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La punition de la directrice – Chapitre 2




Il me dit qu’il y a une solution possible qui pourrait arranger mes affaires .

J’imagine qu’il va me proposer d’aller à l’hôtel avec lui, ou une prestation sexuelle.

Je me dis que malgré l’humiliation je ne peux faire autrement. Je suis prise au piège, et me laisser baiser par cet homme plutôt attirant ne sera pas aussi grave que la prison.

Il me dit – ou plus exactement m’ordonne – de le suivre. Je me lève en essayant de rester digne. Nous entrons dans sa voiture et il démarre.

A ma grande surprise il se comporte en gentilhomme.

Nous arrivons à un beau pavillon isolé dans la campagne. 

Nous entrons et il m’offre un verre pour me détendre.  Il m’invite à m’asseoir dans ce fauteuil confortable. 

Là il commence à exposer sa proposition qui me surprend encore plus.

Il me dit que lui et certaines de ses connaissances aiment regarder une femme sophistiquée faire le ménage. Il reconnaît que cela peut sembler bizarre. Il me propose donc de faire un bout d’essai et de me filmer avec un caméscope. 

Ravie que ses propositions ne soient pas si terribles, j’accepte.

Il me dit ensuite que je devrais obéir à tous ses ordres. Pour l’essai il accepte que je porte un masque.

Cela n’est sans doute que le prélude à des activités bien plus poussées…

° ° °

Elle n’a pas trop semblé comprendre quand j’ai évoqué des sanctions, qu’elle ne pourrait pas s’en tirer à bon compte. Elle n’a pas réagi. Alors j’ai enchaîné sur le moyen de payer symboliquement sa dette à la société, de payer pour sa négligence, sa désinvolture.

Je n’aime pas ces petites pimbêches quadragénaires, qui, sous prétexte d’être arrivées à un poste à responsabilités, prennent les gens de haut et ont tendance à mépriser leurs subalternes, quitte à essayer de leur mettre tout sur le dos, à les accabler, en leur faisant tout un tas de reproches tandis qu’elles-mêmes prennent les choses par-dessus la jambe.

Je considère qu’on devrait être d’autant plus irréprochable qu’on encadre des salariés, qu’on se doit de montrer l’exemple. Beaucoup partagent mon point de vue, mais cette conception des choses n’a pas l’air trop de l’effleurer, cette brune pulpeuse.

Et puis, je n’aime pas les feignasses. Surtout ce type de femmes mûres qui ne rechignent pas à faire bosser les autres, à se débarrasser des tâches qui les ennuient quand bien même elles leur incombent mais ne s’avèrent même pas fichues de vérifier qu’elles ont été correctement exécutées.

Quant à la vie de tous les jours, n’en parlons même pas : c’est ce genre de pétasses allumeuses qui sortent tout le temps en bottes, passent leur temps à se maquiller, à se remettre du vernis sur les ongles, et à prendre une femme de ménage chez elles pour plusieurs heures par jour. Même pas foutues de prendre un balai, de faire même une fois par an les poussières, incapables de cuisiner un plat (je ne parle pas de réchauffer un surgelé) ; dès qu’elles invitent, elles prennent un traiteur.

Ce que je dis peut paraître sexiste mais je ne suis pas comme ça : moi qui suis un éternel célibataire je me fais à manger, je fais mon petit ménage, je repasse mes chemises, et j’estime, qu’on soit homme ou femme, qu’il faut être autonome dans la vie, ce qui veut dire ne pas s’écouter, ni sa flemme possible, ni ses dégoûts il faut savoir compter sur soi-même avant tout.

Non, je n’ai jamais fantasmé sur des femmes de ménage, ça n’est pas mon truc. Par contre obliger une femme mûre de son statut social à s’abaisser à effectuer des tâches ménagères, dans sa tenue sexy qu’elle aime porter, j’avoue que

Elle semble vraiment soulagée par ce que je lui propose. Évidemment elle pense qu’il s’agit juste de faire du ménage pour moi et de se faire filmer. Plus je la découvre plus je m’aperçois qu’elle est naïve, cette conne. Ou alors elle fait sa mijaurée, sa fleur bleue, et en fait cherche à tromper son monde. Sous son masque de femme crédule se cache peut-être une vicieuse habitée elle aussi par des fantasmes inavouables.

Et peut-être, après avoir gratté le vernis de son attitude guindée et rigide de bourgeoise vais-je découvrir une vraie salope mais je m’égare.

Elle ne proteste pas quand je lui dis que nous nous rendons chez moi pour nous mettre d’accord sur l’arrangement que j’ai évoqué.

Elle rentre dans mon salon, semble charmée par mon intérieur sobre mais à la déco recherchée, une déco qui me ressemble.

Elle a quand même un regard surpris et troublé quand elle voit cette repro du photographe allemand JRM, une photo étrange montrant une femme nue, débordant de partout et sanglée de cuir.

Je l’aime beaucoup celle-ci, elle fait toujours son petit effet.

