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La vengeance de Marlène – Chapitre 1




Tout d?abord, je me présente. Moi ,c?est Marlène, j?ai 24 ans et comment dire, physiquement je suis plutôt un morceau de choix ,pour parler un peu trivialement. Je suis black, d?origine sénégalaise, 1m70, 52 kilos, deux très beaux seins, pas très gros, mais comme il faut, les fesses et les jambes, bien sûr ont fait tourner plus d?une tête, bref je ne rencontre pas de problème pour plaire, car j?adore plaire, séduire, draguer et en gros, depuis mes 16 ans, il n?y a jamais dû avoir plus de trois jours de suite sans que je fasse l?amour. Je suis totalement, incorrigiblement, passionnément infidèle, voire perverse. Je me suis vite rendu compte que mon physique me permettrait énormément de choses et je m?en sers sans aucune vergogne. Je ne fais pas la prostituée, bien que j?aie pratiqué parfois le noble métier de call-girl, mais je sais me faire entretenir en quelque sorte.

    Ah j?oubliais un détail, juste un petit détail. Je préfère les filles. Hé oui, dommage pour vous messieurs, mais je raffole des brunes des blondes des rousses de toutes sorte. Je couche aussi avec des hommes, pour assurer mes fins de mois, me faire entretenir, pour les faire souffrir ou les dominer j?avoue que coucher avec deux beaux mâles blacks me tentent souvent, je fais l?amour avec des hommes aussi souvent pour coucher avec leurs copines, mais la plupart du temps, je suis une concurrente pour vous messieurs (et je gagne souvent).

    Par laquelle de mes innombrables aventures commencer. Après mûre réflexion, il m?est revenue une histoire un peu particulière. J?avais alors 22 ans et justement je vivais avec un homme depuis trois mois. David était chef d?entreprise de start-up, il baisait bien, gagnait énormément de fric m?en donnait beaucoup, passait son temps en rendez-vous et je le trompais allégrement et régulièrement. Il faut dire que j?avais séduit une de ses proches collaboratrices et que sa secrétaire était une ancienne amante

    Un soir David invita un de ses collaborateurs ce dernier devait être accompagné par sa femme. L?heure était grave, le capital de l?entreprise allait doubler il lui fallait nommer un responsable pour l?Europe. Je vous passe les détails, mais l?invité en question, Marc, lorgnait vers ce poste qui pourrait doubler son train de vie. David m?avait prévenue qu?il était prêt à tout pour obtenir ce poste, même à coucher avec moi s?il le fallait me dit-il dans un sourire…

    Effectivement tout dans l?attitude de Marc soulignait cette envie, mais ce n?était rien par rapport à sa femme qui passa la soirée à parler d?argent. Elle semblait obnubilée par cette question et rêvait quasiment tout haut de ce qu?elle pourrait faire avec l?argent si son Marc de mari obtenait le poste

    Mais quel physique !Une belle blonde un peu bimbo, les lèvres un peu collagènes mais cela lui allait bien, une longue silhouette sportive, bronzée, des cheveux au carré, une poitrine qui me convenait. Mais bon, elle ne semblait pas attirée par le saphisme outre mesure et passa la soirée à m?ignorer superbement.

    Cette soirée, ennuyeuse à souhait se terminait et le couple quittait l?appartement ;Je me rendis compte que Vanessa, la blonde en question, avait oublié son portable. Je les rejoignis sur le pallier de l?appart ,notre porte était restée ouverte, aussi ils ne m?entendirent pas arriver. Ils attendaient l?ascenseur. La conversation que je surpris m?en dit long sur eux.

    Vanessa : et tu as vu sa meuf, l?oiseau des îles ? Comme décoration, si t?aimes l?exotisme , c?est pas mal

    Marc : elle est plutôt canon

    Vanessa : bien sûr, comme toutes les noires de ce genre, à part exhiber son décolleté et ses fesses ,on se demande ce qu?elle sait faire

    Marc : c?est tout ce que David lui demande, d?exhiber son cul, qu?elle a magnifique d?ailleurs

    Vanessa : En tout si pour avoir la place tu dois coucher avec elle, tu as ma bénédiction, mais après tu as intérêt à te laver il paraît que ces filles ont une odeur

    J?étais révoltée. J?avais l?habitude de ce genre de remarque mais là c?était trop

    La nuit fut agitée, je me refusais à David et ruminait dans mon coin. Mais le lendemain, ma décision était prise et ma vengeance en route.

