Dans le midi, errement
J’aime les hommes, je suis bandante comme me le répète souvent mon mari, j’aime m’exhiber.
Nous sommes en vacances dans le sud de la France dans un superbe hôtel ; il est 18 heures 30, je me prépare pour le dîner. Je sors de la douche, je suis entourée d’une serviette et j’aperçois au balcon d’en face un jeune homme accoudé qui discrètement m’observe. Je vais m’arranger pour m’exhiber discrètement ; je choisis deux ou trois toilettes et de la lingerie que je sors de la commode, que j’étale sur le lit. Je prends mon nécessaire de pédicure et je m’assieds sur le coin du lit, bien exposée. M’occupant de mes pieds, ma serviette tombe et je suis nue face à mon spectateur. Il doit avoir une vue imprenable sur mon anatomie ainsi innocemment exposée. Je sens que je mouille, je change de pied, je m’expose littéralement à lui. Les soins finis, j’essaye les tenues préparées en prenant tout mon temps : un slip, un top sans soutien et puis zut, j’opte pour un autre shorty ; je suis à nouveau nue, penchée pour exposer ma poitrine, légèrement courbée, puis ça ne va pas, j’essaye encore un string en me penchant pour le prendre sur le lit, pour qu’il voit bien les jambes légèrement écartées en même temps que mes deux trous. Il doit bander ferme et surtout, il doit retenir l’angle de vue pour plus tard.
Nous allons souper et c’est vers 23 heures que nous regagnons notre chambre avec mon mari que j’ai échauffé toute la soirée et qui est rempli d’idées coquines.
J’entre la première, mon époux va faire pipi et, déambulant dans la chambre, je constate que mon voyeur est au poste sans m’avoir vue.
Je vais lui donner un spectacle dont il se souviendra.
J’allume la lumière et me laisse choir sur le lit face à la fenêtre, les jambes écartées.
Mon mari, surgissant de la salle de bains, me rejoint sur le lit, je l’embrasse langoureusement en le déshabillant petit à petit. Les boutons de la chemise et, plus de chemise ; puis j’ouvre son pantalon qui disparaît à son tour et le voilà en slip, une bosse flatteuse pointant vers le plafond. Je le prends en bouche au travers du slip en envoyant des bouffées d’air chaud, ce qu’il adore. De son côté, il ne reste pas inactif, il me trousse ma robe et me voilà en string à genoux sur le lit. Je suis bien, excitée par mon mari, me sachant observée par un jeune mec de 17 ans qui doit nourrir ses fantasmes avec le spectacle que je commence à lui donner.
J’ôte ma robe et c’est les seins nus et en string que je me livre à mon voyeur. Je prends la verge de mon tendre et cher en main : massage, petits bisous sur le bout du gland, elle est tendue à mort, j’aime les érections que je provoque, je la suce à fond, il aime.
Il me tripote ouvertement, une main dans mon slip, je mouille abondamment, il me chipote, ce que j’adore. Il fait descendre mon string à mi-cuisses, il me bascule sur le lit et il me lèche le sexe en insistant sur mon clitoris sorti de sa gaine, il me lape en direct ; j’imagine notre voisin de balcon, une main dans son slip, s’astiquant à mort. Je hurle mon plaisir, j’en veux plus, j’attire mon mari pour un baiser mouillé, je prends sa verge que je fais entrer dans mon intimité, je le sens s’enfoncer, je sens mes chairs s’écarter, je me sens remplie par cette tige qui commence à se déplacer, me stimulant au plus profond de mon intimité.
J’ai envie de changer de position, j’aime être prise en levrette, je m’installe au bord du lit, bien dans l’angle du balcon pour être bien vue sous tous les angles, et mon mari, debout, prend place derrière moi ; j’aime, car je me sens prise en profondeur, et les coups de boutoir me poussent vite à un orgasme des plus bruyants qui provoque l’éjaculation puissante de ma moitié.
Je suis sûre que le voisin a dû aussi éjaculer par procuration.
Le lendemain matin, je bronze à la piscine et j’aperçois mon voyeur en face qui m’épie. Il est mignon, mon mari est en mer pour la journée, j’ai envie de le provoquer ; derrière mes lunettes de soleil, je le vois et je m’arrange pour exposer au mieux mes charmes. Je le vois quitter son transat et regagner sa chambre ; j’en profite pour lui emboîter le pas et me retrouver dans l’ascenseur en même temps que lui, et là, la porte fermée, je laisse tomber le contenu de mon sac à terre. On se penche en même temps pour ramasser le tout et là, nos visages se rapprochent. Je lui dis merci et veux lui faire une bise, quand il m’embrasse sur la bouche. Je lui dis, hypocritement, être mariée et fidèle, il ne me lâche pas, il se colle à moi, je sens son émoi, je fonds et le lui dis ; il faut faire vite, très vite. Je l’entraîne dans ma chambre, il est fougueux, il me jette sur le lit, il me met nue, il descend son maillot et il me prend comme un fou, je suis folle, j’aime cette précipitation, je le sens dur en moi, j’aime être limée violemment de la sorte, il ne va pas tenir la cadence, il va exploser, je le sens à la dureté accrue de sa tige, il explose en moi en jets soutenus, ce qui déclenche en moi un plaisir fou. Je lui dis qu’on a fait des bêtises, il n’écoute pas, il me veut encore, me dit-il. On se reverra trois fois, chaque fois avec une intensité peu descriptible.
Ouahhh les vacances !