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Ecole du sexe – Chapitre 17




Ce matin, le réveil fut très pénible. La nuit avait été dure, non pas à cause de cauchemars ou autres songes de mauvais augure, mais à cause du stress qui empoisonnait nos esprits. Pour ma part, j’avais dormi à peine quatre heures, sans doute moins. Toutefois, je vis que ce réveil difficile était partagé par tous les étudiants de première année ; aucun ne pouvait se vanter de ne pas avoir l’air d’un mort-vivant.

-On se croirait dans le clip de Thriller, plaisantai-je en bâillant.

-C’est pas drôle, chouina-t-elle. Heureusement que l’examen ne dure que trois jours.

Donc encore trois nuits identiques à celle que nous venions de passer, pensais-je tout bas.

Au réfectoire, nous mangions tout ce que nos estomacs pouvaient supporter, c’est-à-dire pas grand chose. Alice avait à peine mangé, aussi la forçai-je à avaler au moins un croissant. Pour ma part, je n’étais pas beaucoup mieux ; je ne l’avais pas terminé, ce croissant. Alors que nous étions sur le point de quitter la table, monsieur Auburn, sur l’estrade tout au-devant de la salle, nous adressa un message.

-Je vois que la nuit a été de bonne qualité, ironisa-t-il. Je m’adresse d’abord aux premières années : n’écoutez pas les étudiants d’années postérieures vous dire que les examinateurs sont sévères. Enfin,  ils le sont si vous les agacez, mais personne cette année n’aura la mauvaise idée, pendant l’épreuve du jeu de rôle, de jouer aux pompiers et d’arroser les examinateurs avec le tuyau du partenaire masculin, sous prétexte que, dans l’histoire, ils sont en feu.

Nous rîmes tous en imaginant la scène en question. Pour ce qui était de nous rassurer, le message du proviseur marcha du feu de dieu.

-Cette fois-ci, je m’adresse à tout le monde. Je vous souhaite de passer ces maudits examens, car je vous rappelle qu’il n’est pas possible de redoubler, dans cette école. Le moindre échec, et nous serons dans l’obligation de vous fermer nos portes à tout jamais. Mais à part ça, il n’y a pas à s’inquiéter. Sur ce, je vous dis haut et fort : merde à tous.

Nous rîmes derechef. La plupart de nos professeurs étaient assis sur la grande table installée derrière le pupitre, je pus ainsi repérer madame Nymphéa dégustant un pain beurré avec des carrés de chocolat insérés à l’intérieur. Monsieur Auburn quitta son estrade pour sa rasseoir à sa place. J’attrapai alors la main d’Alice, et ensemble nous nous rendîmes dans notre dortoir en attendant l’heure fatidique.

Dix heures sonnèrent. Alice et moi nous rendîmes alors dans notre première salle d’examen afin de passer l’épreuve de cunnilingus. Alice, de son côté, passerait l’épreuve de la fellation. Il s’agissait de notre salle de cours de sexe oral habituelle. Nous entrâmes et découvrîmes que deux professeurs nous attendaient : madame Nymphéa et monsieur Teuqoc.

-Entrez, chers étudiants. N’ayez pas peur, nous ne mordons pas, dit notre professeur d’amour sensuel.

Nous pénétrâmes entièrement dans la salle, tremblant de tous nos membres.

-Je vais vous expliquer comment va se dérouler votre épreuve, Bastien, entama alors ma professeur de cunnilingus. Je vais me lever et vous allez ôter la partie inférieure de ma tenue. Ensuite, je m’assiérai sur le bureau juste derrière moi, j’écarterai les jambes, et enfin vous vous occuperez de ma vulve. Sachez que ce n’est pas parce que je n’atteins pas l’orgasme que votre note sera mauvaise. En revanche, si je l’atteins, votre note ne pourra qu’être bonne. Avez-vous des questions ?

Je fis non de la tête. Madame Nymphéa sourit et s’approcha de moi, l’air sûre d’elle.

-Alors allez-y.

