinture que j’avais sur la chatte risquait de disparaître.

Comme je m’y attendais, nous partîmes l’après-midi à une trentaine de kilomètres de la maison pour que je me promène dans les lieux publics.

Charles avait pour mission de nous filmer. Maîtresse s’était changée pour une tenue plus classique, très femme d’affaires.

Je sortais sans collier et j’avais aux pieds de vraies chaussures.

J’étais étonnée de constater que les gens, pour la plupart, ne faisaient pas attention à moi.

J’étais pourtant complètement nue !

Rien n’étonne plus personne aujourd’hui ! Là où ma tenue aurait créé une émeute il y a 20 ans, la plupart se contentaient de se rincer l’il.

Le regard des plus âgés était plus aguerri et brûlait ma peau, car la forme de mon sexe ne pouvait pas être aussi parfaite qu’à travers un vêtement.

Mes seins bandaient et mon clitoris était excité.

J’avais peur que ma cyprine coulât le long de mes cuisses et fasse des traces sur la peinture.

Nous passâmes une bonne partie de l’après-midi à nous promener dans la ville et à rentrer dans des magasins.

Je sentis Maîtresse très excitée, et je ne fus pas surprise quand elle m’entraîna dans les toilettes publiques pour que je lui bouffe la chatte.

Elle jouissait à répétition dans ma bouche. J’en avais partout ! Son jus intime de femme en chaleur coulait sur mon haut rouge et au final, effaça la peinture. Une fois que Maîtresse eut repris ses esprits, force fut de constater que mes tétons étaient bien visibles. Elle m’inspecta et le constat sur mon sexe était identique.

J’avais mouillé abondamment quand je l’avais léchée, et ma cyprine avait, là aussi, effacé la peinture. Elle me nettoya avec des mouchoirs en papier, ôta mon tampon, mais le désastre était là.

On voyait ma chatte et mes tétines sans peinture.

Elle, qui ne répondait jamais au téléphone quand elle s’occupait de moi, le prit pour la seconde fois. Charles fut missionné pour venir me chercher. Notre retour fut anticipé.

Elle me laissa dans les toilettes et nous retrouva à la voiture.

J’attendais Charles et pendant ce temps, une jeune femme, en voyant ma tenue, me questionna.

Elle était fort intéressée de pouvoir me mater. Je lui racontais que c’est à la suite d’un pari que je me trouvais dans cette situation. Je jouais un peu à la fille simplette qui s’est fait avoir.

Elle en profita pour tripoter ma chatte et mes seins. Heureusement, Charles était entré dans les toilettes des femmes et me sortit de ce mauvais pas. La fille protesta, mais devant la stature de mon protecteur, elle ne put que battre en retraite.

A la voiture, Maîtresse nous attendait. Charles lui fit comprendre ce qui s’était passé et je pris une fessée sur le parking.

Les claques résonnaient et je poussais des doubles « wouaf » qui ne changeaient rien à sa détermination de me punir.

Dans la voiture, je passais le trajet la tête entre ses jambes. Elle avait envie de ma langue dans son fondement. Son goût poivré m’enivrait et c’est l’esprit habité que je pratiquais une longue feuille de rose à Maîtresse Syl.

Arrivés à la maison, nous fûmes surpris de voir le peintre et un autre homme.

Maîtresse dit à Charles qu’elle l’avait eu au téléphone et qu’il était venu le peintre lui présenter son ami.

Les présentations faites, Maîtresse expliqua à l’ami qui se prénommait Emanuel que je souffrais d’un syndrome proche du sien, qui était le priapisme des tétons plus exactement le thélotisme.

Emanuel ressemblait à un maçon portugais qui devait se tuer la santé au travail, avec des mains calleuses, la cinquantaine grisonnante. Pas attirant du tout. Il avait même du mal à s’exprimer en français avec un accent qui me faisait hésiter sur la compréhension de certains mots.

Il expliquait qu’il était toujours « d’attaque », mais ne pouvait jamais « terminer ».

