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Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel – Chapitre 2




Rappel du chapitre précédent : avec celle qui deviendrait bientôt mon ex-femme, je fais mes premiers pas de libertin en club, et je rencontre un couple pour un premier trio. Mais la jeune femme éprouve des sentiments imprévus…

Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.

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Débuts libertins : mes aventures en solo

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Après ces tout premiers pas avec ma future ex, s’ensuivit une longue période d’expériences en solo, tandis que nous progressions vers la séparation et le divorce. De son côté, elle vivait aussi des aventures, moins libertines que simplement romantiques. Cette période remonte à près de vingt ans : je convoque donc mes souvenirs au mieux, mais si je suis assez confiant dans la véracité de ce que je vais raconter, je n’en garantis ni l’ordre chronologique, ni que je ne vais pas oublier quelques épisodes. Mais ce qui sera narré, sera arrivé !

Bien que non encore séparés « techniquement », nous l’étions moralement, je cherchai à profiter de cet espace de jeu tout nouveau constitué de la conjonction entre ma liberté retrouvée, et le libertinage découvert. Pendant plusieurs mois, qui aboutiraient à une rencontre décisive, j’utilisai différents moyens pour mes expériences : le Minitel, qui à l’époque restait le seul vrai moyen de rencontres électroniques, et les clubs et saunas, à Lyon ou à Paris lors de déplacements professionnels. J’étais avide de sexe, et si un jour ou soir j’avais décidé de baiser, je pouvais passer beaucoup de temps à chatter sur Minitel ou à zoner dans un sauna échangiste.

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Un coup en bord de Rhône

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Un soir de chat sur Minitel (pour les plus jeunes : un service où l’on se connecte – une liste de personnes connectées, avec des pseudos, un mini CV comme sur Tiwtter, et hop, on engage la conversation), je me mis à parler avec une femme dont le pseudo m’échappe aujourd’hui mais qui visiblement avait envie d’un coup de bite. Dominique était plus âgée que moi – j’avais environ 34 ans, elle une bonne dizaine de plus, et se révélerait assez dodue, mais avenante. Après s’être chauffé sur le petit terminal, nous nous donnons rendez-vous à la nuit tombée, dans un bar des quais de Saône, à Lyon. Au premier étage, nous nous lovons ans un petit recoin et sirotons un cocktail au café. Il y a des choses insignifiantes dont on se souvient la conversation n’a pas duré longtemps, nous avions tous les deux envie de cul. Le recoin étant assez tranquille, je me souviens l’avoir branlée pendant qu’elle suçait la paille emplie d’alcool, puis je lui ai fait sucer mes doigts. 

Nous avons ensuite quitté l’établissement et pris ma voiture. On ne pouvait aller ni chez elle, ou il y avait sa fille, ou son fils je ne sais plus, ni chez moi puisque je ne vivais pas seul. Je me souvenais de quelques lieux isolés en ville où j’avais autrefois fait l’amour en voiture avec mes premières petites amies, au temps de mes études. Alors direction les quais de Rhône – aujourd’hui transformés en zones de loisirs et de promenade – qui étaient à l’époque des parkings peu surveillés, et pas forcément très bien fréquentés. Je pose la voiture à l’endroit le plus reculé possible, je verrouille les portes, nous reculons les sièges au maximum et je recommence à lui fourrer mes doigts dans le con. Cette fois-ci, je goute moi-même mes doigts, je suis très excité et plus rien ne peut me dégouter. Je suis d’ailleurs un peu déçu, sa chatte ne sent rien de spécial elle porte une grande culotte pas très sexy, comme le sont souvent celles des femmes un peu grasses. Pas facile, la jolie petite culotte mignonne, pour certains physiques. Elle l’enlève ,et j’enlève aussi mon pantalon et mon slip. Je bande, sans plus parce que j’ai quand même l’impression de prendre la première venue sans qu’elle me plaise vraiment. Elle me suce, je la baise, mon sperme remplit la capote et peu après nous sommes repartis en direction de la Saône où elle a laissé son propre véhicule. 

