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ma première expérience lesbienne – Chapitre 1




Ça fait vraiment bizarre de repenser à ça…

J’étais encore jeune, juste dix sept ans quand jai fait la connaissance dune fille de mon bahut.

On ne se fréquentait pas particulièrement mais on avait quelques relations en commun. Elle était souvent à mes cotés,

Elle était très drôle et avait un sacré bagout ; sa bonne humeur et son entrain m’ont vraiment plu au point qu’assez rapidement elle a fait partie de mon cercle d’amies plus régulières.

Pour finir nous sommes devenues inséparables. Ensemble sur tous les coups à faire les fofolles, à interpeller les mecs, faire rire les copines, etc.

Pour fêter sa majorité (elle a un an de plus que moi), nous projetons de partir en virée toutes les deux du côté de Bayonne, dans la maison de vacances de ses parents.

Nous devons prendre le train un jeudi en plein mois de juillet pour revenir le mardi suivant.

La veille de notre départ, je vais passer la nuit chez elle.

Cest lors de cette nuit que jai découvert mon amie sous un nouveau jour, ce fut un choc mais elle a su me détendre en blaguant et en faisant le clown toute la soirée.

Comme jai préparé mon sac chez moi avant de la rejoindre, elle minvite à une séance dessayages à deux, histoire de ne pas prendre de trucs trop pourris avec nous ! La musique à fond dans la chambre, elle se propose pour commencer.

— Ok c’est parti !

Et là juste devant moi, elle retire tous ses vêtements pour mettre son maillot de bain. . « Le plus important » me dit-elle !

Sans me contrôler, mon regard se pose sur son minou presque totalement épilé.

Son minou : le même que le mien et pourtant si différent…

Elle éclate de rire! Ce qui me fait sans doute rougir et elle s’arrête d’un coup en me regardant dans les yeux

— Quoi ?! Tu n’as jamais vu de minou ou quoi ?

— …

— Non !!! Tu plaisantes là ?!! Non ? Tu ne plaisantes pas…. Ok, écoute, on va passer plusieurs jours ensemble à faire les folles et je ne veux pas de ce genre de fausse pudeur entre nous, on est copine ou quoi ?

— Mais oui bien sur, ça na rien à voir…

— Alors regarde moi !

Et en même temps qu’elle me dit ça, elle se met devant moi en dansant n’importe comment en remuant des fesses. Ce qui dédramatise ce moment pour moi !

— Ok maintenant toi. Déshabille-toi !

— Ca ne va pas non !

— Si, si, si, tu n’as pas le choix : je suis à poil devant toi et tu n’es pas morte alors tu ne mourras pas non plus si tu te mets nue ! Allez, allez !!

Et sans me laisser le temps de répondre, la voilà déjà près de moi à me retirer les vêtements.

Une fois que je suis juste en sous vêtements, elle recule, me regarde des pieds à la tête.

Je suis tétanisée devant elle et depuis le temps qu’elle est nue, je n’ai pas pris le temps de réellement la contempler.

Ses seins sont un peu plus gros que les miens sans être énormes ; son ventre un peu rond tout mignon et sa partie intime toute dépourvue de poils à part un peu sur le dessus.

Sans prévenir elle s’approche, je suis électrisée.

Sa poitrine vient se coller à la mienne quand elle passe les bras autour de moi pour dégrafer mon soutif.

Elle accompagne les bretelles qui glissent sur mes bras. Elle me frôle ainsi le coté de chaque sein, nouvelle décharge électrique dans tout mon corps.

« Par contre pas de culotte en vacances » dit-elle en s’accroupissant pour me retirer la mienne, « ce sera des strings ou rien. »

— Jnai pas de strings

— Alors ce sera rien

Elle recule de nouveau pour me regarder :

— Je savais que tu serais superbe et sexy toute nue. J’adore tes seins : on dirait des petites poires.

Elle me caresse un sein tout doucement : je frémis, elle sen aperçoit.

— Vas-y, dit-elle, touche moi aussi.

Devant mon hésitation, elle prend ma main et la pose sur son sein, le moment est doux et je n’entends plus la musique, juste mon cur qui bat comme un fou… Tu vois ce nest pas si terrible ! Par contre pour ta petite choune va falloir faire quelque chose !

Je sors de ma torpeur

— Quoi comment ça ?

— Ca ne te plairait pas une petite chatte épilée comme la mienne ? Regarde ! Elle me pousse sur le lit, je m’assieds, elle pose une jambe sur le bord du lit et me montre sa chatte.

Je suis terriblement gênée, je ne peux même pas regarder.

