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Mon ex – mon esclave – Chapitre 1




Cest lhistoire dun couple sans histoire, 35-40 ans, banlieue un peu huppée, lui bonne situation, elle femme au foyer, pas mariés parce que cest à la mode, biens vus dans le quartier Niveau sexuel cest une fois par semaine, avec un extra pour la Saint Valentin ou lanniversaire de la rencontre, ou encore pour une très rare soirée trop arrosée. La routine sinstalle, lui travaille beaucoup, elle semmerde chez elle, et puis un beau jour elle va voir ailleurs, et lui finit par se rendre compte quil est cocu. Doù la soirée de dispute, le ton monte, elle pleure, il gueule, et elle finit à la porte. Une histoire tragiquement banale, si ce nest que cest la mienne ! Et oui, je viens de foutre ma fiancée infidèle à la porte.

Deux semaines après, alors que tous mes amis ont tenté de me réconforter à grands coups de « elle lavait bien cherché », « elle nétait pas faite pour toi », « heureusement quil ny a pas denfants », ou le traditionnel « une de perdue » je vois arriver la meilleure amie de mon ex chez moi.

— Salut !

— Salut !

— Je peux entrer 5 minutes, jai un truc à te dire ?

Naillant rien à lui reprocher je linvite à entrer.

— Tu sais, jhéberge Sylvie depuis que tu las virée

Je la coupe sèchement :

— Elle sattendait à quoi ! Elle pensait quand même pas que jallais continuer à lentretenir alors quelle baisait ailleurs !

— Pas du tout, elle comprend très bien pourquoi elle est à la rue, et elle reconnait que cest elle qui a déconné, et pour être honnête je pense que je ferais la même chose si mon mec me trompait ! Je suis juste venu te dire quelle voudrai te parler une fois pour sexpliquer, pas pour demander pardon, mais pour expliquer une chose. Après elle partira.

— De quoi elle veut parler ?

— Jen sais rien, je suis juste la messagère. Elle attend dans la voiture, tu dis oui ou non, je transmets le message et je men vais, la suite ne me regarde pas.

Plus pressé den finir définitivement quautre chose je lui dis oui, et elle sort dans la rue. Trois minutes plus tard Sophie sonne à la porte. Je lui ouvre assez sèchement, elle reste comme paralysée sur le perron, le regard bas. Sans un mot je mécarte de la porte pour la laisser entrer. Cela fait bien cinq longues minutes que nous sommes assis dans le salon, et aucun dentre nous na encore prononcé le moindre mot. Un peu énervé je lui dis :

— Si tu nas rien dautre à dire je ne te retiens pas !

— Si si, attends, sil te plait Cest juste que cest pas facile à dire.

— Je ne vois pas ce quil y a de compliqué : tu mas trompé, je tai viré, point ! Je ne suis pas le premier cocu du monde, pas même le premier du quartier !

— Non, cest pas ça. Je voudrai texpliquer pourquoi jai fais ce que jai fais.

— Je ne suis pas certain de vouloir lentendre, mais vas y, pond ton laïus, quon en finisse.

— Voila je veux dabord te dire que je taimais

— Cest pour ça que tu mas trompé ? Tu aurais pu inventer une excuse plus crédible !

— Non non, attend, en fait

Sophie rougit de plus en plus, elle se torture les mains, son regard ne quitte pas le tapis.

— En fait notre sexualité était assez classique, et javais

— Le feu au cul, oui, ça javais deviné tout seul !

— Non, cest pas ça en fait javais un fantasme cest un peu gênant

— Etre le cocu du quartier cest pas confortable non plus, alors accouche !

— Voila, jai toujours eu un fantasme un peu particulier, et jai appris sur internet quil y avait un endroit dans la région où je pouvais accomplir ce fantasme et jai craqué.

— Et cest quoi ce fantasme ?

Le visage de Sophie tourne à lécarlate, et dans un murmure elle dit juste un mot :

— Soumission.

— Pardon ?

— Javais un fantasme de soumission, et jai trouvé un club dans lequel on peut aller avec un masque pour rester incognito, et assouvir toute sorte de fantasmes.

— Et pourquoi tu ne men a pas parlé plutôt ?

— Javais trop de respect pour toi.

La moutarde commençait à me monter au nez, et contrairement à mon habitude je me suis laisser aller à la vulgarité :

— Si je comprends bien cest par respect pour moi que tu es allée faire la pute, te faire sauter par tous les trous par dillustres inconnus, faisant de moi la risée du quartier ! Bravo ! Super crédible ton excuse. Et alors, cétait bon ? Tu as prit ton pied ? Vas y, raconte ! Je veux savoir combien de fois tu y es allée, combien de mec tu tes tapée, ce quils ton fait, tout ! Vas y, tu es venue pour vider ton sac, vide le ! Vas y, je técoute, je veux tout savoir.

Je me suis planté dans mon fauteuil, les bras croisés, le regard fixé sur elle.

