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Pervers Noël – Chapitre 2




Après une tournée longue et épuisante mais amusante sous certains aspects, Le père noël sétait offert des vacances en Thaïlande. Maintenant quil était détendu, Il allait pouvoir recommencer une année de dur labeur.

— Bon . Salut Zéphyr, rien de neuf durant mon absence ?

— Si, je vous informe que votre correspondant auprès de votre sponsor américain principal qui gère votre image a changé et son successeur souhaite vous voir.

— Ah et cest qui ?

— Pete Johnson.

— Pete Johnson ? Pas le petit minot qui ma dit ouvertement que je lui plaisais quand même ?

— Si

— Oh putin, chui dans la merde. Je le vois gros comme une maison, il va me faire du chantage pour coucher avec moi.

— Je ne sais pas mais il vous attend demain, en tenue, dans son bureau.

— Ah ouais carrément ? Il nest pas chié lui. Tu lui as dit que je nétais pas son clébard ?

— Selon les termes de votre contrat vous devez répondre à leurs exigences.

— Bon . Ok . Et merde je sens que ça va être pénible.

Il reparti chez lui fissa pour enfiler son costume rouge et blanc et repris la route, direction Atlanta, au siège social de son sponsor et en mode furtif pour ne pas se faire prendre en chasse par des F16. Depuis le 11/09/2001 cest impératif et en particulier pour les USA. Une fois là-bas, il fit atterrir son véhicule sur le toit de limmeuble, sur la plateforme datterrissage dhélicoptère et pris lascenseur pour descendre directement à létage de la direction où lattendait une jeune hôtesse daccueil.

— Bonjour monsieur Klaus ou St Nicolas je ne sais comment vous appeler.

— Oh appelle moi Nick comme toutes les femmes qui crient mon nom, la nuit dans mon plumard, ma jolie.

— .. OK . Au début quand on ma parlé de vous, jai cru à une plaisanterie. Pour moi, vous nexistiez pas.

— Je suis bel et bien vivant et je suis même prêt à te le prouver dès que tauras un moment de libre, dans un coin tranquille.

— . Euh . On verra ça. Pour linstant vous avez un rendez-vous. Répondit-elle troublée à la fois par laplomb de cet homme et cette chaude sensation dexcitation quelle ressentait (la même que celle des trois filles en Thaïlande cf chapitre précédent).

— Ok je te suis. Dit-il en lui faisant une petite claque sur les fesses.

Lhôtesse le fit entrer dans un grand bureau ou lattendait un jeune homme svelte, dans un costume bien coupé et coiffé comme un jeune premier. Ce garçon souriant le regardait avec un sourire qui en disait long sur ses intentions. Pendant que lhôtesse sen allait, malgré son gabarit bien musclé, Père Noël était inquiet devant son nouveau partenaire commercial qui le dévisageait de haut en bas avec envie.

— Bien Bonjour cher monsieur Klaus.

— <Glurp> . Bonjour

— Ne soyez pas si anxieux. Asseyez-vous je vous en prie.

— Merci. Donc vous vouliez me voir ?

— Oui. Tout dabord pour me présenter même si vous me connaissez déjà. Je suis Pete Johnson, votre nouveau partenaire, votre contact chez nous. Mais aussi je voulais profiter de loccasion pour vous donner les nouvelles décisions de notre conseil dadministration.

— Cest-à-dire ?

— Après examen de laccord négocié par vous et nos dirigeants il y a un siècle, nous avons décidé de renégocier les termes de ce contrat et cest moi bien sur qui aura lhonneur de défendre vos intérêts.

— Ok mais il est où mon précédant représentant ?

— En retraite. Et comme jétais son assistant, jai suivi votre dossier. Cest dailleurs comme ça quon sest rencontré, cest moi qui prends la relève.

— Daccord.

— Donc notre comité de direction a en projet de réduire le montant des sommes que lon vous verse chaque mois en échange de lexploitation de votre image.

— Et pourquoi ?

