Jétais jeune quand jai rejoint la direction dun grand groupe. Mes diplômes, mon expérience ont fait que je suis montée vite dans la hiérarchie. Si sur le plan financier mes affaires étaient très bonnes, par contre sur le plan affectif, je me trouvais seule, des fois avec des relations de travail, au restaurant ou des boites huppées. On ne construit pas une vie sur lachat de superflu, de belles robes ou tailleurs. Pour parler poliment je passais une vie de merde. La trentaine arrivant, je me lassais des masturbations : jy prenais un grand plaisir, javais les jouets utiles. Je me satisfaisais relativement bien tous les jours, souvent deux fois même. Quand jétais en réunion, jétais sérieuse, et soudain je me voyais, en pensée quand je jouissais : je me disais que les autres participant voyaient en moi une femme dure, très à cheval sur le travail, jétais au fond fragile.

Javais eu lexemple maternel : elle était adepte de ladultère, le pratiquait souvent avec des amants de rencontre. Son exemple est resté une référence pour moi. Je lavais vu une fois avec un type entrer dans un hôtel : je surveillais la sortie où elle passait 4 heures plus tard, enlacée à son amant. Ma curiosité était satisfaite quand je lai vu avec des amants différents, le visage illuminé des plaisirs quelle venait de voler à mon père.

Je devais avoir la trentaine bien sonnée quand je me décidais à fréquenter des boites où jétais certaine de trouver une bite à ma convenance. Je trouvais toujours un sextoys vivant. Des fois je trouvais un couple. Jaimais bien lamour à trois, je consommais aussi un sexe de femme qui a un meilleur goût que le sperme.

Cette vie sexuelle errante me pesait. Je pensais que si les hommes ont des « danseuses » je pouvais moi aussi entretenir de quoi baiser souvent, comme je le voulais. Je louais ainsi une garçonnière : un studio dans un immeuble de luxe en bord de Seine, dans un arrondissement de standing en face la Maison de la Radio. Une femme de ménage devait suffire pour nettoyer une fois pas semaine. Il ne restait quà trouver lheureux élu. Je mettais un long moment, pris sur mes loisirs, pour trouver enfin ce que je cherchais :

Chez des amis, un soir il était là, ce bel Apollon. Il me semblait le voir nu, son sexe tendu vers moi, sa bouche sur ma chatte. Ses doigts dans la raie de mes fesses. Bref javais envie de lui. Le lendemain par le biais de mon amie, javais ses coordonnées. Je lui ai donné en rendez vous par SMS. Javais décidé dêtre pute : mini robe raz de touffe, slip, culotte oubliée, les seins libre. Dans la glace, je me voyais déjà violée par nimporte qui. Dans ma voiture la conduite devenait difficile. Ma robe montait vers le nombril. En plus je mouillais comme une fontaine. Cétait de ma faute aussi, je naurais pas du me masturber en pensant à sa queue que je ne connaissais pas.

Nous étions au fond dun bar branché. Je ny étais pas connue. Il était emprunté près de moi. Jai du lembrasser la première. Je touchais même sa queue pour vérifier quil bandait. Impatiente je sortais sa pine, je descendais le prépuce, impatiente de voir le gland. Personne autour de nous, je me penchais sur lui, je sentais son sexe, son odeur me plaisait. Je le prenais lentement dans la bouche, mes lèvres coulissaient sur la tige. Il se tendait vers moi, au point que je le sentais aller vers la glotte. Je me retirais pour lembrasser à nouveau. Il avait la bonne idée de passer sa main entre mes jambes. Il navait pas à aller bien haut :

Ma chatte mouillée était prête pour lui. Ses doigts étaient experts pour me branler. Javais fait le bon choix, je le croyais. Il savait décalotter le clitoris, le caresser en rond, chose que peu dhomme savent faire. Je lui laissais les rènes. Un doigt, un seul allait tout en bas : il me caressait lentement le tour de lanus. Je me tendis comme si jétais aux toilettes. Il entrait lentement, au point que jaurais crié dimpatience. Il faisait naviguer son doigt dans le cul. Je sentais le passage de chaque phalange. Il avait mit tout le doigt quand jai jouit pour la première fois.