Si je comprenais bien, ils étaient arrivés plus tôt que prévu et Maîtresse n’aimait pas cela.

Charles fut chargé de me laver et tout ce petit monde dut attendre que Maîtresse se soit préparée.

Je passais dans le chenil à la suite de Charles. Les deux hommes nous suivirent.

Emanuel n’avait d’yeux que pour mon cul ; et moi, pour la bosse dans son bleu de travail.

C’est au jet et au savon que Charles me « nettoyait ». Comme à son habitude, il dirigeait le jet vers ma chatte pour écarter, sans les toucher, mes lèvres intimes. Je voyais la bosse du pantalon d’Emanuel qui grossissait et la même apparaissait dans le froc du peintre.

Charles me savonnait avec précision et avec lenteur, car il avait un public.

Phébus et Perceval gémissaient de l’autre côté de la grille. C’était plus mon odeur de fille que ma vue de femelle nue qui les excitait. Leurs bites étaient entièrement sorties de leurs fourreaux de poils et bandaient allégrement. Je m’imaginais les sucer ensemble et j’avais un sourire en pensant à la tête que ferait Emanuel. Mais j’ignorais si Maîtresse avait ce plan-là.

Charles officiait avec délice et je mouillais abondamment, il montrait ses doigts humides et gluants aux deux hommes très concernés par ce qui se passait.

Maîtresse tardait à venir, et Charles décida que je devais faire mon exercice de chant. A poil, à quatre pattes, et tenue en laisse devant les deux hommes et les lévriers impatients, je commençais à chanter. Pour corser le tout, Charles me faisait tourner en même temps que je chantais :

Dans un harem byzantin

Où pour trouver le paradis

Je m’étais déguisé en chien

Une esclave m’a dit

Moi je voudrais des perles lourdes

Des perles noires des émaux

Etre muette et presque sourde

Elle arriva et m’écouta en m’ordonnant de monter le ton :

Pour que tu me berces de mots

Des mots qui ressemblent à la mer

Des mots où l’on voit à travers

Des mots d’amertume et d’amour

Des mots tendres et des mots lourds

Moi je voudrais des chambres pleines

Où je m’étendrais toute nue

Plus fort, Sophie, ma petite chienne, ou tu vas finir avec les chiens ! Je veux t’entendre hurler les paroles et masturbe-toi en même temps.

Pour ce qui était de finir avec les chiens, il n’y avait aucun problème, j’adorais cela ! Mais bon, je me devais d’obéir à Maîtresse. Je repris la chanson et passai une main entre mes cuisses pour me reluire le bouton :

Cerclée de chiennes et de chaînes

Buvant des boissons inconnues

Des boissons de vie et de mort

Des coupes pleines à ras bord

Où poser mes lèvres mouillées

Sur des sofas, agenouillée.

Moi je voudrais un noir esclave

Aux dents blanches fortes et cruelles

Qui partagerait mes entraves

Et qui m’emmènerait au ciel

Dans la moite langueur du soir

Les paroles étaient suffisamment explicites pour exciter davantage encore tout le petit monde autour de moi. Même Phébus et Perceval m’accompagnaient en hurlant à la mort. Ils me regardaient et m’écoutaient tous : les hommes, les chiens et Maîtresse. J’étais ravie de l’effet que je faisais sur eux.

C’était une réussite à en croire les applaudissements qui clôturèrent ma prestation de chant et je jouissais bruyamment au final.

Maîtresse était pressée de voir le sexe d’Emanuel (et moi aussi !) et pour ce faire, manipulait mes tétons et donnait moult explications à ma maladie.

Emanuel fut invité à les triturer, lui aussi. Il était un peu timide au début, mais se rattrapa très vite et il m’étira tellement les pointes qu’elles passèrent de rose à rouge en quelques minutes. Le peintre perçut l’attente de Maîtresse et invita Emanuel à baisser son pantalon. On le sentait un peu sur la réserve et Maîtresse, toujours experte, prit les choses en main.