— Comme votre contrat arrive à échéance, cest pour eux loccasion de renégocier voir darrêter votre parrainage. Il faut dire quavant, laccord était nettement à leur avantage et surtout ils nimaginaient pas que votre image sexporterait autant, que vous déposeriez votre marque de fabrique et votre nom et que vous seriez aussi célèbre.

— Désolé pour eux, tant mieux pour moi. Mais concrètement vous me voulez quoi ?

— Je sais que vous versiez une commission à mon prédécesseur pour ses services. Personnellement je serais moins gourmand mais avant de faire affaire, il faudrait disons, me convaincre de faire du zèle .. Vous me comprenez ?

— Jen ai peur. Allez gamin crache le morceau. Tu veux quoi ? lui demanda-t-il en se levant face à lui.

— Jai un rêve à réaliser. Tu me comprends mon nounours ? lui dit-il en approchant son visage du sien et en lui mettant la main au paquet et en le serrant fermement.

— Et on est obligé den venir là ? répondit-il inquiet.

— Écoute-moi bien. Cest MA condition. Tu fais ce que je te demande, juste cette fois, et je défendrais tes intérêts. Sinon bah . Je serais surement très faignant.

— .. Bon bah va me falloir de lalcool beaucoup dalcool.

— Sers-toi ! y a ce quil faut dans le buffet. Tu verras y a du whisky, du rhum, du . Eh mais doucement ! Jy crois pas il a fini le demi litre de planteur.

— Allez gamin ! vire ton froc, quon en finisse.

— Soit pas si pressé, laisse-moi te « motiver » un peu.

— Aucune chance. Sauf si tu me dit que sous ton costard tu caches un bon 90C je vais devoir me préparer à la main.

— Laisse-moi faire. Lui dit-il en se mettant à genou devant lui et en lui baissant son pantalon pour le sucer

Père noël était en train de se faire pomper la tige par ce jeune homme qui fantasmait sur lui depuis longtemps. Il venait de comprendre que son influence passive quil avait sur les femmes fonctionnait aussi sur les gays. A ce moment, il commençait à se sentir envahi dune bouffée de chaleur, surement lalcool. Sentant la sauce monter il le fit sarrêter.

— Aller arrête toi sinon tu vas en prendre plein la bouche. Maintenant . Retire .. moi ça là dit-il en le plaquant sur son bureau et en essayant de lui virer son pantalon trop vite.

— Mais fais gaffe tu vas le déchirer.

— Men fou je veux en finir le plus vite possible . Voilà .. Bon, bah en avant pour la lune.

Sous l’effet de lalcool, le père noël était violemment en train de sodomiser ce jeune premier qui nattendait que ça et qui se masturbait en même temps.

— Alors ? ça te convient ? Taime ça ?

— Oh que oui tarrêtes pas, je réalise un fantasme là. Tu devrais essayer ça fait mal au début mais après quand on est habitué

— Hors de question. Tas déjà du bol davoir ce que je te fais.

— Tas pas le choix surtout .. Surtout, tarrête pas mon gros loulou, continu.

— Je ne vais pas tarder à juter . Je sens que ça vient. Ça vient .. AHHH ! ça y est cest venu ..Ouf.

— Ah ! bah jespère que ça a été aussi bon pour toi que pour moi. Maintenant à ton tour.

— Quoi ?

— Bah tu mas enculé, maintenant cest ton tour.

— Jamais. Cest hors de question.

— Ecoute cest soit ça, soit tu peux dire adieu à ton partenariat. Si ça peut te rassurer je ne suis pas très performant, ma queue est pas très grosse et jaurais surement fini ma petit affaire en deux minutes.

— Ça va être les deux minutes les plus longues de ma vie, je sens ça. Bon allez, fais vite quon en finisse. Dit-il en se penchant en avant, en appuis sur le bureau.

Même avec la tête embrouillé par lalcool quil avait bu, il sentait la queue de son partenaire forcer son anus. Pendant que le petit jeune faisait ce qu’il avait à faire en disant des « oh mon dieu cest trop bon », lui se répétait sans cesse en mordant son bonnet « cest quun mauvais moment à passer. Cest bientôt fini ». dès quil entendit le jeune premier jouir, il se redressa et séloigna de son partenaire.

