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le conflit des générations – Chapitre 3




Ma tante et le voisin.Trois jours plus tard, ma tante nous ayant laissées tranquille pour que l’on récupère un peu, nous voyons Albert arriver.

« Hello tout le monde, je ne savais pas quoi faire cet après-midi, j’ai donc décidé d’aller à la vigne. J’emmène gros nichons avec moi. Par contre, Gisèle si tu veux j’ai quelque chose pour toi t’amuser avec la petite chienne »

Voilà, ils avaient décidé de nous appeler comme ça. Moi j’étais gros nichons ou la vache selon, Lolo c’était la petite chienne. On les vit discuter et échanger quelque chose sans voir ce que c’était

.« Tu restes à poil ! »

« Mais si on croise quelqu’un ? »

« Et alors, il se rincera l’il, en plus tu aimes ça t’exhiber devant des inconnus. En route »

Je le suivis et on partit à travers champ pour la vigne. Mes seins ballottaient dans tous les sens. Il tira sur mon genou pour écarter mes cuisses. En arrivant, il s’approcha de moi, il avait des pinces dans les mains. Il m’en accrocha une à chaque téton ainsi que sur les grandes lèvres de ma chatte et il y installa des poids. Il les fit se balancer, je gémis.

« Arrêtes ton cinéma, tu aimes ça, j’ai donné les mêmes à ta tante pour l’autre chienne »

Il me gifla un sein. Je gémis plus fort. Je dus le suivre. J’avançais à petits pas pour éviter les balancements. Je me penchai pour travailler sur un pied de vigne. Mes tétons furent étirés par les poids. Albert me regardais, il mit sa main sous mes seins et s’amusa à les faire bouger. Je gémissais à chaque balancement. Au bout d’un certain temps, il enleva les pinces, j’avais les tétons violets et douloureux. Je continuais à travailler à ses côtés. Lorsqu’une voix s’éleva

.« Et bien Albert ce n’est pas désagréable de travailler dans ses conditions »

« Elle avait chaud et j’ai accepté qu’elle se déshabille pour qu’elle soit plus à l’aise »

Je restai pencher et travailler, j’étais gênée.

« Redresses-toi et dis bonjour, un peu de politesse jeune fille »

Je me redressais pour dire bonjour.

« Houlà, elle a de gros nichons dis donc ! »

« Oui, ils sont lourds même. Vas-y soupèses »

Il ne se fit pas prier. Il mit ses mains en coupe sous mes seins et les soupesa, puis il les malaxa et tritura les tétons.

« J’ai l’impression d’être à la foire pour choisir une bonne vache laitière en lui soupesant les mamelles »

« Tu as raison c’est une bonne laitière avec de bons pis »

Il passa sa main sur ma chatte puis me tourna et me claqua les fesses.

« La peau est douce et elle a une bonne croupe. Si je ne me trompe pas c’est la nièce de Gisèle ? C’est d’elle dont me parlait son oncle, quand il était à l’hôpital. Je croyais qu’il divaguait mais c’était vrai. C’est une bonne grosse cochonne d’après tout ce qu’il m’a dit »

Ses doigts entrèrent dans ma chatte.

« Et ça mouille bien, elle n’a pas chaud en fait, elle est plutôt en chaleur. Elle a besoin d’être saillie. Tu permets ? »

Albert haussa les épaules et l’autre m’entraîna vers le tracteur. Je dus m’appuyer contre, il me prit par derrière.

« Tu mouilles bien salope, prends ça ! Je vais de défoncer la chatte, tu vas savoir c’est quoi un taureau »

Effectivement, il avait une grosse queue et il me pénétra d’un coup de rein. Il me défonça la chatte pendant un moment tout en me labourant les seins et éjacula sur mes fesses.

« Bon Albert, je te laisse. Tu as bien fait de me dire de passer, tu me montreras le film que tu as fait à l’occasion »

Je me nettoyais et voulus retourner dans la vigne mais Albert était là derrière moi.

