Histoire de sexe fétiche Histoires de non consentement

De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 24




Ouf, c’est vrai. J’ai maintenant trois femmes à engrosser, à devenir père-mère ou mère-père en même temps. Je me pose sur les genoux d’Émile. Il s’inquiète, mais je le rassure en lui avouant mes pensées. Il me répond que tout ira bien… J’en suis convaincu.

Il me caresse le dos et me regarde amoureusement. Son sexe se réveille doucement. Je frotte mes fesses sur ce bâton de chair. Adélia nous regarde, je ferme les yeux et embrasse le vieux grec avec passion. Je tends, à l’aveugle, ma main à la belle créature qui se retrouve très vite à partager notre baiser. Je me lève et laisse ma place à Adélia.

— Aime-le comme je l’aime, comme je t’aime…

Je m’en vais, les laissant seuls. Je me retourne, Adélia est en train de mettre la bite d’Émile au chaud. Je souris intérieurement. Depuis qu’il attendait cela. Il l’aime, elle l’aime. Quoi de plus normal dans une famille ? ? C’est le cur léger que je descends les échappées qui me mènent au salon. Elles sont là mes deux gouines, en train de siroter un champagne hors de prix. L’écran de la télé renvoie les images de l’accouplement qui se passe en passerelle.

— Tu sais vraiment y faire. Me dit Malika.

— Ce que femme veux… Je lui réponds en la prenant dans mes bras, de dos.

— Hummm… Coquine…

Je l’ai prise en lui pelotant les seins, jouant avec ses piercings. Théna nous dit qu’elle va prendre une douche. Nous la suivons, laissant nos deux tourtereaux à leur plaisir. Sous la douche, bien que nous nous sommes savonnées mutuellement, il ne se passe rien. Je suis séchée et maquillée sobrement, je remets mon collier.

— J’aime ta queue… Ouiiiii… Lâche-toi en moi… Hummmm…

Malika a remplacé ses doigts par quelque chose de plus gros. Je la vois dans la glace de la coiffeuse. C’est un double "Dong" et elle s’est empalée sur l’autre moitié. Elle pistonne sauvagement mon anus et sa chatte. Je retombe en arrière. Quelle famille formidable. Elles se donnent à fond. Elles se déchaînent sur mon pal et sur ma chatte, car oui, je jouis du cul, c’est fantastique.

— Oui, bande de salopes… JE JOUIS, HAN, HAN, OUIIIII…..

Elles jouissent ensemble. Mon flot s’éternise et déborde du con de Théna. Malika lâche le double gode et s’empresse de venir lécher mes couilles et la chatte de sa copine, enfin, sa nièce. Repu de bonheur, je somnole entre mes deux déesses.

16 h 00, je suis réveillée avec tendresse par de petits bisous dans le cou. J’ouvre un il, c’est Axiana. Surprise, je me relève sur mes avant-bras. Je la détaille. Elle est belle, superbe. Une beauté indéfinissable. Petite, boulotte, visage rond, nez en trompette, seins pleins, lourds et ronds, des hanches bien marquées, un cul bien fait, des cuisses musclées, bref, une poupée en sucre que l’on aimerait croquer. Sa chevelure noire est lâchée, elle lui tombe au milieu du dos. Ses yeux, pour le moment je ne les vois pas, elle regarde ses pieds. Elle doit avoir à peine 18 ans. Je ne l’avais regardé avec autant d’intérêt.

— Vanessa, je ne voulais pas vous réveiller…

— AXIANA, tu m’énerves !

— Pardon, excuse-moi… Tu es si belle… La sachant gouine pure et dure, cela m’étonne, m’intéresse.

— Vas-y, je t’écoute.

— J’ai envie de connaitre l’amour. Comme tu as fait à Adélia… Elle m’a dit que c’était… Euh…

— Bon ?

— Non, magique…

Je l’invite à venir s’asseoir sur le lit. Elle se met en tailleur, je l’imite. Elle n’ose pas me regarder. Je m’approche de son doux visage. Elle a un mouvement de recul. Je lui relève son menton et lui replace des mèches rebelles.