Elle s’assoit confortablement au fond de mon fauteuil moderne, et sa robe remonte presque jusqu’à mi-cuisses me les dévoilant, troublantes dans leur nylon fumée. Elle ne cherche pas à les cacher en tirant sur le tissu. Petite allumeuse, me dis-je. Tu ne perds rien pour attendre. Et tu vas payer pour tout ça

Elle accepte sans hésiter le verre de liqueur que je lui tends.

Je m’assois auprès d’elle je commence à lui exposer le deal. Tout d’abord il ne s’agit pas simplement de faire du ménage. Je prendrai des photos, voire des petits bouts de vidéo.

J’y vais progressivement pour ne pas l’effrayer. Et oui bien-sûr elle pourra porter un masque, un loup, si je la filme ou la photographie de face.

Le but n’est pas le ménage proprement dit (même si, vu le style de la dame, ça peut sembler être déjà une sacrée punition.) Le but est de punir par la honte. La honte d’être regardée, photographiée, filmée effectuant des tâches qu’elle doit estimer indignes voire dégradantes.

Mais pour augmenter encore la honte, elle devra effectuer son service dans des tenues, disons un peu atypiques.

Elle lève un sourcil, étonnée ou faussement naïve.

« – Oui » continué-je, « il y a d’infinies façons de porter le tablier de cuisine avec des bottes. »

Mon petit sourire en coin et mon air entendu n’a pas enlevé l’expression interrogatrice de son visage.

Elle attend. Alors je poursuis, afin d’être plus clair :

« – Par exemple : vous portez un collant ou des bas ?

— Euhhh » hésite-t-elle un moment : « des des collants.

— Moi je trouve ravissant le spectacle d’une femme qui fait la vaisselle vêtue d’un collant sans culotte bien entendu – de bottes, avec juste un tablier noué autour de la taille. Ah j’oublie : les tabliers que j’ai ici sont un peu petits, un peu justes Ils baillent : du côté pile ils ne cachent pas grand-chose »

Et j’enchaîne – avant qu’elle ait le temps de rétorquer quoi que ce soit :

« – Bien entendu, même si vous n’êtes pas une « professionnelle (je veux dire une professionnelle du ménage) je suis un peu un maniaque de la propreté, très exigeant, et je suis pour le zéro défaut. Je ne tolérerai aucun écart aux objectifs fixés. Et même si vous êtes troublée par la situation vous n’aurez aucune excuse si le résultat n’est pas celui attendu.

Après chaque vacation de ménage (qu’elle soit d’une heure ou deux, ou plus), vous devrez attendre à genoux que je fasse un contrôle poussé de votre travail. Je relèverai chacun de vos manquements dans un petit carnet, que je vous énumérerai un par un et si besoin vous punirai. »

° ° °

Un peu abasourdie par la tournure des événements, je reste assise quelques secondes avant de me lever comme il me l’ordonne. 

Je semble vaciller sur les fins talons de mes bottes. 

Comme ordonné je vais dans une chambre. Il m’y apporte un tablier noir ainsi qu’un loup. 

Je retire ma robe moulante. Je porte rarement des collants car je me sens plus féminine en bas mais ce matin j’avais mis des collants car je n’avais plus de bas en bon état. Pas de culotte sous les collants car cela est inconfortable. Je regrette maintenant car bien que les collants aient une zone plus sombre au milieu on devine mes zones « sensibles ».

Je retire le soutien-gorge et attache le tablier. Toujours coquette, je m’assure que les liens soient bien serrés pour tenir – à peu près – mes seins en place : le tablier cache les aréoles mais mes seins sont bien en vue. Je mets le loup et passe dans la cuisine. 

Prenant une grande respiration je m’approche de l’évier, les talons de mes bottes claquent sur le carrelage ; je commence à laver la vaisselle. Il est là pour prendre des photos ou une vidéo. Quelle vue j’offre ! Je peux me voir en effet dans un miroir : presque nue et en tablier et bottes, lavant la vaisselle ! 

Je me dis que cela pourrait être pire. 

Voyant qu’il s’amuse à prendre des photos en rafales de mes seins prêts à jaillir du tablier, je me surprends à bouger plus vite pour qu’ils rebondissent. Un peu par défiance, un peu par envie subconsciente de susciter son désir. 

Il m’ordonne ensuite de passer le balai. Je commence cette tâche de façon aussi nonchalante puis je fais quelques gestes pour l’allumer. Je pivote rapidement et sa vue sur mes seins ballottant est remplacée par une vue sur mes fesses fermes qui virevoltent. 

Une fois ces tâches finies, je me place près du canapé, debout, déhanchée, une main posée sur ma taille comme si c’est moi qui étais aux commandes. 

° ° °

Ah la salope ! Partagerait-elle mes fantasmes ou bien est-elle une allumeuse invétérée ? Toujours est-il que cette garce ne porte pas de culotte sous ses collants C’est bien la première femme que je rencontre qui fait ça spontanément. Car l’ayant rencontrée pour la première fois ce matin elle ne pouvait avoir deviné ce qui m’excite une femme en bottes, je trouve ça aussi très bandant, même si je ne dois pas être le seul homme.