« Tu as aimé ça salope, te faire saillir comme une chienne ! » 

Il me coinça contre le tracteur et m’attacha aux montants, me remit les poids aux seins et à la chatte. Il s’amusa à les balancer puis il en rajouta d’autres aux seins. Ca tirait fort sur mes tétons, il resserra les pinces qui glissaient. Je gémis. Il partit travailler à la vigne. Mes tétons me faisaient mal, à la chatte s’était supportable. Il revint au bout d’une demi-heure environ pour les enlever. La douleur fut plus forte quand le sang revint dans les bouts. Il s’amusa avec ma chatte dont les lèvres étaient toujours étirées par les pinces. L’excitation faisait gonfler les lèvres du coup, j’avais mal à cause des pinces. Il me bâillonna et sortit le martinet noir.

« On va voir si tu aimes encore ça te faire baiser par des inconnus ! »

Il me fouetta les seins, le ventre, la chatte. Il s’énervait surtout sur ma poitrine. Elle était marbrée de zébrures et boursouflures mais il continuait. Il lâcha le martinet et me les gifla à la volée. Puis il sortit une petite roue crantée comme pour la pâtisserie pour la passer sur mes seins. Ca piquait, il appuyait suffisamment pour que je sente bien les petits piques. Il enleva les poids de ma chatte et la claqua. Il me détacha et me rattacha dans l’autre sens et me fouetta les fesses. Il me détacha à nouveau et me mit à quatre pattes pour me sodomiser. Il força mes reins tout en me branlant le clito.

« Tu mouilles bien dis donc pour quelqu’un qui est sensé avoir mal quand on la punit. »

Je finis par jouir une fois par ce qu’il me branlait le clito, la deuxième parce que j’aimais être enculée. Ils avaient raison j’étais vraiment une salope, j’aimais la baise dans tous les sens, j’aimais que l’on me fasse mal aux nichons.

 Pour rentrer, il démonta la porte amovible du tracteur et m’attacha aux montants, le bâillon enlevé, j’étais debout sur le marchepied face à lui. Il passa par le chemin car à travers champ, j’aurai pu me faire mal avec les cahots. Mais bien sûr le chemin n’était pas désert et l’on croisa plusieurs personnes qui purent me voir. Pendant ce temps, tout en roulant lui, s’amusa à me pinçait et à me tordre les tétons ou à me triturait la chatte. Au moment où l’on croisa un homme seul qui regardait ce spectacle, je jouis en criant mon plaisir

.« Joli cul ! »

Albert s’arrêta.

« Tu veux toucher, te gênes pas ! »

L’homme grimpa sur le marchepied, glissa sa main entre mes cuisses, me doigta la chatte en tripotant un nichon puis il branla mon clito ce qui eut pour effet de me faire de nouveau jouir en criant.

«Bonne salope ! Amuses-toi bien Albert »

On rentra ma tante et ma cousine n’était pas encore là. Il m’attacha au piquet avec la chaîne et partit. Lorsque ma tante rentra, elle me détacha et me prit en photo sous toutes les coutures. Ma cousine semblait en avoir bavée aussi. Je me douchais et elle me passa du baume sur le corps, je gémis de douleur surtout les seins, j’avais des hématomes qui apparaissaient. Elle me mit des compresses d’eau froide.

 Le soir, Lolo et moi, on se caressait et on se faisait jouir à la demande de ma tante qui nous filmait et prenait en photo. Quelques jours plus tard, quand ça allait mieux pour ma poitrine ma tante m’appela dans le séjour.

« Albert m’a raconté que tu t’étais faite saillir par un inconnu et tripotée par un autre qui t’avait même fait jouir, tu as aimé ça. Je ne sais plus quoi faire avec toi et ta cousine, plus le temps passe plus vous êtes des salopes »

Je vis pleins d’objet posés et des cordes ma cousine était déjà attachée sur une des tables car il y avait deux tables côte à côte maintenant. La machine à baiser était sur un trépied et était en train de défoncer sa chatte. Je voyais aussi des anneaux au plafond. Le camescope était dans un angle et tournait. Ma tante me mis des cordelettes autour des seins comme la dernière fois, je compris qu’elle allait de nouveau m’attacher par les seins

.« Tes mamelles de vache vont mieux, je vais donc pouvoir te punir de nouveau. De toute façon, tu aimes ça »

Je secouais la tête pour dire non. Elle me gifla un sein.

