Les autres le regardaient faire, excités à un point… Elle, écartelée, ses chairs en feu, entre douleur et plaisir, désorientée, elle reprenait des forces en attendant la suite. Il lui mit un bandeau sur les yeux et un bâillon dans la bouche. Elle crut suffoquer, le temps de s’habituer, elle y était habituée pourtant. Monsieur retourna s’asseoir, il sera spectateur à présent. Sans un mot, juste par un geste, il fit signe à ses hôtes qu’ils pouvaient y aller. Un premier se leva et s’approcha d’elle. Il cingla ses seins avec la cravache. Elle gémit. Ses tétons pointaient fort. Puis un autre s’approcha, passa derrière elle. C’est son cul qui l’intéressait. À genoux derrière, il écarta largement ses fesses pour venir y lécher son petit orifice. De gros coups de langue bien baveuse.
Il saisit ensuite un plug qu’il lui enfonça d’un coup sec, la faisant gueuler. De douleur ? Je ne crois pas. De surprise peut-être. Il s’amusa à le faire tourner dans son anus, il le faisait entrer et sortir, son illet se dilatait vite, acceptant de mieux en mieux ce bel objet. Un troisième les rejoint. Il frappa sa chatte avec ses doigts, malmena ainsi son clito tout gonflé. Elle gémissait de plus en plus, elle recevait du plaisir de toute part. Le plug lui procurait beaucoup de sensations. Le second homme lui avait accroché des pinces au bout des seins et jouait, tirait. Ses tétons étaient tout déformés, douloureusement excités. Le dernier avait saisi un martinet. Son manche, de taille respectable et bien lisse, était parfait pour exciter sa chatte.
Il glissa l’objet entre ses cuisses, le fit coulisser d’avant en arrière, il frôlait ses lèvres, glissa entre elles. Il le positionna, prenant garde de ne pas lui faire mal. Et l’enfonça. Le manche commença à la baiser, il le faisait aller venir en elle, elle poussait de petits cris. Ce mélange de jouets, pinces, plug, manche, la rendaient dingue. Mais elle voulait des queues, de vrais membres, chauds, plus doux, elle attendait le bon vouloir de ces messieurs. Son maître approcha, la détacha, lui retira bandeau, et bâillon, avant de retourner s’asseoir. Elle s’écroula au sol, épuisée. Elle le chercha du regard, elle avait besoin de ça, de le voir, immédiatement, elle reprit des forces, elle était prête à continuer, pour lui. Les trois hommes étaient debout près d’elle.
Un s’allongea, il lui ordonna de venir s’empaler sur son sexe. Elle le chevaucha, les deux mains posées au sol, le cul en arrière, redressé. Elle s’offrait au second homme. Le plug encore bien enfoncé, son anus se contractait tout seul. Elle se déchaînait sur cette queue, la chatte en feu, brûlante, elle jouit une première fois, continua, à monter et descendre, sur ce pieux inconnu, si dur… Le second retira le plug, se plaça à quatre pattes derrière elle, et l’encula d’un coup sec, brutal. De gros coups de reins qui la poussaient en avant. Il trouva la cadence, pour s’accorder avec son rythme à elle. Prise par les deux trous, elle gueulait sans cesse, eux aussi, mais avec beaucoup plus de retenue. Le troisième regardait, il observait de près.
Il matait son cul, son anus qui se faisait matraquer, pilonner si fort. La queue entre ses mains, il se branlait. Il vient se mettre à genoux, à côté d’elle, l’attrapa par les cheveux, et lui colla son sexe dans la bouche. C’est lui qui bougeait. Son bassin allait d’avant en arrière. Sa bouche de salope avalait son sexe entier, elle le pompait. Lui était plus expressif, très bruyant. Il ne tarda pas à jouir, lui arrosant copieusement le visage. Puis s’enfonça de nouveau entre ses lèvres, il était encore plein de vigueur, ne débandait pas. Les deux autres étaient à bout aussi. Elle s’enfonçait toujours très fort sur le premier, et le second la défonçait tant qu’il pouvait. Elle était à bout de souffle, toujours en train de sucer le troisième. Il éjacula dans sa bouche, une quantité impressionnante de sperme bien chaud.
Il avait de sacrées réserves. Elle but tout ce nectar, l’homme se releva, et alla se rasseoir. Elle se déchaîna encore plus sur le premier, qui inonda sa chatte en plusieurs jets puissants. Elle resta sur lui, se caressa le clito, elle avait envie de jouir… Elle descendit, de sur lui, se plaça bien à quatre pattes, le dos cambré au maximum, comme une chienne en rut. Le second se renfonça de plus belle entre ses fesses, défonçant son anus, et dans un cri énorme, son corps se tendit, et il s’épancha en elle. Sa queue saccadait, il allait et venait encore, plus doucement. Il lui mit une grosse claque sur la fesse, se retira, et retourna s’asseoir à son tour. Elle resta là, au sol, à quatre pattes, épuisée, couverte de sperme. Son maître la regardait, satisfait, fier.
Il retira sa veste, s’approcha de se soumise. Il la fit se relever, plaça la veste sur ses épaules, et la serra bien fort tout contre lui. Elle tremblait, d’épuisement sans aucun doute. À son contact, elle était bien, rassurée, elle s’abandonnait, laissant partir toute cette pression. Il la garda près de lui, assise à côté, tout le reste de la soirée. Ils partirent. Il la conduisit à la salle de bain, sous la douche. Il la lava soigneusement, l’essuya, et la mena au lit. C’est dans ses bras, qu’elle s’endormit. Elle savait qu’au réveil, elle aurait sa récompense, l’amour de son maître. Il lui ferait l’amour, longuement, tendrement. Il l’embrassa, et ils s’endormirent. Elle épuisée, lui fier, de sa petite louve. Elle se réveilla la première, alla se doucher rapidement, et revint auprès de Monsieur. C’est avec une gourmande fellation, qu’elle se permit de le réveiller.
Fin