Cette histoire a été vécue par Marie, l’une des soumises dont je me suis occupé.
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Elle est de taille moyenne (1m65), Franco-Italienne, avec de longs cheveux blonds aux dégradés noirs, des formes prononcées et une large poitrine.
À son adolescence elle avait une relation difficile avec sa famille, et elle a souvent fugué. Elle traînait avec une bande de potes plus âgés qu’elle, et squattait souvent chez l’un d’eux quand elle s’enfuyait.
Cette histoire lui est arrivée chez cet ami des années plus tard, en 2014…
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On est samedi, et j’arrive chez Léo en début de soirée, à moitié par surprise. Je suis sur les nerfs et j’ai besoin de décompresser.
Dans l’appart il y a déjà les potes habituels. Fred, Romain, et Seb. Mais la copine de Léo est rentrée chez ses parents, c’est la première soirée que je vais passer avec eux sans elle.
Ça fait quelques mois que je craque sur Léo, c’est un mec super mignon et attentionné. Ses potes sont plutôt marrants mais un peu beauf. Ils sont tous ensemble en école de commerce.
Quand j’arrive tout le monde est déjà assis autour de la petite table du salon, en train de jouer à nos jeux d’alcool habituels. L’ambiance est super chaleureuse.
Après avoir salué les gars, je m’installe sur le canapé entre Fred et Seb, et on me sert mon premier verre avant de commencer une nouvelle partie.
On se raconte notre vie. Je me sens écoutée, comprise. C’est le seul endroit où je me sens autorisée à être moi-même.
Les parties s’enchainent, et je bois beaucoup ; les potes de Léo s’amusent à me désigner à chaque fois qu’ils ont des shots à donner, pour ’me faire oublier mes problèmes’’.
Je commence rapidement à être pompette, et ça les amusent beaucoup, ils tiennent bien plus l’alcool que moi. C’est devenu un running gag entre nous.
En milieu de soirée je décide d’aller aux toilettes et de me rafraîchir le visage. J’ai déjà du mal à marcher droit.
Quand je reviens, les mecs sont en train de se marrer, et Léo propose avec un large sourire de pimenter le jeu avec des gages.
À chaque fois que quelqu’un gagne, il a le choix entre donner des shots ou un gage à qui il veut.
Les premiers sont plutôt softs. Romain doit utiliser un mot sur deux pour parler, Seb doit faire trois pompes avant chaque shot, je dois boire mes verres sans les mains.
On rigole beaucoup, la soirée se passe super bien. Et les gars s’amusent à parler de cul et à raconter leurs aventures, probablement comme à chaque fois qu’ils sont seuls sans la copine de Léo.
Mais après quelques tours, les gages commencent à prendre une tournure plus perverse… Maintenant je dois les appeler « maître » quand je parle, et quelques minutes plus tard Seb et Léo doivent me traiter de soumise avant chaque phrase.
On s’amuse bien, mais les potes de Léo ont l’air très excités ; ils font plein d’allusions sexuelles et je sens leurs regards sur moi, bien plus que d’habitude.
Fred et Seb se rapprochent beaucoup, ils me collent littéralement, et après ça, ça dégénère rapidement…
Quand j’oublie d’appeler l’un des mecs « maître », ils décident que je dois me mettre à genoux devant lui et lui demander de me pardonner, avec une voix de soumise…
Seb s’amuse à me caresser la tête comme si j’étais son petit chien.
Au début ça m’énerve un peu, mais je rentre vite dans leur jeu, et l’alcool me rend beaucoup plus docile…
Quelques parties plus tard, Romain qui est habituellement plutôt timide , me donne comme gage de devoir enlever un vêtement à chaque fois que je bafouille, après un délire sur les elfes de maison soumis dans Harry Potter.
Et ils se mettent tous à m’appeler Dobby, surnom qui va me rester…
À ce moment-là je suis clairement bourrée, j’ai du mal à aligner un mot après l’autre et on rigole tous pour rien. Mais du coup, avec le gage de Romain, je me retrouve très vite avec les seins à l’air…
Avec l’alcool Fred et Seb deviennent de plus en plus tactiles, et quand j’en arrive à devoir me pencher pour enlever mon jean, je sens leurs mains qui caressent mes cuisses et mes fesses…
Maintenant j’ai plus que mon string sur moi, et ils me font me pencher sur la table basse pour que je fasse le maître du jeu…
À chaque fois que je me trompe ou que les cartes que je tire ne leur plaisent pas, j’ai droit à une fessée… Et si je ne dis pas merci quand je la reçois je m’en prends une autre, avec une petite insulte…
Sur le coup je ne comprends pas comment on en est arrivés là aussi rapidement…
Je suis dans la brume et je pense à Léo qui me voit comme ça…
Mais lui a l’air de kiffer sa soirée loin de sa copine.