 « Oui ma tante j’aime ça »

Je montais sur la table où je m’allongeais, elle attacha les cordelettes à la corde et tira. Je voulus me redressais, elle me claqua la chatte. Elle m’attacha ensuite les bras en croix comme Lolo, tira encore la corde. Je gémis, j’avais l’impression que l’on m’arrachait les seins. Elle prit l’un deux dans la main et le pressa, puis le secoua. Il ne bougeait pas beaucoup tellement il était étiré. Elle me pinça les tétons. Je criais un peu, elle me bâillonna. Elle me badigeonna le sexe de vaseline.

« Plies tes jambes et ne bouges plus sinon je tire sur la corde. Regardes j’ai fait faire une deuxième machine pour toi  ma cochonne »

Elle posa un deuxième trépied et y installa une deuxième machine à baiser, qu’elle mit en route d’abord sur une petite vitesse et elle accéléra. Elle nous filma pendant que l’on était baisé par les machines. Lolo qui était là depuis un moment commença à gémir. Elle n’était pas bâillonnée et pouvait crier de plaisir à loisir.

« Oui ma tante plus vite la machine, c’est trop bon, je vais jouir ! »

Ma tante accéda à sa demande et augmenta la vitesse, Lolo criait en jouissant. Elle se fit fouettait sur tout le corps. Puis elle vint vers moi, augmenta la vitesse de la machine et se mit sur le côté pour me fouetter. C’était bon, car ce n’était pas le martinet noir. Je gémissais de plaisir malgré mes seins malmenés par le martinet et les cordes. Elle le posa et me claqua les tétons qui étaient devenus très sensibles mais j’aimais. Elle fit glisser le bâillon. Je criais de plaisir en jouissant la chatte toujours défonçait par le gode de concert avec Lolo.

 Ma tante me détacha du plafond et prit le martinet noir. Au moment où je jouis une nouvelle fois à cause de la machine, elle se mit à me fouetter surtout les seins. Je criais, elle me remit le bâillon. Elle se mit entre les deux tables avec deux roulettes et s’amusa à les faire rouler sur nos seins en appuyant pour que cela pique bien. Et elle me fouetta à nouveau les seins

« A mon tour de te les marbrer, tu vas aimer que je te fouette tes grosses mamelles de vache ! Salope ! Vous aimez vous faire baiser et bien vous allez être servies »

Elle nous mit un bandeau sur les yeux. J’entendis des voix d’hommes, je reconnus celle d’Albert et de l’inconnu qui m’avait baisée dans la vigne et une autre encore. On enleva la machine et je sentis que l’on me passait quelque chose d’humide sur la chatte pour la nettoyer. On me titilla le clito et je jouis presque aussitôt, j’entendis ma cousine jouir aussi. On me pénétra violemment tout en titillant mon clito, je sentis que l’on me suçait un téton. Je gémis de plaisir malgré mes seins qui me brûlaient. Aux bruits que faisait ma cousine, elle avait droit aux mêmes traitements. 

On me détacha et je me retrouvai à cheval sur une queue avec une autre dans le cul. J’étais btallotée dans tous les sens, je criais et jouissais sans retenue puis ce fut au tour de ma cousine. Quand ce fut terminé, on passa à la douche puis on leur servit le café et des gâteaux pendant qu’ils se passaient les films qui avaient été tournés. Lolo et moi étions debout dans un coin, elle comme moi étions gênées de nous voir ainsi en gros plans dans diverses positions, ouvertes, écartelées et offertes. Quand tout le monde fut parti, nous sommes allées nous reposer, nous avons dormi quasiment 24h d’affilée. Mes seins étaient douloureux et voir bleus, Lolo avait des hématomes sur les fesses.Ma tante entra dans la chambre et nous caressa les seins et les fesses prit des photos.«

 Mes deux petites salopes, nous avons passé du bon temps hier. J’aime voir vos corps maltraités et défoncés. Vous aussi vous avez aimé ça, vos cris de plaisir ont dû s’entendre à des kilomètres. Dommage que l’été s’achève. Toi, Evelyne s’est bien que tu es trouvé du travail sur le secteur, du coup tu vas rester le temps de te trouver un appartement et toi Lolo malheureusement, tu pars »

« J’ai beaucoup aimé mon séjour chez toi, je reviendrai comme toujours »

Lolo serra ma tante dans ses bras en l’embrassant.