— Je n’ai jamais fait ça avec un garçon… Euh, pardon Vanessa, avec un sexe masculin, un vrai, vivant, qui bouge et gonfle de désir…

Je lui prends une main et la place sur un sein. Elle n’ose pas bouger. De mon autre main, je lui palpe ses tétons. Elle me fixe en se pinçant les lèvres. Je l’entends soupirer. J’approche mes lèvres des siennes. Je sors ma langue et lui lèche le coin de sa bouche, qui s’entrouvre. Ma curieuse s’en va chercher celle de la petite Axiana. Je la trouve, elle a le goût neutre. Sa salive est douce. Je la tire à moi en posant une main derrière sa nuque. Elle se lâche et me pelote les seins, jouant avec mes anneaux. Elle soupire d’aisance. Mon baiser dure longtemps. Je prends l’initiative et lui met une main sur mon sexe à demi-bandé. Elle hésite, pas longtemps, elle referme sa petite main. – C’est bien, lui dis-je, il ne mord pas. Elle me sourit. Elle me regarde étrangement. Elle m’avoue que d’habitude, c’est elle qui domine, mais que là, elle se sent petite fille soumise et qu’elle aime cette sensation. Je lui souris. Je lui pince les tétons… Un "HUMMM" de contentement se fait entendre.

— Vanessa, prends-moi comme une pute…

— Non, Axiana, je ne vais pas te prendre, mais tu vas te donner comme la dernière des salopes.

— Oui… Je le veux… HAN…

Je la retourne, dos à moi, et la fais mettre à quatre pattes entre mes cuisses. J’ai une vue imprenable sur son antre humide et chaud, ainsi que sur son petit anneau. Je pointe ma langue sur son sphincter. Elle s’effondre sur ses avant-bras. Elle soupire, gémit. Doucement, je descends sur ce mont de vénus qui appelle ma bouche. Elle étouffe un cri. Je plonge ma langue dans sa matrice. Son goût est un peu moins salé que Malika, mais plus épais. Je fouille au plus profond de son intimité. Je me glisse sous elle afin de lui présenter mon sexe face à sa bouche.

— Ne la prend pas en bouche, lui dis-je tendrement, lèche-la. Ne te force pas. Fais comme tu en as envie.

Sans réponse de sa part, je continue mon travail buccal sur son abricot juteux. J’ai un éclair qui vient de me frapper l’entrecuisse. Une onde de chaleur monte de ma queue à mon cerveau. Elle me pompe en gorge profonde, elle y met tout son cur. Je lui caresse sa longue tignasse.

— Tu n’étais pas obligé.

— J’en avais envie… Dit-elle avant de retourner sur mon chibre.

Elle me prend à fond, sans haut-le-cur, sans renvoi, elle a dû en sucer des godes. Essayant de me concentrer sur ma besogne, je lui fourre deux doigts et la lime en cherchant son point "G". Elle vient, elle-même à la rencontre de mes doigts, poussant de petits râles. Son fessier est un appel à la fessée. Une petite claque, un "HAN oui" lâché, c’est l’autorisation d’y aller plus fort. C’est une avalanche de claques qui s’abat sur ces deux belles collines.

— Vanessa… Prends-moi…

À cette supplique je la pousse en avant, l’obligeant à se redresser. Mon sexe est gluant de sa salive et arrive sur ses lèvres intimes. Je la prends par-dessus ses épaules et appuie. Elle s’encastre dans un long soupir de contentement. Elle bouge son beau cul autour de ma bite. Elle sait y faire.

— Alors ? –

Trop bon… C’est comme me l’a dit Aléxia… C’est chaud, vivant… Ne bouge plus.

Elle contracte tous ses muscles vaginaux, elle me branle sans bouger. Divin. Elle s’allonge sur moi, m’offrant ses seins dont les tétons ont pris du volume. Je les lui pince, elle jouit.

— C’est bon, Vanessa, je suis au paradis…

— J’en suis heureux, lui répondis-je avant de lui prendre la bouche.

Cette position est vite inconfortable pour nous deux. Elle se relève et se retourne. Elle prend ma queue en main et la remet au chaud. Elle s’est allongée sur moi et a calé sa tête sur ma poitrine. Elle me lèche les tétons tout en bougeant son sexe sur le mien. C’est un délice, un supplice, une douce torture. Je crois que je viens de faire une adepte de ma bite. Une de plus. J’accompagne ses mouvements

— Baise-moi, Axiana, je te donne à toi.

Elle se redresse et prend appui sur mes épaules. Elle me baise comme elle baiserait une fille, en missionnaire. Je lui caresse le dos. Elle ahane. Je soupire. On est en communion. La première fois que je me sens femme, dans le rapport sexuel. La première fois que je ressens la puissance de la jouissance qui monte comme un feu de forêt. Je transpire comme une folle. Cette nana me met le feu au ventre. Je jouis à mon tour, sans décharger. On se regarde. On se sourit béatement.

