Bonjour à tous, je m’appelle Cyril, j’ai 23 ans et suis étudiant en deuxième année de master. De nature timide, j’ai eu une enfance très calme, n’osant pas me faire remarquer je n’ai eu qu’un ami prénommé Thomas du même âge que moi. Nous avons fréquenté les mêmes établissements scolaires, en étant plus souvent dans la même classe que séparés. Malheureusement, à notre rentrée lycéenne, son comportement a brutalement changé et notre amitié en a pris un coup rudement violent ; souhaitant me concentrer sur des possibles études longues je l’ai vite délaissé. Les années ont passé et nos contacts n’étaient plus que temporaires mais nous avions toujours de l’amitié l’un envers l’autre. La vie me souriait, mes études avançaient bien pendant que lui stagnait. Petit à petit, on a fini par l’occulter à mon profit le plus total et je pouvais remarquer, les rares fois où on se voyait, qu’il était jaloux et vexé de cette réussite. Je pris la décision de ne pas m’intéresser à lui et de poursuivre sans savoir, que dans sa tête trottait une idée de vengeance.

Je devais passer mes vacances d’été au près de mes parents, pas très loin de chez lui. Mon père, commercial, se déplace de temps à autre quelques jours. Les jours passaient et je m’ennuyais un peu, mes parents travaillant tout deux. Je le revis deux ou trois fois et il me proposa de me joindre à lui à une soirée chez un de ses amis. Je savais comment finissait ses soirées, en beuverie et ça ne me tentait guère puis, à la réflexion, je pris la décision d’y aller à cette fête. Je prévins mes parents en avance et mon père m’annonça qu’à la date de la soirée, il serait en déplacement. Les jours passaient et j’étais de plus en plus excité, je me rendis chez son ami avec ma voiture, l’ambiance battait son plein et je n’avais que peu de regrets pour ma mère, laissée seule à la maison et, très vite, l’heure butoir de retour me sortit de l’esprit.

De par ma timidité, j’étais un coincé et Thomas m’invita à boire un peu pour me libérer l’esprit. N’étant pas habitué à l’alcool, je ne trempais que mes lèvres, puis l’ambiance faisant l’affaire, je me mis à boire comme un fou. Je savais que je pouvais dormir sur place et donc plus rien de me retenait, j’en oublia même d’envoyer un SMS à ma mère pour la prévenir que je restais sur place. Je bus comme un alcoolique et fis la fête, puis, l’alcool étant aux commandes, je finis par m’effondrer. Je sentis que Thomas me ramenait vers ma voiture, il m’installa à l’arrière et laissa la fenêtre ouverte et me dis de me reposer. Nous étions dans le parking de la maison et je ne risquais rien mais l’arrière de ma voiture n’était pas des plus confortable, je ne parviens pas à dormir et tâte ma poche pour trouver mon portable, disparu, j’aurais du m’inquiéter mais je n’en avais pas la force. j’entendis une voiture entrée dans le parking, les phares allumés, elle se gara et une portière s’ouvrit, une personne parla :

_ Ah, Thomas, où est-il ?

Je reconnus la voie de ma mère, surpris et furieux que Thomas l’ait appelée pour qu’elle me voit dans cet état.

_ Il est par là, madame

Bizarre, il ne semblait pas avoir désigné ma voiture mais la sienne, garée juste à côté. Je vis ma mère passée devant la portière de ma voiture sans regarder à l’intérieur, se dirigeant vers la voiture de Thomas, le garçon sur les talons, elle ouvrit sa portière:

_ Mais, il n’est pas là, dit-elle avant que Thomas ne lui saute dessus et la renverse sur le dos à l’arrière de sa voiture. Je parviens à me relever, légèrement et à observer, trop alcoolisé pour agir. Je vois leurs jambes s’agitaient, ma mère étant venu en pyjama et tong qu’elle perdit dans la seconde.

Je l’entendis se plaindre et menacer Thomas qui ne répondait pas, trop occupé à tenter de la dominer. La voiture bougeait un peu mais personnes n’était au parking. Très vite, son short de pyjama glissa sur le bas de ses jambes, elle ne pouvait se dégager, je crus voir sa fente à l’air libre puis la main de Thomas se posa dessus et ma mère se mit à crier, mais Thomas semblait l’embrasser de force car on n’entendait que des bruits de succion et de respiration bloquée:

_ Arrêtes de faire chier,tu mouilles, rugit-il.

Je crus exploser mais trop faible, je ne pus rien faire à part noter que les cris s’étaient transformés en petits gémissements plaintifs. Thomas fit glisser son short et son caleçon, je pouvais voir ses fesses:

_ Non, non, fais pas ça, gémit ma mère.

Il ne l’écouta pas et la pénétra, je l’entendis gémir, il commença à la besogner :

_Alors, on la ferme maintenant, n’est ce pas ?

Elle ne répondit pas mais se mit à jouir tout doucement, satisfait, il se mit à la culbuter de plus en plus fort, je la voyais se soulever, excitée. Elle se mit à jouir, accrochée à Thomas qui riait. Je me laissa retomber sur mon siège, choqué et ivre, je m’endormis sous les gémissements et les rires.

Au matin, j’ouvris délicatement les yeux, installé à l’arrière de ma voiture. Soudain toute la soirée me revint en mémoire, je me redressais brutalement sans faire attention aux nausées, la voiture de Thomas n’était plus là, je sortis pour vomir, me demandant si je n’avais pas imaginé la scène. J’ allais remonter pour rentrer chez mes parents quand je vis par terre, le petit haut de ma mère, celui de son pyjama, il était maculé de sperme. Je le laissais tomber et me précipitais chez moi mais ma mère ne s’y trouvait pas, elle n’ait rentré que quelques heures plus tard, prétextant être allée à la boulangerie. Elle portait un haut de garçon, qu’elle dit appartenir à mon père. Mon ami avait eu sa vengeance mais, malheureusement, sa relation avec ma mère ne faisait que commencer.

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