« J’ai quand même une bonne nouvelle à vous annoncer, Albert et moi allons vivre ensemble. Comme lui et moi avons les mêmes goûts rien ne changera »

On sauta au cou de notre tante pour la féliciter. Le lundi, ma cousine partit et moi je restai car je commençai à travailler le lendemain. Je continuais à vivre nue chez ma tante et Albert vint s’installer 3 semaines plus tard. Mais je dois dire que rien ne se passait, tout était normal pas de séances spéciales. Je considérai Albert comme mon oncle et pour lui j’étais comme sa fille. Ce qui fait que en dehors que j’étais toujours à poil faisait que tout était normal.

Jusqu’à un dimanche matin, où quand je me levais, je vis une femme dans la cuisine avec mon oncle et ma tante. Je pris ma tante par le cou pour l’embrasser et me penchais sur Albert pour faire la même chose tout en attrapant la cafetière sur la table ce qui fait qu’il avait mes seins devant les yeux. L’amie de ma tante fut choquée.

« Mais Gisèle, tu trouves ça normal ? »

«  Quoi ?»

« Mais elle est nue devant vous et surtout devant Albert et elle lui a pratiquement mis les seins dans le visage »

« Il n’y a rien de mal, il l’aime comme sa fille »

« Mais ce n’est pas une petite fille, elle a 24 ans »

Je m’assis à table pour boire mon café, je voulus attraper le pain, mes seins atterrirent sur la table et Albert les repoussa de la main.

« On ne met pas ses gros nichons sur la table, jeune fille »

La dame était rouge.

« Mais là, il les a bien touché non ? »

« Oui, mais il n’y a rien de sexuel »

Et moi que la dame énervait un peu. Oui j’étais à poil et alors j’aimais ça être leur jouet

« Pour changer de sujet, je pense que je vais m’acheter une voiture avec ma première paye, tu en penses quoi Albert ? »

« On y a pensé figures-toi, ce serait mieux pour l’hiver. On a décidé de t’aider avec ta tante car tu nous aides ici »

Je me levai et pris mon oncle dans mes bras, mais comme il était assis, je le serrais contre moi, son visage dans mes seins puis j’embrassai ma tante qui en me rendant mon câlin mit sa main sur mes fesses.

« Vraiment, je ne comprends pas comment vous pouvez avoir ce genre de gestes, je trouve cela déplacé vu qu’elle est entièrement nue»

« Tu veux voir quelque chose de malsain ? »

En disant ces mots, ma tante embrassa mon téton et je sentis son doigt sur mon clito. Je gémis, ça faisait en plus plusieurs semaines que je n’avais pas fait l’amour. J’écartais légèrement les jambes et ma tante ouvrit ma chatte pour pouvoir mieux titiller mon clito. La personne se leva scandalisée et partit en claquant la porte.

« De toute façon, même si c’était soi-disant une amie, je ne l’aimais pas trop. Par contre toi, tu as très vite mouillée, tu ne serais pas en manque ! A quatre pattes et vas chercher le martinet, ça fait longtemps que je n’ai pas joué avec tes mamelles et que la machine ne t’a pas baisée. Salope ! »

Quand je revins le martinet entre les dents, je dus me mettre à genoux les mains sur la tête et ma tante commença à me fouetter pendant qu’Albert filmait, moi je gémissais de plaisir. La porte se rouvrit à la volée, c’était encore l’autre.