— C’est trop bon, trop fort… Me dit-elle.

— Je vais venir en toi…

— OUIIII, C’EST BOOOONNNN.

Elle y va fort, elle transpire, elle me démonte. Je n’en peux plus. Je lui dis. Elle me regarde droit dans les yeux, un regard d’envie et d’attente. C’est la première fois pour elle. Elle va recevoir, pour la première fois, du foutre dans son réceptacle à bébé. Bébé ? J’espère qu’elle prend la pilule. Et je décharge, je jouis comme rarement j’ai joui. Mon flot ne s’arrête pas, ça coule entre mes cuisses, mes couilles. Surprise par la quantité de foutre, elle s’abaisse sur moi.

— Merci, Vanessa… Je ne suis plus vierge.

— Moi non plus…

On se regarde et on éclate de rire. Un rire nerveux. On roule sur le lit. Je l’embrasse.

— C’était… Euh… Magique… – Oui, mais tu m’as baisé comme une fille baise ses conquêtes.

— Ça t’as déplu ?

— Non, non. C’était magique… On se prend dans les bras et repartons dans un fou rire interminable. Je me lève pour aller prendre une douche. J’enlève mon collier. Je me dirige vers la salle de bain, elle me suit. On se douche, plutôt, on se caresse.

— Et Malika, elle n’est pas jalouse ?

— Tu n’as quà lui demander, lui dis-je en lui montrant la porte d’entrée.

Elle se retourne et voit ma déesse noire appuyée sur le montant. Elle a un rictus de gêne, de confusion. Malika s’avance et nous rejoint sous le jet de la douche.

— Non, je ne suis pas jalouse… Dit-elle avant d’embrasser Axiana.

Soulagée, elle caresse la peau de soie de la belle black.

— Euh… Si je suis de trop, dites-le ! Elles se retournent et me sourient. Des petites voix se font entendre dans la chambre. Intriguée, je m’enroule d’une serviette et vais espionner. C’est les trois petites matelotes qui s’affairent à changer les draps.

— Qu’est-ce qu’elle a dû prendre Mademoiselle Axiana. Dit une des triplées.

— Ouais, grave, les draps sont bons à jeter, lui répond sa sur en rigolant.

— Humm, et cette odeur de foutre, HUMMM, un délice. Rétorque-la troisième.

Elles se chamaillent le drap. Je laisse tomber la serviette et m’avance. Surprises, elles s’arrêtent net. – Alors Mesdemoiselles, on s’amuse… Très vite, elles remettent des draps propres et s’en vont comme une nuée d’oiseaux. Je retourne voir mes deux complices, elles sont en train de se gouiner. Charmante vision mais je les laisse. Je remets mon collier, mon plug. Je me regarde dans le miroir. Plus ça va, plus je me trouve belle. Intriguée par les trois jeunes filles, je pars dans les coursives. En passant devant notre ancienne cabine, j’y trouve Émile en train de siffloter.

— Coucou, Émile, je ne te dérange pas ?

— Non, non, entre… Que me vaut l’honneur de ta visite ?

— Je te sens en joie…

— Oui, ma petite… Tu m’as offert un cadeau inestimable…

Alexia sort de la douche se séchant les cheveux avec une serviette. Elle se bloque dans sa course. Je leur dis qu’ils sont beaux, qu’ils doivent en profiter. Émile me répond qu’il a invité Alexia en ville, dans un resto, "le Phare". Alexia et moi partons dans un fou rire. On explique notre aventure dans ce restaurant. Émile explose de rire.

— Bande de petites salopes… Hihihihi.

— On sait de qui tenir, papa…

— Oui, Hihihihi, je me sens revivre…

Je le prends dans mes bras et l’embrasse sur le front. Il me sourit et après m’avoir claqué les fesses, je quitte les deux tourtereaux. Pas une once de jalousie envers Alexia, je pars le cur léger, joyeuse, en faisant un clin d’il aux deux amants. Je divague sur le pont inférieur. J’y croise la belle vieille Maria.

— Merci Vanessa, tu redonnes de la joie dans notre famille. De savoir que l’on aura bientôt trois héritiers nous enchante…

— Maria, ne me remercie pas… C’est pas encore fait… Hihihihihi…

— J’ai envie de toi… Me dit-elle tout de go. Je ne lui dis pas tout de suite car je suis intriguée par les trois triplées. Elle m’attire derrière une porte, la porte de la cuisine.