— Cest bon tas eu ce que tu voulais maintenant tu vas honorer ta part du marché.

— Tu ne veux pas un gros bisou avant de repartir ?

— Nen rajoute pas. Et arrête de mater ma queue. Tu . Bon sang mais tu fais quoi ?

— Je te prends en photo à poil.

— Non mais tes pas bien ? Efface ça tout de suite.

— Trop tard je me la suis déjà envoyé par mail. Comme ça je pourrais de nouveau fantasmer sur toi et ton corps en me remémorant cette folle journée.

— Cest à se demander qui est le plus pervers des deux. Bon on est daccord ? tu fais en sorte de gérer mes intérêts au mieux ?

— Ne ten fait pas. Je sais comment faire pour conserver ton contrat en létat.

— De toute façon si jamais tu ne le fais pas .

— Tu reviens me voir en père fouettard pour me donner la fessée ?

— Ça ne va pas non ? Si tu ne fais pas ce quon a dit je file voir la concurrence. Allez moi jy vais.

Après cette entrevue éprouvante et la tête qui tournait de plus en plus à cause de ce quil avait bu, le père noël reparti vite en direction du toit pour repartir. Sur le chemin, il rencontra le PDG.

— Ah bonjour M Klaus.

— Salut

— Vous avez fait connaissance avec votre nouveau contact chez nous ?

— On se connaissait déjà avant mais on a « approfondi » le sujet.

— Il a dû vous dire que nous avions décidé de prolonger votre contrat ?

— Pardon ?

— Il ne vous la pas dit ? On prolonge le contrat selon les mêmes termes que précédemment.

— Jaurais cru quau bout dun siècle vous auriez voulu

— Tout arrêter ? Quelle drôle didée. Dans linconscient collectif vous êtes notre meilleure pub et . Vous navez pas lair bien, vous êtes tout pâle.

— Cest rien avec M Johnson on a fêté notre nouvelle collaboration et ça me tourne la tête.

— Ça va aller pour rentrer ?

— Oui jai le pilotage automatique.

— Dans ce cas je vais vous laisser repartir chez vous et reposez-vous bien. Au revoir.

Le père Noël venait de comprendre quil venait de se faire avoir. Ce petit con avait profité de la situation et de son rapport de force pour lui monter un gros bobard et profiter de lui. Préférant se taire et à la fois choqué par ce quil sétait passé, il reparti fissa dans son véhicule . Non sans avoir vomi dans lascenseur.

Avant de se faire une petite sieste et après avoir enclenché le pilotage automatique, il pris son téléphone et envoya à celui quil appelait désormais « le connard » un SMS : « espèce de pti con. G croisé ton boss ki ma tout di. Va te faire enkulé ». Quelques minutes plus tard, il reçut une réponse « c déjà fai, merci pour se momen O fait ». Après ça, dégoutté de cette situation, ne voulant pas insister et surtout ne voulant pas ébruiter laffaire, il laissa tomber et commença sa sieste mais se réveilla dun coup en se disant « merde, la petite de laccueil ! Je me la serais bien faite la gamine . Tant pis ». il repris sa sieste jusquà son arrivé chez lui. Il lui fallait recommencer à bosser et vite.

Dans son installation isolée de tout au nord du Groenland, Père noël disposait dune technologie avancée. En plus de lexploitation de son image par ses différents partenaires, Il recevait les plans et schémas techniques de tous les jouets et appareils électro mécaniques (ou presque). En échange il leur assurait une partie de la sous-traitance de leur production durant une partie de lannée. Bien sûr il pouvait ensuite, à son tour, exploiter ses données techniques pour sa production personnelle. Daprès vous comment certains marchant de jouet arrivent à inonder le marché en quelques jours, un mois avant les fêtes ? Pas avec les enfants travailleurs dans le sud-est asiatique en tout cas.

