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Des potes pas si hétéros que ça – Chapitre 4




Les vacances finies, les cours reprirent. J’étais déçu car je n’allais pas voir mes amis comme avant, et avec ces moments ensembles qui partiraient, le sexe aussi. J’avais déjà eus trois expériences concluantes mais comme un drogué, j’en voulais toujours plus.

J’étais dans une classe où nous n’étions que six garçons, car j’avais choisi une filière littéraire. Deux d’entre eux me faisaient particulièrement fantasmer. L’un s’appelait Enzo, il était assez grand, brun typé espagnol et portait constamment des joggings amples, découvrant ainsi ses caleçons qui moulaient une belle paire de petite fesse. Enzo était plutôt du type macho mais on rigolait souvent ensemble et je le trouvais vraiment séduisant. Quant à l’autre, il se nommait Charlie. Charlie était plus petit mais très musclé, c’était un vrai sportif et il vouait un culte à la musculation malgré son jeune âge. Ses cheveux blonds et ses yeux bleus lui conféraient un petit côté angélique bien qu’il se trouvait être un gros obsédé.

Ce semestre, nous faisions piscine ce qui ne plaisait pas à l’ensemble de la classe. Ainsi, la moitié des élèves séchaient ce cours. Nous n’étions donc que trois dans le vestiaire ce jour là: Enzo, Charlie et moi-même. Nous commençâmes à nous changer en rigolant. Discrètement, je matai Charlie qui était le moins pudique des mecs. Il enleva son jean et son boxer sans gêne, libérant une queue rasée de taille satisfaisante. Il se tourna pour enfiler son maillot qui épousait la forme de son sexe à la perfection et je pus donc admirer ses fesses fermes et musclées avec bonheur. Enzo mit sa serviette tout comme moi pour se changer et j’eus une envie irrépressible de voir son chibre tout d’un coup.

Le cour se passa dans une bonne ambiance général alors que je profitais du fait que je nageai derrière Enzo pour observer son petit cul tandis qu’il faisait des longueurs. Nous dûmes ensuite aller prendre nos douches puis vint le moment de se changer. La discussion allait bon train car Charlie croyait avoir aperçu un bout de téton qui dépassait du maillot de Mélanie.

"Cette fille là c’est une bonasse je te jure! Tu sais c’est le genre de meuf au pieu ça doit être une vraie salope, s’écria le sportif en rigolant. Enzo renchérit:

-Ouais mec, tu l’imagines là avec ses bons gros eins entrain de kiffer une teub!"

Pendant qu’il parlait, je crus surprendre un soubresaut dans le boxer de bain d’Enzo. Son sexe étant moulé au maximum, il ne pouvait pas vraiment se cacher et tandis que les deux mecs continuaient de fantasmer sur cette fille de notre classe, moi je voyais sa bite qui s’agrandissait au fur et à mesure. A un moment, Charlie lui fit remarquer:

"Putain, tu bandes comme un âne mon pote! Ca va que t’as pas une grosse bite sinon elle dépasserait du maillot!

-Je t’emmerde, elle est grosse ma teub. Là je bande pas au max aussi, faudrait que cette pute de Mélanie elle vienne me la sucer pour que je bande, rétorqua Enzo.

-Ah ouais t’aimerais bien hein, ricana son interlocuteur tandis qu’une bosse se faisait lui aussi voire à travers le tissu.

-Bah tu vois, elle dépasse pas la tienne non plus, tu fais le mec mais t’as pas de couille!

-Moi j’ai pas de couille? Tu veux les voir? Tu vas kiffer!"

Tout en rigolant et sous mes yeux émerveillés, Charlie sortit sa bite qui n’en finissait pas de prendre du volume puis il saisit ses couilles rasées avant de les balancer de droite à gauche. Il fit l’hélicoptère avec sa queue et finit même par la coller à la jambe d’Enzo pour rigoler. Désormais, il bandait au maximum. Enzo lui riait comme un con et continuait de provoquer Charlie.