Sophie est en larmes. Le visage caché dans ses mains elle commence à raconter :

Je ny suis allée quune fois. Je te jure ! Jai trouvé ladresse sur internet, ils ont un site. Ils disaient pouvoir assouvir mon fantasme. Alors je leur ai décri ce que jattendais. Jai pris rendez-vous pour une séance de soumission, et jy suis allée avec une cagoule quils mont envoyée par la poste. Il y avait trois hommes et une femme, dès que je suis entrée ils mont gueulé dessus, ils mont insulté et puis ils mont donné une combinaison en latex, et comme je narrivais pas à la mettre ils mont giflée, et un des hommes ma donné un coup de pied dans le ventre. Et après la femme ma déshabillée et ma enfilé la combinaison. Javais les seins à lair, et aussi le cul et la chatte. Ils mont bâillonnée, ils mont mis un collier de chien avec une laisse, et puis ils mont obligé à me mettre à quatre pattes. Ils mont mis des entraves aux poignets et aux chevilles, et ils mont promené dans toutes les pièces à quatre pattes. Je suis passée le cul à lair devant tous les autres clients, ceux qui venaient pour des fantasmes homosexuels, ou de domination, ou du SM Ils mont tous insulté, traité de chienne, de salope, ils mont craché dessus, ils mont frappé. Et le pire cest que jaimais ça. A un moment celui qui me tenait en laisse a dit à un client :

— Regarde comme elle mouille cette salope !

Alors le gars ma planté dun coup deux doigts dans la chatte, je crois que jai jouit instantanément. Il ma ramonée, de plus en plus vite, et puis dun coup il a enfoncé toute sa main dans ma chatte, et jai encore jouit. Jétais écroulée par terre, mais mon maître ma relevé en tirant sur la laisse, et puis il ma ramenée dans la première pièce. Ils mont fait boire de leau dans une gamelle, dans un coin, et puis ils mont fait pisser à quatre pattes, comme une chienne. Ensuite le maître ma tirée jusque à lautre bout de la pièce. La femme était assise dans un grand fauteuil, les cuisses écartées. Elle a enlevé le bâillon et ma enfoncé la tête entre ses cuisses. Cétait la première fois que je léchais une femme. Comme je ne savais pas my prendre au début lun des gars ma fouetté le cul en punition. Et puis quand jai réussi à la faire jouir elle ma récompensé avec un biscuit.

Je dois avouer que ce récit commençait à mexciter, mais comme Sophie avait toujours le visage dans ses mains elle na pas vu quune bosse déformait mon pantalon. Elle a continué son récit.

Ils narrêtaient pas de minsulter, et de me donner des claques sur les fesses. Et plus ils frappaient, plus je mouillais. Les trois hommes se sont succédé dans le fauteuil, et à chaque fois je me faisais fouetter pendant que je leur suçais la bite. Les deux premiers mont craché dans la bouche, en me forçant à tout avaler. Ensuite javais droit à un biscuit. Le troisième ma pissé dessus, et dans la bouche aussi. Et puis la femme a reprit la place dans le fauteuil, et jai recommencé à la lécher. Je mattendais à recevoir des coups de fouet, mais à la place le troisième homme qui navait pas encore éjaculé ma attrapée par les hanches et il a planté sa bite dun coup dans mon cul. Il ma ramonée pendant dix minutes en me traitant de salle pute, de chienne, de sac à merde. Et je mouillais plus que jamais. Un des hommes tirait sur la laisse pour métrangler, et quand mon maître a balancé dans mon cul jai eu le plus gros orgasme de ma vie. Je cois bien que la femme a jouit en même temps que nous.

Sophie continuait de me raconter comment elle sétait faite baiser par tous les trous et dans toutes les positions, par ses quatre maîtres et quelques clients toute la soirée, en se faisant insulter et pisser dessus. Je bandais tellement fort que jai été obligé douvrir ma braguette. Au fur et à mesure du récit je perdais complètement le peu de respect qui me restait de mon ex, je ne la voyais plus maintenant que comme une pute, une pauvre femme qui veut quon la brutalise, une esclave sexuelle. Au bout dun moment jai vu rouge, je me suis levé dun coup, et je me suis jeté sur Sophie. Elle était trop concentrée sur son récit, le visage toujours dans ses mains, elle na rien vu venir. Je lai giflée, et quand elle a levé la tête vers moi en se demandant ce qui se passait je lai attrapée par les cheveux et jai enfoncé ma bite bien bandée dans sa bouche. Je lui baisais la bouche, tellement profond quelle était à deux doigts de vomir. Elle avait le souffle coupé, les yeux exorbités, elle na pourtant pas cherché à fuir, ni même à se débattre. Quand jai jouit au fond de sa gorge elle a presque tout avalé. Seul un mince filet de foutre et de salive lui a coulé sur le menton, puis est tombé sur ma chaussure.

— Tu es vraiment une sale chienne. Lèche ma chaussure !

Et elle la fait. Totalement soumise, elle était à quatre pattes en train de me lécher les pompes, une main sagitant entre ses cuisses. Je nen revenais pas : mon ex, si sage, si bcbg, si fade, cachait en fait une belle salope. Dire que jaurai pu en profiter bien avant ! En tout cas à partir de maintenant je ne raterai plus une occasion: jai une esclave totalement à ma botte (cest le cas de le dire) et je compte bien en profiter !

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