Après plus de dix mois passés enfermés dans son usine, il allait enfin pouvoir sortir. Par contre ce nétait pas pour le plaisir car pour lui commençait son marathon promotionnel. Selon son contrat avec plusieurs grandes chaines de magasin, il devait faire acte de présence et faire des photos avec les gamins. Les photos ça allait, mais pour lui ce qui était vraiment pénible là-dedans cétait surtout dentendre les gamins passer leurs commandes. Il en avait ras le bol de tous ces gosses pourris gâtés qui réclamaient le dernier jouet hors de prix avec des exigences toujours plus grandes chaque année. En plus, dans le tas, y en a qui puent et qui sont pas propres (comprenez par là des enfants en bas âge faisant leur besoins dans leur couche alors quil les a sur les genoux), .. Enfin bref, si on doit résumer, une des rares choses quil aime chez les enfants cest les faire, surtout quand une jeune et jolie maman célibataire est là, à humer ses phéromones et en particulier quand, après avoir fait les courses, elle revient à la fermeture du magasin pour un câlin crapuleux dans sa voiture, laissant ses gamins à la baby-sitter.

Cest là quon le retrouve, dans une galerie marchande assis sur son fauteuil, un enfant sur les genoux à sourire comme un benêt devant le photographe. Les gamins senchaînaient les uns après les autres quand un môme rondouillard semblant nourrit à la junk food se pointa.

— Oh, oh,oh ! Bonjour mon garçon

— Je suis pas TON Garçon.

— Oh excuses moi. Tu as du caractère on dirait dit-il avec un sourire un poil forcé.

— Alors je veux le dernier jeu vidéo avec le plombier japonnais, Lintégrale des épisodes du dessin animé « les monstres de poche » en DVD édition super luxe et, .

— Et bien tu es gourmand dis-moi ?

— MAMAN ! Père noël ma traité de gros.

Cest là que la mère se pointe pour faire un scandale. Le genre belle jeune femme bourgeoise style jai épousé un gros friqué pour sa fortune, avec des tailleurs de grands couturiers, les cheveux en chignon, des bagouzes valant le SMIC et un morveux pourri gâté qui pleur à la moindre contrariété

— Non mais vous navez pas honte ?

— Je nai rien dit de méchant, madame. je disais juste quil voulait beaucoup de chose.

— De toute façon vous êtes comme les autres : Un vieux clodo employé pour loccasion pour jouer les pères noël au rabais. Vous aimez ça hein ? Avoir les enfants sur vos genoux ? ça vous donne des envies ?

— Restez polie madame.

Comprenant vite ce quil se passait, les vigiles demandèrent à la dame de partir sans esclandre et la séance repris. Bien évidemment les autres parents avaient bien compris quelle nétait quune connasse et son gamin un petit con. Il ne comptait pas la laisser sen tirer comme ça mais pour linstant il devait finir sa journée. Plus tard, peu avant la fermeture, il restait sur son trône (des fois quun retardataire se pointe) et cest trois jeunes filles de vingt ans qui se sont pointées. Lune delle savança et sassis alors sur ses genoux.

— Bonjour père Noël

— Bonjour toi ! Quest-ce que je peux faire pour toi ?

— Tu sais jai été une vilaine fi-fille.

— Ah ce nest pas bien.

— Je mérite une fessée.

— < Glurp > Surement. A Noël cest surement le père fouettard qui passera chez toi.

— Je préférerais le père Queutard personnellement.

Le père Noël était sur le cul. Cette fille était en train de lallumer comme un sapin de Noël. Il était troublé. Il faut dire quil avait les yeux à la même hauteur que ça poitrine généreuse et que ça commençait à lui filer la trique. La conversation était plus que chaude (la fille aussi dailleurs) et à la fin elle lui donna sa carte.

— Tiens ! avec mes amies on fait une petite fête ce soir. Tas quà venir.

— Jy penserai mais . Ah désolé ! Il y a une maman et ses enfants dont un en fauteuil roulant qui attendent leur tour.

— Ok jy vais A +.

Cette invitation ça sentait le coup fourré mais il était tellement excité quil décida dy aller quand même. « Bon ce nest pas tout ça mais le boulot nest pas fini » pensa til.

— Oh, oh, oh, bonjour petite fille.

— Bonjour Père Noël !

