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Mamie Geneviève – Chapitre 3




Mamie Geneviève 3

Mon petit fils vient de me faire l’amour de façon sublime. Je mets un moment à recouvrer mes esprits et à réaliser que son sperme s’échappe de ma vulve et s’écoule sur ma jupe retroussée. Il se lève et va me chercher une serviette pour s’essuyer et m’éponger. Je me relève et un gros flot s’échappe encore. Bon sang, quelle quantité !

Il me retient par le bassin et dégrafe ma jupe qui tombe au sol.

« Reste comme ça mamie, tu es belle ! »

Même si je suis flattée de son compliment, j’éprouve une gêne à rester en sous vêtements, sans autres habits. Je couvre instinctivement ma poitrine et file faire ma toilette intime.

Je reviens après avoir enfilé ma culotte et un peignoir et lui est toujours nu à se balader dans le séjour.

Je fixe son joli petit cul et quand il se retourne, il fronce les sourcils en me voyant couverte.

« Non mamie, enlève ce peignoir ». Ce n’est pas autoritaire, c’est plutôt un ton contrarié.

Je m’exécute. Petit à petit, je me détends et me sens moins gênée. Il attend que je décroise les bras pour m’enlacer et m’embrasser.

Je me sens devenir folle d’excitation quand sa langue danse avec la mienne. Je lui caresse le dos et les fesses lors de notre étreinte, et lui, en fait tout autant sur moi.

 

Dans un sursaut de réalisme, je lui dis :

« On fait une grosse bêtise ! On n’a pas le droit de faire ça !»

« Mais non mamie, t’inquiètes pas »

Et de m’embrasser à nouveau. Mon plaisir est tel que j’oublie toute culpabilité et me laisse aller dans ses bras. Je sens sa verge reprendre de la vigueur, mais je me sens incapable de renouveler tout acte, pour le moment

Je me détache de lui et prétexte d’avoir à faire du ménage. Perchée sur mes talons, uniquement en dessous, ce n’est pas une tenue de ménagère, mais, volontairement soumise, j’exécute les désirs de mon amant.

Il ne perd pas une miette de mes allers et venues, et si sentir son regard me gêne au début, je finis par en prendre parti. Et quand, à un moment, je me baisse et lui expose mon postérieur, il se lève, vient derrière moi et tire sur ma culotte à l’enfoncer dans ma raie fessière pour faire ressortir le galbe de mes fesses.

« Ca t’irait bien un string, mamie. Tu as de jolies fesses ! »

« Enfin, sois sérieux, ce n’est pas de mon âge. Et puis, tu as vu tous mes poils, ça va se voir ! »

« Justement, j’adore ! »

Il faudra que j’aille faire des achats demain et dégoter une culotte plus à son goût, plus sexy que celle que je porte habituellement. Je ne me sens pas prête à porter un string, c’est pour les jeunes, ça !

Pour le moment, il dégrafe mon soutien gorge et je dois lutter, intérieurement, pour ne pas couvrir ma poitrine, à nu maintenant.

Il me fait me retourner vers lui et admire mon corps, il n’y a vraiment pas de quoi, à mon avis, même si je suis plutôt bien conservée, je n’ai plus la fraîcheur de mes vingt ans.

Il glisse ses mains sur mes hanches et descend ma culotte, jusqu’aux chevilles. Il profite que je lève le pied pour me donner un coup de langue au bord de mon clitoris. Oh quel coquin !

Quand il se relève, je reste fasciné devant sa verge, j’ai envie de la prendre en main ! Par provocation, il s’en saisit et la frotte sur ma cuisse, puis sur mon ventre. La douceur tiède de la peau est agréable, mais quand il bouge du bassin, je sens bien une tige rigide.

Il m’étreint et m’embrasse fougueusement avant de m’entraîner sur le canapé.

J’ai encore le vagin en feu et ne suis pas apte à refaire l’amour immédiatement.

Quant à lui, sa libido sublime ses désirs sexuels, il est jeune et plein de vitalité !

Il veut me peloter les seins, mais je le repousse au fond du canapé avant de me saisir de sa verge. Elle est vraiment impressionnante à voir et à toucher.

