Je m’appelle Max, j’ai 40 ans, je ne suis pas vraiment un playboy, pas vraiment moche non plus. J’ai 5 kg en trop, mais j’essaye de m’entretenir en faisant un peu de musculation. J’ai toujours aimé le sexe, mais je n’avais encore jamais vécu ce qui m’arrive maintenant.
Je suis marié depuis 17 ans et ma femme est assez conventionnelle question sexe. J’ai la chance de me déplacer souvent pour mon travail et j’en profite souvent pour aller en boite et profiter des opportunités. Lors d’un de mes déplacement, dans l’hôtel que je fréquente habituellement, j’ai rencontré la femme qui a fait basculer ma vie.
J’avais terminé mon travail et je pensais prendre une douche, me reposer dans ma chambre puis me faire un resto avant d’aller dans une boite de nuit que je connaissais…
Je traversais le hall de l’hôtel lorsqu’une femme, cheveux noirs, petite, yeux noirs entourés de kôhl, très agitée, m’interpelle: "Bonsoir, vous devez être François?" Je lui répond que non, je m’appelle Max. Elle insiste, me dit que je correspond à la description qu’on lui a donné, qu’elle doit absolument trouver François, s’agite, s’énerve, me demande pourquoi je ne veux pas reconnaître que je suis François…
Dans le hall de l’hôtel, on commence à nous regarder, je lui propose d’aller au bar afin de nous expliquer. Elle refuse et me dit "Vous êtes François et vous m’emmenez dans votre chambre!". Pour éviter un début de scandale, je la dirige vers l’ascenseur et nous rejoignons ma chambre.
Je lui propose de s’asseoir et de se calmer, je sors mon portefeuille et je lui dis: "Madame, voici mon passeport, comme vous le voyez, je m’appelle Max Garcin et non François…"
Je l’observe, ses yeux sont magnifiques, son visage se contracte en réalisant son erreur, puis une larme perle à son oeil. "Alors aidez moi, je ne sais plus que faire" me dit-elle d’une petite voix.
Le téléphone de ma chambre sonne, le portier me demande si j’ai besoin de la police pour évacuer la femme qui mimportune, je la regarde, elle comprend qu’il s’agit d’elle et secoue la tête en soufflant NON. Je répond que la dame est partie et que tout va bien. Elle me dit "merci tu me sauves".
Je lui demande si elle veut boire quelque chose, il y a du champagne dans le mini-bar, elle accepte, je nous sert deux verres puis je lui demande de m’accorder le temps d’une douche avant de m’expliquer son problème.
Je la laisse pour entrer dans la salle de bain, en me retournant, je la vois enlever son manteau, je n’avais pas imaginé des seins pareils, un pull en laine moulant, pas de soutien-gorge et des seins énormes.
Je me douche, je bande en pensant à l’image de ces seins. La porte de la salle de bain s’ouvre, j’écarte le rideau de douche et je la vois entrer. Elle me dit "Je viens me faire pardonner, tu veux bien ?" Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle se précipite sur ma queue. Je n’ai pas eu le temps d’arrêter la douche, son pull est déjà trempé, la vue de ses seins fait doubler le volume de ma queue. Je lui repousse la tête "Arrête, je ne sais même pas ton nom et tes seins me rendent fou" Elle enlève son pull et saute de
nouveau sur ma queue, cette fois, elle caresse mes couilles, puis ses doigts caresse mon anus, je fais un saut en arrière. Elle me dit "Mais laisse toi faire !" et recommence.
Cette fois, elle essaye de faire entrer un doigt, je fais un nouveau saut en arrière alors elle dit "Tu me laisse faire ou je m’en vais" Ma queue a tellement envie de sa bouche que je la laisse me reprendre, elle bouffe ma queue et cette fois, je ne bouge plus lorsque je sens son doigt me pénétrer. Elle suce tellement bien que ce doigt qui va et vient de plus en plus vite commence à me plaire et tout à coup, elle se retire. Je bande comme un âne et elle me regarde, elle commence à caresser ses seins. Je m’approche pour la toucher alors elle recule et me dit "Avant de continuer je veux savoir si tu es celui que j’attends" Je lui répond qu’elle ne peut pas me laisser dans cet état alors elle me répond "Je peux te laisser comme ça, tu seras bien capable de te branler, mais je peux aussi te faire jouir comme personne ne l’a jamais fait, c’est pour ça que nous devons parler." Elle quitte la salle de bain, j’enfile un peignoir et je la rejoins dans ma chambre.
J’ai mal aux couilles à force de bander et je suis de mauvaise humeur. Elle est assise sur mon lit, elle a remis son pull mouillé. Elle me regarde avec un sourira moqueur: "Alors tu as décidé de m’écouter? A voir cette grosse bosse, tu as préféré attendre?"