Une fois qu’il fut cul nu et bite à l’air, son sexe parut énorme, d’un diamètre très large et très raide. Maîtresse la manipulait et faisait des remarques sur la dureté : elle n’arrivait pas à lui tordre la bite. Heureusement, la longueur était plutôt classique.

Elle me mit l’engin dans la main en me disant :

Au boulot Sophie ! Ton défi est de faire jouir Emanuel qui ne le peut pas. A toi de jouer, ta fierté de soumise est en jeu.

Autant me menacer de passer dans le chenil était plutôt une récompense, autant douter de ma soumission me faisait presque pleurer.

Pendant que je m’agenouillais devant l’homme à la bite à l’air, j’entendais maîtresse parler avec le peintre de formicophilie. Elle lui expliquait qu’elle adorait mettre des insectes dans mon sexe et promit de le lui faire voir après que je me serais occupée d’Emanuel.

Je saisis la bite rude de l’homme et lui fis une fellation dans les règles. J’avais bien salivé sur l’engin : je pensais l’attendrir, mais rien n’y faisait ! Il était dur comme du bois. Ma langue n’y changeait rien ; ni mes mains expertes qui jouaient avec ses boules. J’accélérais la cadence, ralentissais, lui donnais quelques tapes sur la bite.

RIEN !

Il restait toujours aussi dur. Je décidais de me faire baiser pour l’amener à jouir.

Je lui présentai mes fesses en lui tournant le dos. J’écartais ma raie, mes lèvres bien ouvertes.

Il s’enfonça dun coup à l’intérieur. La rudesse de son engin était perceptible dans mon vagin. Je sentais chaque coup de reins très durement : comme si l’on m’avait pénétrée avec un morceau de bois. Je n’avais jamais ressenti ce genre de sensation avant. Ce n’était pas agréable. Il demanda à Maîtresse « s’il pouvait, là ».

Il parlait de mon cul. Maîtresse ne fit pas que l’encourager, mais l’invita à se servir de mes deux trous.

Il n’avait de cesse de rentrer et de sortir de l’un d’eux pour se propulser dans l’autre. Le peintre se tripotait le pantalon, il bandait bien, mais n’avait pas osé sortir sa bite. Tous n’avaient d’yeux que pour Emanuel qui n’arrêtait pas de me baiser sans pouvoir conclure.

Je commençais à sentir durement ses pénétrations.

Charles avait dû le deviner, car il crachait sur mon trou du cul quand le sexe de l’homme était dans mon vagin. Cela adoucissait un peu le rapport.

Au bout d’un moment, pensant que cela aiderait Emanuel à lâcher son sperme, Maîtresse sortit Phébus de l’enclos et le positionna devant moi pour que je le suce.

Il y eut bien un effet, mais pas de sperme. La bite d’Emanuel grossit encore plus ! Par contre, le chien ne mit pas longtemps à m’éclabousser le palais.

Charles me badigeonna la figure avec le sperme de Phébus en maniant sa bite.

Maîtresse mit fin à mon calvaire. Je n’avais pas joui non plus.

Dans une ultime tentative, j’enfournai son membre au fond de ma bouche et enfonçai un doigt dans son anus pour toucher sa prostate.

C’était un truc que m’avait expliqué Maître Lô, mais que je n’avais jamais osé faire.

Ce fut un miracle ! Il m’aspergea la bouche et le visage.

Je manquais de m’étouffer tellement il était abondant. Mes cheveux reçurent leur comptant de jute. Jétais anéantie, mais tellement contente ! Emanuel était à genoux et m’embrassait les mains. Il n’avait pas joui depuis des années, et moi, petit bout de femme de 19 ans, j’étais arrivée le satisfaire.

Il était aux anges et Maîtresse était fière de moi. Phébus me léchait la figure et je lui mangeais la langue, j’étais très excitée par tout cela, mais je n’avais pas joui.