    Je téléphonai tout d?abord à Alice, la secrétaire de David ainsi que mon amante (l?une de mes amantes). Nous nous retrouvâmes chez moi à midi, je lui fis l?amour ce qui me calma quelque peu mais j?en profitais pour soutirait quelques renseignements sur Marc et Vanessa. Il était effectivement prêt à tout pour obtenir ce poste, quant à elle, qui avait travaillait dans l?entreprise auparavant, c?était selon Alice, une vraie salope raciste et réac (Alice est une charmante et sexy vietnamienne).

    Le lendemain, David partait pour l?étranger pendant quelque jours. Je téléphonai à Vanessa. Je pris comme prétexte le portable oublié, mais je lui fis savoir aussi Qu?il fallait absolument que l?on se voit, elle, Marc et moi, car j?avais des choses importantes à leur dire au sujet de la future nomination. Ceci la décida et elle m?invita à prendre l?apéritif chez eux, le soir même. La vengeance était en route !

    Un coup d?oeil à mon imposante garde-robe (merci David…) J?optais pour une minijupe portefeuille blanche, une veste de tailleur de la même couleur avec rien en dessous si ce n?est un soutien gorge noir et un foulard, important le foulard, ça peut servir à un tas de choses. J?étais à croquer

    Ils m?accueillirent à 19 heures, Vanessa avait beau être une salope raciste elle était ravissante de son tailleur de marque rehaussé d?un collier à perles .La conversation s?engageait mais je les sentais tendus. Ils auraient voulu aborder le délicat problèmes tout de suite mais ils attendaient que je le fasse. Je fis durer le plaisir et me comportais en véritable allumeuse Marc n?en pouvait plus et ses yeux lorgnaient alternativement vers mes longues jambes ou vers le décolleté. Seul un bouton de la veste retenait mes seins et il était visible que sous cette veste, il y avait ma peau. Je décidais de le chauffer .Je complimentais Vanessa sur sa beauté, son élégance et au même moment, sous la table mon pied caressait les jambes de marc. Ce dernier semblait sur le point d?exploser. Il était en face de moi, Vanessa juste à ma gauche.

    Mon pied s?insinua ensuite entre ses cuisses et je lui réservé des oeillades d?une sensualité à faire fondre toute la gay pride. Soudain, je retirai mon pied et déclarai : ? Bon si on passait aux choses sérieuses ?Mon annonce fit son effet. Marc semblait redescendu un peu trop vite sur terre. Vanessa présentait des signes d?inquiétude

    Je continuais : ? David est parti pour l?étranger, mais pour ne rien vous cacher, il doit rencontrer quelqu?un qui s?avère être un sérieux concurrent pour vous mon cher Marc ?

    Silence angoissé dans la salle

     ? Mais pour tout vous dire, je préférerais de loin que cela soit vous qui gagniez cette place. Et David fera tout ce que je lui demande, il vous suffit de me regarder pour que vous compreniez qu?au lit, je peux tout lui demander, y compris de vous choisir. Et c?est ce que je compte faire, à une condition… ?

    Vanessa, n?écoutant que son arrivisme, sortit ? Quoi ? Quelle condition ?Je suis sûre que l?on peut s?entendre, n?est ce pas Marc ? ?

    Je me levais, faisant durer le plaisir, je m?assis à côté de Marc

     ? Oh pas grand chose, rien de très désagréable, au contraire ?ma main caressait le torse de Marc ?Très très agréable au contraire ?

    Mes lèvres effleurèrent le cou de l?homme. Puis brusquement, je cessai ces travaux d?approche et me retournai vers Vanessa

     ? Je la veux, elle ? je pointai Vanessa du doigt

    On peut dire que cela fit son petit effet. Vanessa me regardait fixement, comme KO Marc balbutiait semblant de rien comprendre

    – Quoi ?Qu?avez vous dit

    – Je veux Vanessa. J?exige qu?elle devienne mon amante. Sinon, pas de poste ?

    – Mais Marc dit quelque chose, elle est folle

    – Tu ferais mieux de faire attention à ce que tu dis ma chérie. Je répète, je veux Vanessa et ceci dès ce soir, je passe la nuit avec elle et je la rends demain matin. De plus, elle me consacrera une après midi entière toute les semaines jusqu?à nouvel ordre ?