Il  écarte bien les jambes et ses testicules me donnent envie de les caresser. Il apprécie et son membre durci encore et palpite quand je l’effleure. Lui, râle de plaisir et se laisse manipuler par sa grand-mère. C’est plus fort que moi, je me saisis de cette offrande tendue à deux mains.

Je pétris cette colonne et tout naturellement, je me mets à la masturber.

Ma position est instable et je m’agenouille entre ses jambes écartées pour reprendre ce beau phallus à deux mains.

« Oh mamie, c’est bon ! Lèche moi les couilles ! »

Cette grossièreté ne m’offusque pas et c’est avec hésitation que je tends ma langue.

Le contact s’établit et la peau est douce, je me mets à lui lécher les boules.

« Super bon, mamie ! Suce moi maintenant ! »

Alors là, je me sens prise au piège. Je redoutais ce moment, toutefois, je ne veux pas le décevoir et j’ai franchi tant de limites ces derniers jours. Quand j’approche mon visage de son gland, je suis assaillie par un tas d’odeurs, sperme, cyprine et autres parfums, tout y est.

Je réprime mon dégoût et referme ma bouche sur son gland. Je ne suis pas habile pour sucer, je n’aimais pas cette pratique avec, feu, mon mari.

David ne m’en tient pas rigueur et m’encourage en me prodiguant des conseils que  j’applique à la lettre. Toutefois, quand il me demande de l’avaler complètement et de l’avoir au fond de la gorge, je ne peux m’empêcher d’avoir un haut le cur.

Tout en continuant à le masturber, je reprends mon souffle et le reprends en bouche. Cette fois, j’arrive à mieux contrôler ma réaction et arrive à le gober très profondément. Il coulisse tant entre mes lèvres, qu’il me dit :

« Attention ! Je vais venir »

Je me retire et le branle frénétiquement à deux mains. Il ne faut pas longtemps pour qu’il éjacule en plusieurs giclées sur son torse. J’ai de sa semence sur mes doigts. Machinalement, je porte ma main pour sentir cette odeur caractéristique. Il me tient la main et me dit avec complicité :

« Vas-y, goûte ! »

Ca m’a toujours répugné, aussi j’hésite un peu et me décide à poser ma langue pour en lécher une goutte. Ce n’est pas aussi désagréable que je le pensais. Il insiste tant, que, j’en finis par me nettoyer complètement les doigts englués.

« J’en ai encore plein si tu veux » En me désignant son corps.

Il me défie du regard et, je ne sais si c’est par soumission ou par un désir vicieux que je me penche pour laper chaque goutte. Je me rends compte alors que ses mamelons sont sensibles au passage de ma langue. Quand j’ai tout dégluti. Il me tient par les épaules pour me dire :

« Tu es géniale mamie, mes ex-copines ne faisaient pas ça ! »

« Peut-être, mais ta sur, si ! Et puis si tu me racontais depuis quand vous faites des cochonneries ensembles ? »

« Ouah ! Ca fait longtemps ! Déjà, petits, on jouait au docteur, si tu comprends ce que je veux dire »

« Et tes parents n’ont rien vus ? »

« Maman doit s’en douter. Une fois même, on s’est fait surprendre par tante Agnès »

« Et ? Qu’est ce qu’elle a dit ? »

« Elle a refermé la porte et Christelle est allé la rejoindre pour discuter avec elle, un bon moment et, comme elle ne revenait pas, je suis parti voir mes copains. Mais je sais qu’elles n’ont pas fait que discuter … »

David s’interrompt et prend conscience qu’il en a trop dit.

Je le tance pour qu’il m’en dise plus, mais rien à faire. Il a promis de ne pas en parler et veut tenir sa parole.

Mon imagination se met en branle et je commence à assembler un puzzle.

D’abord ma petite fille, Christelle qui m’embrasse sur la bouche, la même qui passe beaucoup de temps avec ma fille Agnès, je me remémore alors qu’elles sont proches l’une de l’autre, même si Agnès habite loin. A chaque fois qu’elle vient en famille, elle trouve toujours un moment pour être seule avec Christelle. Tiens, tiens, c’est bizarre quand même !

