Pendant que sa femme est en train de se faire baiser comme la dernière des salopes par ses domestiques, Guillaume de Saint-Preux, assis derrière son bureau, reçoit le représentant syndical. Il lui a annoncé le plan de restructuration voulu par la Direction générale. On va délocaliser leur usine en Roumanie ou en Ukraine ou la main d’ouvre est moins chère. C’est la crise après tout.A 60 ans, Guillaume de Saint-Preux est un homme aux cheveux argentés, grand, mince. Comme sa femme, il ne se laisse pas aller. Il dévisagea Roger, le représentant syndical de l’usine. Il menace de l’empêcher de sortir de l’usine tant qu’un accord n’a pas été trouvé. Guillaume, agacé, il a un diner avec le PDG de la Multinationale chez lui justement, tente de le résonner.
— Allons, vous savez bien que c’est la crise ! Nous n’y pouvons rien.
Protestations de Roger qui menace d’avertir les médias.La belle affaire se dit Saint-Preux en esquissant un sourire.Son regard s’attarda sur Roger. Il eu une moue dégouté.Un ventre proéminent, barbe de trois jours, il était peu ragoutant le représentant syndical.
— Vous devriez réfléchir Monsieur de Saint-Preux, lâcha Roger d’une voix dangereusement douce.J’ai de quoi vous faire changer d’avis.
Sourire ironique de Guillaume.
— Je ne vois vraiment pas de.
— Ah oui ? Je parle de détournement de fonds, caisse noire, paradis fiscaux.
Guillaume de Saint-Preux a blêmit, son sang s’est retiré de son visage.Comment peut il savoir ?
— Mais de quoi parlez-vous ? croassa-t-il.
Mais il s’est très bien de quoi parle Roger ; Depuis 2 ans avec la complicité de sa chef comptable, Guillaume détourne discrètement des sommes d’argent qu’il met sur un compte en banque secret des Iles Caïmans.
— Mais.mais…Comment pouvez vous…Balbutia le Patron.
— Comment ? Vous allez voire…
Il se leva et ouvrant la porte du bureau directorial, il fit entré trois personnes. Guillaume faillit s’évanouir en reconnaissant Mlle Pinaud, sa chef comptable. Une vieille fille de 45 ans, elle était belle malgré son chignon, ses lunettes et son air sévère… A croire qu’elle prenait un malin plaisir a s’habiller comme la caricature de la chef comptable telle qu’on se l’imagine; Toujours vêtu de tailleur strict, ca n’empêchait pas les ouvriers de l’usine de mater ses jambes. Elle a un visage apeuré et lui jette un regard suppliant.Avec elle, deux armoires à glaces. A mi-chemin entre King-Kong et Hulk.Avec certainement le même quotient intellectuel.Il les reconnait se sont des ouvriers de son usine. Carlos et André.
Très satisfait de son petit effet, Roger continue son exposé :
— Je suis tombé par le plus grand des hasards sur des preuves écrites de vos transactions.Ca trainait sur le bureau de Mlle Pinaud.
Regard furieux vers Mlle Pinaud qui baisse les yeux, effondrée.
— Que voulez vous ? demanda d’une voix plaintive Guillaume de Saint-Preux.
— Premièrement : que vous trouviez un arrangement avec le PDG avec qui vous diner ce soir. Qu’il ne ferme plus notre usine. Ensuite.Il va falloir rembourser ce que vous avez volé.
— Mais comment ? demanda Guillaume, interloqué. Il y en a pour plusieurs millions d’Euros…
Roger eut un regard triomphant.Noir. Il le tenait par les couilles !
— En nature, je vais demander un remboursement en nature.
La stupéfaction se vit dans les yeux de Guillaume.
— En nature ? Je ne comprends pas…
— Vous allez nous louer votre femme.Beaucoup de vos ouvriers fantasment sur elle depuis qu’elle est venue aux voux du nouvel an
Abasourdi, effondré, Guillaume de Saint-Preux se demande soudain si son représentant syndical est sérieux.C’est une plaisanterie.Il ne vient pas de lui demander de lui louer son épouse.
Roger se tourna vers la chef comptable…
— Toi aussi, tu va y passer, y a pas de raison ! A poil !
Mlle Pinaud blanchi sous son discret maquillage. Comme une automate, elle avança au milieu de la pièce. Elle enleva la veste de son tailleur gris apparaissant dans un chemisier blanc qui dissimulait avec peine une opulente poitrine. Elle s’arrêta suppliant le délégué syndical.
— Je vous en prie, pleurnicha-t-elle, je vous donnerai ma part de l’argent.
Ricanement pervers de Roger…
— Du fric, je vais m’en faire sur ton dos ma salope, j’en connais des types qui paieraient pour se taper une bourge comme toi.