    Vanessa, visiblement choquée s?enfuit de la pièce. Je restai seule avec Marc

    – Désolé mon vieux, mais moi, c?est les filles qui me font kiffer et ta Vanessa, particulièrement. Ah au fait, si vous n?acceptez pas, je fais croire à David que tu as voulu coucher avec moi. Non seulement tu n?as pas la place mais en plus tu es viré. Je te dis, il ne peut rien me refuser, et dans l?ensemble on ne peut rien me refuser ?

    Il semblait réfléchir à toute vitesse

    – Espèce de sale garce, je vais parler à Vanessa

    Il sortit à son tour et je savourais mon triomphe

    Ils revinrent quelques minutes plus tard. Vanessa avait visiblement pleuré, mais elle semblait décidée quoique en colère

    – Bon ben voilà on a réfléchi…

    – Tu as gagné espèce de salope, pour que Marc ait cette place je suis même prête à me faire baiser par une garce comme toi.

    Je m?approchai d?elle, mes doigts caressèrent doucement sa joue. Elle se raidit

    – Dans quelques temps, tu me mangeras dans la main, tu lécheras mes pieds.

    Elle ferma ses yeux. Je me retournais vers Marc fasciné par le spectacle.

    – Bien, à partir de maintenant, vous faites exactement ce que je dis, sinon…

    Je pris une chaise et la plaçai au milieu de la pièce

    – Marc, tu t?assois ici

    Il s?exécuta, aussitôt je dégrafai sa ceinture et baissai son pantalon et son slip. Ma main commença à caresser son sexe déjà durci. Je stoppai vite à son visible regret. Je pris la ceinture, passai derrière la chaise et attachai ses mains au dos du siège, puis lui chuchotai

    – Rêve pas mon vieux, je ne te toucherai pas plus, je réserve le reste pour Vanessa, je vais la baiser comme on l?a jamais baisée, estime toi heureux que je te la rende demain

    Je pris mon foulard et lui bandai les yeux .Je m?assis dans le canapé et fit signe à Vanessa de me rejoindre. Elle s?exécuta, s?installa au bord, visiblement tétanisée

    – A mon avis tu n?as jamais couché avec une fille, et bien il y a un début à tout

    Mes mains caressaient ses cuisses, elle se raidit encore plus si c?était possible

    – Je veux que tu réalises vraiment ce qui t?arrives. Tu vas faire l?amour avec une black, dans quelques instants tu seras nue dans un lit avec moi et tu feras exactement ce que je désire. Approche toi

    Mes mains caressaient ses cheveux, son cou, mes lèvres s?aventurèrent sur son cou ; Je mourrai d?envie de la violer sur place mais non, savourons cette proie

    Ma main se posa sur son sein, ferme et lourd et je l?embrassai enfin sur les lèvres. Elle eut un mouvement de recul, je la giflai aussitôt

    – Tu n?as pas intérêt à recommencer

    Elle se laissa faire, je l?embrassai sur les lèvres dans le cou, ma main remontait sa cuisse. Elle ne laissai paraître aucune émotion, seul peut être un léger tremblement

    Ses yeux fixaient un point dans le vide, comme si elle se forçait à penser à autre chose, à être étrangère à ce qui lui arrivait. Ma main passa sous la veste de son tailleur et attaqua le sein que je massai doucement. Instinctivement, son téton, durcit, je mordillai , léchai son cou, sa nuque ses oreilles, ma pression sur sa poitrine se fit plus forte, je passai d?un sein à l?autre, veillant à ce que leurs pointes restent érectiles, puis je la renversai sur le canapé, sa veste de tailleur entrouverte, j?embrassai son ventre, ses hanches, sa peau dorée et douce, mes dents mordillaient maintenant la naissance de ses seins, sa gorge, elle évitait toujours mon regard, ses yeux perdus vers le plafond, son corps restait inerte. Je me relevai quelque peu, sa veste était maintenant totalement ouverte, mes deux mains empoignèrent ses deux seins les massèrent doucement.

