(AVERTISSEMENT : Cette histoire est un remake sci-fic du Club des nymphes une histoire de Nkari)
CHAPITRE 1 (ÉLODIE) : UNE RENCONTRE BOULEVERSANTE
Voilà, une nouvelle étape de ma vie va démarrer dans une nouvelle école. Je suis Élodie Dejoel de la famille Dejoel, notre entreprise familiale est l’une des plus puissantes et des plus influentes du monde. Cela fait des années qu’elle se transmet de génération en génération et ce sera à moi de la prendre quand j’aurai finis mes études. Aujourd’hui je viens de m’installer dans mon appartement on ne l’a pas meublé avec de l’immobilier de luxe je ne suis là que pour trois ans.
On a appris que si je voulais l’appartement je devrais le partager avec un ou une colocataire qui avait déjà réservé. Je n’étais pas vraiment contre, au moins j’aurais une personne avec qui parler. Personnellement j’espère qu’il s’agit d’un mec. Ce qu’il faut savoir sur moi c’est que je suis sexy, j’attire les mecs et que j’adore ça. Au lycée je changeais de gars au moins chaque semaine et à chaque je profitais au max de sa queue. Espérons que, si c’est un colocataire, ce soit un mec bien membré.
Aujourd’hui c’est le jour J. Il va arriver d’une minute à l’autre. Je porte une mini-jupe noire avec une culotte en dentelle blanche et un décolleté révélateur. On sonne à la porte. J’ouvre et me voilà sidéré. Là, juste devant moi se trouve l’homme le plus beau que je n’ai jamais vue. Il a le teint pâle, il est assez grand (plus que moi) mince mais a une silhouette musculeuse, des cheveux noirs jais rebelle et de magnifiques yeux verts envoûtant.
Je reste figé pendant un moment tout comme lui. Il a fait les yeux ronds dès qu’il m’a vu. Au bout d’un moment nous reprenons nos esprits.
— Bonjour. Je m’appelle Élodie, lui dis-je pour me présenter.
— Et moi Ken, dit-il dubitatif.
En regardant plus attentivement son visage je me rends compte de quelque chose.
— On ne se serait pas déjà rencontré par hasard ?
— Non. Jamais.
Je vois sa valise derrière lui et l’invite à entrer.
Il est beau gosse mais il a l’air timide aussi. Ça c’est un peu embêtant mais si j’arrive à le décoincer on sera souvent dans le même lit. À mon grand plaisir !
Quelques heures plus tard il est installé à son tour et j’en profite pour lancer la conversation. Je n’hésite pas à lui dire mon nom de famille qui fait effet comme d’habitude, j’en profite pour mettre en valeur mes formes si il veut me baiser pour mon argent ce n’est pas un problème. Du fric on a que ça et puis tant qu’il me baise.
J’apprends qu’il n’a pas de petite amie. Il vient lui aussi de la haute société mais n’est pas suivi par les médias.
Le soir venu il décide d’aller prendre une douche.
Je regarde un feuilleton télé sans importance et je remarque que la porte est légèrement entrouverte.
Je m’approche discrètement de la porte et jette un coup d’il. Il a malheureusement fini sa douche, mais il s’essuie. Je mate le corps de mon colocataire en me régalant l’il. Il a de beaux abdos, des pectoraux assez imposant et des jambes d’athlète. Un sportif. Génial !
En regardant sa bite je manque de m’évanouir. Il la queue la plus imposante que j’ai jamais vu.
Ne pouvant plus attendre je jette mes habits et je rentre dans la salle de bains.
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Oh rien, c’est juste que je voulais prendre une douche moi aussi mais comme tu es là, ça te dérange qu’on la prenne à deux ?, demandais-je en gonflant le torse et en bougeant les hanches.
— Ce n’est pas la peine, j’ai fini la mienne. J’ai déjà mangé je vais dormir.
Au moment où il sort je l’interpelle.
— Dis t’as bien compris que je te dis de me baiser là ?
— Oui. Mais je n’en ai aucune envie.