Nous avons  dîné ensemble rapidement. Dans mon studio nous pouvions nous aimer. Je mettais le boléro de Ravel. Musique idéale pour une bonne baise. Nous dansions un peu avant. Avant quil me bouscule sur le lit, que je tombe les jambes ouvertes la robe sur la figure, son corps sur le mien, sa bite contre mon ventre. Il me retournait sur le ventre, ouvrait mes jambes, posait sa bouche sur ma raie. Sa langue labourait tout depuis les reins jusquau sexe. Javais sa salive sur tout le bas du corps. Je voulais au moins toucher sa queue, le branler un peu, il méchappait.

Il continuait son léchage en revenant sur ma rondelle. Cétait bien meilleur que son doigt dans le bistro. Sa salive coulait entre les fesses. Cétait merveilleux, personne ne mavait léché ainsi. Il restait toujours là, il devait muscler la langue quand il me la mettait dans mon trou. Je sentais mes chairs sécarter, mon plaisir augmenter : il me sodomisait simplement. Jai joui encore une fois. Il me semblait mourir de bonheur.

Je pouvais satisfaire mon envie de la caresser quand je me suis retournée. Enfin je voyais sa queue nue, sur son bas ventre,  avec des couilles parfaites. Ma main faisait le tour de sa bite. Je ne le branlais quà peine. Jattirai sa queue vers ma bouche. Je voulais le goûter encore. Il est venu sur moi, ses couilles entre mes seins, sa queue vers ma bouche. Je le prenais presque en entier, ma langue nettoyait toute la longueur de son sexe. Je voulais son jus. Je lai sucé comme le fait un bébé. Il na pas pu me résister : son sperme est parti dans la bouche au point que jen avais trop. Jai tout gardé pour avaler cette liqueur un peu gluante et si goûteuse.

Nous étions en  transpiration, il ne pouvait plus bander. Je le caressais partout, sa queue, ses couilles son cul même. Il restait inerte mon bel amant. Beau et pas capable de tenir devant mes envies ? Ce nest quau matin quil bandait encore. Je suis venue sur lui, je me suis baisée : il a jouit aussi peut être, je crois. Il comprenait quil ne me servirait plus. Nous ne nous sommes jamais revus.

Je continuais mes documentations : je voulais un bon amant régulier. Normal non ? Alors faute dun régulier je faisais comme avant. Je tombais des fois bien avec des hommes montés normalement surtout capable de résistance. Le meilleur que jai eu, perdu par la suite était grand, bien coteau avec des tablettes de chocolat sur labdomen. Mes nuits devenaient divinement sensuelles. Je lexcitais avant, comme il me le faisait. Nous nous déshabillons lentement devant lautre. Jaimais voir apparaître sa queue bandée. Elle nétait pas exceptionnelle, mais je la tournais énorme. Il me couchait, venait à mes cotés, sa bouche sur la mienne. Nos langues jouaient longtemps. Quand il la sortait de ma bouche cétait pour lécher le cou, les épaules, surtout les seins. Une fois jai joui simplement grâce à sa langue sur le sein. Sa visite dans le nombril durait des heures. Je le voyais bander, il ne se pressait pas. Il léchait labdomen, descendait à une vitesse descargot vers mon trésor. Sa salive se collait contre mon corps. Il peignait mes poils.

Enfin, après une éternité il posait sa bouche en entier sur ma moule. Il me mangeait crue. Il sarrangeait toujours pour que je ne  puisse pas lui toucher la bite. Il prenant mes jambes les écartait à son gré. Sa tête était entière dans ma fente. Je sentais son souffle chaud dans mon intimité. Jallais craquer de désir quand enfin il sortait sa langue, la posait sur le clitoris : je me détendais complètement abandonnée, perdue seule avec lui. Sa langue faisait un tour de mon sexe, comme pour choisir son mets. Il commençait par lécher doucement le haut de la fente, allait plus bas, écartait le capuchon du clitoris, le taquinait pour le délaisser, entre dans le vagin le fouiller.

