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Laura et les amis de son père – Chapitre 1




Laura est une jeune fille de 18 ans, lycéenne, elle vit toujours chez ses parents. Fille unique, elle est l’objet de toute leur attention et a eu une enfance plutôt gâtée.

Fred, son papa, la quarantaine, est commercial, c’est un bout en train, fêtard, pas toujours responsable, il est assez immature. C’est également un sacré coureur de jupons, son boulot lui convient bien à ce titre car il lui permet d’entretenir des relations avec différentes maîtresses à distance.

Ce que Sabrina, sa femme et la maman de Laura, ignore bien évidemment. Heureusement d’ailleurs, car Sabrina est plutôt l’inverse de Fred.

Infirmière de profession, c’est une femme sérieuse, une vraie maîtresse de maison, le ménage, la cuisine, l’éducation de sa fille…c’est elle ! Elle fait d’ailleurs l’admiration des amis de Fred qui lui disent souvent qu’il a la femme idéale, mis à part quand elle le sermonne suite à ses excès festifs récurrents…

Sabrina, fait d’ailleurs doublement l’admiration des amis de Fred car il s’agit d’une femme magnifique. D’origine portugaise, elle a le teint mat, de longs cheveux bruns, de grands yeux noirs et une taille de guêpe digne d’une minette de 20 ans malgré la quarantaine et sa grossesse. Il faut dire qu’il s’agit d’une femme hyper active, qui enchaîne le boulot, les taches ménagères et le sport qu’elle pratique régulièrement.

Laura, leur fille a hérité de la beauté de sa mère, mais le métissage franco-portugais lui a particulièrement réussi.

Elle a les longs cheveux bruns et le teint mat de sa mère, et les yeux bleus de son père, ce qui lui donne un visage angélique.

Elle a la silhouette très fine quasi parfaite, de jolies petites fesses bombées et des petits seins bien ronds. Elle aurait mesuré un peu plus que son 1m65, elle aurait certainement pu être mannequin, c’est dire sa beauté !

Côté caractère, Laura est beaucoup plus proche de sa mère. Au cours de sa scolarité, elle a presque toujours été première de la classe, chose qui fait la fierté de ses parents. Le seul reproche que pouvait lui faire ses professeurs était son côté réservé.

En effet, malgré que Laura ait beaucoup de chose pour elle (sa beauté, fille unique choyée par ses parents assez aisés..), elle ne se comportait pas comme une petite pimbêche, au contraire, elle était simple et naturelle, ce qui fait qu’elle était souvent admirée.

Ce vendredi soir là, Fred comme souvent arrosait le weekend avec ses amis, une bande de quatre potes. Ils avaient l’habitude de se retrouver entre eux pour boire l’apéro tous les vendredis, chez les uns et les autres. Ce soir là, la réunion hebdomadaire des quatre compères avait lieu chez Fred. D’autant plus que Sabrina était de garde à lhôpital ce soir là et ne devait pas rentrer avant une heure du matin, c’était donc l’occasion de faire une soirée sans femme, entre potes comme à la bonne époque où ils étaient tous célibataires. Sans femme ou presque, car Laura était là dans sa chambre, à l’étage en train de chatter avec une copine sur l’ordinateur.

Fred, avait profité de l’occasion pour décaler le traditionnel apéro de 19h de quelques heures, ce qui lui avait permis de dîner seul avec sa fille et de lui éviter les blagues un peu lourdes de ses potes, surtout pour une jeune fille de 18 ans.

Les amis de Fred l’avaient donc rejoint vers 22h après dîner, ce qui ne leur avait pas empêché de commencer l’apéro chez eux et d’arriver déjà bien éméchés !