    Je contemplai ma proie. Je connaissais par coeur mon effet sur les femmes, ma capacité à leur faire perdre la tête. Sa résistance m?excitait au plus haut point et j?évitai donc d?y aller trop fort et trop vite. Je savais que tôt ou tard une imperceptible tension particulière de son corps, un petit bruit marqueraient le début de la fin de sa résistance, mais je voulais qu?elle subisse avant, qu?elle se sente humiliée, victime de cet ? oiseau des îles ? qu?elle avait eu tort de mépriser.

    Je me levai, me dirigeai vers la table et allumai une cigarette. Elle n?avait pas bougé. Marc se rappela à mon souvenir

    -Eh là qu?est ce qui se passe ?

    Je le giflai violemment

    – Toi tu la fermes, tu n?existes plus.

    Il s?exécuta aussitôt. Je m?assis puis ordonnai à Vanessa de se lever

    – Maintenant tu te déshabilles

    Tel un robot, elle défit ce qui restait de son tailleur et se présenta devant moi en sous vêtements noirs et chics. Elle marqua une hésitation, son appât du gain ne serait-il plus assez suffisant ? J?étais curieuse de savoir jusqu?où son envie de voir Marc gagnait beaucoup plus d?argent pouvait la mener

    – Ma chérie, tu te fous à poil. Maintenant.

    Ce qu?elle fit sans aucune autre cérémonie, apparemment indifférente. Elle se dévoila dans toute sa splendeur. C?était vraiment une très jolie fille et le mépris que j?éprouvai pour elle ne pouvait faire taire en moi l?envie que me procurait son corps. Nue devant moi, elle apparaissait beaucoup plus sculpturale, des épaules larges de sportive confirmée, deux seins lourds et fermes en obus, les hanches un peu larges mais des cuisses musclées. Ses cheveux blonds tirés en chignon, son maquillage un peu pouf l?ensemble de son corps me rappelaient une californienne que j?avais baisée l?an dernier dans les toilettes d?une boîte.

    Je me levai et me tint devant elle. Je palpai ses seins, soupesai ses fesses, me livrant à des commentaires dignes d?un marché aux esclaves

    – Ma foi, ça m?a l?air très ferme tout ça, un peu lourd au niveau des hanches, la peau est pas mal

    Je me plaçai derrière elle, soupesai de nouveau son cul.

    – Oui, là aussi pas mal, pas aussi bien que le mien mais j?aime bien.

    Je la reniflai, mes mains continuèrent à évaluer les différentes parties de son corps.

    – Allez, c?est décidé, bonne à baiser. J?en ai baisé des mieux mais une pétasse blonde de temps en temps, j?suis pas contre.

    Ses mâchoires tremblaient, ses lèvres aussi. Se voir considérée comme une vulgaire marchandise par une black semblait être au delà de ses limites, mais elle tenait bon, ne laissant apparaître d?autre émotion que la rage qui montait en elle. Je la retournai face à Marc qui prudemment demeurait muet. Je la fis asseoir sur les cuisses de son mari et m?installait derrière elle. Mes mains emprisonnèrent ses seins, les pressèrent tandis que ma bouche dévorait ses épaules sa nuque et son cou.

    – A partir de maintenant tu m?appelles maîtresse Marlène. Allez j?écoute

    Elle restait silencieuse. Je la mordis sur l?épaule et pinçai ses deux tétons. Elle laissa échapper un cri.

    – C?est pas dur, oui maîtresse Marlène. Allez j?écoute

    Toujours rien. Je réitérai la pression sur ses seins

    – Maîtresse Marlène, allez plus vite, sinon, vous êtes à la rue dès demain

    Elle craqua enfin. Elle pleurait et dans un sanglot elle lâcha

    – Oui maîtresse Marlène

    – Bien tu es une bonne fille

    De chaudes larmes coulaient sur ses joues, elle enfouit son visage dans l?épaule de Marc sur lequel je la maintenais toujours assise, comme pour se donner du courage. Elle semblait au delà de l?humiliation. Toujours derrière elle, je glissai ma main entre ses cuisses et pour la première fois je m?occupai de son sexe que je caressai doucement tandis que mon autre main taraudait toujours ses seins. Elle était légèrement humide, juste un peu.

    – Mon cher Marc, on va te quitter maintenant. On ne sera pas loin, juste à côté dans la chambre. Ce que je vais lui faire et ce que je vais lui demander de me faire, c?est un secret entre fille. J?espère que tu n?es pas trop mal installé parce que tu vas rester toute la nuit sur cette chaise. Allez hop Vanessa , dans la chambre.