Maîtresse décida qu’il fallait fêter cela, et fit ouvrir par Charles, une bouteille de champagne.

J’avais la permission de me mettre debout et de boire avec tout le monde.

Charles me fit passer à la salle de bains et me pommada pour adoucir les endroits sensibles qui avaient été mis à rude épreuve.

Je pensais que la journée était terminée pour moi, mais c’était sans compter sur l’imagination de Maîtresse qui était restée sur la formicophilie et la discussion avec le peintre.

Nous partîmes donc après mon passage dans la salle de bains vers le jardin, ou plutôt vers le bois qui faisait suite au parc.

Charles avait une boîte Tupperware et chacun devait trouver le plus d’insectes différents et de la plus grosse taille possible. J’avais le droit de rester sur mes jambes durant toute la recherche.

Emanuel qui, visiblement, se sentait redevable de quelque chose voulait trouver l’insecte le plus important. Il disait qu’au Portugal il y avait le lucanidé noir qui pouvait faire jusqu’à 7 centimètres.

Heureusement, peu de chance d’en trouver un ici !

Durant la recherche, le peintre me tricotait la chatte et les seins. Maîtresse l’encourageait à me faire mal ; je crois qu’elle était énervée et voulait me faire payer je ne sais quelle contrariété.

J’avais l’habitude que son amour pour moi se manifestât de la sorte…

Au bout d’un moment, se retrouvaient dans la boîte, des fourmis, beaucoup de gendarmes rouges avec des taches noires, des scarabées dorés et d’autres, tous noirs, une belle chenille jaune et noire, une grosse sauterelle (qui se sauva rapidement) des araignées de toutes tailles et espèces, des bousiers en nombre important, un capricorne de bonnes tailles, un gros bourdon auquel Charles avait ôté les ailes. Même un lombric tout en longueur trouva sa place parmi cette arche de Noé des insectes.

Emanuel fulminait de ne pas trouver l’oiseau (sic) rare qui me donnerait le plaisir que je lui avais procuré.

Il était tellement heureux qu’il demanda à Maîtresse s’il pouvait m’épouser.

Elle lui répondit par une pirouette en fixant un prix pour m’acheter, ce qui eut pour effet de le calmer d’un coup.

Charles referma la boîte en mettant un couvercle dessus pour éviter de perdre le précieux contenu.

Mes seins me faisaient mal et tout en marchant le peintre continuait de me les tordre en tous sens. Maîtresse parlait avec lui, et Emanuel tenait ma laisse.

Nous cheminions comme si rien de particulier n’allait se passer. Moi, nue, j’étais très excitée par les tripotages que je subissais et j’avais une folle envie de jouir. Je tentai de me masturber en descendant une main vers mon ventre, mais à peine le temps de poser mon doigt sur mon clitoris, que Maîtresse était sur moi et m’attrapait par les cheveux.

Elle me plaqua face au sol et demanda aux autres de m’immobiliser à quatre pattes.

Elle m’administra une fessée à coup de grandes claques en alternance sur chaque fesse. Elle entraînait les hommes à faire comme elle et mes fesses me brûlèrent.

C’était une déferlante de claques qui arrivait sur mon cul. De plus en plus forts et désordonnés, les coups pleuvaient.

Je crois qu’Emanuel était le plus vicieux : ses mains frappaient plus bas que mes fesses, sur mon anus et ma fente.

J’étais aussi essoufflée que les hommes et Maîtresse. Je restais allongée sur le sol dans l’impossibilité de faire un mouvement, comme assommée.

C’est le peintre et Emanuel qui, sur les ordres de Maîtresse, me ramenèrent en me portant à la maison.

Après un moment de repos, Charles m’installa sur la table de la salle à manger. Il m’allongea et me lia les poignets aux chevilles ; les jambes relevées et écartées par des cordes me reliaient aux pieds de la table derrière moi.

J’étais immobilisée et offerte à tous.