« Vous devriez avoir honte c’est de l’inceste !…Mais qu’est-ce que vous faites ?!! Arrête Gisèle, tu vas lui faire mal ! »

« Mais non, écoute là, elle gémit de plaisir »

La pauvre dame tomba assise. Pendant que ma tante s’occupait d’elle et lui expliquait, Albert m’attacha en croix sur la table et installa la machine à baiser sur le trépied et la mit en route puis me badigeonna la chatte de vaseline avant de mettre le gode en place. Quand je commençai à gémir, il accéléra la machine de plus en plus vite et titilla à peine mon clito que je jouis en hurlant. Le gode continuait à aller venir en moi. La dame s’approcha pour regarder, ses yeux ne pouvaient pas quitter ma chatte défoncée par le gode

.« Ecoute là et tu jugeras. Albert occupe-toi de ses mamelles de chienne. »

Albert pinça mes tétons, les tira, les tordit violemment, je jouis au même moment car ma tante toucha mon clito déjà excité

.« Oui oui c’est bon, fais-moi mal ! Arrache-les moi ! Frappe-les ! Ah oui encore encore ! »Il prit le martinet et les fouetta. Je me cabrai dans les attaches, je criais de plaisir et de douleur. La dame s’approcha et tendit la main, elle prit mon téton qui pointait et le pinça. Je gémis

.« Ce n’est pas possible, elle aime vraiment ça. Mon dieu ce n’est pas normal, je vous laisse. Je ne reviendrai plus »

Elle partit, ma tante reprit le camescope et filma comme si de rien n’était. Quand j’eus jouis une énième fois, on me détacha et le reste de la journée passa normalement. Ma tante caressait de temps en temps mes mamelles rougies par le martinet. Le lundi suivant en quittant mon travail, je passais devant chez Francis un des ceux qui m’ont baisée avec ma cousine

.« Hello, jeune fille ça fait longtemps que je t’ai pas vue. Viens boire un verre »

Je posais mon vélo et entrais chez lui, je n’étais jamais venue. Je voulus m’asseoir mais il m’obligea à me mettre nue. Je lui obéis, c’était un ami de ma tante et de mon oncle et après tout il m’avait baisée avec son accord et avait vu tous les films de l’été. je bus donc le verre proposé, j’étais restée debout car il voulait me mater en même temps. Son chien entra, je le caressais mais je dus rapidement le repousser car il voulait à tout prix sentir ma chatte ou mon cul. Francis le fit sortir.

 Il m’emmena dans le séjour, je vis une croix mais petite. Pour m’attacher, je devais être à genoux, je ne comprenais pas trop car j’étais en même temps penchée un peu vers l’arrière. Il me bâillonna puis installa un camescope. Il badigeonna mes seins et ma chatte d’un liquide puis il fit entrer le chien. Je secouais la tête et m’agitai dans mes attaches, il me calma d’un violent coup de martinet en travers du corps. Le chien me lécha consciencieusement les seins Francis tapotait mes tétons pour qu’il insiste bien dessus. Je ne pouvais contrôler les réactions de mon corps, mes tétons se dressèrent.

« Tu vois tu vas aimer ça, lui il aime, il est dressé pour lécher les femmes, tu n’es pas la première et vous aimez toute ça à la fin, sa grande langue chaude mouillée et râpeuse. »

Puis il tapota ma chatte et le chien obéit, il se mit à me lécher. Francis à genoux à côté, remettait systématiquement de ce liquide sur mon clito et frotter deux doigts de chaque côté pour que le chien reste bien là. Le chien se coucha devant moi et me lécha. Francis passa derrière moi et attrapa mes seins à pleines mains et les serra. J’avais l’impression qu’ils étaient pris dans des étaux, ça me faisait mal, tant et si bien que je finis par jouir. Le chien leva la tête.

« Lèche ! »

Le chien recommença à me lécher, il m’enleva le bâillon et serra à nouveau mes seins violemment. J’avais l’impression qu’il allait me les arracher. Je gémissais de plaisir et je finis par jouir en hurlant et en donnant des coups de bassin. Francis fit couler du liquide sur ma chatte, le chien me lécha et je jouis encore. Puis il sortit le chien et me détacha.