Elle me force à le faire et doucement je tourne la tête.

Mon dieu que c’est beau une toute petite touffe de poils sur le pubis et le reste exposé à mes yeux : ses petites lèvres dépassent un peu de ses grosses lèvres épilées.

— Et c’est vraiment tout doux en plus… touche…

— Non non…. cest bon…

— Mais si, dit-elle en me prenant la main.

Dans ma tête tout se bouscule mais je noppose aucune résistance, je me laisse guider.

Elle pose ma main sur son pubis, et toute seule comme une grande, je descends tout doucement vers ses lèvres.

Avec mon index, je touche celle de droite puis celle de gauche.

— Ah ça oui, elles sont douces

Mais en même temps, je vois quelque chose de terriblement érotique : une petite perle de liquide qui brille juste à lentrée de ses lèvres toutes serrées.

Cette vision fait jaillir en moi le feu que je ne peux plus contrôler, et je sens aussi mon liquide qui force le passage, je serre plus fort mes jambes.

Mon amie saperçoit de mon trouble et sans prévenir me bascule sur le dos, comme je ne résiste pas, cela lencourage.

— Montres moi ta foufoune, que je vois ce que je peux y faire.

Elle veut m’écarter les jambes mais ce coup-ci, je réagis et les serre plus fort, je ne veux pas qu’elle voit dans quel état je suis.

Mon vagin me lance pour que je le libère, les muscles de mes cuisses sont tendues comme jamais…

— Hé ! Là il faut que tu te détendes un peu, ça va aller, laisse moi faire… Et c’est tout.

Alors tout doucement elle desserre mes jambes.

Jenfouis mon visage dans mes mains, perdant complètement le contrôle et de mon corps et de mes dernières barrières.

Sa voix me rappelle à la réalité

— C’est magnifique… Ton minou est magnifique…

Elle reste là à regarder mon entre jambes encore quelques secondes qui me paraissent une éternité. Puis, doucement, avec le bout de ses doigts, elle écarte mes lèvres ce qui me fait gémir.

Elle les écarte encore et encore et je sens lair frais effleurer mes zones intimes alors que jai tellement chaud.

Je me sens couler juste devant ses yeux, mon jus descends jusquà mon anus, je ne contrôle plus rien.

Je ne bouge plus et elle me contemple quelques instants.

Puis je sens un doigt se poser à la source de ma fontaine et descendre lentement vers mon anus, mince que c’est bon !

Je n’avais jamais essayé de solliciter cet endroit pendant mes plaisirs solitaires et ce geste me coupe le souffle !

Consciente de mon émoi : elle caresse mon petit trou quelques secondes en appuyant un peu, puis elle dépose un baiser doux et chaud sur ma foune et me souffle de ne pas bouger.

De toute façon je suis tétanisée, complètement incapable de résister et de refuser.

Mais en fait, jai envie quelle continue !

Elle étend une serviette de bain au sol et apporte une bassine d’eau, un rasoir et de la mousse à raser.

Je narrive pas à la regarder dans les yeux, honteuse daimer ce quelle ma fait et de létat dans lequel elle me met.

— Viens par là maintenant.

Voyant que je me relève avec difficulté elle vient me soutenir, me prend dans ses bras et me force à la regarder

— Hé ! Calme toi, ça va aller, il n’y a rien de terrible ok ? Tu aimes ça ? Réponds-moi : tu aimes ça ?

Je fais oui de la tête.

— Alors y a pas de malaise, tout est normal, ok ?

Elle maide à m’allonger et écarte de nouveau mes cuisses.

(Que j’aime ça, qu’elle m’écarte les cuisses.)

Ma fontaine ne s’étant pas tarie, continue de déverser son flux entre mes fesses, et cette sensation est vraiment agréable

(Je ne me savais pas capable de mouiller comme ça !)

— Eh bien! On peu dire que tu mouilles toi !

Avec un petit mouchoir elle m’essuie un peu les fesses et les lèvres

— C’est tellement beau à voir tu sais… tu as déjà vu ?

— Non

— Tu n’as jamais regardé ta chatte mouiller comme ça ? Alors regarde !

Elle m’aide à m’asseoir, vient se placer à genoux derrière mon dos, instinctivement je referme les jambes, de nouveau elle me les écarte (hum)

Elle présente un miroir entre mes jambes et me demande de le prendre et de le placer correctement pour que je vois bien mon minou ruisseler de plaisir.

Je lui obéis ; d’une main experte elle écarte mes lèvres déjà bien ouvertes.

Je regarde sa main me toucher : ses doigts brillent de ma mouille.