Vers 23h30, des bouteilles de whisky étaient déjà bien entamées et quelques canettes de bières vides traînaient ici et là sur la table. Les quatre amis s’en donnaient à cur joie et riaient très fort. Laura, dans sa chambre à l’étage, entendait le brouhaha qu’ils faisaient. Elle ne pouvait distinguer la conversation mais les bribes de mots qu’elle entendait et les rires qui suivaient la laissait facilement imaginer la teneur de leur propos… :

"et là, la salope je lui dis….hahaha….non parce que moi et ma grosse bite….hahaha….avec sa vieille chatte poilue…hahaha"

Comme souvent avec son père et ses amis, il s’agissait de blagues en dessous de la ceinture. Laura avait un peu honte de son père dans ces moments là, comme sa mère elle était assez pudique et bien éduquée, parler grossièrement comme ça, ce n’était pas sa tasse de thé. Même si elle remarquait qu’elle n’entendait jamais la voix de son père dans les conversations qui parvenait jusqu’à elle. Elle imaginait que malgré l’alcool, il parvenait à se maîtriser et ne pas parler trop fort comme ses amis car il savait sa fille pas très loin. Parfois, il y avait même un silence de quelques secondes…elle imaginait bien son père tempérer ses amis : "ho les gars moins forts, il y a Laura qui dort en haut !".

Les heures passaient, Laura commençait à avoir sommeil et avait éteint l’ordinateur, les rires continuaient en bas. Tout à coup, le téléphone sonna. Qui cela pouvait bien être à cette heure ? Laura sortit de sa chambre et s’approcha du palier de l’escalier à l’étage pour écouter son père décrocher. Fred prit le téléphone, non sans avoir donné ses consignes à ses amis : "shht les gars, si c’est ma femme fermez là ok ?"

-Oui allo ? …Ah c’est toi chérie ? …Comment ça ? Ah bon ?…Merde fais chier ! Bon ben attends j’arrive !

— Qu’est ce qui se passe ? lui demanda un de ses amis

— C’est Sabrina, elle est en panne avec la bagnole sur le parking de lhôpital, elle arrive pas à redémarrer ! Ah c’est bien ma veine ! Faut que j’aille la chercher…

— Ah merde ! Tu veux que j’y aille ? Fais gaffe t’as picolé ce soir…

— Oui ben toi aussi. Non j’y vais, je prends ma caisse à outils dans le garage. Je te dis pas l’engueulade que je prendrais si j’envoyais l’un de vous à ma place parce que j’avais trop bu ! Tu sais bien que Sabrina à horreur que je boive.

— C’est pas une raison pour aller te foutre en l’air ! Pourquoi tu prends ta caisse à outils, tu veux quand même pas bricoler à cette heure-ci ?

— Si, ça doit être juste une connerie, le démarreur ou un truc comme ça. Je vais essayer de redémarrer sa bagnole ce soir, ça me fais chier de retourner la chercher demain sur le parking de lhôpital.

— Bon, bon..c’est toi qui voit…ben on va rentrer nous alors…

— Non, non restez-là. On va pas finir la soirée comme ça, c’est trop con, j’en ai pour une petite heure pour faire l’aller retour. Rangez-moi ce bordel que Sabrina trouve pas la baraque comme ça, prenez une petite bière en attendant et faites pas trop de bruit, oubliez pas qu’il y a la petite qui dort en haut.

— Ok bon comme tu veux, sois prudent surtout ! T’en fais pas nous on garde la maison. Si tu as un soucis, appelle nous !

— D’accord, allez à tout à l’heure les gars. Buvez pas trop non plus, je tiens pas à ce que ma femme vous retrouve ivres morts dans le salon !

Fred partit. Laura, était toujours en haut de l’escalier sur la palier à écouter la conversation. Elle en revenait pas que son père la laissait seule à la maison avec ses amis, même si elle était sensé dormir, ça la gênait un peu. Elle s’apprêtait à retourner se coucher quand tout à coup elle entendit :

" Ah j’aurai bien été la chercher la Sabrina, moi !

— Haha…je vois ça, t’as bien insisté pour y aller à la place de Fred !

— Ah oui si j’avais été seul avec elle dans la voiture avec elle, je te dis pas…

— Arrête Sabrina aurait jamais rien fait avec toi ! C’est pas le genre de nana à se laisser aller à ce genre de truc…

— Oh ça tu sais pas ! Derrière ses airs coincés, moi je suis sûr que c’est une sacrée salope ! Tu le connais le Fred, il se serait pas casé avec une nana si c’était pas une vraie chaudasse !