Pour parfaire mon accessibilité, Maîtresse Syl passa des élastiques autour de mes cuisses pour fixer les pinces à linge aux lèvres de ma chatte. Elles devaient permettre une vue parfaite de l’intérieur de mon vagin.

Je kiffais ce genre d’exposition : ne plus pouvoir bouger, offrir mon corps… Je les possédais par mon esprit, j’abandonnais toutes les bonnes manières de penser de la terre. Juste mon corps comme un autel divin, sacrifié aux dieux de la luxure et de la soumission. C’était moi qui dirigeais les personnes présentes et même les insectes dans la boîte.

Maîtresse jubilait ; elle assouvissait sa zoophilie et sa formicophilie par personne interposée d’un coup. Je voyais ses yeux inquisiteurs et une légère transpiration à la base de ses narines.

Ho, comme je l’aimais ! J’étais prête à donner ma vie pour elle. Les tourments qu’elle pouvait me faire endurer étaient un délice que je lui offrais. Je voulais lui appartenir, renier Maître Lô. Je pensais que je devais lui en parler, mais bon, ce n’était visiblement pas le moment !

J’offrais une vue panoramique sur ma double intimité. Pour faire bon ménage, Maîtresse avait tourné la lampe de façon à faire tomber la lumière sur mon entrejambe. Chacun pouvait admirer ma chatte et mon cul en pleine lumière.

Je pensais au panneau central du triptyque de Jérôme Bosch. Le jardin des délices : sûrement une réminiscence de mon passage à la fac d’histoire.

Ecartelée comme j’étais, je ressentais de l’air dans mon intérieur intime ; c’était troublant et bon à la fois. Je profitais de cet instant de répit où mis à part Emanuel qui me suçait les tétons et qui déclamait son amour, n’en revenait toujours pas que : « la petite » ait réussi à le faire jouir, là, ou même des professionnelles avaient échoué.

Ils ne tardèrent pas à jouer avec les petites bêtes que Charles leur proposait.

Chacun voulait commencer et Maîtresse y mit bon ordre, en ordonnant qu’un seul insecte soit introduit à la fois pour que l’on puisse voir l’effet produit.

Le ver de terre gigotait et Maîtresse me le passa devant les yeux avant de me l’introduire dans la chatte. C’était froid et je le sentais gesticuler dans mon intimité. C’était plutôt rigolo qu’autre chose.

Elle le coupa avec ses ongles et les morceaux continuaient à bouger.

Vint ensuite le tour d’Emanuel qui avait lâché mes seins avec le capricorne entre le pouce et l’index. Il le promena sur mon visage, sur mes lèvres. Maîtresse me pinça le nez pour que j’ouvre la bouche. Elle me faisait tirer la langue et bien sûr, le capricorne se posa dessus.

Emanuel le lâcha et je n’osais faire aucun mouvement avec ma bouche de peur qu’il rentre à l’intérieur. Emanuel le reprit pour lui faire me pincer un téton en manipulant sa pince. Je sursautais, car dans ma position, je ne voyais pas ma poitrine.

Enfin, il termina sa course dans ma chatte et fut observé de près par le groupe réuni autour de mon vagin. Je sentais bien l’insecte qui se débattait pour sortir de l’humidité dans laquelle il pataugeait.

Il devenait fou, car je le sentais se cogner aux parois de ma grotte. Là, également, mais sans l’aide de qui que ce soit, la bête crochetait mon clitoris et l’attrapait fort en se cramponnant dessus. Maîtresse m’ordonna de ne pas bouger. Je fis entendre des doubles « wouaf » sans succès.

Je dégustais ! C’était comme une piqûre qui n’en finissait plus. Au final, la pression était tellement forte que j’eus un spasme ; pas un orgasme, vraiment un spasme ! Je croyais mourir : une sorte de contraction énorme. Je lâchais de la cyprine en grande quantité, ce qui fit lâcher prise au capricorne qui ne bougeait plus.