    Elle m?obéit. Je restai quelque secondes seule avec Marc. Il tenta de parler mais je le frappai avant qu?il n?ait pu sortir le moindre son

    – Et on garde le silence. Le moindre son de ta part et je téléphone à David. Afin de raviver sa virilité mais surtout sa frustration, je léchai son sexe quelques secondes avant de disparaître dans la chambre.

    Vanessa s?était allongée, toujours nue, sur le lit. Sa crise de larmes semblait terminée.

    -Regarde moi

    Je me déshabillai lentement devant elle puis la rejoignis sur le lit

    – Tu te crois assez forte pour supporter ce qui se passe ma chère Vanessa, mais tu ne gagneras pas, je vais posséder ton corps, ton âme et te faire oublier les hommes.

    Je m?allongeai sur elle et me déchaînai. Mes lèvres ma bouche mes doigts mes mains explorèrent son corps puis, écartant ses cuisses, je commençai à lécher son sexe, son clitoris, lentement, très lentement. Ma salive l?humidifia me permettant des mouvements de langue plus efficace. Je maîtrise parfaitement cette technique et je sais rapidement deviner , selon la fille, ce qui sera le plus affolant, mais je ne voulais pas la faire craquer tout de suite. Je savais qu?au cours de la soirée elle se laisserait aller, ne serait qu?une seconde, mais ce n?était pas encore le moment.

    Je me relevais et vint placer mon sexe sur sa bouche.

    – Maintenant à toi, tu me lèches et pas de blagues.

    Après quelques secondes d?hésitation , sa bouche attaqua mes lèvres intimes, timidement. J?augmentai la pression sur sa bouche. Elle n?était pas une grande experte mais le plaisir me tenaillait les reins. J?ondulai de la croupe sur ses lèvres, me massant les seins

    L?ensemble de la situation, plus que ses talents buccaux me survoltaient, des ondes de jouissance me parcouraient le sexe, les cuisses. Mais je ne voulais surtout pas qu?elle puisse avoir le moindre ascendant sur moi, lui faire croire qu?elle avait la possibilité de me faire jouir comme ça , tout de suite.

    Avec regrets, je quittai sa bouche et m?allongeai à ses côtés

    – Tu vas apprendre à me faire l?amour. Embrasse mes seins

    Pendant plusieurs longues et délicieuses minutes, elle me caressa, me lécha me suça le corps selon mes indications. Elle se comporta en élève appliquée, sans monter d?émotion, ses caresses devenaient de plus en plus précises et douces, je lui ordonnais enfin de me lécher le sexe, elle variait le rythme selon mes désirs, la montée du plaisir dans mes reins. Je décidai de me laisser aller quelque peu, je ne pus réfreindre quelques petits râles, mes reins, ma croupe ondulaient au rythme du plaisir qui balayait l?ensemble de mon corps. Je lui ordonnai de caresser mon clitoris avec ses doigts tandis que ses lèvres continuaient à labourer mon sexe. Ce jeu dura près de dix minutes. Je n?en pouvais plus et choisi de laisser ouverte toute les vannes du plaisir. L?orgasme fut intense et même Marc, dans la pièce à côté pu entendre mes cris.

    Elle se retira, pensant peut être venu la fin de son calvaire. Nous nous dévisageâmes. Une lueur de défi traversait son regard Il fallait reprendre le contrôle de la situation. Je m?approchai d?elle et lui flattai la croupe telle un cheval

    – Tu progresses, tu retiens bien les leçons ma salope

    Je l?embrassai sur la bouche

    – On va voir de quoi tu es vraiment capable, si tu es si docile et si bonne que ça.

    Je m?allongeai sur le ventre puis relevai les fesses

    – Lèche moi l?anus, sale pétasse

    A ma grande surprise, elle s?exécuta immédiatement, suçant, aspirant, fouillant mon intimité en fonction de ce que je désirai. Je suis très sensible à ce style de caresse, vraiment très sensible, d?autant plus que je lui demandai de caressai mon clitoris en même temps .Ce traitement dura un bon quart d?heure, quinze minutes au bout desquelles, j?explosai littéralement dans sa bouche qui récolta un liquide mélange de toutes mes liqueurs intimes.