« Tu devrais prendre une douche avant de partir. Ne t’inquiète pas ça restera entre nous. Mais je voulais te faire goûter ce genre de plaisir et moi j’aime regarder ce genre de vidéos. Ceci dit maintenant on sait que tu es une vraie chienne.»

Je me levais les jambes flageolantes en espérant qu’il tiendrait parole et ne dirait jamais rien. Je me sentais sale et avilie. Je me lavais et rentrais sans rien dire à personne. 

Le samedi suivant, il faisait très chaud, je travaillais avec Albert dans la vigne, j’étais nue à sa demande. On vit Francis arrivait avec son chien. Je n’étais pas rassurée, j’avais peur qu’il parle. Son chien se précipita sur moi et voulus me lécher le cul. Mon oncle intervint

.« Francis rappelle ton chien c’est un obsédé ce clébard ! »

Il rappela son chien et l’attacha au tracteur, me regarda avec un sourire mais ne dit rien j’étais soulagée et lui rendit son sourire.

 « Bon si mon chien n’a pas le droit de la baiser, moi je peux quand même »

« Oui bien sûr, sers toi, ne te gêne pas »

Il m’attira plus loin. Je dus me mettre à genoux, il me gifla les seins, me tordit les tétons. Puis m’allongea dans l’herbe pour me bouffer la chatte puis me prit en levrette.

« Tu es une vraie chienne, je vois que tu aimes toujours quand c’est un homme qui te la bouffe, je vais te la défoncer sale pute ! »

Il jouit en éjaculant sur mon dos. Puis on retourna vers mon oncle.

« Heureusement que tu es là, moi je ne la baise plus depuis que je suis avec Gisèle, je préfère m’occuper d’elle. On l’a baisé avec la machine, il y a quelques jours mais bon il faudrait que l’on s’organise une soirée tous ensemble pour s’amuser un peu. »

En rentrant ma tante nous attendait.

« Tiens Francis est passé, il l’a baisée un peu »

« Et bien sûr, elle a aimé ça la saleté »

Elle m’attrapa, gifla mes seins à la volée, puis elle m’attacha les mains dans le dos. Elle rentra et revint avec un cintre pour jupe à la main.

« Soulève ses mamelles, j’ai trouvé une nouvelle idée. »

Elle referma le cintre sur mes seins. Je criais et je fus bâillonnée. Elle attacha une corde au crochet et me traîna jusqu’à un arbre, elle passa la corde autour d’une branche et tira. Je n’avais plus que la pointe des pieds qui touchaient le sol. Elle mit encore des poids à ma chatte et je restais comme ça un moment seule. Ma tante revint, prit des photos et repartit. Au bout d’un moment, je ne sentais plus mes seins et les lèvres de ma chatte, j’avais mal aux jambes. Albert et ma tante arrivèrent, elle enleva le cintre, je criais car la douleur revint plus forte quand le sang circula à nouveau. Albert me massa les seins, je gémissais toujours de douleur. 

On me détacha et je rentrais à la maison à quatre pattes, les poids se balançant entre mes jambes. A genoux, ma tante me fouetta les seins et le corps, Albert me baisa la bouche et éjacula dedans pour la première fois. Le reste de la journée s’acheva normalement.Pendant plusieurs jours, je rentrais du travail en passant devant chez Francis, je repensais au chien et je mouillais. Au bout de deux semaines, je décidais de m’arrêter en voyant sa voiture garée. « Et bien c’est gentille de venir me voir »

Je me déshabillais en entrant, il m’invita à m’asseoir sur le fauteuil et fit le café. On s’installa et il me demanda des nouvelles de mon travail. On discutait depuis au moins 20 mn quand le chien entra. Il vint vers moi pour que je le caresse. Je me tournais donc pour lui caressais la tête, il en profita pour me lécher le sein. Je le repoussais gentiment. Il revint à la charge mais cette fois entre mes cuisses, je le repoussais à nouveau. 