J’eus droit à l’araignée qui, aussitôt sur ma peau, se débina sans demander son reste : ma chatte ne devait pas lui plaire.

Ils remplirent mon vagin avec les gendarmes, scarabées, bousiers et autres fourmis. Le bourdon était posé sur mon nez, mais il était mort et mis à part que je n’avais pas le droit de le faire tomber sous peine de punition, il ne risquait pas de me faire du mal.

Cela grouillait dans mon ventre et je sentais des insectes qui gravissaient mes lèvres pour courir sur ma peau ; mes cuisses me chatouillaient.

Ils avaient délaissé les insectes et décidé de faire entrer la chenille dans mon urètre.

L’opération était difficile pour ne pas dire : impossible. En fin de compte, elle fut écrasée dans mon trou !

Ils étaient tous très excités et sans être détachée, j’avais droit à des bites dans ma bouche, du sperme sur mon corps, mais personne pour me pénétrer.

Mes seins dégustaient encore et toujours ! J’étais anéantie et Charles le comprit et alerta Maîtresse. Une fois détachée, il me porta dans la baignoire du premier.

Je pus rester dans la mousse autant que je voulais. L’épreuve avait été redoutable et je m’empressais de me laver la chatte. Charles me donna une lotion antiseptique.

Je marinais dans l’eau tiède et savonneuse pendant le restant de la soirée.

J’eus la permission de manger devant la télévision et passai la nuit dans le lit de Maîtresse. Je lui mangeais la chatte pour l’endormir et enfonçais ma main entière dans son vagin. Ma petite anatomie me permettait de la loger jusqu’au poignet et de la remuer à l’intérieur, ce qui lui plut au plus haut point.

Le petit matin, dimanche, dès que je sentis Maîtresse bouger, je fourrai ma tête entre ses cuisses. Elle adorait être réveillée de cette façon. J’agaçai son clitoris avec ma langue, le lui aspirai pour le faire grossir. Il se gonfla de sang et je pus le suçoter comme une petite bite. Je mordillais ses lèvres, les grandes pour commencer, et je les écartai avec mes deux mains pour attraper les petites, toutes ciselées, ourlées. Un filet de lumière perçait entre les rideaux, j’adorai les regarder.

Je les tapotais avec le bout de ma langue, elles étaient comme vivantes. Je les étirais en les maintenant entre mes lèvres. Leur goût était plus prononcé le matin après une nuit de sommeil. N’y tenant plus, Maîtresse me prit par les cheveux pour m’entraîner dans la salle de bains. Elle me courba le dos sur le bord de la baignoire, tête dans le vide, et se soulagea dans ma bouche. Je bloquais ma déglutition et son urine fit un bruit de source quand elle arriva dans ma gueule grande ouverte. Elle avait un jet puissant.

Elle n’avait pas allumé les lumières. Je regrettais de ne pas bien voir. C’était plutôt violent, mais j’aimais cela. Une fois sa vessie vidée, elle retourna se coucher.

J’avalais par gourmandise un peu de sa pisse et me débarbouillais rapidement.

Je la rejoignis au lit pour ficher ma tête contre son sexe. Elle appuya ma figure jusqu’à l’écraser sur sa chatte comme pour m’y faire rentrer. Elle avait les cuisses puissantes et me serra tout le temps que dura le travail de ma langue, de mes lèvres et mes dents dans son sexe grand ouvert.

Sa jouissance fut brutale et ma bouche fut envahie de son jus d’orgasme salé et abondant, presque une éjaculation masculine. Je fus obligée de lui faire comprendre que j’étouffais.

Elle me laissa enfin reprendre de l’air dans mes poumons et je lui nettoyai son cul, sa chatte, et je terminai par lui lécher la sueur sous ses aisselles. Elle adorait cela. Le goût était âpre et me rappelait à chaque fois un souvenir familial.