Laura n’en revenait pas…ces trois ivrognes étaient en train de faire des commentaires pervers sur sa propre mère ! Et cela ne s’arrêtait pas là…elle s’approcha encore un peu plus pour mieux entendre :

" Et elle a un cul ! Putain en levrette ça doit donner !

— Et ses nibards, tu as vu ses nibards ?

— Oh oui! Oh la chienne ! C’est clair qu’elle est bonne !

Laura à l’étage était partagée entre l’idée de retourner se coucher en se bouchant les oreilles pour ne pas entendre un mot de plus de ces pervers sur sa mère et la curiosité de continuer à les écouter. Une phrase lui fit choisir la deuxième solution…:

"Et la petite, elle suit le même chemin !

— Laura ?

— Oui Laura, elle foutrait la trique à un curé ! Elle est en train de devenir encore plus bonne que sa mère !

Laura restait figée : "oh non ! ils sont en train de parler d’elle de la même façon que de sa mère…". Elle était rouge de honte, choquée par ce qu’elle entendait. Elle s’approcha au maximum du haut de l’escalier pour ne rien rater de la conversation. Elle avança à quatre pattes pour ne pas se faire voir et se pencha discrètement à la balustrade en haut de l’escalier en se tenant au porte-manteaux d’une main pour rester en équilibre. Elle était juste au dessus des trois amis de son père qui continuaient leur discussion perverse autour de cadavres de bouteilles de bières et de whisky…

"Oui la petite Laura, elle a un de ces petits cul ! Pfff

— Ah oui moi je la péterait bien !!

— Je l’aurai au bout de la bite, je te dis pas…oh lala rien que d’y penser !

Laura n’en croyait pas ses oreilles…

— Oh les gars faut qu’on se calme c’est qu’une gamine !

— Oui heureusement qu’elle dort, t’imagines si elle nous entendait ?

— Une gamine ? Tu rigoles ! Elle a fêté ses 18 ans la semaine dernière. Elle est majeure maintenant !

— C’est vrai ? Je savais pas ça !

— Ah oui ça change tout, j’irai bien la réveiller la petite moi alors !

— Haha sacré vieux vicelard va !

— Et tu crois qu’elle tomberait dans les bras d’un vieux débris à moitié saoul comme toi ?

— Ouais bah on peut rêver…

— Attendez les gars ça dépend, Fred vous a pas raconté ?

— Raconté quoi ?

— L’autre jour, il a été convoqué au lycée par le proviseur. Vous ne savez pas pourquoi ? Bon vous gardez ça pour vous, s’il vous a rien dit il a ses raisons.

— Vas-y racontes !

— La petite Laura, sous ses airs de première de la classe toute timide, elle s’est fait choper par un pion à genoux dans les chiottes des gars.

— Qu’est ce qu’elle faisait à genoux ?

— Ben à ton avis idiot ? Elle suçait une bonne bite ! Son petit copain ou un gars de sa classe j’en sais rien moi…Toujours est-il qu’elle s’est fait prendre et que Fred a été convoqué par le dirlo du lycée.

— Oh putain je le crois pas ! Et il a dit quoi ?

— Ben ça lui a fait un choc parce que c’est sa fille ! Tu sais comment il est avec sa fille, faut qu’elle soit parfaite…Mais je lui ai dis moi que c’était normal, c’est la jeunesse ! Combien de fois on s’est fait pomper par des salopes dans les chiottes nous quand on étaient au lycée ?

— Oui enfin Laura, je la voyais pas trop comme une salope qui aimait sucer des bites

— Bah tu sais les chiens font pas des chats…Fred c’est un chaud lapin ! Çà ne m’étonne pas tellement que sa fille ait le feu à la chatte…

— Sa mère le sait ?

— Non tu rigoles, Fred a rien dit sinon elle filait en pension la petite ! Sabrina une histoire comme ça, ça la rendrait folle.

