Le retour de Benjamin
-Putain c’est pas vrai, tu l’a tué ou quoi ?
La voix de Béa parvient à Huguette comme déformé, lointaine.
-Je ne crois pas qu’on puisse tuer quelqu’un de cette manière…mais c’est vrai qu’elle a reçue, répond Chloé avec un petit rire.
Huguette de Langlois ouvre un oeil, tout d’abord elle ne perçoit qu’un flou lumineux.
Elle ouvre le deuxième et sa vision s’affine.
Elle embrasse la pièce du regard :
Sa fille Béa qui est penché sur elle, avec un air inquiet.
Chloé , derrière sa soeur, qui est plus amusé qu’autre chose.
Benjamin qui approche, tenant un gros sac de sport qu’il dépose près de la porte.
Tout trois sont habillés, ce qui fait prendre conscience à Huguette que elle, est toujours nue.
Elle est encore installé sur le fauteuil, mais ses liens ont disparus.
Son regard ère sur son corps, sa poitrine opulente est brillante de salive, de sperme.
Ses tétons sont encore érigés et lui font mal.
Elle a froid aux fesses et contemple l’assise du fauteuil détrempé par sa mouille.
Elle se surprend à penser " merde, il est foutu!"
Même le parquet, trois fois centenaire, porte les traces de sa jouissance !
Elle considère ses filles et son gendre qui semble attendre quelque chose….quelque chose mais quoi ?
Huguette de Langlois est muette.
Elle ne sait tout simplement pas quoi faire, quoi dire.
Faut-il les remercier, leurs avouer que jamais, Ô grand jamais elle n’a connu semblable jouissance ?
Faut-il leurs reprocher d’avoir agis ainsi, avec leur propre mère ?
Benjamin pose un chale sur ces épaules, elle le remercie machinalement d’un sourire, le comble.
Fixant ses filles, elle ne murmure qu’un mot, tout bas :
-Pourquoi ?
C’est Béa qui lui répond :
-Parce que tu es une salope, une enculée de putain de salope de merde !
Les derniers mots, Béa les a hurlés, en rage.
Huguette est choqué mais ne répond pas.
La mère et la fille s’affronte du regard…Huguette rompt le contact immédiatement, elle sait, elle a compris !
Benjamin se décide à intervenir, le clash entre la mère et la fille ne servira ni l’une, ni l’autre.
-Tout ceci était fort plaisant, belle maman, mais nous devons partir maintenant.
Le ton aimable de Benjamin surprend Huguette, autant que le "nous".
-Comment ça "nous devons partir", qui c’est ce nous ?
C’est Chloé qui répond, elle n’a plus son air amusé :
-Nous, c’est nous trois maman, tes deux filles et ton gendre.
Béa revient avec un petit paquet qu’elle pose sur la table.
-On te laisse un souvenir, maman, n’oublie pas, tu les regardes dans l’ordre surtout !
Béa se dirige vers la porte avec juste un regard dédaigneux vers sa
mère.
Chloé, elle, hésite un peu puis va poser un doux baisé sur le front maternelle, en lui murmurant un "désolé maman" à l’oreille, avant d’emboiter le pas à sa soeur.
Ne reste que Benjamin dans la pièce.
Il a attendu ce moment plus de quatre ans, pourtant arrivé à la conclusion, il se surprend à être désolé pour sa belle mère.
Leurs regard se croisent, il n’y a plus d’affrontement, la guerre est terminé !
Les yeux d’Huguette sont pleins de larmes, ceux de Benjamin sont tristes.
Il s’arrête un instant pour poser une main sur son épaule, hésite à parler et…ne dis rien.
Il charge le sac sur son épaule et sur le pas de la porte, sans se retourner lui lance :
-Adieu Huguette.
C’est la première fois qu’il l’appelle Huguette.
*********************
cassette 1
*********************
Huguette de Langlois reste prostré sur son fauteuil.
Les crises de larmes se succède, entrecoupé de phase de profond abattement.
Elle ne sait pas depuis combien de temps elle est sur ce fauteuil, mais soudain il lui fait horreur.
Elle se lève, en titubant, se dirige vers sa salle de bains et remplis la baignoire.
L’eau brulante lui fait du bien…"en plus ça va nettoyer toute ces souillures!"
Cette pensée fait resurgir l’image de Chloé fouillant son sexe.
Huguette se mord la lèvre au sang pour étouffer le feu qui reprend en elle.
Son ventre l’appelle, les pointes de ses seins deviennent douloureuse à force d’être négligé.