Mon père avait voulu me faire manger au déjeuner de l’artichaut cru, le goût était identique aux aisselles de Maîtresse. Je ne voulais pas terminer le légume et maman m’avait punie. Je passais le restant de la journée nue, les mains sur la tête, au milieu de la salle à manger. La voisine, son mari, mon grand-père aussi (qui était encore en vie à cette époque) passèrent dans l’après-midi et purent écouter maman leur raconter que j’étais punie et profiter du spectacle de ma nudité.

Ce jour-là, un employé du gaz était venu également. La raison de mon délit était largement amplifiée pour justifier une telle punition. Il profita du moment que ma mère faisait durer en lui offrant à boire pour admirer de près : « mes tétines de chèvre » comme disait maman, ainsi que ma fente largement écartée par la position de mes jambes à l’équerre.

Ce souvenir remontait en moi au contact de cette saveur. Plus que par des visions, ils étaient guidés par des goûts et des odeurs.

Je profitais du demi-coma de Maîtresse pour lui faire comprendre de par mes gestes, et quelques « wouafs », que je devais lui parler. Elle accepta, tout en se prélassant sous la succion que je pratiquais sur sa poitrine.

Je lui expliquais que je voulais être à son entière disposition, et que je ne voulais plus retourner chez Maître Lo ; que je l’aimais, que j’aimais les lévriers et Charles également.

Que sa façon de me traiter était un bonheur absolu et que je ne pouvais plus vivre loin d’elle.

Elle était émue, je le voyais à ses yeux embués quand elle me prit le visage entre ses mains. Elle me déclara qu’elle aussi voulait me garder comme soumise. Je lui dis : comme esclave. Elle approuva le mot et me promit de parler avec Maître Lô dès que possible.

Je lui fis part également de la venue de mes règles. Elle m’interdit de m’en occuper, c’était à Charles de gérer ce genre de chose. J’avais honte par avance, mais ne me risquais pas à gâcher un si beau moment, de peur qu’elle ne revienne sur sa décision.

Elle se leva et j’attendis l’apparition de Charles pour ma douche et mon petit-déjeuner.

Il attaqua directement ce jour-là en m’auscultant. Maîtresse lui avait sûrement parlé de ma période menstruelle. Il se servit de la lampe de chevet pour faire un diagnostic précis de la situation. Mes règles ne duraient jamais bien longtemps.

Puisque j’étais dans les confidences concernant mon passé…

Quand j’ai eu mes premières règles, maman avait fait une fête à la maison avec les voisins et un copain de travail de papa.

J’en garde un mauvais souvenir, car ils étaient venus dîner et elle avait laissé bien en vue sur le buffet ma petite culotte maculée de sang et j’avais dû rester le cul à l’air durant toute la journée.

Elle avait dit que c’était une tradition de sa région, mais j’avais su par la suite que c’était une pure invention de sa part. Le but était de m’exhiber aux yeux des autres pour me soumettre un peu plus à chaque occasion.

Toujours est-il que Charles trouva un peu de sang et me le montra avec le gant dont il se servait pour me nettoyer. Je savais que cela ne durait généralement pas plus de deux jours. Je ne voulais pas les gâcher et essayais de ne pas porter d’importance à ce qui se passait.

J’avais honte qu’un homme s’occupe de mes menstrues. Autant faire mes besoins devant lui ne me gênait plus, autant pour ce qu’il y a de plus intimes chez une femme me gênait énormément.

Il me fit petit-déjeuner dans la cuisine en me donnant mes céréales à la becquée.

C’était pour lui un jeu auquel il ne dérogeait pas. Sûrement des réminiscences de son enfance. Cela m’infantilisait davantage. Je me comportais automatiquement comme une enfant, sûrement un réflexe conditionné

Il me mena directement au chenil et me fit comprendre par une multitude de gestes qu’il s’agissait d’une offrande des dieux pour Phébus de pouvoir boire le sang des règles d’une femme, et que cela lui donnerait la chance d’avoir une descendance nombreuse et victorieuse dans les concours canins. Bon, c’était laborieux pour tout saisir, mais je crois que j’avais l’essence même de ce qu’il voulait me faire comprendre.