Je lui ôtait alors le pantalon qu’elle portait, ainsi que sa culotte. Elle prit alors une chaise et s’assit dessus, écartant suffisamment les jambes afin que je pusse faire ce que j’avais à faire. Je ne perdis pas plus de temps et m’agenouillai devant le sexe de ma professeur. Je la regardai une dernière fois, et lorsqu’elle me donna le feu vert, je démarrai. Ma langue frottant la peau adjacente à son sexe, j’essayai de lui donner un maximum de plaisir. Je me rappelai alors qu’Alice m’avait avoué préférer un cunnilingus quand je mettais l’une de mes mains sur l’une de ses fesses, pour ressentir un peu plus la chaleur de mon corps, pour citer ses mots. Je voulais faire de même, mais j’eus une once d’hésitation : il s’agissait tout de même de ma professeur. Non, pensais-je alors. Nos profs ont été suffisamment clairs avec ça. Aujourd’hui, ils ne sont pas professeurs, ils sont examinateurs. Je passai donc à l’action et glissai une main sous son postérieur. Bien entendu, je jetai un il à son visage afin de savoir si elle appréciait ou non. Un sourire apparaissant succinctement sur son visage m’indiqua que j’avais bien fait. Encouragé par cette image, je décidai de m’appliquer davantage en passant ma langue sur le sexe, désormais humide, de madame Nymphéa. Je tentai des mouvements du haut vers le bas, mais lorsque je vis que cela ne lui procurait pas tant de plaisir que je l’avais imaginé, j’optai pour des mouvements circulaires autour de son clitoris. Là encore, sa réaction ne fut pas excellente. Je commençai à perdre espoir, jusqu’à ce qu’une idée me vînt. J’utilisai sa cyprine pour mouiller deux des doigts de ma main droite avant de les enfoncer lentement dans son intimité, non sans continuer de jouer avec ma langue. Elle me jeta un regard surpris, mais elle ne semblait pas désapprouver. Je poursuivis alors mon exploration avant de trouver ce que je cherchai : son point G. Là, je commençai, à l’aide du bout des doigts, à la stimuler. Bingo ! pensais-je. Elle ne put réprimer un gémissement tandis que je jouais avec ce point plus que sensible. Je persévérai jusqu’à ce que, quelques minutes plus tard, la jouissance arrivât. Je me retins de hurler victoire, bien que l’envie était présente. Madame Nymphéa se remit alors de ses émotions, et aussitôt se leva de sa chaise. Je me relevai et attendis son appréciation.

-Excellent, me félicita-t-elle. Je suis contente que vous ayez réussi à me faire jouir, même si, je dois bien vous l’admettre, j’ai réellement cru que vous ne penseriez pas à quitter le clitoris.

Je ne répondis rien, je me contentai juste de hocher bêtement la tête pendant qu’elle se réjouissait de mes résultats.

-Les choses sont très bonnes aussi de ce côté-là, s’enthousiasma monsieur Teuqoc en ôtant son pénis de la bouche d’Alice. Je compris alors que, elle-aussi, avait réussi à faire jouir l’examinateur.

Alice se releva à son tour, et après avoir été félicités derechef, nous quittâmes la salle d’examen pour prendre une heure de pause.

L’heure s’écoula rapidement. Nous avions évidemment interdiction de communiquer aux autres premières années l’astuce quant à madame Nymphéa. Des surveillants venant d’autres écoles (normales, celles-ci) avaient d’ailleurs été appelés en renfort  afin qu’aucune tricherie ne fût à déplorer. Alice et moi parlâmes tout de même de notre excitation acquise lors de notre réussite pour cette première épreuve. Il aurait été dommage de la rater, surtout que cela aurait grandement entaché notre enthousiasme et notre optimisme. L’heure s’écoula rapidement, si bien qu’Alice et moi-même dûmes nous rendre dans une nouvelle salle d’examen pour passer l’épreuve de jeu de rôle.

Arrivés en salle d’examen, notre examinateur nous attendait. Il s’agissait d’un homme, totalement inconnu -sans doute venait-il d’une autre école-, au visage fort sympathique.

-Je vous attendais, dit-il en nous souriant. Je vous souhaite donc la bienvenue pour votre épreuve de jeu de rôle. Je ne vais pas bavarder plus longtemps, à moins que vous n’ayez une question.