Il quitte la pièce et me laisse comme une conne. Quelle humiliation ! Avant lui jamais personne ne m’avait rejeté. Il n’a même pas bandé devant mon corps que tous les gars admirent ! Ce n’est que le début je vais le chauffer sans m’arrêter et au moment où il craquera, je lui dirai non !
Deux jours plus tard, il continu de repousser mes avances. D’ailleurs, j’ai remarqué qu’il est distant avec moi mais je n’ai pas l’impression que ce soit dut à mes attaques mais à autre chose et plus je le regarde plus je suis certaine de l’avoir déjà vu quelque part.
Comme c’est bientôt la rentrée je décide d’aller voir quelque gars qui sont en deuxième ou troisième année pour avoir des connaissances. Je ramène l’un d’entre eux à l’appart le soir même et à peine arrivé dans ma chambre je suis à genoux avec sa queue en bouche. Je la lui lèche, lui pompent en utilisant bien ma langue sur sa verge.
— Oh oui, putain ! T’es vraiment la reine de la pipe !
Au bout de quelques minutes il finit par jouir dans ma gorge. J’ai toujours adoré le goût du sperme. Et je ne m’en lasserais jamais.
Je me mets en position sur le lit et écarte bien les cuisses. Mais je remarque qu’au lieu de me prendre la chatte il va me prendre le cul.
— Non ! Pas dans le cul !
— Aller quoi, t’as un cul d’enfer !
— Ta gueule !, pesté-je
Au final il se résigne à me prendre la vulve. Sa virilité entre en moi et je gémis de plaisir. Je ressens chacun de ses mouvements, son gland énorme me frotte chaque parcelle de ma chatte. Je gémis en exagérant pour que le con d’à côté entende. Celui qui me laboure ne va pas tenir plus longtemps, je sens sa bite grossir de plus en plus. Je doigte un peu pour avoir plus de plaisir et il jouit en moi, je jouis à mon tour en me tripotant encore un peu plus tard.
En retrouvant mes esprits je m’adresse à Peu importe comment il s’appelle. Et je lui dis de partir. Il s’en va sans opposition.
Après quoi, je vais voir si Ken a écouté ce qui sest passé mais en entrant dans sa chambre, il n’y a rien à part une note sur son lit.
/Je suis parti. J’ai pris un autre appartement./
Merde ! Il va falloir attendre la rentrée si je veux le retrouver et prendre ma revanche, bon tant pis d’ici là j’aurais le temps pour faire des connaissances.
Tout à coup mon portable sonne. Qui peut m’appeler à une heure pareille ?
— Allo.
— Élodie, ma chérie ?
— Maman mais pourquoi tu m’appelles aussi tard ? Il se passe quelque chose de grave ?
— Nous avons fait des recherches sur ton colocataire et on a découvert quelque chose.
— Qu’est-ce que tu as appris sur Ken ?
— Je me disais qu’il avait changé de nom. Élodie tu n’as pas l’impression de l’avoir déjà vu quelque part ?
— Oui, mais je narrive pas à mettre un nom sur ce visage.
Mais sa réponse me fait l’effet d’une douche froide.
— Élodie c’est Thomas !, dit-elle en panique.
Je suis assise à une table à côté d’un mec qui me reluque les seins et me pelote les fesses.
Celui qui est, heureusement, mon ex-colocataire entre en dernier et toutes les filles tournent leurs têtes vers lui émerveillés. Il porte un teeshirt et un jean simple mais cela lui donne un style de « Bad Boy ».
Il va se mettre à côté une fille qui est devant, elle rougit quand il lui parle mais on voit aussi qu’il est gêné. Comme une sorte de malaise.
Le prof se lève de son bureau, ce qui attire notre attention, et parcourt la salle du regard avec sourire au coin des lèvres.
— Bien, dit-il. Nous allons donc pouvoir commencer.
Ça y est plus de machine arrière. C’est parti pour trois années d’études dans cette école de commerce avec le salaud de frère incestueux que je n’ai pas vu depuis des années qui a changé de nom. Aujourd’hui il se fait appeler Ken Kingsman. Et veut me prendre l’entreprise familiale.