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L'étudiante sodomisée. – Chapitre 2




Le lendemain, je fis donc connaissance avec l’université de Droit.

Je m’étais d’abord promis d’en faire mon terrain de chasse mais, à la réflexion, je me dis que c’était assez risqué. Si les mecs ne savent pas tenir leur bite, ils ne savent pas non plus tenir leur langue et je ne voulais pas me faire une réputation de salope. Si des plans se présentaient, j’aviserais mais en étant très sélective. En toute occasion, je voulais rester maîtresse du jeu. D’ailleurs, d’après ce que je pus en juger, on était au royaume de la contre-allée. Ça pullulait de gays dans le coin !

J’avais du mal à me concentrer. L’appel de la chatte était trop fort ! Je ne désirais qu’une chose, retrouver mon cousin et me faire mettre, mettre et remettre encore. Ah, il ne faudrait pas que je m’y habitue pourtant. Il n’était pas dans mes plans de m’attacher à un garçon. Pour les sentiments, on verrait plus tard. Je voulais du cul, duc cul, du cul, du bon cul, du vrai cul, comme celui que j’avais testé la veille et qui avait un fameux goût de reviens-y !

Toute la nuit, mon vagin m’avait fait sentir le coût du dépucelage. Ce n’était pas franchement de la douleur, mais plus un tiraillement. Je portai plusieurs fois ma main à l’orifice comme s’il me fallait constater une fois de plus que je n’étais plus vierge.

Et là, dans cette foule d’étudiants plus ou moins attentifs, je ne pouvais détourner ma pensée du sexe. Je repensais à mon cousin, je regardais les garçons, en contrebas. Polos, t-shirts, chemises même me laissaient deviner des dos musclés, des biceps forts, des nuques puissantes, du moins pour ceux que je fixais, car dès qu’un mec était trop maigrelet, je passais à plus costaud. Il me semblait que la force musculaire était gage de virilité. Je devais très bientôt apprendre qu’on peut être maigre au dernier point et monté comme un âne.

J’aurais bien voulu me passer la main dans la culotte mais c’était impossible, d’ailleurs, tellement excitée, je parvins à me mouiller sans faire un geste.

Au cours des pauses et lors du repas au RU, je rencontrai bien sûr quelques filles un peu timides comme moi dont je pouvais peut-être me faire des amies, mais pas de mâle. Il fallait pourtant que je baise, et les heures seraient longues encore avant de retrouver mon cousin que je trouvais si insignifiant autrefois et si attirant aujourd’hui.

Je n’attendais qu’une chose finalement, rentrer à l’appart et me faire saillir toute la soirée.

J’arrivai bien avant lui et me préparai. Je restai juste en robe, sans culotte, et en chemisier, sans soutif.

Avant de retirer ma culotte je me caressais dedans pour la mouiller le plus possible.

J’étais dans la cuisine. J’entendis enfin la clef tourner dans la serrure et je massis immédiatement au bord du plan de travail, les jambes écartées pour qu’il vienne s’insérer immédiatement entre les deux.

Léon entra dans la cuisine. Nous échangeâmes un bref bonjour et il attaqua aussitôt

— Tu sais Anna, pour hier soir…

— Des regrets ?

— Oui et non, tu es quand même ma cousine, dit-il en rougissant jusqu’aux oreilles.

— Et alors ? Dis-je en déboutonnant mon chemisier et en exhibant mes nichons… ça a de l’importance ?

— Putain, ça c’est déloyal ! Comment je résiste à ça moi ? Répliqua-t-il en portant immédiatement sa main à son ceinturon qu’il défit fébrilement.

Puis il libéra sa belle queue, se débarrassa de son futal et de son boxer et vint m’aspirer les tétons.

Je saisis ma culotte et la lui glissai sous le nez.

Il respira de toute sa force plusieurs fois.

— C’est bon, c’est bon, c’est super-bon…

Il glissa sa main entre mes cuisses. Je refermai mes jambes autour de son dos et me laissai aller à sa faim de sexe.

Il me mangeait les tétons, sniffait la culotte, la léchait, balbutiait quelques mots et se secouait la tête comme dans un moment d’ivresse.