Francis regardait sans rien dire. Le chien revenait à la charge, je sentais sa truffe froide essayait de se frayer un chemin entre mes cuisses. Je finis par les écarter en regardant Francis qui souriait. Je relevai mes jambes pour bien écarter et ouvris ma chatte avec mes mains, sa langue était chaude. Francis se leva et me donna un verre d’eau.

« C’est de l’eau sucrée, il adore ça. Tu tapotes ton clito avec pour qu’il insiste bien là avec sa langue. Il adore lécher les chattes mais c’est mieux comme ça car il lèche là où on veut. »Il sortit son camescope et se mit derrière moi pour avoir une meilleure vue et avec une main, il me tripoter un sein en même temps. Je gémissais c’était bon. Par moment, j’enlevais ma main et il me léchait toute la vulve qui était trempée de plaisir. Francis me donna un gode que je m’enfilais sans réfléchir. Il filmait le plus près possible puis se remit derrière moi. J’étais excitée, avec deux doigts je me tripotais le clito, le chien me léchait, je me branlais tant bien que mal avec le gode car le chien prenait toute la place mais je finis par jouir en hurlant. 

Francis posa le camescope et me plaça en travers de la table pour me sodomiser. J’étais placé de telle façon que le chien sous la table avait accès à ma chatte qu’il lécha à nouveau. Francis me défonça le cul à grands coups de butoir, la langue qui me léchait, je jouis à nouveau en hurlant et lui se vida dans mon cul à grands jets.

J’allais me laver, on but un autre café et je rentrais à la maison. Francis m’avait promis une fois de plus que ça resterait entre nous mais que je devais promettre de revenir.

« Promis, j’aime ça me faire lécher par ton chien »

Il n’a jamais rien dit à personne de notre petit secret. Il m’arrivait de passer chez lui quand il n’était pas là, je m’installais sur le banc de derrière, la chatte à l’air et son chien venait me lécher. Je lui présentais aussi mes tétons qu’il léchait aussi allègrement. Un jour Francis arriva avec un chiot pendant que j’étais en train de me faire lécher par son chien

.« Oh la salope, tu viens quand je ne suis pas là. Tu vas devenir accro. Regardes je lui ai trouvé un petit frère. »

Je pris le chiot dans les bras pour le caresser. Le chien continuait à me lécher, mais je n’y prenais pas garde. Francis posa une goutte de lait sur mon téton et mit le chiot devant, il ouvrit la gueule est téta mon sein. Qu’elle drôle de sensation, j’écartais les cuisses plus grandes

.« C’est bien, il faut le dresser jeune aux plaisirs du sexe avec l’Homme »

Il alla cherche son camescope et filma. Je lui donnais le sein pendant que je me faisais lécher la chatte. Je jouis en criant. Francis filma en gros plan, mon visage puis le chiot pendu à mon sein et son chien qui me léchait toujours. Je reposais le chiot dans un panier et me lavais.On but un café et il passa les films qu’il avait fait pendant que je me faisais lécher sur la croix, puis la fois sur le fauteuil et aujourd’hui. Ca m’excitait et je me branlais en les regardant, il me regardait faire, puis il se leva et me baisa pendant que je me caressais encore. Je jouis et lui se vida sur mon ventre. On se regarda, on venait presque de faire ça normalement sauf si on regardait de plus près ce qui passait à l’écran. Je me rhabillais et partis.

 En rentrant, je trouvais du monde à la maison. Je restais donc habillée. Ma tante arriva, elle avait préparé un buffet campagnard. On dîna tous ensemble, mais à la fin du repas tout le monde m’observa. Ma tante se leva et me regarda

« A poils et dans le séjour! »

Je la regardais en me demandant ce qui se passait. Mais j’obéis et je me déshabillais. Je fus attachée à la table, Albert amena la machine et l’installa comme d’habitude, je vis que le gode avait été changé et qu’il était plus gros. Ma tante enduit ma chatte de vaseline.

« Il faut mettre beaucoup de vaseline car on monte la vitesse ça peut chauffer »

Albert mit la machine en route. Tout le monde avait les yeux fixé sur moi enfin sur ma chatte. Ils firent entrer le gode en douceur comme il y avait beaucoup de vaseline, il entra facilement malgré le diamètre. Ma tante s’approcha de moi.