De mémoire, je n’ai eu qu’une ou deux autres expériences de ce type, pas vraiment libertines en fait, où je baisais des filles un peu esseulées qui ne me plaisaient pas réellement. L’une d’elle m’avait fait de longs discours pour me dire que finalement elle ne voulait pas coucher; nous étions chez elle. Et puis à force de parlementer, je l’ai sautée – elle a même souhaité me recevoir sans préservatif pour sentir le sperme dans sa chatte. Sans doute convaincante car c’est une des rares fois où j’ai abaissé la garde dans ce domaine, sans conséquence heureusement. Et il faut bien reconnaître que la sensation de sa queue entre les muqueuses au naturel, c’est une toute autre histoire qu’avec du caoutchouc – au point que tout au long de ma vie libertine, la pénétration ne sera pas nécessairement mon ultime plaisir. Je ne l’ai plus revue; nous avons un peu échangé par messages, par mail, pour finalement se perdre tout à fait de vue. Elle aussi était plutôt grosse, un un peu marginale, et pleine d’esprit – des caractéristiques qui furent celle de la femme dont j’étais en train de me séparer, sauf que celle-ci avait, depuis, fondu en kilos pour en devenir presque maigre. 

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Leila, ultime salope

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Parmi les filles que j’ai rencontrées grâce au Minitel, Leila mérite sans doute la palme de la vraie salope, pour ne pas dire plus. De celles qui couche à la fois parce que c’est une allumée du cul, et facilement, et aussi parce qu’elle cherche à séduire un « bon parti » dont je sens qu’il ne sortirait pas indemne. Dans le milieu libertin, ceux qui sont adeptes de la crudité de langage (j’en suis) utilisent le plus souvent le mot « salope » dans le sens plutôt positif de celle « qui aime autant le cul que les garçons et qui en profite ». Leila, elle, avait une dimension un peu bizarre, pas totalement claire. Mais elle fut sans doute ma première partenaire un peu régulière de libertinage, avec quatre ou cinq sorties ensemble.

La première rencontre eut lieu dans un bar de la Croix-Rousse, une des collines lyonnaises. Charme oriental, avec les cheveux noirs et tirés, assez jolie somme toute, avec une voix un peu éraillée. Plus jeune que moi, quelque chose comme 28 ou 29 ans. Elle habitait dans une banlieue correcte où j’étais allé la chercher en voiture. Assez rapidement, la conversation tourna autour du sexe et assez rapidement, elle ne fit pas mystère du fait que sa chatte était complètement trempée. Je n’eus pas de meilleure idée que lui proposer de partir en voiture pour aller baiser dans la nature – c’était l’été. Tout le long du chemin, elle alterna entre me branler pendant que je conduisais, et se masturber ; au point de laisser une bonne quantité de cyprine sur le fauteuil de mon 4×4. Nous avons finalement trouvé une petite clairière à l’extérieur de Lyon, et je l’ai prise sur le capot, comme dans un film X des années 80. 

Notre second rendez-vous fut pris sur les quais de Saône – non, pas le même qu’avec Dominique, mais nous étions également au premier, à l’écart. Je lui demande si elle voulait bien enlever sa culotte dans le bar et me montrer son sexe. Elle ne mit pas dix secondes à obéir et l’instant d’après, écartait largement les cuisses et les lèvres de sa chatte, Je sentais une forte chaleur m’envahir et lui dis qu’elle était décidément une vraie salope. Elle me répondit que je ne pouvais pas imaginer à quel point, et qu’elle avait envie de voir ma queue. Je lui montrai et nous décidions qu’il fallait très vite trouver un endroit pour que je puisse la mettre à l’abri dans son sexe qu’elle tenait toujours écarté avec les doigts. 

Nous sommes allés dans ce club qui avait vu mon premier trio si délicieux. Avec cette fille, je sentais qu’il allait être possible de « lever » un autre couple et que je pourrai donc baiser deux filles le même jour. Nous nous sommes postés sur une banquette, nos prodiguant quelques premiers câlins, quand une apparition surnaturelle se révéla à notre gauche, sur la banquette d’à côté. L’homme avait une cinquantaine, bien portée, élégant. Elle semblait n’avoir pas plus de 25 ans – et je saurai plus tard qu’elle n’en avait que 19. Elle était étudiante, il était représentant, vivait avec elle, la dévergondait, l’offrait. C’est sans doute une des plus jolie filles que j’avais vu de ma vie. Un corps parfait, jolie comme un coeur, habillée avec une tenue noir, un peu cuir, tendance échangiste mais sans le côté vulgaire qu’on observe quatre fois sur cinq.

Nous avons entamé la discussion et fort peu de temps après, nous étions tous les quatre dans un coin câlin. Je n’avais pas encore sauté Leila, mais, je le dis un peu honteusement, sur le moment je n’avais plus d’yeux que pour Diane, la jeune étudiante à l’air farouche – elle ne disait pas grand chose et semblait sous l’emprise de son homme, un point qui amenuisait toutefois mon excitation – j’expliquerai pourquoi ultérieurement. 