    Je repris mon souffle et la contemplai. Nous étions face à face, assises en tailleur. Ma main caressa ses cheveux, défit son chignon et toute la masse blonde dévala sur ses épaules. Elle fuyait mon regard. De ses lèvres perlaient des traces de mes liquides. Ma main se fraya un chemin entre ses cuisses et je la travaillai doucement, très doucement mais très expertement. Ses fesses, ses reins se contractèrent imperceptiblement, elle laissa échapper un petit souffle, très léger. Voila, elle craquait, j?accentuai quelque peu la pression sur son sexe. Ses cheveux ondulaient, je relevai sa tête, ses yeux perdus dans le vide m?évitèrent. je l?embrassai, frayant d?autorité un passage dans sa bouche, aussitôt nos lèvres nos bouches se mêlèrent, mes caresses se firent plus pressantes, deux doits s?insinuèrent à l?intérieur de son sexe, elle s?abandonna, un râle s?échappa de sa gorge.

    – Alors, on commence à apprécier

    En guise réponse j?eus droit à de nouveaux gloussements de plaisir, sa bouche se colla à la mienne, elle m?appartenait. Je l?allongeai et la léchai pendant d?interminables minutes, déployant toute ma virtuosité à faire jouir une autre femme. Totalement sous l?emprise de ma bouche, elle ne tarda pas à manifester son plaisir. Elle tenta de réprimer les cris qui montaient en elle en enfouissant son visage dans l?oreiller. Je le lui retirai violemment, il fallait que Marc l?entende. Et puis elle ne put plus rien. Ses cris échappèrent à son contrôle et bientôt se muèrent en hurlements. Pendant près de dix minutes, je la soumis à un orgasme à répétition, une de mes spécialités qui soumet mes victimes à des vagues ininterrompues de jouissance, 10 ans passés entre les cuisses des filles, ça vous confère une certaine expérience

    Je lui laissai quelques secondes de répit. Elle se recroquevilla au bout du lit, incapable d?affronter la réalité, honteuse de jouir de la sorte mais ne pouvant oublier la force des orgasmes qu?elle venait de vivre.

    De nouveau, je passai à l?attaque, je voulais la posséder encore plus. J?introduis un doigt dans son anus. La surprise la fit réagir

    – Non pas ça…

    Je la giflai aussitôt et la forçai à se mettre à quatre pattes tandis que mon doigt triturait de plus belle son intimité

    – Tu obéis et tu m?appelles maîtresse Marlène, dernier avertissement

    J?introduis un deuxième un troisième puis un quatrième doigt lui tirant à chaque intromission un cri de douleur

    – S?il vous plait maîtresse Marlène, je n?en peux plus

    – Voilà qui est mieux demandé, tu es une bonne fille, tu mérites une récompense

    Je la maintenais toujours dans la même position, sa croupe offerte à mon regard. Ma langue lui léchait maintenant l?anus, le suçait, tandis que mes doigts caressaient son clitoris, son sexe. Bientôt elle ondula ses fesses au rythme du plaisir qui montait. Mes doigts délaissèrent son sexe, je voulais que son orgasme ne soit produit que par cette caresse anale, briser ses derniers bastions. Ma dextérité fit le reste et elle laissa échapper de sonores manifestations de plaisir au bout de quelques minutes.

    Je la pris dans mes bras, lui caressai les cheveux et lui commandai de m?embrasser. Elle se précipita sur ma bouche et nous nous unîmes dans un fougueux et long baiser

    Nos regards se croisèrent, ses yeux enfiévrés me fixaient, elle perdait la raison, elle était à moi

    – Vanessa, je te donne cinq minutes pour me faire jouir, tu te débrouilles mais tu as 5 minutes, sinon, je considère notre accord comme nul

    Alors elle se déchaîna entre mes cuisses me faisant jouir rapidement , recommençant, puis de nouveau pendant près d?une demi-heure.

    – Alors salope de blanche, on fait moins la fière ?

    Elle se mit alors à me lécher les pieds, répétant ? maîtresse Marlène, maîtresse Marlène Sa bouche remontait mes jambes, mes cuisses, parcouru mon ventre puis face à moi, la lèvre saignante et m?embrassa passionnément.