Laura restait scotchée…Elle avait envie de pleurer tellement elle avait honte. Elle avait déjà eu la honte de sa vie le jour où le directeur l’avait convoquée avec son père pour cette histoire. Elle garde toujours en mémoire le regard ébahi de son père au moment où le directeur lui avait annoncé la raison de sa convocation. Il lui avait alors promis de ne rien dire à sa mère, que ça resterait entre eux. Pourquoi celui-ci en avait-il parlé à ses potes ? Elle n’oserait jamais se présenter devant eux maintenant. Elle passait pour "une salope qui aime sucer des bites" comme ils se plaisent à le dire…

Sous le coup de l’émotion, sa main qui se tenait au porte manteaux glissa et fit basculer du haut de l’escalier les manteaux et cintres et qui étaient accrochés…ce qui fit sursauter les trois amis.

"Laura ? C’est toi ?"

Laura fit un bond en arrière pour se dégager de l’escalier, de manière à ce qu’ils ne la voient pas…elle était tétanisée, rouge de honte…

"Laura ???"

"Attends je vais monter voir" dit l’un d’eux

En entendant ceci, Laura fut prise de panique, son cur battait à mille à l’heure. Elle était tétanisée à l’idée qu’ils montent jusque dans sa chambre. Son intimité avait déjà été violée une fois avec la révélation de cette histoire de fellation au lycée, pas question qu’ils pénètrent dans sa chambre, son jardin secret. Elle répondit machinalement d’une voix tremblante :

"Oui..oui..c’est moi…euh j’allais juste aux toilettes, je vais me recoucher c’est rien…"

Les amis, surpris, se regardèrent un instant et chuchotèrent :

— Putain… j’espère qu’elle a rien entendu…

— Attends on a rien dit de mal…

— Ouais enfin quand même…

— Hé les gars, Fred en a pour une heure non ? c’est ce qu’il a dit ? On va pouvoir lui demander à la petite Laura si elle est si chaude que ça…

Les autres sourirent : "oh tu crois ? oui on va peut être pouvoir rigoler un peu !"

"Laura ? Dis Laura, puisque tu ne dors pas, viens donc nous rejoindre !"

Son cur allait exploser tellement il battait vite. "Non, non merci…c’est bon…euh je suis fatiguée, je vais dormir"

"Non descends ma puce, on a quelque chose à te demander…c’est important, viens sinon c’est nous qui montons !"

La panique l’envahissait de plus en plus. Elle saisit un peignoir au passage et s’enroula dedans, pas question de descendre voir ces vicieux en nuisette. Elle descendit l’escalier doucement, en essayant de contrôler ses émotions, elle ne voulait surtout pas montrer qu’elle avait tout entendu de leur conversation. Elle fit comme si de rien était.

Les trois amis contemplèrent cette jeune beauté enroulée dans son peignoir s’approcher d’eux timidement.

"On t’a réveillée ma belle ? Tu nous écoutais ?

— Euh..non, non…je..je dormais et j’ai entendu du bruit..je me suis levée pour aller aux toilettes c’est tout…en passant j’ai fait tomber le porte manteaux

— Ah d’accord ! Puisque tu es réveillée, viens donc boire une bière avec nous en attendant ton papa. Il est parti chercher ta maman, elle est tombée en panne de voiture à son boulot.

— Ah..ah bon ? Heu…non merci je ne bois pas d’alcool…je vais retourner…"

Avant qu’elle n’ait eu le temps de finir sa phrase, l’un d’eux la voyant mal à l’aise la prit par le bras et la fit approcher de la table.

"Allez ! Viens avec nous ! Tu as eu 18 ans la semaine dernière ton papa nous a dit ? Ça se fête ça voyons ! Tu as fêté ça j’imagine ?

— Oui..oui j’ai fêté ça avec mes amis…

— Et tu n’as pas bu d’alcool à cette fête ?

