La fin du monde est enfin terminée. Les curieux amateurs de sensationnel sont partis. En un sens, dommage, javais dexcellents rapports avec un deux en particulier. La chaine japonaise NHK lavait envoyé en mission de reportage. Sans moyen de logement il avait trouvé abri chez ma grand mère, à Quillan. Hako plutôt grand pour son origine avait de sérieux atouts. Au départ ses mains attiraient le regard. Puis ses lèvres qui me tentaient.

Un soir nous nous sommes croisés quand je partais. Comme ça, je lui ai souri. Puis, cest lui qui a cherché à me voir longuement. Nous avons diné une fois chez mon aïeule avant de continuer seuls. Je ne regrette pas la suite, sauf son départ.

Au début nous nous sommes embrassés comme des malades. Il avait envie de moi ou de baiser : il bandait au point que je le sentais contre mon ventre. Javais un peu envie, jai eu envie simplement. Jétais très serrée contre son ventre. En remuant labdomen, je le sentais réagir comme je le voulais. Mes fesses étaient sous ses mains : il me massait longuement.

Je me suis avancé en commençant à sortir sa chemise du pantalon. Je nosais pas aller trop loin en me méfiant de son hypothétique pudeur asiatique.

Il devait laisser tout ce quil avait de moralité chez lui quand il a mit sa main sur la chatte. Je sentais quun doigt douchait ma féminité. Ma robe se pliait en dedans selon sa volonté.

Hako devait sentir que jétais mure, quil navait quà me cueillir. Jai pu le faire venir chez moi. La nuit qui arrivait devenait presque courte. Sa queue était plus grosse que ce que je pensais, disons quelle était normale, à peine courbée vers la gauche. Sans me le demander il levait ma robe, la faisait passer sur la tête. Jétais presque nue dessous. Hako nétais guère plus gentleman quun compatriote. Il ma mise nue rapidement.

Il faisait encore frais, javais la chair de poule, même sur les seins. Quand il a embrassé mes tétons je me tendais vers lui : quil me baise vite. Il sattardait sur mes seins.

Je le voulais, je lui prenait la queue dans le main. En le masturbant lentement, je découvrais un gland à peine moins rutilant que ceux que je connaissais.

Il ma tourné le dos contre lui. Ses mains continuaient leurs caresses. Je narrivais que difficilement à lui prendre la pine. Javais envie de lui en moi, je le voulais dans mes gaines, nimporte laquelle.

Il ma fait pencher en avant. Jattendais son attaque vers mon cul. Jétais totalement pliée devant lui, je sentais sa bite entre mes fesses. Il pouvait menculer, jaime. Mes mains touchaient mes pieds. Drôle de position pour une baise.

Il venait enfin, je sentais sa queue venir en moi par devant. Il tenait mes hanches, battais la cadence avec ses couilles. Normalement je prends mon temps pour jouir, là jétais partie presque quand il entrait. Il ma donné deux orgasmes avant quil parte : je le sentais jouir.

Hako ma faite relever: il bandait encore. Il ne me demandait rien, je me suis penché sur lui, jai pris sa queue dans la bouche. Ses mains sont venues sur mon crane. Il ne me guidait pas, il prenait son pied sans un mot. Jai mis un bon moment avant quil jouisse encore. Sa semence nétais pas très importante, bonne au gout.

Je me suis couchée sur mon lit. Javais envie de jouir : je ne suis masturbée sans honte devant lui. Hako devait admirer le spectacle. Il venait lécher ma chatte. Que sa langue était agile sur le clitoris. Il me regardait prendre mon pied, je le regardais me lécher. Pour être plus à laise, je passais mes jambes sur lui. Je le faisais descendre pendant que je jouissais encore.

Le matin se levait, Hako bandait: je me suis donnée encore une dernière fois. Il ma enculée lentement comme à regret. Son sperme sest perdu dans mes boyaux. Je jouissais encore quand il partait vers son pays.

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