— Viens tasseoir à côté de moi. Alors que veux-tu pour noël ? répondit-il en évitant de la faire sasseoir sur ses genoux pour quelle ne sente pas son érection quil essayait tant bien que mal de cacher due à celle qui venait de la quitter bien sûr, pas à cause de la fillette.

— Jai déjà plein de jouet chez moi et je nen veux pas dautre. Mon petit frère est malade et je sais que maman travail dur pour acheter des médicaments. Cest ce que je demande : des médicaments pour lui.

— Cest touchant. Tu as un cur en or. Madame vous avez une charmante petite fille. Pour la peine tiens prend ce petit sac. Y a des bonbons pour toi.

Face à lhistoire touchante de cette gamine de sept ans, il se leva pour prendre le gamin handicapé dans ses bras et pris une photo avec les deux enfants dont les yeux étaient pleins détoiles. En reposant le garçon dans son fauteuil qui le regardait avec la banane, il lui donna le même petit sac quà sa sur et un plus gros pour la maman. Il navait rien dit mais il avait glissé quelques pièces dor dans le sac de la maman avec un petit mot qui disait « Ceci sont des pièces dor 24 carats. Faites en bon usage ». Elle sen ai rendu compte en les entendant sentrechoquer alors quelle rentrait dans sa voiture. Elle était abasourdie elle resta un moment sur le parking jusquà ce quelle aperçoive son généreux donateur sortir sur le parking, presque arrivé à son véhicule rendu invisible grâce à son camouflage.

— Attendez monsieur . Sil vous plait.

— Tiens vous êtes encore là ?

— Je voulais vous remercier. Je ne sais pas qui vous êtes mais merci.

— Oh cest rien. Vous en avez surement plus besoin que moi.

— Cest quoi votre nom ?

— Vous le connaissez mon nom. St Nicolas, Père noël ou encore Santa Claus suivant les pays.

— Non mais sans rire.

— Je vous lai dit maintenant croyez ce que vous voulez. Je vous fais confiance pour soigner votre fils avec ce que je vous ai donné.

A ce moment-là il sorti sa fameuse télécommande qui fit apparaître son véhicule devant elle abasourdie et ne comprenant pas comment une telle machine était apparue de nul part. Il monta dedans et décolla à toute allure devant cette femme qui eut à peine le temps de comprendre. La maman retourna alors à sa voiture.

— Maman, pourquoi tu es allé voir le père Noël ?

— Pour lui dire merci. Tu sais, je pense que ça va aller mieux maintenant. Moi aussi jai eu un cadeau

Dans son véhicule qui faisait route vers le Pôle Nord, Le père noël était fier. Cétait une femme courageuse et la petite était généreuse. Ça lavait ému. Cest pour de tel moment quil faisait ce métier. Comme quoi il nest pas quun obsédé qui pense avec son entre jambe . Même si il trouvait la maman à son gout et quil aurait bien aimé passer un petit moment crapuleux avec elle. Quelques secondes plus tard, il sest mis à repenser à sa journée et sécria « Merde les trois allumeuses, javais oublié. Vite demi-tour ». Il fit un virage à 180°, rentra ladresse que lui avait donné la fille dans son ordinateur de navigation et réenclencha le mode furtif pour que personne ne le voit survoler la ville. Une fois au-dessus, il se mit debout et demanda sa téléportation dans la petite cour en bas. Une fois au sol il frappa à la porte.

— Salut les filles, cest là la fête ?

— Eh les filles le père noël de tout à lheure est venu. Entre je ten prie.

— Merci . Euh cest quoi ces appareils photo ? et ses caméras ?

— En fait, on fait des vidéos amateurs sur internet avec des inconnus. Et ce mois si cest noël. On a donc cherché un candidat pour la vidéo et tes venu.

— Attendez que je comprenne . Vous voulez baiser devant la caméra ?

— Oui pourquoi ça te pose un problème ?

— Toutes les trois ? avec moi ?

— Si tu te sens en forme oui. Marco ! tu peux venir sil te plait ? je te présente notre caméraman. Cest lui qui va soccuper de la technique.