    De nouveau nous roulâmes sur le lit nos corps, nos sexes se mêlèrent jusqu?au bout de la nuit, empêchant certainement Marc de s?assoupir à cause de nos bruyants orgasmes.

    Le lendemain, je me réveillai, elle était encore assoupie. Je contemplai son corps nu, endormi de ma nouvelle proie. Elle était vraiment superbe et la savoir désormais mon esclave raviva mon désir. Mais je souhaitai avant de partir m?occuper de Marc.

    Il dormait toujours dans la même position, attaché à la chaise, les yeux bandés et le pantalon tombé. Je le réveillai par des gifles et lui ôtait le foulard afin qu?il puisse contemplait ma nudité

    – Surtout tu fermes ta gueule. Vanessa a joui comme jamais et m?a fait jouir, mais ça tu as dû l?entendre suffisamment. Je te la rends mais je peux t?assurer que je vais vite te la réempruntai et qu?elle va adorer ça ; Tiens juste un petit échantillon.

    Je m?assis entre ses cuisses et commençai une fellation. Experte en la matière, je peux rendre fou un homme comme une femme avec ma bouche ; j?attendis que le plaisir lui tenaille suffisamment les reins pour tout stopper. Je me relevai et précipitai la chaise par terre d?un coup de pied. A ce moment, Vanessa entra dans la pièce.

    Je l?appelai et la prise dans mes bras. Nous nous, embrassâmes sous les yeux de marc. Puis, je m?accroupis au dessus de la chaise et du visage de l?homme avant d?uriner sur lui. Fascinée par le spectacle elle nous contemplait immobile. Après avoir souillé son mari, je la pris par la main et l?emmena sous la douche ou pendant encore près d?une heure elle se livra à tout mes caprices, me lavant, me massant me faisant l?amour, me séchant telle une esclave docile.

    J?attendis une semaine avant de me manifester de nouveau. Pendant ces sept longues journées, le désir me tarauda le corps. Dix fois, cent fois, je me dirigeai vers le téléphone afin d’ordonner à Vanessa de me rejoindre. Mais je résistai, ne voulant avant tout ne pas paraître empressée de la revoir. Pas facile de conjuguer à la fois la haine et le mépris que je pouvais éprouver et l?envie de ce corps superbe qui, je le savais maintenant, se plierait à tous mes caprices.

    Je profitai d?un nouveau déplacement de David, d?autant plus que la grande décision allait être prise dans les jours qui suivent. Je convoquai donc Marc et Vanessa chez moi.

    Lorsque je la revis je ne pus empêcher une bouffée de chaleur me parcourir. Dieu qu?elle était belle. Toute simple, jean et pull over blanc, et toute à moi, je l?espère. Comment avait-elle vécu cette semaine ? Honteuse ? Traumatisée ? Impatiente de me revoir ?En tout cas, l?un comme l?autre faisait comme si de rien n?était.

    Cette semaine m?avait permis de réfléchir à la façon dont je devais agir Ma décision était prise. Je ferai tout pour que Vanessa devienne mon objet sexuel mais je reporterais toute les vexations et l?humiliation sur Marc. Ce n?était qu?un mec après tout.

    Je passe sur les premières minutes, quelque peu embarrassées, je décidai de passer aux choses sérieuses et proposai de passer dans la chambre. . J?ordonnai à Marc de nous déshabiller Vanessa et moi. Puis je la pris dans mes bras, le contact de nos corps fut électrique et nos bouches se trouvèrent immédiatement, je chuchotai à son oreille et nous nous précipitâmes sur Marc que nous déshabillâmes de la plus exquise des façons. Ce dernier hésitait .Allait-il connaître la soirée de sa vie ou était -ce encore l?un de mes pièges ? C?était bien sûr la deuxième hypothèse qui l?emporta ; . Nous l?allongeâmes sur le lit et je tirai d?une armoire tout un attirail qui me serait très utile au cours de la nuit. Il fut bientôt menotté aux montants d u lit. Un mouvement de révolte fut étouffé par un coup placé à un endroit très sensible pour un homme .Une fois entravé, j?allongeai sur lui Vanessa et nous fîmes l?amour sans nous préoccuper de sa présence.