Nous n’en avions aucune, aussi notre examinateur s’assit-il sur une chaise placée derrière lui, entre deux rangées de tables. Alice et moi nous avançâmes alors afin que l’examinateur pût nous voir correctement. Nous avions évidemment déjà imaginé un scénario. Afin de le rendre plus réaliste, Alice quitta la pièce et attendit à l’extérieur. De mon côté, j’allais chercher, dans une des caisses remplies d’équipements, une blouse de docteur que j’enfilai, un stéthoscope que je plaçai autour de mon cou, un thermomètre que je rangeai dans la poche de la blouse et un petit accessoire que j’aurai le plaisir d’utiliser prochainement. À ce moment, le simple fait de sentir un vêtement sur ma peau me donna des frissons : cela faisait longtemps que nous étions constamment nus.

-Vous allez jouer le docteur, si j’ai bien compris, dit l’examinateur.

-C’est exactement ça, répondis-je en tremblant légèrement. D’ailleurs, nous sommes prêts à commencer.

L’examinateur me fit signe qu’il nous écoutait. Je me dirigeai alors vers la porte et l’ouvris. Alice m’attendait derrière, et une fois qu’elle m’aperçut elle entra dans la salle d’examen.

-Bonjour docteur, dit-elle comme si elle se rendait réellement en consultation.

-Bonjour madame, répondis-je en lui tendant une main qu’elle serra. C’est pour un examen médical, c’est bien ça ?

-Tout à fait.

-Alors je vous laisse vous asseoir sur cette table, vous allez me raconter tout ça.

Alice s’installa alors sur la table posée juste devant elle, en position assise, les jambes croisées.

-Je vais commencer par un examen bénin.

Elle hocha la tête, le sourire aux lèvres : ce petit jeu semblait vraiment l’exciter.

-Je vais vérifier vos poumons, commençai-je. Je vais vous demander de respirer par la bouche.

Je pris alors mon stéthoscope qui pendait à mon cou et le posai sur le cur d’Alice. Elle frissonna au contact glacé de l’instrument. Petit à petit, tandis que j’écoutais les battements de son cur, je remontai vers ses seins. Elle se mordit les lèvres lorsque je fus à quelques centimètres de ses tétons. Lors de l’inspiration suivante, je plaçai le stéthoscope sur son téton et le faisait tourner légèrement sur lui-même. La respiration d’Alice se fit alors irrégulière, sans doute les légers gémissements qu’elle poussait y étaient pour quelque chose.

-Oh, votre respiration est étrange à cet endroit. Presque saccadée. J’y reviendrai tout à l’heure. Pour le moment, je vais examiner vos oreilles.

Je lui demandai alors de se tourner de quatre-vingt-dix degrés afin que son oreille fût en face de moi. Là, j’y approchai ma bouche et lui léchai lentement l’oreille avant de mordiller délicatement son lobe. Alice, derechef, se mordit la lèvre. Je pris alors un plaisir immense à faire durer ce petit moment. Enfin, je décidai de passer à la suite.

-Je vais maintenant examiner votre gorge. Reprenez votre position initiale, ouvrez la bouche et faites « Ah ».

Alice obéit et se tourna face à moi. Elle ouvrit la bouche et me laissa voir le fond de sa gorge. Pendant un court moment, j’avais l’impression de vraiment être médecin, c’était génial.

-Je ne vois pas très bien, je vais avoir besoin de ma lampe spéciale.

Alice me lança alors un regard interrogateur. Ce léger détail n’était pas prévu, mais il fallait parfois savoir ajouter quelques éléments. Je montai alors sur la table et présentai mon pénis, en pleine érection par l’excitation apportée par notre petit jeu, devant sa bouche entrouverte.

-Il faut que je rentre ça dans votre gorge jusqu’au bout. Je sais, ça peut paraître impressionnant, c’est un peu long.

-Oh, j’ai déjà vu pire, me taquina-t-elle du regard.

J’entendis alors l’examinateur rire légèrement à cette remarque. Je devais avouer qu’un sourire s’était également dessiné sur mon visage. L’esprit ailleurs, je me réveillai lorsqu’Alice fit pénétrer mon membre dans sa bouche jusqu’à ce que ses lèvres touchassent mon pubis. Là, je fis quelques légers mouvements de bassin afin d’augmenter légèrement le plaisir.