Elle passe plusieurs fois son index sur mon bouton et le fait sortir de sa cache : il est rouge, énorme.

Elle joue avec entre ses deux doigts et étale ma mouille davantage.

Je regarde tout cela par le biais de la glace, le souffle court, je nen peux plus.

Je suis au bord de lorgasme, mon clito me fait mal à être gonflé comme ça.

Elle sen rend compte et cesse lentement jusquà me procurer un orgasme libérateur.

Dans le miroir sa main sagite sur mon intimité et glisse toute seule tellement je suis lubrifiée.

Au moment de ma jouissance je vois son index senfoncer dans mon vagin dun seul coup, les spasmes me coupent le souffle et je sens ma chatte se resserrer sur ses doigts.

Elle me laisse m’étendre sur le dos, mes cuisses se détendent pour quelle puisse retirer son doigt et sa main;

Je ferme les yeux vidée, jai soif mais je ne veux plus bouger.

Alors elle se lève et va me chercher un verre deau.

Je reprends mon souffle doucement et jai envie de lui rendre la monnaie de sa pièce mais elle me stoppe.

— On a le temps pour ça, pour l’instant je m’occupe de toi et j’ai du boulot ! Dit-elle en m’indiquant mon minou.

De l’entendre encore blaguer me soulage et me rassure.

— C’était la première fois pour toi ? me demande-t-elle

— Oui mais pas pour toi visiblement ?

Elle sourit

-Non …

— Je croyais que tu étais hétéro moi !

— Mais je le suis ! Ce qui ne m’empêche pas de prendre le plaisir là où il est ! Et là il est avec toi… Ce sera aussi un premier rasage intime je suppose ?

— Hé oui, aussi, oui !

— Ok alors je vais faire ça tout doucement, tu verras c’est super bon et pendant et après.

— Avec toi j’en suis sure !

Après m’avoir essuyé toute la mouille sur mes cuisses, mes lèvres et mes fesses, elle trempe ses mains dans l’eau et me les applique autour et sur le sexe.

Cest frais et bon. Elle me masse légèrement.

Mes jambes ne peuvent pas être plus écartées, jai mon minou à quelques centimètres de son visage et cette image allume une nouvelle flamme dans mon ventre.

Doucement elle étale un peu de mousse tout en continuant de me masser lentre jambes, puis elle me rase lentement en prenant bien son temps.

Elle sapplique sur une lèvre puis lautre, frôlant mon bouton qui de nouveau pointe en dehors de son capuchon.

Elle est très concentrée, je sens son souffle chaud sur ma peau, je suis ouverte devant sa bouche, (hum, si elle voulait )

— Mets toi à quatre pattes ma chérie que je te fasse un peu ton petit trou, il va être tellement plus beau….

Je lui obéis, vu l’état dans lequel je suis, je ne peux rien lui refuser.

Elle dépose la mousse, me rase, puis me passe de leau fraîche entre les fesses pour me rincer, montant et descendant jusquà ma chatte qui de nouveau, se met à palpiter.

Elle me caresse avec leau puis sans me prévenir je sens sa langue glisser entre mes fesses : je crie de surprise et de plaisir.

Un petit cri qui lui intime de continuer ! Elle descend jusqu’à mon anus et me le mouille de sa salive. Du bout de sa langue elle en frappe l’entrée.

Je retiens mon souffle devant ce nouveau plaisir.

Elle me procure aussi des massages de mon bouton et menfonce un doigt de temps en temps en alternance.

— Couche toi sur le dos et écarte tes cuisses ma grande…

Encore une fois je lui obéis

De ses deux mains elle écarte les lèvres de chaque coté faisant sortir d’avantage mon bouton.

Jondule des hanches, je n’en peux plus dattendre.

Alors avec une infinie douceur elle le prend dans sa bouche, laspire, le tète en le faisant tourner dans sa bouche, le pinçant entre ses lèvres, tout ça en même temps.

Je ne sais plus rien, je jouis dans sa bouche mon bouton au chaud sur sa langue, deux doigts dans mon vagin, cest un orgasme fulgurant, un long râle accompagne le spasme qui me traverse le corps…

Je suis exténuée : elle me prend dans ses bras et me conduit au lit.

Je mendors dans ses bras, contre ses seins. Elle garde un doigt sur mon petit trou : je trouve ça trop mignon.

En tout cas ce n’est que le début des vacances qui ne sannoncent pas de tout repos mais riches en découvertes !

Ça ma remise dans un drôle d’état de raconter tout ça.

J’espère que ça vous plaira un peu.

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