Au bout d’un assez long moment, il se décida à s’agenouiller, broute-minou ! Jugeant vite la position inconfortable, il m’amena à lui et m’allongea sur la table pour mieux me manger l’abricot. Le cul au bord du plateau en formica, je me livrai à ses caresses linguales en chavirant de plaisir.

Puis il me releva un peu le bassin et me chatouilla la rondelle du bout de la langue.

— Oui, oh oui vas-y, oui vas-y, bouffe-moi le cul, bouffe-moi tout…

Ces douceurs sur mes deux orifices me firent perdre la tête. J’avais bien sûr entendu parler de la sodomie mais aucune de mes amies ne m’en avait vraiment parlé… à fond. Les coups de langue dans la raie de mes fesses évoquaient celles qui m’avaient chauffé le con avant la pénétration et je me promettais, dans la sodomie, un plaisir identique à l’introduction vaginale par comparaison. J’avais envie de me faire déchirer le cul !

— Encule-moi, encule-moi !

— Il s’arrêta.

— Ben, euh…

— Quoi ?

— Ben, forcément, j’ai jamais fait non plus…

— Moi non plus, of course, c’est comme hier soir, on découvre… ça peut être sympa.

— Grave, mais, il faut pas un minimum de préparation…

— Ah ?

— Tu ne sais vraiment rien au sexe hein ? Il faudra laver et peut-être lubrifier, suggéra-t-il.

— Avec quoi ?

— J’ai rien. Il faudrait de la vaseline ou du gel. Je n’en ai malheureusement pas.

— Beurre ? Huile ? Proposai-je.

— Ah non ! Dégueulasse.

— On trouve ça où le gel ?

— Pharmacie, voire rayons de grandes surfaces, et le sex-shop.

— Sex-shop ?

— Forcément.

Sex-shop, l’idée me tentait. Je m’imaginais mal aller dans une pharmacie ou me retrouver à la caisse du market du coin avec un tube de gel devant le reste de la clientèle. Léon n’était pas plus chaud que moi. Mais ces magasins du sexe, le rêve. Un eldorado…

— Tu sais où il y a un sex-shop ?

— Oui, à côté de la gare.

— Tu es déjà allé ?

— T’es folle ! J’ai un pote qui habite juste en face. Côté discrétion…

— On y va ?

— Euh, si je croise mon pote, la honte…

— Il est coincé ou quoi ton pote ? Il a pas de bite ? Bon j’y vais seule…

— Pas maintenant.

— Pourquoi ?

— On finit d’abord ? Et à la nuit tombée ce sera plus discret.

— OK, mais alors tu viens avec moi. Et tu seras open pour me rebaiser ce soir ?

-. On verra bien, aller amène-moi mon quatre heures. J’ai faim…

Je me rendis à ses raisons, descendis de la table, tournai le dos à mon amant-cousin, pour qu’il me prenne debout par-derrière.

Il trouva la raie d’un coup et s’enfonça brutalement, m’arrachant un cri. Puis il me déboîta en se cramponnant parfois à mes hanches ou en m’attrapant les seins. Il m’attira en arrière pour que je me plie carrément en deux. Il me tirait puis, de temps à autre se dégageait pour me remanger la moule qui dégoulinait.

— J’ai envie de te sucer !

— Attends encore un peu, moi j’ai envie de te troncher. C’est tellement bon. Tu la sens bien ma bite là ?

— Oui, vas-y, plus lentement, que je la sente bien coulisser tout entière, oui, pousse jusqu’aux couilles…

— Tes seins, putain, tes seins, ils sont lourds, gros, doux. C’est trop bon. J’ai encore envie de jouir entre tes seins, j’suis accro à tes seins. Bordel, tes seins, tes seins, tes seins…

— Oh oui, oui, viens, arrose-moi…

— Attends, attends, je suis pas prêt…

— Viens d’abord dans ma bouche.

Il approcha sa queue et je lui broutai les couilles.

— Dommage qu’elles ne soient pas lisses.

