Même si je savais que mon répit n’était que temporaire…

En effet, le chien qui était à côté de canapé se leva. Les invités le regardèrent en rigolant.

on dirait qu’il veut aussi sa part ! dit le vieil homme qui venait de me sodomiser.

Le chien s’approcha de mes fesses et commença à nettoyer le foutre qui dégoulinait de partout. Sans vraiment m’en rendre compte, j’écartais mes fesses pour lui faciliter l’accès. Il me lécha les fesses, l’anus et ma chatte… Mais aussi mes cuisses…

il a l’air d’aimer cela ! s’esclaffa Victor.

Offre-lui ton cul ! gloussa Marie.

Bonne idée, Marie, mais je suis certain que tu aimerais beaucoup être à sa place,

dit le vieil homme assis dans le canapé, celui qui devait être le compagnon de Marie. Il avait gardé un ton sérieux et Marie cessa de rire.

Euh… Tu crois… Je n’ai jamais…

Justement, c’est une opportunité pour toi… Allez, prépare-toi !

Elle se mit nue et se positionna en levrette, mais le chien était toujours occupé à me lécher le cul.

On dirait que tu ne lui plais pas ! dit la vieille femme hilare.

Le vieil homme, celui qui doit être le compagnon de Marie se vexa et sortit du salon sans rien dire.

Quelques minutes plus tard, il revint avec un pot de miel… Il tartina les fesses de Marie ainsi que son anus et sa chatte avec. Puis, il appela le chien, mais ce dernier était bien trop occupé.

Il se dirigea alors vers le chien pour le prendre par le collier et l’amener vers Marie, mais le canidé ne voulait pas laisser son repas et grogna si fort que le vieil homme n’insista pas.

André, qui jusque-là profitait silencieusement du spectacle, appela le chien. Celui-ci, un peu contrarié de devoir laisser de si appétissantes fesses hésita avant de lever la tête. Il se dirigea ensuite vers André qui s’était placé à côté de Marie et quand il arriva à hauteur du cul de la jeune femme, et donc à côté d’André, il se posa sur son arrière-train pour attendre un ordre.

Tiens, c’est pour toi ! dit André en montrant le cul de Marie.

Le chien renifla prudemment puis commença à lécher les fesses de Marie.

Alors, comment est-ce ? demanda le vieil homme qui devait être le compagnon de Marie.

Humide ! répondit-elle d’une voix un peu inquiète.

Il faut avouer que le chien bavait énormément.

J’étais toujours allongée sur le sol, trop fatiguée pour chercher à me lever, j’avais simplement tourné la tête pour voir mon amant lécher les fesses de Marie.

Il se régalait, mais cela n’avait pas l’air de l’exciter plus que cela…

La vieille femme, trouvant que la situation s’éternisait m’enleva le collier.

Pas bougé ! me dit-elle en me caressant les fesses. Obéissante, et aussi parce que je n’avais nullement l’intention de bouger, je restais donc dans ma position initiale.

Elle s’approcha de Marie et lui mit le collier. Le vieil homme, qui devait être le compagnon de Marie, voulut s’interposer, mais devant le regard noir que lui a lancé la vieille femme, il recula.

Marie avança comme je l’avais fait peu auparavant, c’est-à-dire comme une gentille chienne qui marche bien au pied. Le chien les suivait en continuant à lécher le cul de Marie.

La vieille dame conduisit Marie jusqu’à moi.

Comme l’autre chien est occupé, termine de nettoyer… ordonna-t-elle en montant mes fesses à Marie.

Celle-ci voulut protester, mais l’attitude de la vieille dame montrait que ce serait peine perdue et que cela aggraverait certainement son cas.

Elle commença donc à lécher mes fesses, mon anus puis mon entrejambe.

Était-ce sa position ? La tête entre mes cuisses alors qu’elle était à quatre pattes, cela offrait une vision de ses fesses et surtout les rendait plus « accessibles »… Le chien, gourmand, peut-être gourmet et amateur de miel, n’en était pas moins un mâle excité…

Il monta sur Marie qui a failli s’écrouler sous le poids de la bête et aussi par l’effet de surprise.

Elle arrêta de me lécher en sentant l’animal qui commençait à remuer le bassin pour un coït qui n’était encore qu’imaginaire… Il frappait dans le vide ou les fesses de Marie, mais était loin du but…

Qui t’a dit d’arrêter ? aboya la vieille femme.

Marie se remit donc à l’ouvrage. La vieille femme, qui pouvait faire preuve d’empathie, vint ensuite au secours du chien. Elle guida l’excité pour qu’enfin son sexe se trouve au niveau des lèvres intimes de Marie. Ce fut alors, sans mal qu’il s’introduisit dans sa nouvelle compagne.

Le vieil homme qui devait être le compagnon de Marie qui maugréait contre la vieille dame sans pour autant oser croiser son regard se figea comme hypnotisée par le spectacle. Sa « Marie » était en train de se faire mettre par un chien… Il ne pouvait pas dire que cela lui plaisait, mais il ne pouvait pas, honnêtement, affirmer que cela lui déplaisait.

Quant à Marie, qui s’était, au début, résignée à offrir son con à ce chien, semblait maintenant prendre de plus en plus de plaire… Le chien lui faisait son ouvrage sans trop se poser de question.

Mes fesses étaient maintenant délaissées, Marie ne me léchait plus, elle voulait profiter au maximum de son nouveau et besogneux amant. Les autres, trop occupés à bénéficier du spectacle, m’oublièrent tout autant.

Marie prenait son pied et cela s’entendait, le chien allait au plus profond d’elle et elle semblait chercher à le faire entrer encore plus profondément… le Knock avait franchi la limite et avait disparu dans le bas-ventre de Marie et pourtant, on aurait dit qu’elle en voulait plus… elle pleurer, criait et suppliait même… Mais pas pour qu’il arrête, bien au contraire…

Ses « Ohhhhhhhhhh ouuuuuuuui » Résonnaient dans tout le logement… Les « c’essst trooooop bonn » devenait le tube de l’instant…

L’orgasme était non seulement là, mais ce fut, j’en suis certaine, le plus fort qu’elle n’ait jamais senti.

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