Avec un hurlement de rage, Huguette reprend le dessus !
Elle frappe l’eau du plat de ses mains, elle bat des jambes en tout sens.
C’est une inondation dans sa salle de bain, mais qu’importe !
L’eau est froide à present.
Elle enfile un peignoir, sans rien dessous, et se dirige vers le salon.
Le spectacle qui s’offre à elle ,la ramène aux évènements de l’après-midi, elle en frissonne.
Elle rafle le paquet sur la table.
Il contient deux antiques cassettes vhs, numéroté 1 et 2.
Elle entre la première cassette dans l’appareil, s’installe en tailleur dans le canapé en face de l’écran géant, et appuie sur "lecture".
L’écran vacille, puis l’image se précise.
Le salon, une image fixe.
Elle se voit, debout ,devant Benjamin et Béa.
Benjamin est assis sur le canapé, Béa est affalé sur lui.
Sa fille se frotte à l’homme, en lui murmurant des mots d’amour : -"pardon, je t’aime, il n’y a jamais eu que toi…"
Béa couvre Benjamin de baisers, elle embrasse n’importe comment, n’importe quoi, elle salive beaucoup, elle gémit.
Ses mains parcourent son corps, palpe, caresse, masse l’entrejambe de son amour.
Benjamin n’est pas en reste.
Il essait de capter la bouche de Béa, n’y arrive pas, léche plutôt qu’il embrasse.
Ses mains ne sont inactives, il empoigne ses fesses, les masses, une de ses mains remonte sous le pull et empoigne un sein, Béa gémit sous l’attaque.
Soudain Benjamin hurle :
-Stop stop, s’il te plait pas comme ça !
Béa se fige, les deux mains dans la braguette de Benjamin.
Elle comprend,se dégage sur le coté, défait la ceinture de Benjamin et mets au jour son trésor.
Benjamin bande comme un perdu, la frénésie de Béa l’a presque conduit à l’explosion.
Béa contemple le membre dressé et luisant, sans quitter le regard de Benjamin, elle l’embouche.
Elle tête le gland, malaxe les testicules avec une main.
Ressort pour ne poser que la pointe de sa langue sur le petit triangle, si sensible, sous le gland.
Elle tourne sa main sur les bourses, maintenant elle griffe légèrement avec ses ongles.
Benjamin a un sanglot, il est dans un autre monde, celui du plaisir pur.
Béa comprend que la conclusion n’est pas loin.
Elle serre doucement les testicules dans ses mains, et plonge sur sa queue, le plus loin possible.
Elle arrive en butée, les larmes aux yeux, elle insiste.
Réprimant un haut le coeur, elle parvient enfin à l’avaler.
Le nez dans les poils pubien de son amour.
La jouissance de Benjamin est immédiate.
Il pose les deux mains sur la tête de Béa et propulse sa semence directement dans sa gorge avec un hurlement.
Les giclées de sperme se succède, Béa manque d’air et commence à rougir mais ne fais rien pour se dégager.
Benjamin crie encore et jouis toujours.
Hors d’haleine, le coeur battant à cent à l’heure, il relache enfin la tête de Béa.
Celle-ci reste pourtant en place, accompagnant les derniers spasmes de son mari.
Elle se recule enfin et prend une grande respiration.
Des filets de bave relie ses lèvres à la queue de Benjamin.
Elle aspire tout ,en redescendant sur la bite qui est encore dur.
Elle embouche le sexe pour le nettoyer, avant de s’installer en chien de fusil sur le canapé.
Sa tête repose sur les cuisses de Benjamin, elle titille ses bourses à petit coup de langue avec un grand sourire.
Huguette jouit pour la troisième fois en s’astiquant le bouton comme une folle.
Le canapé est trempé.
-"Il va peut-être pas falloir changer que le fauteuil, se dit-elle !"
Si elle a jouit comme une malade, la Huguette du film, elle, n’a pas bougé un cil.
A l’écran "sa Chloé" entre dans le champs de la caméra.
-Wahouu, vous faites pas semblant vous deux, lance t’elle au couple alanguis.
— Tu étais resté ? répond Béa toute génée.
-Bah avec tout ce qui vient de se passer c’est anecdotique tu ne crois pas ?
Chloé n’attend pas de réponse et tourne autour de sa mère toujours immobile face au canapé.
-Tu cherche quelque chose peut-être ? demande sa soeur.
-Oui, vengeance !
-Comment ça vengeance…mais de quoi tu parles ? lance Benjamin.
-Faut marquer le coup quoi, elle peut pas s’en tirer comme ça ! s’obstine la petite.