Et puis, quelle impudeur ! Elle a commencé à ôter sa robe sans même attendre que je sorte. Elle a dégrafé son soutien-gorge de la même manière sans façon ! Et j’ai pu voir de beaux globes, bien qu’elle me tournât le dos et puis un somptueux fessier, assez volumineux, bien rond et bien contenu par le fin voile élastique du collant. Que de promesses en conséquence !

Le tablier est vraiment étroit – elle ne peut que rapprocher grossièrement les deux pans de derrière et il donne à voir une belle mappemonde bien gainée par le nylon. De même, ses seins globuleux ne cherchent qu’à sortir des échancrures sur les côtés.

Je lui ai désigné l’évier où s’est amoncelé, je l’avoue, la vaisselle de trois jours (j’ai été très occupé et suis rentré fort tard ces derniers jours)

Je me suis assis confortablement dans mon antique fauteuil préféré (j’ai une cuisine ouverte et il n’y a pas de séparation entre elle et le séjour et le salon) et j’ai commencé à mitrailler avec mon reflex.

Mais c’est qu’on dirait qu’elle aime ça cette salope ! Serait-elle un peu ou un peu beaucoup exhib ? Elle ne lave pas la vaisselle dans une posture statique, on dirait qu’elle danse d’un pied sur l’autre, roule des hanches et du cul, comme si elle écoutait de la musique elle cherche à m’allumer ou quoi ?! Elle croit m’amadouer et s’imagine que je vais être indulgent et moins sévère sur la sanction ?

Elle devrait pourtant savoir, en tant que femme, qu’en donnant faim à un homme, en augmentant son appétit, on fait monter les enchères

Pourtant, elle se montre efficace, et débordant d’énergie (était-ce pour ça ces mouvements vifs ?), elle termine très vite la vaisselle.

Du coup, elle m’a énervée. Si elle croit qu’elle va s’en tirer aussi vite

Je lui désigne d’un ton très sec le balai et lui ordonne de se mettre à l’ouvrage :

« – C’est sale, ici. Je ne paie pas une bonniche à rien foutre. Activez-vous, je ne veux plus un grain de poussière ! Pour ce qui est de la vaisselle je contrôlerai à la fin si ça a bien été fait avec le reste Et je répète que je suis très exigeant.»

Elle s’y met méthodiquement, consciencieusement, non sans secouer sa lourde poitrine et je vois ses ballons dodeliner et sortir même par moments du tablier. Elle est rapide et efficace, elle semble retrouver une fierté. Je ne photographie presque plus, ça n’est pas très intéressant.

Du coup, elle termine assez vite. Elle ne perd rien pour attendre. Si le résultat laisse à désirer je serai intraitable et elle sera sévèrement punie.

Mais la voilà qui me toise, debout près de moi, cambrée, dans une attitude de défi. Croit-elle qu’elle va vite être débarrassée de ses tâches ménagères aujourd’hui, celle-là ? Puisqu’elle se montre rapide elle va en avoir de l’ouvrage. Après les sols je vais la faire grimper sur un escabeau et récurer tout du sol au plafond Les barres de rideaux, les carreaux, tout Elle fera moins la maline, en équilibre sur ses hauts talons de pute, sur la plate-forme de l’échelle !

« – Là-bas dans le placard, il y un seau, une éponge, du produit, des gants de ménage. Vous prenez tout ça et vous allez me récurer le sol ! Et fissa ! »

Elle se permet de se rebeller, la conne. Ironique, provocatrice, elle se moque presque, faisant une remarque sur mon matériel pas très ergonomique, fait pour se casser le dos.

« – Bien-sûr que j’ai du matériel plus adapté. Mais c’est pas pour les pétasses de votre genre, les feignasses de la pire espèce comme vous. Vous ne le méritez pas. Vous, vous allez me frotter ça à quatre pattes, comme dans le temps, comme une Cendrillon, une Cosette ça vous ira bien, puisque vous n’êtes juste bonne qu’à vous plaindre. »

Elle finit par s’exécuter avec nonchalance, cette fois en prenant bien son temps, montrant une mauvaise volonté manifeste.

Je ne perds pas patience, j’ai tout mon temps. Si elle veut passer le reste de la journée et la soirée à jouer à la bonniche à moitié à poil, ça ne me dérange pas. C’est elle qui va bosser, en baver, moi je peux me détendre, boire, manger, tout en la surveillant du coin de l’il.

Elle finit par comprendre et remplit son seau, et s’installe dans un coin de la pièce et commence à frotter.

Je m’approche et je remonte le tablier sur ses reins :

« – Ainsi vous serez bien mieux, le cul à l’air et en bottes Avec vos bottes de pute ! De pute de luxe.  Et puis j’ai une meilleure vue, le spectacle est encore plus agréable.

Loin de se plaindre, de s’indigner, elle se mure dans son silence et frotte de plus en plus fort en remuant du croupion, faisant balancer de droite et de gauche son cul bien fendu mais toujours gainé de nylon gris transparent. Ce coup-là, je filme, c’est trop intéressant !

Elle ne sait pas encore qu’elle va finir sans tablier, puis complètement à poil

(A suivre…)

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