Jacqueline 2, Suite de Jacqueline 1

Elle prend appui sur les barreaux de la chaise où je suis assis et se lève calmement. Ses seins fermes passent devant mon visage. Je peux voir les tétons sombres et durs, les aréoles fripées et rétrécies sous l’excitation.

Ma bouche avide en saisit un au passage, je le suce, l’aspire, le fait rouler entre mes lèvres. La pointe de ma langue trouve le bout du téton et joue avec lui.

Mais Jacqueline ne veut pas en rester là, elle redescend doucement vers ma verge turgescente au gland cramoisi. De sa main experte, elle guide mon sexe vers sa chatte ouverte.

Lentement, mon dard pénètre son intime blessure. Mon membre raidi par le désir est accueilli dans son antre chaude et humide. Quelle sensation !

Je sens son vagin vibrer doucement et enserrer agréablement mon sexe d’une gaine vivante.

Nous ne bougeons plus mais nos corps se couvrent d’une fine sueur car dehors il fait chaud et malgré la fenêtre grande ouverte, il y a peu d’air dans la pièce et pas de courant d’air.

Je me lève avec Jacqueline agrippée à mon cou et plantée sur ma queue. Doucement je monte les quelques marches qui mènent à son lit. A chaque marche, sa chatte monte et descend, dans un mouvement particulièrement sensuel, le long de ma queue gonflée par l’envie.

Je m’approche du lit lentement, je me penche doucement en avant, le dos de Jacqueline touche sa couche. Je suis toujours fiché profondément en elle. Je m’allonge sur elle et je commence un langoureux va et vient.

Jacqueline tremble, me griffe le dos et, entre deux soupirs, me dit :

— Amour, mets ton gros dard dans mon petit trou.

Elle remonte ses deux jambes, relève ses fesses bien haut. Je passe mon gland luisant sur son petit trou, sa cyprine le lubrifie.

Je guide la pointe de mon gland gonflé à souhait sur l’entrée de ses fesses. Je pousse doucement et très lentement.

Elle est serrée mais je force un peu, elle gémit. Mon gland entre péniblement et il me fait mal. Je continue ma poussée, la pénétration est délicate. Elle nous fait mal à tous deux, nous crions.

Je pousse encore et, d’un seul coup, je sens son sphincter se détendre et ma queue entre plus facilement. Mes deux mains serrent fortement ses tétons. Elle crie plus fort et je continue à m’enfoncer en elle.

Je m’arrête, planté dans ses fesses. Nous reprenons nos esprits, nos deux corps dégoulinent de sueur.

Je commence mon va-et-vient, Jacqueline gémit de plaisir, que je sens monter en elle. Mon mouvement s’accélère, ma respiration est haletante, ses gémissements sont suaves et remplis de plaisir.

Mes couilles se contractent, ma sève monte à l’intérieur de ma verge et mon sperme jaillit en de longues giclées à l’intérieur de son corps.

Nous restons de longs moments inertes mais essoufflés, nous reprenons nos esprits. Je caresse doucement son visage en sueur.

Je me décolle d’elle et m’allonge à ses côtés, sur le dos, elle fait de même.

Nous voilà allongés, sur le dos, l’un contre l’autre. Nos épaules sont collées, nos bras aussi, et nos mains sont jointes. Nous avons les jambes légèrement écartées, mon sexe retourne doucement au repos.

Nous sommes silencieux, seuls les bruits de la nuit comblent le vide de la nuit. La lueur blafarde des lampes de chevet nous enveloppe et nous sommes, là, inertes.

Jacqueline me demande si j’ai soif. Je lui dis que oui. Sa main quitte ma main et elle se lève. Sa peau luisante brille dans la pénombre de la chambre, la fine toison noire, qui couvre son mont de vénus, est collée par nos jouissances.

Elle disparaît quelques instants et revient chargée d’un seau rempli d’une bouteille de champagne et de deux flûtes givrées. Elle débouche la bouteille et remplit les deux verres.

Je m’assois et prends le verre qu’elle me tend. Nous trinquons et buvons le frais nectar.

Une première gorgée, une seconde, je garde la troisième dans la bouche et approche mes lèvres de celles de Jacqueline. Nos lèvres se rejoignent, j’ouvre ma bouche et je la vide dans sa bouche. Nos langues sont baignées par les bulles fraîches qui éclatent dans nos bouches.

Soudain, une idée germe dans mon esprit, je verse quelques gouttes entre ses deux seins, le nectar coule jusqu’à son nombril, je me penche sur son ventre et je lèche le doux liquide. Jacqueline pousse des petits cris stridents.

Elle remplit sa bouche de champagne et d’une main experte guide mon membre raidi vers ses lèvres. Mon gland pénètre dans le liquide froid et je sens sa langue titiller le méat. Elle me fait une fellation volcanique qui m’amène aux bords de l’explosion.

J’éjacule avec violence dans sa bouche remplie de champagne, mon sperme se mêle au doux nectar. Elle aspire goulûment tout le liquide qui se trouve dans sa bouche. Je reste planté dans sa bouche car ma queue s’y trouve bien.

Elle met le goulot de la bouteille sur mes lèvres et verse du champagne. Le liquide remplit ma gorge. Elle me demande de ne pas l’avaler mais de le garder.

Elle pose son sexe sur bouche, j’ouvre ma bouche et crache les bulles dans sa chatte béante. Je souffle fort, le liquide s’enfonce dans son vagin. Alors, rapidement, elle change de position et met son sexe sur mon gland qui glisse doucement entre ses lèvres. Je sens la fraîcheur du liquide qui raidit un peu plus ma bite.

Je m’active en elle, elle crie, ses ongles s’enfoncent dans ma chair. Alors, j’accélère le mouvement. Soudain Jacqueline est prise de tremblements, je m’enfonce le plus profondément possible.

Elle jouit, les parois de son vagin se resserrent sur ma bite. Ma jouissance monte et j’éjacule en de longs jets de sperme. Elle tombe sur moi, épuisée. Nous sommes trempés par la sueur, le sperme, la cyprine et le champagne.

Nous restons de longs moments ainsi, soudés l’un à l’autre. Nos corps alanguis se reposent et nous nous endormons, heureux de cette nuit d’amour.

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