Lors d’une soirée passée entre amis, j’avais un peu beaucoup bu. D’habitude je suis très raisonnable et j’ai une vie rangée, je suis un peu timide. Ce soir-là, aux petites heures du matin je voulais rentrer chez moi. Un peu amochée je dois l’avouer mes amis m’en empêchèrent. François offrit de venir me reconduire. Je n’y voyais pas d’inconvénients, françois est mon meilleur ami depuis ma tendre enfance, on se dit tout.

Dans la voiture tout s’est bien passé. On a parlé un peu.. je me suis même endormie. Lorsque je me suis réveillée, j’étais dans mon lit, une tête entre mes seins. J’ai tenté de me dégager… ’Je fais rarement des lifts gratuits’. Tout tournait autour de moi. Rien ne cohérait. François à qui j’ai toujours tout dit, en qui j’ai complète confiance profitait de moi. Mes mammelons pointaient déjà vers lui par contre.. Ils me trahissaient.

Quand j’ai bu je suis toujours plus entreprenante côté sexe…Donc j’étais déjà nue. François m’a caressé. Au moins il n’a pas été trop brusque. Il était rendu à ma chatte. J’avais les jambes serrées. ’pssst pssst.. tu me dois quelque chose, sois docile, écarte les jambes’. Je ne les ai pas écarté j’ai reçu une baffe. Elles se sont finalement écartées.. Ses doigts jouaient avec mon clito. Entraient dans mon vagin.

À partir de ce moment, j’aurais voulu prendre les devants. Mais devant mon meilleur ami je ne voulais pas paraître d’une cochonne. Je restai donc sage. François se déshabille en me regardant dans les yeux. Puis il accote sa queue sur mes lèvres. Jouvre la bouche et il se masturbe avec, me tenant par les cheveux. Il ne jouit pas dans ma bouche. Il me fait mettre à 4 pattes, comme une chienne.

Ses doigts vont et viennent de mon vagin à mon anus. Je suis là immobile, le cul tendu qui oscille. Je me sens ridicule. Puis il me pénètre avec vigueur en me criant des conneries, des cochonneries. Il me traite de tous les noms. Moi qui croyais être son amie! Je n’ai pu retenir un gémissement quand j’ai joui: ’’Garde donc la petite nymphomane, elle se frotterait après un tapis pis elle jouierait pareil!

J’aurais jamais pensé que t’étais rendue si basse, si en manque. Finalement ce soir je t’aurai doublement rendu service!’ Lui il n’avait pas encore joui. J’allais subir ses assauts dans tous mes trous jusqu’au petit matin. Je n’aurais pensé ça de lui. Depuit cette fameuse nuit, je ne lui ai jamais reparlé, je n’ai jamais osé lui téléhponer..

Je redoute notre prochaine rencontre. Il a dit à tous nos amis que j’étais une véritable cochonne dont le sexe est le seul intérêt.. que c’est moi qui l’avait abordé…. Je n’ai fait que subir. J’ai été quasiment violé..

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