— OK mais je ne sais pas si je pourrais bander assez pour vous satisfaire toutes les trois.

— Regarde sur la table y a du carburant.

Il trouva, sur la table, une coupelle avec des petites pilules bleues et une bouteille deau. Il en avala une directe.

— Bon les filles, le temps que ça fasse effet, on fait comment ? Cest quoi le programme ?

— Cest facile, on est trois vilaines filles et le père noël arrive pour nous donner la fessée. Après cest de limprovisation Free style sur le plumard quon a préparé. Bien sûr tout ça devant la caméra.

— OK bah banco alors cest quand vous voulez les filles.

— Tas lair motivé dit moi ?

— Tu crois que jai pris la pilule pour le plaisir ? ça fait dix mois que jai pas touché une femme alors ..

— Mmmmh va y en avoir de la sauce.

— Comme tu dis.

Lheure qui suivi fut plus que chaude pour le père Noël. Les trois filles lont sucé à tour de rôle pendant que lui leur léchait les mamelons et les branlait en introduisant ses doigts là où il faut. Ensuite sen est suivi une série de courte pénétration où il alternait les filles chacune leur tour. Quand lune se faisait prendre en levrette, une autre se glissait sous elle pour un 69 lesbien alors que la troisième roulait une pelle au gros barbu. Quand lune chevauchait Père noël allongé sur le dos, une autre posait son postérieur sur le visage du papy pour se faire lécher .. Bref sétait une succession de position toutes plus chaude les unes que les autres, le tout filmé par un caméra-man qui semblait dire à ceux quil filmait « va z y fais lamour à la caméra ».

Quand ils eurent fini avec une éjac faciale où les trois filles attendaient la sauce à genou devant lui en tirant la langue, le père noël était en sueur et tous avaient un sourire Béat. Même le caméra-man était ravi de ce petit film. Il était content davoir pu le faire car le partenaire de ses trois coquines sétait montré plus quà la hauteur. Une fois rhabillés, le caméra-man donna une enveloppe à son acteur du moment contenant quelques biftons pour sa participation.

— Cest quoi ça ?

— Cest pour toi. Pour ta participation.

— Euh merci mais jen ai pas besoin.

— Tout travail mérite salaire.

— Bon bah si vous insistez. Les filles, ce fut un plaisir. Dit-il avant de tirer sa révérence.

Une fois dehors, il sarrangea pour se mettre à labri des regards et appuya sur sa télécommande pour retourner dans son véhicule.

— Bon bah je me suis bien marré moi. Allez Zéphyr on rentre.

— A vos ordres.

Il reprit la route pour rentrer chez lui car il avait une affaire sur le feu. Une fois dans son antre, il navait pas oublié la connasse qui avait eu certaines insinuations envers lui et son casse pied de marmot. En cherchant un peu sur internet, Il trouva qui ils étaient, où ils habitaient et saperçu que le papa avait prévu un soit disant voyage daffaire au moment des fêtes. Le nom du père lui parut bizarre car, dans ses registres, il apparaissait dans deux foyers en tant que père de famille. Du coup il prépara sa vengeance car il naimait pas quon le traîne dans la boue comme ça.

Cest après quelques recherches quil saperçu que le mari avait eu un gosse en cachette avec une autre femme, sa secrétaire, et quen fait il comptait passer les fêtes avec elle. En temps normal il ne va pas jusquà foutre la merde dans un ménage mais il navait pas encaissé le fait que lautre salope insinue en public quil aime les enfants dune manière toute particulière. « Désolé de te faire ça connasse mais cest ma réputation qui est en jeu. De toute façon un truc pareil, ça ne reste jamais caché très longtemps alors autant que ça sorte » pensa til.

Disposant dune armada de drones motorisés pour ses livraisons (oui, il sen sert pour couvrir un maximum de point de livraison en un minimum de temps. Y aller seul lui prendrait trop de temps) il en programma quelques un en surveillance autour de la maison de lépouse, de la maîtresse, le tout avec un équipement de surveillance (caméra, micro et tout ce qui va avec). Il se constitua tout un dossier compromettant sur le mari quil avait prévu de donner à la mère sous le sapin. Pour le gosse il avait prévu de lui filer ce quil avait voulu mais version contrefaçon chinoise de mauvaise qualité. Comme il le disait toujours : « Je veux bien quon me prenne pour un con mais je ne veux pas le savoir ni que ça se voit. ». Et là cétait ni lun ni lautre.

