Je me réveille le lendemain matin, la tête dans les vapes.
Je mets quelques minutes à me rendre compte de la situation : je suis couché, sur le coté, et un bras m’enveloppe le torse : celui de Gad. Je me souviens à présent de la soirée d’hier et de notre câlin avant de s’endormir. Je reprends mes esprits et lui demande s’il est éveillé.
Non, aucune réponse. Je décide donc de me lever, mais son bras me maintient fermement. Je me dandine un peu, et là je sens un truc tout dur contre mes fesses. Le coquin a une trique d’enfer !
Je fais doucement, pour ne pas le réveiller, et sort de la chambre. Je croise son père dans le couloir. On se salue, normalement. S’il savait ce que son fils et moi avons fait il y a quelques heures.. aha !
Je me rends aux WC, urine un coup, et redescends me doucher. Gad dort encore. Je recouche à coté de lui, mais rapidement, l’ennuie me gagne; je ne vais quand même pas attendre 3heures qu’il se réveille !
Je décide donc de m’amuser avec lui, tel que l’on s’amuserait avec une poupée. Je commence par l’embrasser sur la joue, tout délicatement pour ne pas le réveiller. En même temps, je le caresse le long du dos, et arrivant dans le creux des reins, ma main passe à l’avant et attrape son membre. Hum quelle vigueur. J’en ai dès à présent moi aussi une érection d’enfer.
Je commence à lui retirer son pantalon dans le but de le branler. Mais il se réveille avant. Mince alors.
Il ne comprend pas trop ce qui lui arrive, jusqu’à qu’il me voit, il m’adresse un sourire coquin et me saute dessus pour m’embrasser.
— Alors, on allait commencer sans moi ? !
— Pas du tout ! Je voulais voir si tu serais prêt au réveil … : )
— On va voir ça de suite !
Il est à la califourchon sur moi, au niveau de mon bassin, le pantalon baissé. Autant vous dire que j’ai son pénis à 30cm de ma bouche.
Il s’avance, en se dandinant, et arrive devant ma bouche. Je commence à le sucer. Lentement, d’abord quelques coups de langues, puis dans la bouche, des va-et-vient commencent.
Au bout de quelques minutes ils s’accélèrent. Mais Gad se retire avant la jouissance. Il veut jouer plus longtemps.
Je sens qu’il commence à prendre les choses en mains car il m’ordonne ( le ton le confirme ) de me mettre à 4 pattes. Je m’exécute et le voilà qui commence à cracher sur mon anus. Je proteste, il me répond qu’il a déjà essayé de se mettre 2 doigts et que c’était divin. Bon, d’accord, je le laisse prendre le contrôle de ma rondelle.
Il crache dessus, étale le crachat avec ses doigts, me caresse la rondelle et commence à le lécher. Hum c’est bon, je commence à gémir et à bouger mon bassin en signe d’excitation. Il arrête quelques instants, je me retourne pour voir ce qu’il fait, mais à peine ai-je commencé le mouvement de tête qu’il insère d’un coup sec un doigt.
— Finalement, c’est plutôt bon
— Ah tu vois du con, tu allais passer à coté de ça
Il en insère un deuxième et commence à me masser l’intérieur des fesses.
Il me demande s’il peut aller plus loin. Je comprends qu’il veut me prendre plus loin avec ses doigts, alors j’accepte. Sauf qu’en fait, il veut me prendre tout court.
Doucement, il presse ma rondelle avec son pénis, et rentre. La sensation d’écartement du muscle est intense, j’en crie.
Il commence ses va-et-vient, et au bout de quelques minutes me sodomise comme il prend sa copine dans le vagin, rapidement, énergiquement, et sans ménagement.
Il m’annonce qu’il va venir, je tente de me retirer, mais trop tard, il me plaque le bassin contre le sien et me remplit les fesses.
Il débande et se retire. Il s’assied par terre, moi toujours à 4 pattes.
— Oh, même si je gémis, je n’ai pas encore joui ! Viens me sucer toi aussi coquin
Aussitôt dit, aussitôt fait, le voilà en train de m’astiquer le manche, moi maintenant couché sur dos. Il commence à me sucer, mais le contact de mon gland et de ses lèvres est trop fort. Je ne peux me retenir et lui explose en plein visage. Il en rigole, se redresse, et vient me rouler un pèle mémorable, mêlant sperme et salive.
Je lui caresse le torse et lui dis que je vais vite me laver. Il se nettoie le visage avec un mouchoir. Et moi je vais me vider l’anus.
Je monte lentement vers les toilettes qui sont à l’étage et croise son père.
— AH Monsieur !
J’essaie de coller mes fesses ensemble, mais le sperme demande à sortir !
Je cours vers les toilettes, mais sûrement a-t-il déjà vu le flot couler le long de mes jambes, qui ne sont plus cachées par mon short, trop court pour me protéger de son regard inquisiteur.
L’a-t-il vu ? La suite bientôt 🙂