Je chasse toutes ces idées par déni. Je ne veux pas admettre que ma fille soit lesbienne, d’ailleurs, elle est mariée avec un bon gars et a des enfants.

David insiste pour que je reste en sous-vêtements toute la soirée mais prend la précaution de fermer les volets pour ne pas être vus de l’extérieur.

Je sais qu’il m’épie quand je prépare le repas, mais je finis par m’habituer et c’est presque naturellement que nous passons à table. Lui nu, moi parée de dessous plutôt sexy.

Au moment d’aller au lit, je le repousse gentiment prétextant de la fatigue. Il m’embrasse si tendrement que je suis prête à craquer pour lui offrir de me rejoindre dans ma couche. Il me glisse à l’oreille, très directement :

« Tu peux me donner ta culotte ? » .

« Tu veux faire quoi avec ? Me la salir, comme les autres ? Tu n’es jamais fatigué !»

« Ben non, regarde »

Effectivement, il est en semi érection. Je lui tends ce qu’il désire et il file dans sa chambre.

J’entends son lit grincer et les ahanements qu’il fait derrière la cloison.

Ca ne m’empêche pas de m’endormir et de faire de jolis rêves.

David est au Lycée, il faut que fasse des achats coquins pour lui plaire.

Je reviens avec un tas de sacs et dispose mes achats sur le lit. Je souhaite qu’il choisisse lui-même ce que je vais porter.

J’attends son arrivée avec impatience et lui saute littéralement au cou dès qu’il apparaît.

Nous nous embrassons et je frétille de lui montrer mes achats.

Il regarde avec admiration les effets, les effleure et fait son choix avant de me laisser me préparer.

Il a craqué sur des bas noirs, un porte-jarretelles noir et rouge comme le soutien gorge, par contre la culotte est très échancrée et pratiquement transparente tant le voile qui la compose est fin . C’est la première fois que je porte ça et ça me fait tout bizarre entre les fesses. Je mets une robe bras nus qui m’arrive au dessus du genou, plutôt décolletée, et enfile mes talons, quelques bijoux,  avant de le rejoindre, un peu intimidée à vrai dire.

 «Génial Mamie !  Tu es superbe ! Tourne toi, ouah quel joli cul ça te fait ! »

« David, ne me parle pas comme ça, je suis ta grand-mère ne l’oublie pas ! »

« Ah, au fait mamie, j’ai invité des copains ce soir, ça ne te dérange pas ? »

« Si tu veux, mais je n’ai pas fait de courses. Ils sont combien ? »

« Trois, mais ils amènent à boire et à manger. Il y aura : Enzo, Bastien et Clément, ils ne devraient pas tarder »

« Je vais aller me changer tout de suite ! »

« Non mamie, reste comme ça. Je veux qu’ils voient comme tu es belle »

« C’est gentil mon chéri, mais là c’est un peu trop provoquant ! »

« Lève ta robe pour voir ! »

« Mais enfin, David ! »

Il soulève un pan et regarde mes fesses puis mon entrejambe, je suis confuse.

« Regarde, on peut voir tous mes poils »

« Pas assez, mamie »

Il glisse sa main sur ma toison et fait glisser un maximum de pilosité hors du tissu, qui ne cache déjà pas grand-chose.

Je me sens affreusement gênée. Il m’attire à lui et me fait asseoir sur sa jambe. Il m’enserre la taille et de l’autre main me flatte la poitrine avec douceur.

Il m’attire pour un long baiser qui me chavire, puis me dit :

« Mamie, je veux que mes potes voient comme tu es belle »

« Mais chéri, tu es fou ! Je ne tiens pas à plaire à tes copains, c’est juste pour toi que je fais ça !»

« Alors, fais-le pour moi. Je voudrais qu’ils voient comme tu es une belle femme et même qu’ils se branlent en pensant à toi ! »

« Mais tu es un gros dégoûtant, un sale vicieux même ! ». Malgré mes dénégations, je suis flattée des mots qu’il vient de dire, on m’a rarement complimentée, et maintenant, c’est mon petit fils qui me dit que je suis belle.

Mais il est trop tard pour réagir, on sonne à la porte et David s’empresse d’aller ouvrir

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