Mon bas vente ne savait pas comment se tenir. Je frémissais et ,en lâche, je le laissais faire. Il revenait aspirer le bouton. Je sentais ses lèvres aspirer mon plaisir. Il le relâchait pour recommencer sans fin. Il attendait que jai une orgasme. Quand je jouissais, il me laissait deux secondes en paix avant de recommencer. Jétais morte de plaisir. Il poussait sa plaisanterie fort loin en posant deux doigts sur le petit trou : je mouvrais là aussi. Je le sentais venir dans le cul, aller et venir : il me donnait encore un orgasme.

Il lui fallait bien satisfaire ses désirs à lui aussi. Il venait  étendre son corps sur le mien. Il écrasait mes seins, posait son pubis contre le mien. Je sentais sa queue battre contre ma chatte. Je me tendais pour quil entre. Sa baise état puissante, il allait au plus profond de moi. Nos poils se mêlaient sans distinction. Jattendais son sperme au fond de moi. Jétais heureuse me lavoir libéré.

Cette relation na pas résisté à lachat dune fermette que jai faite. Il y avait un cheval que je montais comme à mes débuts. Javais une garde pour mes absences, une espagnole importé depuis des années.

Un soir dorage, jarrivais trempée à la ferme. Cest Carmen qui sest occupé de rentrer la bête. Quand elle revenait jétais nue pur m’essuyer et me changer.  Carmen a prenait les choses en main : une grande serviette et à grand coup de main sur le corps elle me séchait vite. Ses main continuaient ce qui devenait des caresses. La vache, elle ne voulait quand même pas me faire des choses de filles ?

Jai accepté comme une conne ses mains sur le bas ventre. Elle sest infiltré :

Tu verras, madame, cest bon ce que je te fais. Je me suis laissé faire, deux doigt ont encadré le clitoris. Elle état plus forte, plus douée que moi pour la masturbation. Je  mes suis appuyée sur la table, jai ouvert les jambes. Carmen sest mise à genoux, sa bouche a remplacé ses doigts. De ma vie je navais jamais été aussi bien léchée. Elle ma donné des orgasmes à rallonge. Je la laissé faire ce quelle voulait de moi. Elle s’est dressée devant moi aussi nue quà sa création.

Je voyais enfin une femme parfaite qui soccupait de moi. Elle recommençait en me tournant complètement : javais mes fesses à sa portée. Elle y  entrait sa langue, elle descendait vers le petit trou : jai jouissait avec sa langue dans le cul. Elle me faisait monter sur le dos, sur la grande table. Carmen venait sur moi comme un homme sauf quelle présentait son sexe dégoulinant de jus, de cyprine. Avant de me le donner elle a pris ma chatte, la léchais pire que si elle navait rien mangé depuis des jours. Je partais encore vers le paradis. Quand elle posait sa perle sur ma bouche, je nen voulais pas au début, et puis, lodeur acre et sucré a eu raison de moi. Jai goûté son jus despagnole. Délicieux ne convient pas. Il faudrait inventer des mots nouveaux. Je ne pouvais plus sortir ma tête de ses cuisses. Jétais enivrée .Nous étions secouées de plaisir communs.

Le retour à mon travail était difficile, pour une fois je ne pensais quà une femme. Carmen me manquait. Sa langue était absente. Je nai as eu lidée de chercher un amant.

Dès  vendredi jai revue ma Carmen. Nous navons pas cessé de nous aimer tout le week-end. Je lai même amenée chez moi où elle sert de bonne (pour les voisins) Cest simplement mon amante, je nen changerai certainement pas : elle baise trop bien.

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