Leila n’eut pas beaucoup de chance avec Jacques, le cinquantenaire du couple : s’il promenait son avion de chasse dans les clubs, c’est sans doute parce qu’il n’était pas très vaillant sexuellement, et que pour la satisfaire, il lui cherchait des bites plus efficaces. Après la « séance », Leila ne manquerai pas de me faire savoir que si moi, j’avais touché le gros lot, il n’en était pas de même pour elle. De fait, une fois nue, Diane révéla un corps incroyable, une sorte de liane mais avec des formes, des petits seins parfaits que je suçais longuement. Je fis à Diane tout ce que j’osais alors dans une telle circonstance : léchage de la chatte, de l’anus, intromission de mes doigts dans tous les trous. Je finir pas la baiser bien entendu, mais je n’osai pas trop demander ce qui deviendrait mes vrais objectifs dans une relation de sexe : me faire lécher et doigter le cul notamment (par chance, j’aurai l’occasion de constater que les filles aiment souvent faire cela, et presque toutes celles que j’ai baisées ensuite m’ont mis leurs doigts dans l’anus, et parfois leur langue). Je me souviens avoir pu embrasser sur la bouche cette fille pendant que je la pénétrai et ce fut merveilleux, mais une chose restait un peu gênante : une forme de passivité. Nous échangeâmes néanmoins nos coordonnées, et pour tout dire, il y aurait une suite (cocasse) à cette histoire. 

Leila n’avait, de son côté, ni joui, ni pris de bon temps, me le fit savoir et il allait donc falloir que je m’en occupe. Nous nous sommes isolés après m’avoir laissé un peu le temps de récupérer. Là, j’ai pu m’occuper d’elle pour la première fois et c’était une bombe. Sa chatte était un vrai aspirateur, et j’ai découvert à cette occasion une pratique qui deviendrait une de mes habitudes : le fist. Ma main entrait sans difficultés dans sa chatte qui avait décidément dû voir du monde. J’adorai d’entrée de jeu cette sensation unique, d’avoir le poing tout entier enserré dans la muqueuse humide. Je pouvais l’y faire pivoter, en sentant contre ma peau les aspérités de son vagin, l’orifice bombé de son utérus. La contrepartie de son antre accueillante est que ma bite y était ensuite un peu au large. Elle le sentit et me demanda :

« – tu as envie de m’enculer ? » 

« – j’adorerais »

« – sort de ma chatte et rentre direct »

Je sortis ma queue, le préservatif était plein de sa mouille qui formait une sorte de pellicule blanche sur la capote. Avec ma main gauche, je commençai à lui enfoncer un doigt dans l’anus pendant que je me branlai de la droite, pour gagner un peu de rigidité. J’avais enculé une fois ou deux ma femme, mais je n’étais pas un expert.

« – ta bite direct je te dis », protesta t’elle en sentant mon doigt lui fouiller le derrière. 

Je ressortis mon doigt qui n’était pas complètement clean après cette visite. Peut être savait-elle son fondement bien garni et voulait m’éviter d’en avoir sur les doigts. Faute de meilleure solution, je me suçais le majeur, découvrit que ça m’excitait de faire ça et dans le même temps, présentai mon sexe devant son anus. Il rentra tout seul : Leila n’en était pas à son coup d’essai de ce côté là non plus. Je lui ai bien défoncé le cul; je constatai que la capote était bien sale et j’entendis Leila me dire :

« – attends je vais te sucer un peu ». 

Elle se retourna, ne cilla pas devant les larges traces marron qui ornaient la capote et la nettoya consciencieusement en me regardant dans les yeux. Elle fit sortir la bite de sa bouche et me tira la langue, dévoilant ce qui s’y était déposé, puis avala le tout. 

« – tu disais quoi déjà ? que j’étais une vraie salope ? « 

Elle se fourra à nouveau ma queue dans l’anus et me fit jouir. Elle enleva elle-même la capote, sans faire davantage de cochonneries avec. La soirée était terminée, j’avais, le même jour, baisé une fille comme je n’en baiserai jamais plus, puis fait des cochonneries inédites avec une autre qui se révélait être une maîtresse du hard-crad, entre fist et pipe merdeuse. J’avais hâte de vivre de nouvelles aventures. 

 suivre…

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