-Mais que vois-je, dis-je ne mimant un air affolé. Je n’ai jamais vu une gorge aussi rouge.

Elle ôta alors mon membre de sa gorge en nettoyant un filet de salive qui s’était accroché à mon gland avant de reprendre son souffle. De mon côté, je descendis de la table en faisant attention à ne pas me fracasser le crâne dans la précipitation : une chute était si vite arrivée.

-Oui, c’est la raison pour laquelle je suis venue vous voir. Ma gorge me brûle, c’est atroce. J’aimerais que vous me fassiez une ordonnance pour un sirop efficace.

-Vous tomber bien, j’ai exactement ce qu’il vous faut. En attendant, je vais tout de même prendre votre température.

Je sortis alors le thermomètre de ma poche et demandai à Alice de s’allonger sur la table, les fesses à l’extrémité de celle-ci. Elle obéit, et aussitôt je présentai le thermomètre à l’entrée de son anus. Je n’eus à forcer qu’un petit peu pour que l’instrument la pénétrât. Je l’avais évidemment enfoncé plus que nécessaire afin de faire profiter ma dulcinée.

-Nous n’avons plus qu’à attendre le résultat. En attendant, je vais préparer votre sirop.

Je posai alors mes mains sur ses hanches et présentai mon pénis à l’entrée de son vagin. Alice semblait avoir attendu ce moment depuis le début et poussa un cri suraigu lorsque je fus en elle. J’entamai de légers mouvements de va-et-vient dans son vagin. Comme je le lui avait demandé lorsque nous avions préparé le scénario, elle poussa des cris exagérément forts.

-Oh, je crois comprendre d’où proviennent ces irritations, dis-je alors. Vous devriez crier moins fort lors de vos ébats. Tenez, ce petit instrument devrait vous aider.

Je sortis alors l’instrument surprise de la poche de ma blouse blanche de médecin : un bâillon. Alice me lança un regard surpris mais se laissa faire lorsque je lui obstruai la bouche avec cet accessoire. Ainsi, les hurlements d’Alice cessèrent. Je lui fis alors l’amour pendant quelques secondes supplémentaires.

-Le sirop est prêt, je vais vous demander de descendre et de vous mettre à genoux.

Je me retirai du vagin de ma partenaire, et aussitôt elle descendit de la table, se mit à genoux devant moi et ôta le bâillon qu’elle jeta au sol. Je fis alors pénétrer mon gland dans sa bouche et lâcha le sirop. Grâce au cunnilingus fait à madame Nymphéa quelques heures auparavant, cinq giclées pansèrent les irritations imaginaires d’Alice. Cette dernière reçut toute ma semence et l’avala dans un bruit, encore une fois, amplifié par ses soins. Alice se mordit à nouveau les lèvres tandis que je lui demandai de se retourner afin que je pusse ôter le thermomètre de son rectum.

-Non, vous n’aviez pas de fièvre, dis-je ne prenant un air rassuré. Je vous conseille donc d’utiliser ce bâillon médical aussi souvent que possible.

-Ce n’était que ça ? Oh, merci docteur, je sens que ma gorge va déjà mieux.

-Il n’y a pas de soucis. Et surtout, n’hésitez pas à revenir si vous avez un autre problème, ce sera avec grand plaisir que je vous guérirai.

-Je n’en doute pas, dit-elle en me faisant un clin d’il.

Nous regardâmes alors l’examinateur afin de lui faire comprendre que nous avions terminé. Ce dernier se leva, le visage souriant. Apparemment, notre prestation lui avait plu.

-Pas mal, jeunes gens. Le scénario n’est pas très original, on voit d’ailleurs que son auteur l’a écrit dans la précipitation, mais vous semblez avoir pris beaucoup de plaisir, et c’est ce qui compte. C’est pourquoi votre note sera bonne, nous dit-il en nous montrant la porte avec sa main. Sur ce, vous pouvez disposer, à moins que vous n’ayez une autre question.

Nous n’en avions aucune, aussi quittâmes-nous cette salle, heureux de notre prestation.

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