— Si…enfin un peu..juste comme ça

— Et bien viens prendre une bière avec nous alors ! Juste une, et puis on va discuter un peu…tu vas nous parler un peu de toi…

Laura ne su pas quoi dire…enfin elle n’eut pas le courage de refuser catégoriquement.

— Juste une alors…je veux bien..dit-elle timidement

-Allez ne soit pas timide comme ça ! Et mets toi à l’aise ! Retires ce peignoir, il fait bien trop chaud ! Tu dois étouffer là dessous !

C’est vrai qu’elle étouffait, le stress lui donnait des bouffées de chaleur.

" Non ça va.. je suis bien comme ça…ça va…

Là aussi avant qu’elle n’ait eu le temps de finir sa phrase, l’un d’eux tira d’un geste brusque sur la ceinture qui tenait son peignoir et le lui fit tomber par terre. Une seconde de silence se fit…

Laura se tenait là debout devant eux en nuisette. Les trois hommes furent époustouflés par sa beauté et terriblement excités par l’alcool et les discussions qu’ils avaient eu précédemment.

Sa petite nuisette rose lui arrivait juste en haut des cuisses laissant apparaître ses jolies jambes fines et galbées. Le rose lui allait à merveille avec sa peau mate et faisait ressortir ses magnifiques yeux bleus. La bretelle tombant légèrement laissant découvrir son épaule et on pouvait apercevoir ses petits seins ronds et parfaits qui étaient à l’air libre sous sa nuisette.

Celle-ci était tout juste assez longue pour cacher son entrecuisse et ses fesses que l’on devinait parfaites, fermes et bombées.

Laura se tenait debout tête penchée, tirant sur sa nuisette comme si elle voulait la rallonger par magie. Elle était intimidée de se retrouver comme ça face à eux.

Sans se dire un mot, les trois hommes savaient déjà qu’ils ne pourraient résister à cette tentation.

"Comme tu es belle ma puce ! Si belle et si sexy…

Laura ne put rien dire et continua de baisser la tête, elle était rouge de honte.

Celui qui était assis près d’elle ne put s’empêcher à la vue d’un cul si parfait de glisser sa main derrière ses cuisses pour remonter délicatement jusque sous sa nuisette. Elle repoussa sa main d’un geste sur son poignet. Un deuxième s’approcha d’elle et la prit alors par la taille comme pour l’empêcher de partir en courant. Elle le voulait tellement, partir, mais elle n’en avait pas la force, tétanisée par la situation dans laquelle elle se trouvait.

"Qu’est-ce que t’es bonne ! lui glissa t-il

Le troisième homme qui se tenait face à elle de l’autre côté de la table lui lança :

"Elle était bonne la bite que tu suçais au lycée l’autre fois ?"

Laura ne savait plus où donner de la tête…elle ne savait plus si le plus choquant était la façon crue dont était posée cette question, le deuxième homme qui la prenait par la taille d’une main et tentait de faire descendre la bretelle de sa nuisette pour découvrir ses seins ou le troisième homme qui pelotait maintenant allègrement ses fesses.

"Non…non enfin si…je sais pas…" répondit t-elle sans réfléchir

— Elle était grosse ?

Réponds petite suceuse ! Elle était grosse ? Grosse comme celle-ci ?

A ce moment là, l’homme qui était face à elle sortit son sexe bien dur, en pleine érection.

Au même moment, elle sentit sa culotte glisser le long de ses cuisses. Elle tentait de la retenir d’une main en essayant d’écarter de l’autre les mains baladeuses qui parcouraient maintenant son corps.

"Non..heu non pas si grosse" dit-elle en continuant de baisser les yeux refusant de regarder cet homme qui se tenait face à elle la bite bien dure à la main. Elle ne pu continuer à retenir sa petite culotte qui glissa sous ses genoux pour tomber à ses pieds. Les mains des deux autres hommes continuaient de se balader sur tout son corps. L’une d’ elles tentait d’écarter légèrement ses cuisses serrées pour arriver à sa petite chatte qui était maintenant à l’air libre.

"Hé bien suces là ma belle, tu vas voir elle est meilleure celle-ci !