« Ce sont des personnes avec qui nous discutons sur le net, on leur a montré des extraits de films que l’on a fait. Comme ils ont vu que tu étais plutôt quelqu’un de très ouverte si je puis dire, on s’est dit qu’ils pouvaient venir voir en direct. Ils sont intéressés par la machine."

 Puis ils se mirent autour de moi pour regarder. Albert augmenta la vitesse. Je gémis le plaisir arrivant doucement. Les hommes les plus près caressaient machinalement mes seins et une femme tendit la main et titilla mon clito. Albert accéléra encore la machine. Je gémissais et me arquais sur la table, la femme accéléra aussi le mouvement sur mon clito. Je jouis, elle n’arrêta pas et Albert mit la vitesse maximum possible. Je criais de plaisir même quand elle arrêta de me masturber. Ils passèrent à la cuisine boire un verre pendant que j’étais toujours baisé par la machine qui elle ne fatiguait pas. Je jouis encore plusieurs fois. Ils se mirent autour de moi pour regarder. Et discuter sur le fait qu’ils en voudraient bien une aussi. La machine continuait et moi je gémissais et criais encore. Puis ma tante l’arrêta et Albert me détacha et porta sur le canapé, mon corps parcourut par des frissons de plaisir. Une femme s’approcha et toucha mon clito, je jouis une fois de plus arquée par le plaisir en hurlant. Je restais ouverte à la vue de tous. Un homme ouvrit ma chatte pour l’examiner, je sentais ses doigts partout dans chaque pli de mon sexe, il entra sa main complètement dans mon vagin tellement j’étais ouverte par le plaisir. Je gémissais. Il la sortit et examina encore ma chatte. Il titilla légèrement mon clito qui était gonflé par le plaisir mais douloureux en même temps.

« Elle a son compte la petite salope ! Efficace la machine, vous devriez mettre un gode plus gros, il rentrerait. Moi c’est sûr j’en veux une pour ma femme. Regardez comme elle regarde avec envie votre nièce »

Ils discutèrent tous ensemble et c’est comme cela que je découvris Gérard le bricoleur car c’était lui qui trafiquait ces petites machines, il était content, il allait se faire de l’argent grâce à cette séance de démonstration. Puis tout le monde partit. Gérard me regardait.

 « J’ai vu les films que vous avez fait. Vous pouvez tout lui faire aux nichons, elle adore ça. »

On m’attacha à la table à nouveau et la machine fut remise en route. Je gémissais quand on me mit un gode dans le cul. Je sursautais mais je prenais du plaisir à me faire sodomiser en plus de me faire défoncer la chatte. Gérard vint se placer debout sur la table au-dessus de moi

.« Je vais faire comme sur les bouts de films que j’ai vu »

Il se baissa et prit mes tétons qu’il pinça et tira dessus en se redressant le plus possible et me les tordit. Je criais, il se mit assis sur moi et me claqua les seins en cadence et violemment, puis il descendit et prit le martinet noir et me les fouetta. Albert mit la machine au maximum et accéléra le mouvement du gode dans mon cul. Je perdais la tête, j’avais mal, j’avais du plaisir. Je n’arrivais pas à jouir. Tout s’arrêta, j’étais épuisée, j’avais mal partout. Gérard était frustré.

"Il faudra que je revienne pour la baiser cette chienne! Mais c’est bon de lui faire mal aux nichons, ça m’excite"

 Albert me porta jusqu’à ma chambre et me coucha, il me mit du baume sur les seins et il me couvrit avec un drap. Je m’endormis jusqu’au lendemain.

A mon réveil, je repensais à tout ce que j’avais vécu ces derniers, je me rendais compte que j’étais une esclave sexuelle, que j’aimais ça et que je le cherchais. Je m’étais avilie en me faisant lécher par le chien de Francis, je pris conscience que je devrais me faire soigner par la suite. Sinon jusqu’où j’allais descendre…..

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