Il continua sa « tournée de représentation clientèle » jusquau vingt-quatre décembre au soir. Chaque soir, il avait consulté les images, vidéos et sons renvoyés chez lui par satellite. Il en avait gardé le principal cest-à-dire les scènes où le père couchait avec sa secrétaire, des photos au téléobjectif dune grande netteté où on voyait nettement la famille réuni autour dune banderole « bonne fête papa », . Il en fit un DVD et le garda bien dans sa poche.

Le moment du départ était arrivé.

— Bon Zephyr, Check list.

— Drones OK, carburant OK, taux dalcoolémie du pilote OK,

— Tu vas arrêter de me faire chier avec ça ?

— Chargement du premier secteur à larrière et décollage des autres chargements planifiés, Ouais bon en gros tout est OK. Aller cest parti.

Il fit sa tournée en fonction des fuseaux horaires en déployant ses drones sur chaque zone de livraison. Chacun emportait un paquet puis revenait pour en prendre un autre, etc.. Une fois le secteur bouclé, sa remorque se détachait et, en pilote automatique, repartait à sa base pour laisser place au chargement du secteur suivant. Cétait une mécanique bien huilée. En même temps, il le fallait car, chaque année il y avait de plus en plus denfant. Il passa dans de nombreux foyers et, pour certains cas particuliers, il devait se déplacer en personne comme par exemple celui de lannée dernière où il avait baisé une mère célibataire, celle dont le gosse voulait un petit frère (cf chapitre 1). Retournant justement dans cette maison, il entra et aperçu les photos dun bébé partout dans le salon. « Oh merde ça a marché . Bon bah jai intérêt à me tirer avant quelle ne me demande une pension alimentaire » pensa-t-il avant de lui laisser une bourse remplie de pièces dor. Il enchaîna les pays, traversa les océans et termina son dernier secteur.

— Tournée terminée

— Ouf ce nest pas trop tôt.

— Dois-je faire route vers le bar de Monsieur Gégé ?

— Non jai une dernière visite avant.

Il rentra ladresse de cette femme hautaine et imbue delle-même quil savait seule avec son lardon exigeant et caractériel et se téléporta directement dans le salon.

— Bon . Alors . ça cest pour le môme et ça .

— Les mains en lair ! dis la femme qui lavait entendu et qui le braquait avec le revolver de son mari.

— Ah bah vous voilà. Je me demandais si jallais vous voir.

— Ne bougez plus.

— Doucement. Vous allez blesser quelquun avec ce truc. Chui le père Noël, vous ne me reconnaissez pas ?

— Vous êtes venu nous cambrioler, oui.

— Fringué comme ça ? pas très discret comme tenue. Je vous apportais vos cadeaux. Dailleurs jen ai un qui va vous être très utile pour votre divorce.

— Quel divorce ?

— Celui que vous allez demander quand vous aurez vu ce DVD. Attendez laissez-moi vous montrer

— Attention pas dentourloupe .

— A y est cest dedans, et maintenant Lecture.

La femme a très vite baissé son arme devant ces images. Elle voyait son mari au bras dune autre femme. Elle le voyait lembrasser et plus tard, par caméra thermique infrarouge et micro parabolique ou images en directe un peu floues, elle voyait son mari senvoyer en lair avec cette femme quelle connaissait. Le clou du spectacle, de plusieurs semaines de surveillance cétait cette petite fille de deux ans qui marchait difficilement vers lui en lappelant papa. Pendant ce temps-là, Le père noël sétait servi à boire et voyait cette femme qui semblait avoir des envies de meurtre dans les yeux.

— Lespèce dordure !

— Vous mexcuserez mais je me suis servi un whisky.

— Limmonde connard. Je vais le faire payer.

— Si vous navez plus besoin de moi, je vais partir.