Au moment où il dit ceci, l’un des autres hommes pencha Laura en avant pour la faire tomber le buste sur la table. Sa tête se trouvait au niveau du sexe qui se trouvait face à elle, ses fesses penchées en arrière. Sa nuisette ne lui recouvrait plus que la taille, laissant ses seins et ses fesses à découvert.

L’homme qui lui faisait face s’approcha, son sexe dressé se tenait juste devant sa bouche, il posa ses deux mains sur la tête de Laura : "ouvres ta petite bouche ma belle, pompes ma grosse bite, on sait que tu aimes ça".

Elle sentit un doigt, puis deux s’enfoncer dans sa chatte pendant qu’une autre main caressait ses fesses tendues en avant.

"Putain elle est toute mouillée cette chienne !"

Machinalement, Laura ouvrit la bouche, elle sentit le sexe s’enfoncer dans sa gorge. L’homme lui tenait la tête et faisait des va et vient dans la bouche de Laura, à peine assez grande pour prendre le sexe en entier.

Elle se faisait doigter violemment en même temps, sa chatte commençait à de devenir trempée. Ses fesses rougissaient sous l’effet des fessées qu’elle recevait. Elle fermait les yeux tout en continuant d’avoir ce sexe dans la bouche. Elle sentit tout à coup un sexe la pénétrer. L’un des hommes qui se tenait derrière elle, la prenait en levrette, l’agrippant par les hanches en donnant de grands coups de reins. L’autre se joint au premier pour se faire sucer à son tour.

Les commentaires fusaient : " salope !" "on va te défoncer comme une chienne !" "t’es trop bonne petite pute !" "hmm ta petite bouche c’est un régal !"

Les trois amis s’échangeaient les positions, tour à tour, ils lui prenaient la bouche puis la chatte. Sous l’effet des coups de bites qu’elle prenait, Laura laissait échapper de petits cris, étouffés par la bite qui lui remplissait la bouche;

"T’aimes ça petite salope ! Quelle traînée !! "

"Et ta petite rondelle elle est vierge ? On va arranger ça, on va te faire découvrir de nouveaux trucs. On va s’occuper de ton petit cul de rêve ma belle ! "

Celui qui se tenait derrière elle avait délaissé sa chatte pour ses petites fesses parfaites. Laura poussa un grand cri lorsqu’il parvint enfin à pénétrer son petit trou serré. Elle hurlait, l’homme qui l’enculait, allait de plus en plus fort !

"Je vais te défoncer le cul !!"

L’un vint la sodomiser à son tour, puis l’autre.

A un moment, l’un des hommes la releva de sa position inconfortable sur la table et la projeta sur le canapé. Laura ne savait plus où elle était…sa chatte la brûlait sous l’effet des coups de bites qu’elle avait reçu, sa poitrine et son menton étaient recouverts de salive suite aux pipes violentes qu’elle avait subi, son petit cul était complètement dilaté.

Elle était sur le ventre reprenant ses esprits, elle ne s’était jamais fait baiser comme ça.

L’un des hommes se coucha sous elle, un autre sur elle..tous deux la pénétrèrent. L’un la chatte, l’autre le cul, prise entre les deux. A peine eut-elle le temps de laisser exprimer un petit râle de plaisir, qu’une troisième bite venait s’inviter dans sa bouche.

Le manège dura quelques minutes puis les trois hommes se retirèrent. Laura exténuée tomba au sol allongée sur le dos, complètement nue, les jambes écartées laissant passer un peu d’air sur sa petite chatte en feu.

Les trois amis vinrent alors s’agenouiller autour de la belle petite chienne de 18 ans. Tour à tour, ils lâchèrent leur semence sur le visage angélique de la petite Laura. Son visage fut vite recouvert de sperme, ne laissant apparaître que ses jolis yeux bleus fixant le plafond dans le vide. Elle n’arrivait pas à réaliser ce qui lui était arrivé en l’espace de quelques minutes…

Au même moment, une voiture venait de se garer sur les gravillons juste devant la maison….

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