Mlle Pinaud se sentit rougir jusqu’à la racine des cheveux. Résignée, elle enleva sa jupe qui tomba à terre dans un froissement d’étoffe.
Son collant chair moulait ses fesses rebondit et sa culotte blanche. Elle déboutonna le chemisier. Son soutient-gorges, très sage également, contenait de petits seins. Guillaume en voyant sa chef comptable debout, uniquement vêtue de ses sous-vêtements et ses escarpins à talons plats sentit son sexe durcir dans son pantalon. Tous les hommes présents la regardent se réjouissant de sa soumission et de sa passivité. Peut être cela excite t’il la vieille fille ?
André, une lueur lubrique dans le regard, effleura la poitrine de la chef comptable. Celle ci sursauta mais ne protesta pas. Il s’empara d’un sein et le malaxa. Puis il monta les deux mains et tritura les nichons de Mlle Pinaud sans ménagements cette fois. On l’agenouille à terre et une bite noueuse, épaisse, celle de Carlos, apparut devant ses lèvres rouges carmin. Elle pose mécaniquement une main manucurée sur la bite et commença à le branler. Derrière elle, André la positionne à quatre pattes. Il lui déchire son collant et baisse sa culotte. Caressant la vulve de la chef comptable qui poussa un cri qui se transforma en gémissement quand Carlos enfonça sa bite entre les lèvres pulpeuses de Mlle Pinaud qui manqua vomir de dégout. Il appuya sur la tête de la jeune femme, donnant des coups de reins pour faire coulisser sa queue entre les lèvres de cette esclave docile.La langue de Mlle Pinaud commence à lui lécher le gland, salivant dessus.Les bruits de succions envahisse le bureau. Guillaume bande comme un fou, il en a mal.Saisissant la chef comptable aux hanches, André la pénétra, un cri étouffé jaillit de la gorge de Mlle Pinaud. Les seins de la chef comptable gigotaient sous les coups de reins d’André qui la pilonne avec brutalité. Trop heureux de pouvoir défoncer cette salope qui ne daignait même pas accorder un regard aux ouvriers en temps normal…Mais voila, la roue tourne parfois.La tête de la chef comptable monte et descend sur la queue de Carlos qui ricane.
— Mlle Pinaud aime la pine.
Eclat de rire d’André qui martèle le con de la chef comptable.
Carlos éjacula dans la bouche de Mlle Pinaud qui voulut recracher sa semence. Mais celui-ci pervers jusqu’au bout, l’obligea à avaler son foutre. Mlle Pinaud obéit avec une grimace de dégout.
Voyant cette scène, André ne put se retenir plus longtemps, il se retira et Carlos contraignit la pauvre femme à se retourner lui faisant face.
— Ouvre la bouche, salope, tire la langue, regarde André dans les yeux. !!
Totalement domptée, Mlle Pinaud obéit regardant par dessus ses lunettes André qui se masturbait au dessus de son visage en grognant comme un fauve. Il jouit libérant des torrents de sperme qui allèrent s’écraser sur les verres des lunettes de la chef comptable.
Roger se leva, exhibant fièrement un sexe imposant. Il claqua des doigts et Mlle Pinaud fut contrainte d’aller vers lui a quatre pattes, pour faire bonne mesure, derrière elle, Carlos lui tanne le cul avec son ceinturon. Très vite, ses fesses rougissent. Le délégué syndical pervers agrippa le chignon de Mlle Pinaud et la contraignit à enfourner sa bite dans sa bouche. Elle hoqueta et commença à le sucer avec application. Elle commence à y prendre gout.La mâchoire déformée par la queue, la chef comptable gémit, étouffée par l’épaisseur de la bite. Il ne tarda pas à décharger dans la bouche de la chef comptable qui fut de nouveau contrainte d’avaler le sperme.
Se rajustant, Roger regarda Guillaume de Saint-Preux qui ne peut s’empêcher de se toucher la bite, a l’étroit dans son slip. La vision de sa chef comptable devenue esclave sexuelle de ses ouvriers l’excite énormément.
— Il y a une réunion syndicale demain soir. Vous y êtes conviés ainsi que votre épouse. Qu’elle soit sexy mais très bourgeoise. Ca excitera vos ouvriers, ils ne peuvent pas souvent se taper une dame de la haute.Et ce soir soyez convaincant avec le PDG…
Il se tourna vers la chef comptable, affalée sur le sol.
— Quand a toi, dorénavant, t’es la pute de l’usine. Tu changes de look ! Demain je te veux en minijupe, des talons aiguilles et des bas.Plus de sous-vêtements.Tu seras à la disposition de tous les ouvriers de l’usine. Quand ils le voudront et ou ils le voudront. Tu n’as rien à leur refuser..
Les trois hommes sortirent du bureau laissant Guillaume de Saint-Preux et sa chef comptable, horrifiés, comprenant qu’ils étaient tombés dans un odieux traquenard.