    Vanessa resta sur la réserve, au début, se contentant d?obéir à mes injonctions, mais rapidement je la fis jouir et d?elle même , se plaça entre mes cuisses et me prodigua les plus délicieuses caresses.. Puis nous demeurèrent enlacées, tendrement, nous embrassant, nous caressant telle deux amoureuses ignorant totalement l?homme attaché en dessous de nous. Je lui réservai une surprise. Je quittai le lit et disparu quelques instant, puis apparus devant leurs yeux écarquillés munis d’un god ceinture de près de trente centimètres Le premier mouvement de surprise passé, Vanessa ?allongea de sa propre initiative sur son mari, me présentant ainsi son magnifique cul. Alors qu?elle s?attendait à une pénétration classique, je lubrifiai son anus avec ma langue avant de m?introduire en elle par son orifice le moins lisse. La douleur fut intense d?autant plus que mon introduction fut des plus brutale. Elle tenta de se défendre

    – Moins fort s?il vous plait, maîtresse Marlène

    Ce qui eut pour effet d?accroître la violence de mes coups de reins. Je me déchaînai, détruisant ses reins, la fouillant au plus profond. Après dix minutes de ce traitement, je me retirai mais n?en avait pas encore fini avec cet instrument. J?écartai Vanessa du corps de son mari et contemplai Marc, visiblement choqué par ce qu?il venait de vivre

    – Il n?y a pas de raisons pour que Vanessa et moi soyons les seules à profiter de la situation. On va s?occuper de toi, mon petit Marc.

    Je pris la main de Vanessa et la plaça sur ses testicules.

    – Ma chérie, si jamais Marc ne se plie pas à mes demandes, tu serres et très fort

    Marc craqua, il se débattit, me traitant de psychopathe, conjurant Vanessa de ne plus m?obéir etc. etc.

    – Vanessa, tu serres

    Ce qu?elle fit aussitôt, ce qui après un hurlement de douleur, fit taire son mari

    – Voilà qui est mieux. Tu sais ce qu?on va faire, Marc, on va inverser les rôles, tu vas faire la fille en quelque sorte. Tout d?abord, on va voir ce que tu vaux en fellation

    Je plaçai le god au niveau de sa bouche, les liquides et sécrétions anales de sa femme maculaient l?engin

    – On ouvre la bouche et on suce

    Craignant de nouveau une intervention douloureuse, il se laissa faire, avalant l?engin

    – Et on le nettoie, mieux que ça

    Son travail accompli, je quittai sa bouche et détachai ses pieds, Vanessa exerçant toujours une pression menaçante sur ses testicules. Ainsi désentravé, je parvins à l?allonger sur le ventre, écarter ses jambes que je re ligotai aux montants du lit

    Vanessa me contemplait, fascinée par ma puissance, ma domination. Dans l?incapacité de bouger, Marc n?avait plus à être menacé de la sorte, , j?embrassai goulûment mon esclave blonde qui attaqua mes seins avec sa langue. Je calmai l?ardeur de ma proie et m?installai derrière Marc. Je le sodomisai aussitôt, ne tenant aucun compte de ses protestations et cris divers. Pendant que je faisais connaître à son mari de nouveaux horizons si j?ose m?exprimer ainsi, Vanessa dans mon dos caressait mon sexe des doigts, de la bouche, des lèvres. Je connus un orgasme rarement atteint ;

    Mais Marc n?était pas au bout de ses peines, Vanessa et moi au bout du plaisir.

    Elle déboucla la ceinture de mon attirail et je l?aidai afin qu?elle s?en munisse. Puis, tout comme je l?avais fait précédemment , elle pénétra son mari tandis que ma bouche s?occupait de son sexe et son anus

    Et toute la nuit, nous multipliâmes ce genre de petits jeux, oubliant d?ailleurs totalement Marc pour nous concentrer sur nous

    Marc obtint le poste, Vanessa continua à me satisfaire, une fois par semaine, pendant quelques mois. Puis les affaires de David périclitèrent et comme toute start-up qui se respecte, elle disparut ; j?eus juste le temps de vider le compte en banque de David avant de le quitter et de disparaître.

    Je m?enfuis en Italie où une certaine comtesse, une véritable comtesse, je vous raconterai l?histoire un jour, se mourrait d?amour pour moi.

    Mais je n?arrivai pas les mains vides et offrit comme cadeau Vanessa que j?avais pris la précaution d?enlever le jour de mon départ…

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