"T’appelles ça une grosse queue mec? Non, CA c’est une bonne bite, finit par dire l’espagnol d’une voix amusée."

Et sur ces mots, il enleva lui aussi son boxer. Sa bite jaillit instantanément, vint percuter ses abdos, droite comme un i. Il était vrai que le garçon était bien monté. Il ne s’était pas rasé depuis longtemps et une touffe de poils bruns ornait son sexe et légèrement ses bourses. Les deux mecs commencèrent alors à comparer leur bite pour savoir laquelle était la plus grande. Leur deux glands se touchaient presque et je rageai intérieurement: je voulais en voir plus. Je finis par les charrier et sortit ma bite à mon tour. Nous mesurâmes nos chibres avec la règle d’Enzo: c’était ce dernier qui avait la plus grosse et il finit par la coller à Charlie pour le punir d’avoir été prétentieux. Les choses se réchauffaient.

"Bon les mecs j’en peux plus, faut que je me branle là, je vais pas tenir! s’exclama Charlie d’une voix excitée.

-Ok, je te suis, répliquai-je rapidement car j’avais l’impression qu’Enzo allait refuser. Mais devant la pression du groupe, ce dernier ne dit rien"

Nous nous assîmes donc sur les bancs du vestiaires pour venir caresser nos teubs en silence. Les mains coulissaient sur les bites bien bandées pendant que je rêvais d’attraper celle de mes camarades pour les mettre dans ma bouche. Je me mordis les lèvres un instant, puis me lançai:

"Et, celui qui a la plus petite bite à un gage normalement non?

-J’ai trop la rage d’avoir perdu, mais moi au moins je sais m’en servir, rétorqua Charlie qui avait une queue de seize centimètres.

-Ouais bah faits pas trop le malin, parce que le perdant il doit…me branler, s’écria Enzo avec un sourire en coin.

-Mec t’es con, je suis pas pédé moi.

-C’est le jeu, c’est le jeu, enchaînai-je de peur qu’il ne se rétracte"

Les choses s’enchaînèrent alors assez rapidement. Le sportif posa sa main sur la queue d’Enzo qui frémit puis il vint faire des mouvements de haut en bas lentement. On voyait qu’il avait l’habitude car il passait bien sur tout le gros gland de son ami avant de venir toucher rapidement les couilles. Enzo se retenait de pousser des gémissements, il se mordillait la lèvre inférieure et moi je me branlais en contemplant le spectacle. Au bout d’un moment, Charlie vint taquiner l’espagnol:

"Mec, elle est pas si grande que ça ta queue, je suis sur que c’est trop facile de faire une gorge profonde avec!

-Trop pas, essayes si t’es sur de toi, le taquina Enzo sans vraiment trop croire à ce que son interlocuteur exécute le défis."

Mais aussitôt dit aussitôt fait. Charlie vint lécher la bite d’Enzo à ma plus grande surprise. Il insista d’abord sur le gland, puis descendis le long du calibre pour venir lécher les couilles et ainsi de suite pendant quelques minutes. Nous étions désormais tout à fait sec et je sentais une odeur de mecs en rutes qui commençait à embaumer le vestiaire. Enzo attrapa la tête du beau blond pour baiser sa bouche comme un macho, il lui donnait même des petites claques pour le provoquer mais à ma grande surprise, Charlie ne dit rien. Il tenta alors de faire une gorge profonde, sans réussir: il devait trop avoir trop de réflexes vomitifs. Je me penchais alors sans rien dire, et vint branler Enzo avec force pour ensuite prendre sa queue dans ma bouche. Son chibre sentait fort le sexe, et sa manière brutal d’aborder la pipe ne me mettait pas en confiance tandis que j’étais forcé d’aller à son rythme. Je réussis à la prendre entière dans ma bouche tandis que Charlie dit d’un ton malicieux:

"T’aimes ça prendre la bite d’Enzo? Ca te plait hein? Petite pute, va, on va te faire ta fête!

