Vous raconter, c’est revivre ma soirée de samedi.
C’était les vingt ans de médecine de mon époux, nous étions plus de deux cents.
C’était organisé de main de maître, une salle magnifique au Conrad, des bouquets partout, un repas étoilé, une piste de danses comme je les aime, glisse facile, la musique d’époque, slows, rocks, tangos.
J’avais à nouveau 20 ans, je me sentais belle et désirable, je sentais que j’allais comme à l’époque pouvoir démarrer au quart de tour.
Je vous ai déjà dit mon mari très peu jaloux , me laissant beaucoup de latitude.
Lui, son deal, un fauteuil club type année 50 , un verre de cognac en main, refaire le monde avec ses vieux potes.
Revenons à la soirée, j’avais retrouvé ma pêche d’antan, cheveux longs, bouclés, un parfum d’enfer, habillée sexy, robe longue fendue haut,soyeuse et fluide laissant deviner mes seins libres fermes et tendus, je me sentais la proie de tous.
J’aime allumer les maris affamés , j’aime les sentir excités, j’aime les faire fantasmer … !
A table, j’aimais ces regards sur moi, sur mes cuisses haut dévoilées, sur les pointes de mes seins qui excités se devinaient au travers de la soie.
Contrairement à ces épouses poussiéreuses, toute la soirée, j’étais sans cesse sollicitée par l’un, par l’autre.
Je sentais ces mâles affamés, qui sous le couvert de la dance en profitaient pour se coller à moi, me sentir,et moi, j’aimais aussi me coller à eux pour les exciter et les sentir bander entre nous. J’aime ces mecs qui bandent pour moi, j’aime les savoir excités par mon corps, j’aime imaginer que je les vole à leur épouse, que ce soir, il baiseront leur femme en pensant s’enfoncer en moi, j’en mouille, j’en suis folle, j’imagine des scénarii divers, je me laisse aller.
Le plus terrible, ce fut Philippe, nous dansions un tango à corps à corps, il bandait ferme et cà chaque mouvement, il en profitait pour me faire sentir son érection évidente. J’aimais, j’étais excitée, j’en voulais plus. La série de slows suivantes, nous étions étroitement soudés, savourant la chose, lui épousant mes formes le plus qu’il pouvait, moi me frottant à cette verge verticale coincée entre nos ventres.
On n’en pouvait plus, chacun voulant plus.
Comment faire, son épouse n’étant pas loin ?
Cette verge, il me la fallait en moi, bien au fond, je voulais la sentir entrer, s’enfoncer à fond, sortir, rentrer et la sentir exploser bien au fond de moi !
Ayant une chambre au 5èm étage, nous sommes partis comme des voleurs et nous avons en un quart d’heure connu une étreinte folle.
Arrivés dans la chambre, on s’est embrassés comme des fous, chacun à déshabillé l’autre, il était magnifique, très musclé, une belle grosse verge raide comme de l’acier. Couchée sur le lit, il humait mon fond de culotte trempé, il léchait, il se délectait puis il m’arracha brutalement ma culotte et il prit possession des lieux, une langue indiscrète recueillait mon liquide tandis qu’un doigt ayant débusqué mon clitoris, le stimulait. Ce traitement me fit exploser comme jamais encore, il ne laissa pas de répit, il me pénétra et s’enfonça en moi jusqu’au fond où il fit une pose pour m’embrasser et me dire que j’étais la plus belle femme qu’il avait rencontrée, je jubilais, nos bouche se bouffait, nos salives coulaient, j’en voulais plus, il le comprit, il commença à me limer fort comme j’aime, je le sentait encore grossir en moi, il occupait tout,il massait bien toutes mes parois, de mon côté, assez clitoridienne, de mon doigt je massais mon bouton complètement sorti de sa gaine et bien huilé par mon jus. Le plaisir montait, il était assez endurant, je me sentais proche d’une nouvelle explosion et c’est mon orgasme assez peu discret qui déclencha son éjaculation en plusieurs jets assez puissants en moi.
Nous étions bien, nous restâmes aini quelques minutes avant de descendre rejoindre les autres.
Revenus dans le grand salon, le voir au bras de son épouse me procura encore une certaine jouissance de savoir que j’avais volé à cette femme le jus de son homme, que les jours suivants en la baisant il baiserait dans sa tête avec moi …