— Attendez . Je mexcuse de vous avoir braqué.

— Pas grave cest oublié.

— Ça vous dirait de maider à me venger ?

— Oulah ! jai déjà fait beaucoup.

— Rassurez-vous je ne vous demanderais rien de difficile. Suivez-moi. dit-elle avant de le tirer par le col vers sa chambre.

Ils montèrent discrètement à létage pour entrer dans la chambre nuptiale. La femme se mit alors à poil et sapprocha de son invité.

— Voilà ce que je veux : je veux me venger et vous allez my aider.

— Cest-à-dire ?

— Vous ne devinez pas ? on est dans une chambre et je suis nue devant vous . Et si vous ne voulez pas je vous y obligerai dit-elle en le menaçant de son arme.

— Ah bah si cest demandé si gentiment .

— Vu votre physique ça doit pas être la fête à popole tous les jours .

— Je me débrouille.

— Cest moi qui guide donc . Oh merde . Belle bête. Dit-elle en le voyant pantalon baissé, lengin à lair.

— Quoi ? Elle ne vous plait pas ? Je nai jamais eu de plainte pourtant. Je sais que ça peut faire peur mais je sais men servir. Si ça peut vous rassurer, quand une femme la à lintérieur, elle ne dit jamais « enlève là », au contraire.

— On va voir ça . Jai du mal à la détacher du regard je me sens toute chose tout dun coup.

— Bah viens la voir de plus près alors.

Le père Noël savait très bien ce quil se passait. Comme toutes les autres, elle était sous son charme et sest très vite retrouver à genou à lui lécher les boules et lui titiller le gland (ou linverse je ne sais plus). Cette femme qui, dans une situation normale, naurait jamais approché un type dans son genre, était en train de succomber à cette attirance quelle ne comprenait pas. Allongée sur le lit, les cuisses écartées, elle laissait celui quelle aurait facilement appelé « le gros dégueu » user de sa langue sur sa partie intime tout en lui malaxant les seins. Elle était dans un état second quand elle prononça un « Prend moi vite, jen peux plus ».

— Oh mais finalement je ne suis pas aussi repoussant finalement ?

— Ta gueule et prend moi

— A vos ordres.

Père Noël espérait bien quelle finisse par succomber à son charme mais pas à ce point. Bon elle voulait quil y aille franco ? Et bien il y est allé comme une brute, elle va prendre chère la bourgeoise. A chacun de ses assauts elle se mordait les lèvres pour ne pas crier et ainsi ne pas réveiller son fils. Elle en prenait tellement quelle avait du mal à garder lesprit clair. Sur la fin, il était en train de la sodomiser tellement fort quelle serrait les poings. Il espérait bien faire crier cette mégère mais non, elle se retenait. Alors il eut une autre idée. Sentant léjaculation arriver il ressorti de son rectum pour la retourner et se terminer dans sa fente, espérant la mettre en cloque et la mettant dans une situation fâcheuse, obligée de justifier son adultère et sa grossesse lors du divorce.

Quand il eut fini, il commença à se rhabiller.

— Tu fais quoi ?

— Bah je remets mon froc pour repartir.

— Ça te dirait pas de rester ?

— Je te vois venir poulette. Hors de question que je devienne ton nouveau mec.

— Et moi je te lordonne. Dit-elle en le braquant avec son arme.

Soudain, on entendit dans le couloir un « Maman, y a les cadeaux ! ». A cela, la mère tourna la tête et le père Noël en profita pour actionner sa télécommande et se téléporter, en caleçon et marcel ses fringues à la main, dans son véhicule. Une fois rhabillé, il prit les commandes dun de ses drones muni dune caméra pour observer louverture des cadeaux. Quand le gosse découvrit que ce quil avait demandé nétait que des contrefaçons grossières et bon marché, il se mit à pleurer. Le père Noël était ravi et rigolait dans sa barbe. « Que ça te serve de leçon sale morveux. Un peu dhumilité te fera le plus grand bien. » furent ses dernières paroles avant dordonner à son véhicule : « Allez, Zouh ! Direction le bar de Gégé !

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