— Que veux-tu savoir ?

— Euh, comment s’appellent-elles déjà ?

— Anna, Déborah et Julia.

— Elles sont jeunes, non.

— Elles auront 18 ans d’ici peu.

— Mais d’où viennent-elles ?

— C’est une longue histoire. Pour faire vite, elles sont les filles d’un couple de clients et amis d’Émile. Ils ont accepté qu’elles viennent avec nous pour faire, euh… Comment dire… Un job d’été. Cela fait deux ans qu’elles sont à bord.

— Et elles sont…

— Pucelles, oui, enfin je pense… Pourquoi cette question ?

— Pour rien. Je m’étonne avec l’ambiance de la famille…

— Elles ont eu plusieurs fois l’occasion de forniquer avec nous, elles se sont contentées de jouer à touche pipi.

— Toutes les trois, ensemble ?

— Hum, hum.

— Étrange…

— Cherche pas à comprendre. Allez, vient là ma belle. J’ai quelque chose à te montrer.

Elle m’entraîne dans un dédale de coursive. On arrive sous la plage avant, dans un lieu destiné aux manuvres. Elle tire sur une porte coulissante. – Voilà mon péché mignon, me dit-elle en me montrant une croix de Saint André. J’aime y attacher des suppliciés et leur torturer leur corps à coup de paddle.

— Et, tu veux m’y attacher ?

— Non, pas toi, tu es trop belle. Je voulais que tu saches mes penchants sadiques.

— Et bien, si je m’attendais à ça…

— Et j’ai une pièce dédiée dans la villa… Bien mieux aménagée… Hihihihi.

— Tu n’es qu’une vieille perverse…

— Oui, et j’assume. Me dit-elle en se collant à moi.

Je la regarde droit dans les yeux, un regard plein d’envie. Je l’embrasse sauvagement. Je la pousse jusqu’à un guindeau. Je lui dis de s’appuyer dessus, chose qu’elle fait en souriant. Elle est petite, ma bite lui arrive en haut des fesses. De mon pied je lui écarte les jambes. Elle mouille la vieille salope. Je palpe ses grosses fesses. Elles sont fermes. Je plie les jambes et remonte en tenant mon sexe. Je l’emboîte d’un coup, d’un seul. Je ne bouge plus. Elle ondule du bassin.

— Han, Vanessa, comme j’aime ta queue.

— Hum, Maria, comme j’aime ta chatte.

Je commence des va-et-vient en ressortant à chaque fois. Elle se mord l’épaule. Elle est belle quand elle jouit. Je la baisse et j’aime ça. Elle me demande d’accélérer. J’y vais plus franchement en plantant mes ongles dans ses hanches. Elle me regarde la démonter. Ses gros seins ballottent, son gros cul vient à la rencontre de ma bite. Je tiens le bon bout, Elle hurle à en perdre Haleine. Je percute le fond de son utérus.

— OUIIIII….. VANESSAAAA….. DÉFONCE-MOI, HUMMM, HAN, OUIIIIII.

— Je vais te remplir, salope…

— OUIIIII… REMPLIS-MOI DE TA SEMENCE, OUI……

Dans un dernier effort, je remonte et lui lâche la purée. Je grogne de contentement. Elle est sur la pointe des pieds et reçoit mon jus au plus profond de ses entrailles. Deux derniers coups violents et je la laisse pantelante, fière de l’avoir mené à sa jouissance. Mon sperme coule le long de ses cuisses. Je m’agenouille et lui lèche le surplus.

— Hummm, tu n’es qu’une salope de chienne, Vanessa…

— Oui, et j’assume…

Elle rit. Elle écarte ses cuisses, me facilitant mon cunnilingus. De retour dans ma cabine Malika et Axiana dorment du sommeil des justes. Je les couvre. Puis douche, lavement de mon fondement, pose d’un plug hors norme, maquillage léger, prise de mon traitement (toujours aussi dégueulasse), pose de mon collier. Je me décalotte et nettoie mon Prince Albert. Je me regarde dans le miroir. Jolie, bandante. Mes trois piercings sont ravissants et celui de mon gland est pornographique. Je vais demander à Émile l’autorisation de me laisser pousser les cheveux. J’erre sur le bateau. À l’extérieur, le temps et calme, l’air chaud me caresse le corps.

Je m’allonge sur un transat de la plage avant. Je m’assoupis, heureuse.

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