-Et tu pense à quoi ? demande Benjamin
-Tu ne pourra rien lui faire faire !
-Oui j’ai bien compris tes explications tout à l’heure….mais j’ai peut-être eu une idée quand vous vous vautriez dans le stupre et la débauche !
Sous le regard amusé des amoureux, la petite Chloé se plante en face de sa mère et commence à lui parler à l’oreille.
Sa mère lui répond de la même façon, un dialogue semble s’installer.
Quelques secondes plus tard, Huguette commence à se déshabiller.
Benjamin est stupéfait.
-Mais qu’est-ce que tu as bien pu lui raconté ? s’étonne t’il.
-Rien, rien, des trucs de fille…plus un mot maintenant, laissez moi
faire.
Huguette plie ses vêtements et dévoile son corps plantureux.
Ses filles ne se souviennent pas de l’avoir vu nu.
C’est pour elles aussi une découverte que ce corps sensuel, avec une poitrine lourde et laiteuse, ces aréoles large et les tétons qui pointe naturellement.
Huguette de Langlois est une très belle femme, pour ces 59 ans.
Même Benjamin à la gorge sèche.
Huguette est nu maintenant, elle reprend place face au canapé.
Chloé n’est pas longue à revenir à la charge.
Elle murmure à son oreille, s’interrompt, semble attendre une réponse puis reprend son babillage.
Et puis Chloé se recule un peu, et fixant sa mère lui demande :
-Tu es sur ?
Signe de tête de sa mère.
-Tu es vraiment sur ? demande encore Chloé.
Cette fois c’est à voix haute qu’Huguette répond :
-Oui !
-Alors vas-y, approuve Chloé avec un grand sourire.
Huguette fait le tour de la table basse et se dirige vers Benjamin.
Arrivé au canapé, elle se penche sur lui et…gobe son gland !
Benjamin est tétanisé.
Béa qui s’est relevé quand sa mère s’est approché, pousse un cri de surprise.
-Bordel Chloé qu’est-ce que t’a fais ? s’écrit-elle furieuse.
-Ca va chérie, ça va, tempère Benjamin.
-Je te promet de t’aimer pendant les 67 prochaines années, même si tu n’arrive jamais à me sucer comme ta mère….Hooooo putainnn !
Béa est douché, elle hésite sur la conduite à tenir et puis se détend.
Après tout si sa salope de mère à une dette, c’est bien envers Benjamin, se dit-elle.
-Suce salope, suce ! lance t’elle à l’adresse de sa mère.
Ses mots pervers la font frissoner.
Chloé qui s’est approché demande :
-Alors Ben, c’est comment , raconte !
Benjamin de plus en plus rouge, souffle :
-C’est incroyable; elle me prend toute la queue, ce qui est déjà très bien !
— Mais en plus, elle déglutis, ce qui me serre le gland à chaque fois que je passe dans sa gorge…haaaa c’est un truc de ouf !
-Ouais, je vais chercher des serviettes maintenant ou on attend qu’elle ai gerbé ? demande Béa un peu jalouse.
-Vas pas gacher ce beau moment Béa, laisse Ben en profiter !
Mais Béa ne l’entend pas de cette oreille.
S’approchant, elle saisit la tête de sa mère à deux mains, et commence à rythmer la féllation.
Huguette a du mal à suivre, les bruits de gorge sont immonde, elle bave de plus en plus et tout coule sur les couilles de Benjamin.
Quand Béa perçoit la jouissance de Ben, elle bloque la tête de sa mère sur le gland et lui dit :
-Prend bien toute la semence de mon homme dans ta bouche, mais interdiction d’avaler.
-Tu garde tout !
Benjamin contracte tous ses muscles, il projette son bassin en avant, et se vide dans un grand cri avant de retomber, inerte sur le canapé.
Huguette a suivi le mouvement, elle garde la bouche bien fermé et on devine au gonflement de ses joues que Benjamin a encore mis la dose.
Béa prend un chale pour nettoyer Benjamin de toute la salive de sa mère.
Huguette mets la cassette en pause et cherche le chale que lui a donné Benjamin.
Elle le trouve, roulé en boule dans sa chambre et retourne avec au salon.
Elle le renifle et fixe l’écran :
-Bande de saligaud ! siffle t’elle.
Huguette redémarre la cassette.
Elle trouve un coin du chale particulièrement poisseux, se mets à le lécher en se torturant le clito, presque à vif maintenant.
Depuis le début de la cassette, elle a jouit cinq fois.