Il enfonça son sexe jusqu’à la luette et il me bourra avec énergie comme si cela avait été ma chatte. Je me masturbai pendant que je le pompai et je connus encore le plaisir. L’orgasme déferla. Il me sembla qu’il était encore plus fort que la veille.

Enfin il se retira, juste à temps pour que je puisse me mettre en adoration devant sa verge turgescente. J’aurais voulu qu’il ne la branlât pas pour pouvoir la contempler à loisir, mais il la tenait fermement et l’agitait vigoureusement pour se libérer. Comme il penchait la tête en arrière en râlant, le sperme jaillit et se déversa sur mes seins en quelques jets puissants mais, à ce qu’il me parut, moins abondant tout de même que la veille. Je me demandai alors quelle quantité normale de jute pouvait sortir d’une paire de couilles. Je n’en avais pas la moindre idée. II faudrait que je me renseigne mais, de toute façon, je sus que je trouverais toujours cela insuffisant.

Il s’essuya le gland sur mes lèvres, me barbouillant le menton au passage, puis il fila vers la salle de bain.

Pendant ce temps, je passai mes doigts dans le sperme pour m’en enduire la raie, puis je les suçai et recommençai jusqu’à ce qu’il me parût qu’il n’y en avait plus.

Léon ne revint pas. Il entra dans sa chambre. J’entrai sans frapper.

Il s’était rhabillé et mis à son bureau où il travaillait. Je me collai à lui.

— Dis donc mon gentil cousin, on y va ce soir ?

— Ecoute, j’t’ai dit, mon pote. Et je bosse là. On en reparle tout à l’heure en mangeant.

— D’accord, je te laisse. Tu me montres ta queue ?

— Tu vas rien obtenir là ! J’suis vide, plus de libido…

— S’il te plaît…

Il baissa son froc et je vis la chose bien sage, ramassée, recouverte du prépuce, petite dans l’épaisse toison. Le désir me reprit. J’y passais la main, je me penchai pour la reprendre dans ma bouche mais il me repoussa délicatement.

— Allez ! Sois sage cousine, tout à l’heure peut-être. Là, vraiment, je peux pas rebander.

— Tu devrais vraiment te raser les couilles, ce serait plus agréable…

— Tu veux vraiment ?

— Oui, mais que les couilles hein, pas le reste !

— OK mais tu t’épiles la chatte.

— C’est d’accord.

— Mais que la chatte, pas le pubis.

Comme je n’avais pas encore de cours à travailler, je choisis de procéder à l’épilation puis je choisis d’aller en reconnaissance jusqu’au sex-shop. Je pris le bus, qui me déposa à une centaine de mètres, passai sur le trottoir d’en face, l’air de rien mais avec la conviction que tout le monde devinait mes pensées. Je rentrai, après quelques courses. Il se mit à pleuvoir un peu.

Je fis à manger et invitai mon cousin à me rejoindre. Je réussis à le convaincre de faire une descente dans la boutique du plaisir, arguant qu’avec la pluie qui tombait, il n’y aurait pas grand monde dans les rues, que le magasin était assez abrité des regards par les voitures qui stationnaient devant et le feuillage encore fourni des arbres qui bordaient l’avenue, et qu’on ne rentrerait que si la rue était déserte. Pour sortir, j’irais en éclaireuse.

Il accepta et suggéra même que je me lave le cul avant d’y aller. De la sorte, on achèterait le gel, on reviendrait et il m’enfilerait sans perdre de temps. Nous convînmes d’y aller pour 23 h 00. Il espérait juste tenir jusque-là sans se branler.

Nous eûmes du mal à trouver une place de parking, tous les bourgeois étant à cette heure dans leurs doux foyers, chacun avec bobonne.

Comme espéré, la rue était déserte et la lueur des réverbères ne parvenait qu’à peine sur la porte de la boutique à cause de l’épaisseur des frondaisons.

Mon cousin s’y engouffra, comme s’il avait peur de rester trop longtemps au vu et au su de tout le monde. Je lui emboîtai le pas, à la fois confuse, presque honteuse, et frétillante d’impatience.

A suivre.

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