J’ai la tête ailleurs depuis quelques secondes ou minutes, quand Seb décide de me claquer violemment les fesses, et me fait renverser le verre de Romain.
Il y en a partout sur le tapis, et je m’attends au pire…
Fred et Seb me font me mettre à genoux, Romain se lève devant moi, et il décide de me punir en me giflant avec son sexe… Il bande d’une telle force… Je me sens totalement humiliée et soumise en me le prenant sur le visage…
Les mecs s’encouragent entre eux, et je finis par devoir me prendre une biffle de chacun d’eux, en les remerciant…
À partir de là on a oublié les cartes, le jeu est devenu ’trouver des raisons absurdes pour humilier Marie’’.
Et très rapidement…
— Ah, putain, en plus on a contrôle de Comm. Mardi, vraiment t’abuses Marie, viens embrasser ma queue pour t’excuser !
Si j’hésite je sais que je vais prendre un gage encore pire, alors je m’exécute avec soumission…
Après avoir embrassé celle de Fred, Seb m’accuse de favoritisme, et me demande de venir embrasser la sienne.
Mais… « nouvelle règle » ; quand j’approche mes lèvres il prend ma tête et m’enfonce sa bite dans la bouche… J’ai mis trop de temps pour marcher à quatre pattes jusqu’à lui, alors comme gage je dois le sucer pendant 30 secondes…
En 1h on est passé de petits jeux d’humiliation, à moi à genoux, quasiment à poils, en train de faire une fellation à un pote de Léo devant tout le monde…
Pendant que je suis prise par ma punition, Fred descend mon string sur mes genoux et commence à me caresser sans que je puisse rien dire… La honte commence à se mélanger au plaisir…
Seb se plaint que je le suce mal… Et il rallonge les 30 secondes… Il me tient par les cheveux et me traite littéralement comme sa pute…
Après quelques minutes il finit enfin par se retirer.
Il penche ma tête en arrière et décide de me recouvrir entièrement le visage de son sperme…
— AAAAAAHHHHH… Tu l’as bien méritée celle-là ma petite salope…
Je suis toujours à genoux par terre, les jambes écartées, avec Fred derrière moi qui me doigte et tripote mes seins…
Je ne suis plus du tout leur pote Marie maintenant, je suis devenue leur poupée sexuelle, en l’espace d’une soirée…
Léo vient se mettre à genoux à côté de moi, il me fait me pencher à quatre pattes… Et apparemment c’est à son tour de se faire sucer…
— Vous l’avez entendue dire merci vous…? Je dis que ça mérite un nouveau gage…
Fred retire ses doigts de mon entrejambe mes cuisses sont trempées… , et il commence à tapoter son sexe bombé contre mes fesses…
Pendant que j’ai Léo en bouche, il m’attrape par les hanches, et je le sens me pénétrer en entier, d’un grand coup, sans aucune difficulté… Mon corps lui est totalement offert…
Pour ce qui a suivi, il ne me reste que des bribes de souvenirs…
La dernière image que j’ai c’est Léo qui part pisser, et Fred qui jouit juste après, sur mon visage déjà souillé… Je suis sur le dos, les jambes écartées, et je n’ai plus aucune force…
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Je me réveille plus tard dans la nuit, avec le haut du corps sur la petite table, les genoux sur le tapis, et les fesses écartées… J’ai une grosse douleur dans mon petit trou, qui doit être bien dilaté, et je suis recouverte d’alcool et de foutre…
J’ai juste le courage d’aller m’allonger sur le canapé…
Quand je rouvre finalement les yeux le lendemain, c’est le début d’après-midi. J’ai une couverture sur moi, tout est rangé, et il ne reste plus que Léo dans l’appart.
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Après cette soirée, Léo s’est occupé de moi avec énormément de tendresse.
Je suis restée chez lui une semaine et je suis devenue sa petite soumise à partir de là…