-Ouais t’as raison, il kiff trop! Tu kiff là?! Continues, c’est trop bon merde…. murmurait l’espagnol.

-On va même essayer un truc cool, tu vas prendre nos deux bites dans ta bouche de salope, tu dois aimer faire ça, enchaîna Charlie d’une voix autoritaire."

Les deux mecs vinrent me fourrer leur calibre dans la gorge tandis que je suffoquais, leur priant d’arrêter mais je les avais trop chauffer, désormais ils se déchaînaient sur moi. Enzo se branlait juste au dessus de ma tête, passant son gland sur tout mon visage, Charlie s’amusait à me bifler en se foutant de ma gueule puis je dus reprendre les deux bites et aller le plus loin possible: ils me poussaient la tête avec force en poussant des grognements bestiales. Je pensais que j’allais arriver à les faire jouir rapidement mais tout en m’insultant avec véhémence, Charlie vint se placer derrière moi et commença à me doigter le cul. Je me souvins de la dernière fois que le frère de Louis me l’avait démonté: mon anus n’était pas totalement serré au moins.

Les deux mecs s’entraînaient. C’était le cas de le dire, ils essayaient de reproduire ce qu’ils avaient vu dans les films X tandis que je servais de poupée gonflable. Charlie finit par me rentrer sa queue dans le cul avec un grand coup de rein et je criai de douleur. Mais il continuait, inlassablement, allant de plus en plus vite et me martelant l’anus avec force. Enzo était totalement excité et me baisait la bouche de plus en plus fort, me faisait sentir ses couilles en me traitant de pute et me tenait la tête comme si j’étais dans une camisole. Les deux potes étaient des bourrins, ils aimaient sentir que j’étais totalement soumis et au bout d’un moment Enzo décida même de délaisser ma bouche pour s’occuper à son tour de mon cul: sauf que Charlie refusait de partir. Ils décidèrent de me pénétrer tout les deux violemment. C’était la première fois qu’on enfonçait deux chibres dans mon anus et la sensation était terrible: ils n’avaient pas de lubrifiant, pas de capote et je crus m’évanouir mais je restai éveillé pour crier tandis qu’ils me mettaient leur boxer tout trempé dans la bouche, que je devais lécher comme une chienne. Ils adoraient sentir la sensation de leurs deux bites qui se frottaient entre elles au grès des mouvements de vas et viens qu’ils effectuaient. Plus le temps passaient, plus la douleur s’estompait. Je finis par prendre mon pied malgré une certaine gêne et je commençai à resserrer mon anus sur leur queue pour les faire jouir. Enzo me branlait d’une main habile tandis qu’ils continuaient de me prendre. Quand Charlie se sentit venir, il sortit de mon trou et se branla jusqu’à éjaculer sur les abdos d’Enzo qui aurait pété un câble en temps normal mais qui s’en moquait pour l’heure. Le liquide blanchâtre dégoulinait le long des abdos du jeune homme, vers sa queue qui me pénétrait toujours. Au bout d’un moment, l’espagnol aussi ne put se retenir. Il se dirigea directement vers ma bouche et dès que j’eus pris en bouche le calibre, je reçus une dose de foutre impressionnant. Les deux mecs me forcèrent à tout avaler puis allèrent se reposer sur le banc du vestiaire, leurs sexes débandant progressivement. Le vestiaire puait la sueur et le sperme ce qui finit de m’exciter: je me masturbai devant les deux voyeurs en gémissant puis éjaculai par terre.

Sans rien dire, nous nous rhabillâmes rapidement. Je pense que les deux hétéros qu’ils étaient devaient se questionner désormais. J’avais réussi à leur procurer des plaisirs inconnus jusqu’alors et quelque chose me disait qu’ils allaient bientôt en redemander. Je finis par sortir du vestiaire, un sourire aux lèvres quand je vis mon prof de sport à son bureau qui me fit un signe. Je fronçai les sourcils et m’y rendit avec une certaine crainte. Que me voulait-il donc?… (à suivre)

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