Maîtresse me le confirma ensuite.

Bref, Phébus me brouta le minou toute la matinée : pendant ma toilette, pendant ma répétition de la chanson de l’Esclave, pendant que je suçais Perceval. Il devait se gaver de mon sang. Par contre, son frère n’y avait pas droit, allez savoir pourquoi !

Durant deux jours, je n’étais pas baisée ; seulement juste largement léchée. Ma toilette intime n’était pas faite autrement que par la langue du chien et sous le contrôle de Charles qui, minutieusement, inspectait mon vagin sous toutes les coutures.

Ma promenade dans le parc se faisait à quatre pattes, accompagnée de Phébus ; j’avais droit le soir au moment de l’arrosage automatique, de m’accroupir sur le jet d’eau.

Je m’enculais dessus et l’eau remontait dans mon conduit anal. Charles était content de lui, il avait réinventé le lavement. C’était agréable et terriblement efficace, bien plus plaisant que la canule avec le produit et Phébus était là pour me lécher le trou du cul ensuite.

Au terme de ces deux jours, qui m’ont semblé une éternité, maîtresse a décidé de faire une fête.

Une belle table, des mets fins, du champagne et surtout nous mangions tous les trois, ensemble. J’étais toujours nue, il ne faut pas exagérer non plus !

Maîtresse porta un toast, et annonça qu’elle avait contacté Maître Lô.

La première bonne nouvelle était pour Charles, car à cause de ma présence, il était forcé de s’occuper du ménage et des repas, car Maîtresse avait donné congé à la femme de ménage. Du coup, elle était maintenant employée au Conseil général, mais maîtresse avait embauché Josiane pour tenir la maison. Elle avait un accès restreint à ma personne, alors que Charles pouvait me faire ce qu’il souhaitait. Cela me rassurait : elle devrait passer par lui pour pouvoir décider ce qu’il autoriserait ou non.

La seconde nouvelle était pour moi. J’étais embauchée comme aide-soignante des chiens et secrétaire particulière de la présidente de Région, rémunérée par le Conseil régional. Plutôt bien !

Dans la mesure où je ne dépensais rien, mon pécule à la banque s’arrondirait. Par contre, elle négociait encore le prix de la transaction avec Maître Lô : un échange politique, me semblait-il.

On m’achetait comme une esclave, comme un joueur de foot en quelque sorte. Juste d’y penser, je dégoulinais de cyprine. Par contre, j’avais des promesses à tenir…

Je ne voyais pas de quoi Maîtresse voulait parler. Elle me rappela mon engagement le soir de mon départ de l’EHPAD : le zoo, l’asile de détraqués et le voyage en Afrique.

Tout me revint en mémoire d’un coup, et j’étais submergée. Je pleurais à chaudes larmes. Charles me consola.

C’était incontournable de la part de Maître Lo, de Maîtresse Mireille, la directrice de l’EHPAD, de Martial le factotum et de Gabrielle l’aide-soignante antillaise.

Tout ce monde exigeait mes trois serments avant l’achat définitif par Maîtresse Syl.

Le contrat en était là et Maîtresse comptait que je l’honore.

Contrainte pour pouvoir changer ma vie, j’acceptais la soirée que proposait maîtresse, pour renouveler auprès des personnes concernées mes promesses.

Je profitais de la parole que m’autorisait maîtresse pour demander que l’on me fasse un bilan sanguin : mon alimentation me faisait craindre un déséquilibre. Je réclamais d’aller chez le coiffeur : mes chevaux blonds étaient longs et j’avais l’habitude les faire couper plus court.

Analyse et coiffeur

Maîtresse était d’accord pour le bilan de santé et pour le coiffeur, mais pas question de couper la longueur : juste les pointes.

Elle ne voulait pas non plus que mon alimentation change si le bilan était bon. Mon poids avait

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